Lise au dancing
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Lise au dancing
Ce soir j’emmène Lise danser. Nous sommes ensemble depuis un bon bout de temps maintenant et nos relations ont drôlement évolué.
De simple maîtresse, Lise est devenue une libertine dominatrice, elle a fait de moi son cocu, son soumis, lors de nos escapades sexuelles.
Nous sommes évidemment toujours amoureux, cette situation nous convient très bien, je dirais même que nos sentiments réciproques se sont affermis.
Lorsqu’elle en a envie, Lise peut s’offrir l’homme, les hommes qu’elle désire, avec mon accord complet, je l’aide même très souvent à concrétiser ses choix, en parfait complice.
Ce soir, je l’emmène dîner tout d’abord, un repas léger avant d’aller danser.
Nous voilà à pied d’œuvre. C’est un endroit charmant, un peu loin de chez nous, c’est la première fois que nous venons. L’ambiance est chaleureuse, il y a beaucoup de monde, surtout des couples mais aussi des hommes seuls accoudés au grand bar. La moyenne d’âge est assez élevée et l’orchestre est plutôt bon.
Il faut dire que Lise fait sensation dans sa robe longue bleue qui a un décolleté profond. Elle a poussé le vice jusqu’à ne pas mettre de soutien gorge, laissant déborder sa paire de gros et magnifiques seins. La robe ne cache pas grand chose, ça ballotte à chacun de ses pas. Nous savons tous les deux que c’est calculé, elle aime aguicher et moi j’adore le regard des hommes posés sur elle. D’ailleurs les yeux envieux ne manquent pas.
Nous nous installons dans un coin du dancing, sur une banquette confortable, derrière une table basse. Quand Lise croise ses jambes, ses escarpins et ses mollets, gainés de soie, sont bien apparents. Nous bavardons un peu. Lise aimerait boire un verre, le serveur se fait attendre. Je vais donc au bar chercher deux coupes, c’est un peu loin de notre table, il y a du monde, j’attends d’être servi et de loin j’admire la beauté de ma Lise qui attend que je revienne. Sa robe met vraiment ses formes de femme mûre en évidence et je ne peux que regarder avec envie sa poitrine provoquante. Son décolleté est vraiment très osé.
L’orchestre entame un slow langoureux, comme on aime tous les deux. Qu’est ce que je fais, je retourne danser ou j’attends mon tour ? C’est à mon tour, je commande mes deux coupes, je les prends et je repars vers la table. Lise n’y est plus ! Je la vois se diriger vers la piste aux bras d’un bel inconnu. Je ne le vois pas très bien, il est grand, des cheveux mi longs, un sportif ça se voit.
Lise se retourne, me jette un vague regard et la voilà qui entame sa danse aux bras de ce mec. Je devrais être jaloux, faire la gueule un peu, mais non, je suis heureux pour elle, elle le sait, c’est très bien ainsi. Elle aime danser et je sais qu’elle apprécie aussi d’être dans les bras d’un mâle.
Une, deux, trois danses puis ils reviennent vers la table, elle semble ravie, elle est souriante. Je vois mieux le bonhomme, la cinquantaine je pense, cheveux poivre et sel, un beau gars, Lise a toujours bon goût.
- Je vous présente Renaud, un ami avec qui je suis venue danser, ce soir.
- Bonsoir Monsieur, je puis vous dire que Madame est une excellente cavalière.
- C’est vrai, j’aime danser mais vous êtes aussi un très bon danseur, Claude.
- Avec une femme si charmante on ne peut qu’être appliqué et … prévenant.
Et bien ma coquine, je sens que quelque chose est en route me dis-je. Elle invite ce Claude à s’asseoir à notre table, si ça ne me dérange pas, bien sûr. Mais non, voyons.
Il est élégant dans son pantalon noir, des chaussures brunes de marque, une belle chemise blanche, ouverte au col qui laisse entrevoir sa poitrine légèrement velue. Il est bien bronzé également.
Une valse lente, elle voudrait danser avec moi. J’accepte avec empressement, nous laissons l’inconnu assis et nous rejoignons la piste de danse. Je la serre contre moi, un, deux, trois, on ne dit rien, elle me fixe, souriante, je connais ce regard.
- Il te plaît le coco ?
- Absolument, je le sens bien, tu en penses quoi ?
