Lise au cinéma

- Par l'auteur HDS RenaudetLise -
Auteur couple.
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Récit libertin : Lise au cinéma Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Lise au cinéma
Cela fait maintenant un moment que Lise, mon copain Francis et moi-même avons passé un moment merveilleux ensemble. Grâce à notre vieille complicité, nous avons procuré beaucoup de plaisir à Lise et elle nous l’a bien rendu, il faut le dire.
Ma relation amoureuse avec elle s’est transformée, bonifiée pour ainsi dire.
De maîtresse-amant, nos relations ont évolué vers dominatrice-soumis-cocu, avec consentement réciproque. Lise peut s’amuser avec autant d’amants qu’elle veut, je lui organise d’ailleurs la plupart de ses rendez-vous. En contrepartie le cocu que je suis devenu fait toujours partie de la fête, spectateur, acteur ou soumis à ma belle.

Dernièrement, une superbe expérience a eu lieu dans un sex-shop, dont le patron, un dominateur averti, a fait vivre une après midi inoubliable à Lise. C’était dans notre sex-shop habituel que cela s’est passé.

D’ailleurs le patron me contacte, comme c’était plus ou moins prévu. Il veut nous proposer une séance de cinéma un peu particulière, il m’en dresse les grandes lignes, je dois convaincre Lise sans trop dévoiler ce qui va se passer. Il faut surtout qu’elle vienne habillée sexy et même plus, dit-il.
J’en fais part aussitôt à ma Lise, évidemment elle est partante, elle est devenue accro au plaisir, pour ma plus grande joie, et la sienne…
Rendez vous est pris. Pour la circonstance Lise a mis une très jolie robe dorée, ultra courte, dos nu, avec de fines bretelles, laissant voir la plus grosse partie de ses jolis seins en forme de poires. On dirait qu’ils sont prêts à jaillir hors de leur niche. D’ailleurs elle ne porte pas de soutien-gorge, c’est le haut de la robe qui galbe ses nichons. Des bas noirs en dentelles qu’on devine sur le haut des cuisses de Madame et des chaussures à talons viennent compléter le tout. Elle est magnifique ma Lise, un appel aux mâles comme je lui dis. Pour le déplacement elle a revêtu, quand même, un large manteau qui masque tous ces trésors.

Le patron nous accueille, tout sourire. Il embrasse Lise, la débarrasse de son manteau et siffle d’admiration en la découvrant. Il la fait tourner, la caresse, égare ses mains sur ce joli corps. Lise minaude un peu comme elle sait si bien le faire. La dernière fois elle a été totalement soumise à ce gars, la cinquantaine, toujours bel homme. Un t-shirt brun moule une belle musculature, des bras poilus comme elle aime. Il porte un pantalon en toile beige. Son regard gris déshabille Lise et il lui sourit. « Prête pour une nouvelle expérience ? ». Lise me regarde, j’écarte les bras comme si j’ignorais tout. Il précise : « Je vous propose une séance de cinéma un peu spéciale, à toi et à ton homme soumis. Je me porte garant de tout, vous le méritez, le mot de sauvegarde tient toujours, tu le prononces et on arrête, tu ne risques rien, juste de mourir de plaisir », il ajoute en riant.
Lise me prend les mains et fait un gros oui de la tête, à moi et au patron. C’est parti.

Il nous entraîne par un dédale de couloirs, derrière son magasin, j’ai l’impression que nous changeons de bâtiment. Une tenture, une porte épaisse qu’il pousse et nous pénétrons dans une salle obscure, une salle de cinéma, petite, quatre rangées de quatre sièges chacune, un écran sous lequel on devine une grande couche.
Il nous fait prendre place au premier rang. Le film commence, très vite on voit que c’est du porno, on s’en doutait un peu ! Je remarque bien qu’entre le premier rang et l’écran se trouve une espèce de grand lit, revêtu de cuir rouge avec des coussins un peu partout.

On s’installe, Lise au milieu, le patron et moi de chaque côté. A l’écran c’est chaud, une nana se fait entreprendre par trois mecs, musclés avec des jolies bites. Lise devient nerveuse, elle m’étreint les doigts entre les siens, fascinée par le spectacle. Je la sens qui s’excite. Le patron a posé une main sur sa cuisse et entreprend de la caresser doucement. Le crissement des bas de soie est très érotique.

J’entends du mouvement dans la salle, des sièges sont occupés maintenant. Derrière nous se sont installés deux messieurs, près de la soixantaine. L’un est bien mis de sa personne, veston, chemise, belle allure, l’autre est petit, des bras courts et plutôt rond. Ils regardent le film mais c’est surtout Lise qui les intéresse. Je crois qu’elle a compris d’ailleurs, elle me regarde, me sourit et pose ma main sur mon entrejambe. « Dommage », me souffle-t-elle, c’est vrai qu’elle m’a mis la cage de chasteté avant de venir, je ne pourrai ni bander ni baiser sans son autorisation. Elle porte la clé du cadenas autour du cou, elle pend le long d’une chaînette entre ses nichons. Le patron n’est pas surpris, il est au courant, il connaît bien mon statut de soumis.

Plus loin derrière, dans le troisième rang, se sont installés trois autres types, des jeunes je pense d’après leurs silhouettes. Je devine un grand brun, cheveux en brosse, un autre, chauve lui, des épaules larges et un troisième, petit, fluet il me semble, avec des lunettes, l’air plutôt timide. Sur l’écran la femme crie de plaisir, elle se fait enfiler à tour de rôle par les trois types. Ils la baisent en non-stop.

Lise respire fort, elle me serre aux couilles à travers le pantalon, le patron lui a mis la main sur l’intérieur des cuisses qu’elle écarte docilement.
C’est le moment que choisit l’un des messieurs derrière nous, le grand, pour s’installer derrière Lise, il lui caresse doucement le dos, des deux mains, les épaules maintenant, elle frémit. Les mains fébriles passent sur le devant et touchent les seins de ma belle. Un gémissement de sa part sort de sa bouche, le patron et en train de lui toucher la culotte de ses doigts, c’est vrai qu’il a déjà bien profité l’autre fois de ma Lise. L’autre type, le vieux gros a carrément sorti sa queue et se branle doucement en regardant. Les trois jeunes s’approchent, le chauve se place devant Lise et sort sa bite gonflée, il se branle devant elle. Le patron masturbe maintenant doucement ma femelle, à travers la culotte.

Je cède ma place et je vais m’asseoir sur le lit, je deviens voyeur.
Le chauve prend ma place, Lise lui prend la queue et le branle, il en profite pour bien baisser son pantalon. Il me semble qu’il ne porte pas de slip.
Le gars derrière Lise a plongé ses deux mains sous les bretelles de la robe et malaxe sans vergogne les seins qu’il est arrivé à sortir de la robe, je sais qu’elle adore cela. Elle souffle fort et s’avance sur le siège pour s’offrir davantage à toutes ses mains. Le patron se lève et invite le jeunot timide à prendre sa place, il s’installe et prend immédiatement le relais. Il caresse l’entrejambe de Lise qui a ouvert complètement ses cuisses maintenant. Les deux jeunes entreprennent de remonter la robe de Lise sur sa taille, ils lui enlèvent la culotte et dévoilent sa belle chatte lisse que j’adore. Ils semblent aussi en extase devant cette peau lisse et ces lèvres intimes qui pendent.
Le patron les encourage : « Allez y les gars, elle est chaude, elle aime la bite, allez y franchement ! »
Le grand brun s’est complètement déshabillé, il est bien musclé, tout en finesse, comme Lise aime. Sa bite tendue est joliment recourbée vers le haut, bien épaisse, le gland décalotté rouge de désir. Lise le fixe, sa langue frémit. Le mec s’avance, grimpe sur les fauteuils et présente sa belle queue à Lise qui la fourre dans sa bouche sans hésitation. Le jeunot, pas si timide que ça finalement, s’installe entre les cuisses de ma belle et commence à lécher les grosses lèvres de sa chatte bien mouillée. Elle branle toujours bien le chauve qui se laisse faire en grognant de plaisir. L’autre lui enfonce bien le dard au fond de la gorge.

Les anciens s’occupent de ses nichons qu’ils malaxent, pétrissent à l’envie, ils lui tordent les tétons, les tirent, les pincent je sais qu’elle meurt de plaisir sous le traitement qu’on lui inflige.
J’avais un peu peur que tous ces hommes ça fasse un peu trop, mais elle a vraiment l’air d’apprécier ce qui lui arrive. « Oui, c’est bon comme ça, encore, allez-y ».