- Comment tu vois la chose, tu as vraiment envie ?
- Oui, me souffle-t-elle dans l’oreille, lui, toi, nous trois, j’aimerais beaucoup, ce soir, chez moi.
- Laissons faire les choses, je ne suis pas contre mais peut-être ne voudra-t-il pas ?
Au moins avec Lise c’est toujours direct, j’apprécie, j’ai horreur comme elle de l’hypocrisie qui pourrit la vie et génère des frustrations. Elle m’embrasse, la série est terminée, nous retournons nous asseoir, je la sens bien émoustillée, d’ailleurs je remarque que les tétons ont gonflé sous le tissu. Comme elle ne porte pas de soutien-gorge, ils pointent à travers le tissu moulant de la robe. Je crois que les yeux de notre ami vont lui sortir de la tête. Il commande, paye une nouvelle tournée.
Une série de tangos est annoncée. Sans un regard vers moi, Lise lui prend la main et l’entraîne sur la piste. Je reste assis bien sagement à m’exciter en les regardant, en imaginant la suite de la soirée.
Je les vois bavarder, rire, le courant passe. Il lui frôle le dos avec sa main, ses seins se pressent contre lui, moi je bande, assis à ma table.
Je me réserve la prochaine série avec Lise, on bavarde, je demande des précisions à Lise. Claude nous observe depuis la table.
« Il me plaît vraiment, j’aimerais que nous l’invitions tu serais d’accord ? », Lise semble déterminée, j’ai vachement envie aussi. Je lui donne mon accord, juste pour le principe, je sais que c’est plié dans sa tête. De retour de la danse, elle lui propose de boire un dernier verre à la maison. Il accepte avec entrain. Il doit bien se douter que Lise est excitée car ses mamelles sont gonflées dans son décolleté provoquant et ses tétons ont encore rallongés.
Sur le parking, elle trouve moyen de monter dans sa voiture, je passe devant avec la mienne, pour ouvrir la route. Au bout de 20 minutes, nous arrivons à la maison et nous entrons. J’aurais bien aimé savoir ce qu’ils se sont dits dans la voiture, ce qu’ils ont fait mais aucun des deux n’en parle.
On s’installe au salon, Claude reluque Lise, je le comprends. Il est indécis, plaisante maladroitement, je sais que Lise le rend dingue, elle le sait également, des petits regards qu’elle me lance montrent qu’elle n’a qu’une envie, jouir.
Je fais le service, j’offre un bon whisky. Lise s’excuse, nous disant que la danse lui a donné chaud, elle monte se débarbouiller. Je connais déjà ce que sera la suite.
Adroitement j’oriente la conversation sur Lise, raconte que c’est une femme plutôt libre, qui sait ce qu’elle veut, etc, etc ….. Claude est subjugué, intéressé évidemment.
Au bout d’un moment elle réapparaît, changée, ça oui. Elle a troqué sa robe bleue, déjà bien provocante, contre une nuisette qui ne cache plus grand chose. On aperçoit ses beaux et gros seins à travers le tissu vaporeux, Ses nichons sont de grosses poires, avec des aréoles brunes et larges qui sont visibles et bien sûr des tétons qui dressent. Elle a gardé ses bas résille blancs, ses escarpins, sa petite culotte blanche. L’allusion est claire, Claude pose son verre, scotché, il me regarde, j’écarte les bras avec un grand sourire. « Je t’avais dit, elle sait ce qu’elle veut ».
Il semble avoir compris, alors avec l’alcool aidant, l’ambiance se détend d’un seul coup, Lise nous met une belle musique, elle passe près de l’interrupteur, éteint le lustre du plafond et avec la seule lumière tamisée des appliques murales, elle invite Claude à danser. Elle se serre contre lui, il répond à ses sollicitations, ses mains s’égarent sur le dos, sur les fesses de Lise. Elle me scrute, souriante, radieuse, elle est dans son élément.
Elle va s’asseoir, la musique s’arrête avant le morceau suivant. « Les garçons, je voudrais vous voir aussi à l’aise, mettez-vous nus, je ne cache plus grand chose, moi, je trouverais ça normal».