Le patron, comme prévu, surveille, encourage, il est bien dans son rôle, moi aussi, le cocu encagé. Ma queue épouse les parois de la cage de chasteté, elle voudrait grandir davantage mais elle est bien comprimée. C’est terriblement frustrant et délicieux de voir ma Lise aux mains de tous ces mâles en rut.

D’ailleurs ça s’accélère, les anciens sont maintenant de part et d’autre de son siège et ils lui ont bien relevé les jambes, le petit jeune est à poil, un gros sexe bandé tape entre ses cuisses. Il se met en position et enfonce sa queue dans la chatte baveuse de ma femelle, Lise pousse un petit cri de surprise, vite étouffé par la bite du beau brun qui continue à lui baiser la bouche. Elle a toujours en main le sexe du chauve, elle le branle comme elle peut, les deux autres lui malaxent toujours les mamelles, sauvagement, sentant que c’est cela qu’elle aime. On ne perçoit plus que gémissements, grognements, cris de plaisir. A l’écran la nana hurle sa jouissance, bientôt rejointe par Lise. C’est une scène surréaliste mais si obsène.

La figure se défait, le patron invite tout le monde sur le lit. Ils allongent Lise, qui me jette un petit regard complice au passage. Comme elle est belle !
C’est le chauve qui part entre ses cuisses la sucer, les deux autres lui frottent leurs glands durs sur puis dans la bouche. Elle arrive de temps en temps à prendre les deux queues, je suis fier d’elle. Les anciens continuent à lui travailler les seins, sans relâche. Elle arque son bassin sous l’orgasme qui la saisit, le chauve arrête son léchage, lui remonte les cuisses et l’embroche. Il commence doucement mais très vite il la pilonne sans merci, Lise hurle en continue, les deux bites s’acharnent dans sa bouche, les vieux lui giflent les tétons. Qu’est ce qu’elle prend, même le patron est subjugué. J’essaye vainement de me masturber, je secoue ma bite à travers le cage, sans effet, Lise le sait ça contribue à sa jouissance.

Le brun se couche sur le dos, ils installent Lise à califourchon sur lui et elle s’empale sur la tige bien raide. Les deux autres garçons se mettent debout devant elle pour lui présenter leurs queues qu’elle suce avidement. Elle a posé ses deux mains sur les cuisses du gars sous elle, les seins tendus vers l’avant pour encourager les deux messieurs à la tripoter fort. Ils ont pris les tétons entre leurs doigts et les mouvements de bassin de Lise suffisent à les agiter. Lise est prise de folie, elle est dans un autre monde, elle chevauche le gars, sauvagement, une vraie femelle en rut. Quand l’orgasme arrive elle hurle, se calme un court instant, reprend son souffle et repart. Le gars jouit bientôt en elle, fort, surpris d’ailleurs, je pense. Les deux messieurs n’en peuvent plus, ils ont lâché les mamelles et se masturbent sauvagement, ça ne veut pas venir. A leur âge ils ont du mal à éjaculer.

On met Lise à quatre pattes, le chauve et le petit timide la prennent en levrette, l’un après l’autre, sans arrêt, ils inversent. Lise serre les poings, elle gémit, hurle de plaisir. Les deux autres se branlent en frottant leurs glands contre les seins qui ballottent au rythme des coups de reins qu’on lui inflige. Le grand timide jouit contre la bouche de Lise, le sperme gicle sur ses joues, dans ses cheveux, elle ronronne de contentement. Le chauve se dégage et éjacule puissamment entre ses reins. Elle s’écroule, repue, fatiguée, apaisée.

Le patron propose un verre aux trois jeunes, dans un coin aménagé en bar. Les deux plus âgés restent là, à contempler Lise qui s’étire voluptueusement devant eux, comblée. Ils continuent à se branler en la matant, la caressant, mais on sent bien que ça ne va pas le faire.

Lise leur propose de les finir, comme elle dit. Il ne reste plus qu’eux trois sur le lit, et moi, en spectateur je me suis remis sur un siège. Les autres boivent en bavardant, en plaisantant.