Je ne suis pas surpris, Claude un peu plus, il me regarde, je commence à me désaper. Convaincu il s’y met aussi, Lise, amusée, nous regarde faire, quelle garce, elle a bien joué son coup, elle y arrive toujours. Nous voilà nus, moi comme d’habitude, bite dressée, j’attends. Claude est bien bâti, un corps encore musclé, il est poilu comme moi, ça va plaire à Lise. Sa queue aussi va être à son goût, elle est épaisse, bien veinée, un gland bien rond, luisant. De belles couilles pendent entre ses cuisses. C’est tendu, chaud, on attend.
C’est Lise qui prend la parole. « Mon chéri, toi tu vas chercher ta cage dans la chambre. Laisse-nous un peu, je voudrais faire connaissance avec Claude, juste avec lui. »Purée, je ne l’attendais pas celle-là mais docile je m’exécute, monte l’escalier et vais chercher ma cage de chasteté. A l’étage, je patiente un peu, elle m’a dit qu’elle voulait être un peu seule.
Quand je reviens, je découvre Lise sans sa nuisette mais elle a gardé ses bas et ses escarpins. Elle est assise, collée à Claude qui a passé un bras dans son dos et lui triture un téton.
Je me présente devant eux, elle me met l’anneau de la cage, ça serre. Mais pour la cage elle même c’est un autre problème, je bande fort, rien à faire. Lise s’agace, elle pousse, tourne, en désespoir de cause elle m’envoie deux claques sur ma bite, toujours pareil, elle veut me faire débander.
« Je vais te la gifler jusqu’à ce que tu débandes, pense à autre chose, nom d’une pipe ! ».
Là encore elle joue, je sais qu’elle s’amuse, je joue le jeu même si ça fait un peu mal, mais ça aussi j’aime bien. Elle me saisit les testicules, les serre, les tire vers le bas, et m’envoie des aller retour sur ma queue gonflée, je me trémousse dans tous les sens. Sous le traitement je débande enfin, la cage est ajustée par les mains expertes de Lise. Elle met le cadenas, clac, et la clé autour du cou, entre ses jolis seins bien gonflés. J’ai droit à un baiser.
Claude a les yeux écarquillés, il n’a jamais dû voir cela. Il demande quand même comment nous fonctionnons. Lise explique que je suis son amant, mais aussi son cocu et soumis, qu’elle adore passer du bon temps avec d’autres hommes en ma présence. Voilà c’est dit, tout est clair. Paradoxalement Claude semble soulagé, il met son autre bras autour d’elle et lui pose des petits baisers dans son cou avant de l’embrasser à pleine bouche.
Je vais m’installer discrètement dans le fauteuil en face, en bon voyeur.
Lise caresse Claude, ses doigts cherchent ses tétons qu’elle entreprend de lui pincer. Claude lui palpe les mamelles, elle gémit de contentement.
« Vas-y, ne te gêne pas, montre au cocu comment on fait ».
Le petit jeu a pris, je sais qu’elle aime me chambrer, ça m’excite, je bande dans la cage, ça serre fort, ça tire sur mes couilles, c’est le but. La main de Claude a disparu dans sa culotte, elle ouvre largement les cuisses, il lui entreprend la chatte, doucement d’abord puis plus vite, plus fort, elle s’abandonne, tend son bassin, se laisse masturber.
« Oh, oui, je viens, continue, mets les trois doigts »Il ne se fait pas prier et branle la belle femelle offerte, il la doigte rapidement, toujours dans sa culotte. Lise connaît un premier orgasme, elle crie de plaisir, reprend son souffle, il entreprend de lui enlever sa nuisette et sa culotte, elle garde ses bas, elle est belle sa chatte est trempée.
Elle s’agenouille sur le tapis, entre les jambes de Claude. Ses doigts saisissent la hampe dressée, caressent, branlent. Sa bouche vient envelopper le gland, sa langue court sur la queue de notre invité ; il ferme les yeux, se laisse faire. Lise suce, lèche cette nouvelle queue, elle palpe les couilles ; en bon voyeur je n’en rate pas une miette, je m’approche même pour mieux voir.
« Viens me lécher, mon petit cocu », c’est Lise, entre deux coups de langue, qui m’invite. Je réagis vite, heureux, et me couche, la tête entre ses cuisses, sa chatte humide vient se poser sur ma bouche. Je gobe avidement les lèvres gonflées de sa vulve et je la suce, elle appuie son sexe contre ma tête, elle en veut la coquine. Je la lèche comme elle aime. Au-dessus, je sens la bouche de Lise s’activer sur Claude : « Oh oui, comme ça, continue, suce moi bien, mmmm, c’est bon ».