Lise commence par le petit gros, elle le fait s’allonger sur le dos, lui met sa chatte trempée sur le visage et entreprend de le branler méthodiquement, elle me regarde, son sourire coquin aux lèvres. La bite durcit bien, Lise se frotte doucement sur la bouche avide, le gars se laisse faire, ravi. Il se tend, c’est imminent, Lise continue jusqu’à ce que l’orgasme arrive, puis elle serre la bite dressée, comprime les couilles du gars et assure sa prise sur son visage. Le sperme coule de la verge tendue, le type râle sous elle, Lise le maintient bien. Elle attend encore, plus rien ne sort et là, elle recommence à frotter, fort, rapidement, impitoyable. Elle branle maintenant le type à la folie, il grogne, le visage enfoui dans la chatte de ma Lise ; elle ne cède pas, continue à astiquer cette bite qui curieusement ne veut pas ramollir. Enfin elle lâche le type, le libère, il reste là, anéanti. Il se relève enfin, balbutie un remerciement à ma belle et s’éclipse.

Lise se retourne vers le dernier de ces messieurs : « A toi maintenant, couche-toi là ! »C’est vraiment elle, le maître du jeu, je l’admire infiniment.
Elle est à genoux, masturbe la belle queue dressée, rasée, fine et longue. Elle se penche et la prend en bouche, elle suce comme elle sait si bien le faire, efficace. L’autre grogne, s’agite, Lise se dégage et le branle, elle lui met sa chatte sur le visage. Comme pour le gars avant elle bloque bien le mec entre ses cuisses, le masturbe bien, elle a bien serré les couilles, observe les réactions. Un gémissement rauque nous parvient, il commence à trembler, Lise stoppe tout et caresse juste le gland avec un doigt. On sent qu’il veut venir, il est au bord et d’un seul coup ça commence à couler, des petites poussées de sperme s’écoulent sans arrêt. Le gars est vide, Lise me fait signe de venir lui tenir les jambes et elle recommence à le branler, méthodique, de plus en plus fort, de plus en plus vite. « Non, pitié, arrêtez » Il s’agite, se débat, veut que ça se termine. Lise, impitoyable, branle la queue dressée ; le sperme qui avait coulé sert de lubrifiant, elle est déchaînée, excitée. Le gars déguste, se débat, nous le maintenons fort. Ce qui arrive est formidable, au bout d’une éternité le type hurle, coincé sous le cul de Lise, il jouit une deuxième fois, deux jets puissants sortent de ce dard malmené à l’extrême, je crois que le gars sanglote sous Lise, elle le taquine encore un peu, frotte son gland puis se dégage. Il a du mal à se relever, part en titubant, Lise me sourit, heureuse de sa performance.

Elle s’allonge, me dit de venir près d’elle et me libère, elle veut encore, elle me dit. « Mais avec toi ». Elle se met sur moi, s’enfonce doucement sur ma queue bien raide, c’est bon, c’est doux. Elle commence à onduler du bassin ; le patron revient, se met à poil, caresse Lise pendant qu’elle me baise lentement. Il lui demande si elle veut finir en beauté, Lise est surprise.
« Fais moi confiance ma belle ». Il s’installe derrière nous , au dessus de nous, Lise pousse un cri « Non, pas ça ». Trop tard, le gars lui frotte son gland contre le petit trou, Lise gémit, ne bouge plus, elle veut. Doucement il s’enfonce en elle, je sens sa bite contre la mienne, à travers, c’est génial. Je maintiens Lise sur mon ventre, lui il l’agrippe aux hanches et commence à la pilonner bien profond.
« ça te plaît petite garce ? », Lise répond par un gémissement explicite que nous connaissons bien maintenant. Bientôt des orgasmes fulgurants la secouent, elle hurle sans arrêt.
C’est le moment que choisit la patronne pour faire son apparition, nue, belle ; sans un mot elle grimpe sur le lit et s’agenouille sur ma bouche, elle écrase sa chatte humide sur mon visage, serre Lise contre elle et se frotte sur moi. Elle jouit rapidement, sa mouille me coule dessus, c’est formidable. J’éjacule au fond de ma Lise, le patron juste après lui remplit le cul de son foutre. Les deux s’éclipsent, Lise reste longtemps couchée contre moi, on se caresse, on s’embrasse, ça sent la baise, nous sommes poisseux mais comblés.

Nous nous rhabillons plus ou moins, cherchons la sortie. Le patron et sa femme nous embrassent en riant, « Vous revenez quand vous voulez, vous êtes superbes tous les deux ».

Le lendemain, Lise passe sa journée au lit, je suis aux petits soins, je bichonne ma princesse.
Quelle femme que ma Lise !

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