Je vais exploser ma cage, tellement je bande. Lise se frotte sur moi avec de grands mouvements de son bassin, son sexe est grand ouvert les lèvres roses sont écartées, je plonge ma langue aussi profond que je peux. Elle me baise la bouche, ma salope !
Elle lâche la bite de Claude, il l’invite à se mettre dans le fauteuil, les jambes ouvertes, posées sur les accoudoirs. La position est changée, je me suis éloigné. Il la pénètre ainsi, debout, fléchi à la bonne hauteur. Il la baise lentement, des mouvements amples de son bassin la pénètrent toujours et encore. Elle apprécie énormément et le fait savoir à Claude.
« Oui, c’est ça, prends-moi, c’est bon, continue ». Il accélère et la ramone pendant un bon moment. Je sais que Lise adore se faire prendre vigoureusement, elle est servie.
Je ne peux plus attendre, je me relève et vais me coucher sous les baiseurs, au pied du fauteuil, sur le dos pour ne rien rater du spectacle.
« Tu vois bien comme il me baise, hein, c’est bon ça le cocu », le reste est crié, l’orgasme la transperce, elle jouit, elle est belle, elle grimace de plaisir, elle est secouée de plusieurs spasmes.
Claude se retire, elle s’agenouille sur mon visage. « Lèche ! », j’obéis avec empressement et je bois le plaisir qui s’écoule de sa chatte, elle ondule au-dessus de moi, elle a repris dans sa bouche le sexe que Claude lui présente, elle suce, pompe avidement cette tige. Et c’est à son tour de jouir, il explose, éjacule contre son visage, sa poitrine tendue, des gouttes me tombent dessus. La quantité de sperme qui est sortie est impressionnante. Il va s’écrouler dans un fauteuil, Lise se relève, je suis allongé devant eux.
- Alors ça te plaît mon cocu voyeur, tu as vu comme il m’a bien baisée ? »- Oui, c’était formidable, je reconnais que Claude est un bon amant- Cela c’est bien vrai et tu as vu sa quantité de sperme !
Je me sens gêné, je me relève, Lise me demande de servir un rafraîchissement.
Lise propose à Claude de monter avec elle dans la chambre, je suis un peu vexé quand même, je vais faire quoi, tout seul avec ma queue prisonnière. Elle voit mon air déçu et triste.
« Mais non, mon petit cocu, tu viens aussi, je vais même t’ôter la cage, mais il faudra que tu te montres à la hauteur ».
Oh, la garce !
Nous allons dans la chambre, elle ouvre le grand lit et s’assied dessus. Je m’approche, elle ouvre le cadenas, ma queue est libre. Elle se tend, enfin libre, elle s’allonge et durcit. Je suis fier. Claude, debout à côté se caresse sa bite, nous bandons bien tous les deux. Je reconnais que la sienne est plus longue et surtout plus épaisse. Je trouve la mienne plus dure ! Lise en profite, elle prend une verge dans chaque main, nous restons debout devant elle. Elle nous caresse un moment puis elle me prend en bouche, dieu que c’est bon, ses lèvres sont douces, sa langue chaude s’enroule autour de mon gland. Elle me suce un bon moment, son regard coquin s’égare dans mes yeux, elle est formidable. Elle masturbe sans arrêt Claude qui lui offre son sexe sans retenue.
Elle change, suce l’autre et me branle. Elle tente de mettre les deux glands dans sa bouche, on pousse un peu, elle y arrive, sa bouche est toute étirée, elle aime je sais. Elle nous donne un plaisir immense avec sa langue, nous respirons fort, elle s’allonge sur le lit, écarte ses cuisses et se caresse devant nous, une lueur de défi dans ses yeux. D’une main elle pince un de ses tétons et de l’autre main elle glisse le long de sa fente.
Claude s’allonge à côté, prend le relais et lui caresse la chatte, il s’occupe surtout de son clitoris. Je me mets de l’autre côté, moi je suce ses beaux seins, les tétons durcis par le plaisir.
« Baisez moi, prenez moi, je suis votre salope ! »Je m’écarte, Claude vient se mettre sur elle, entre ses jambes. Elle se saisit de sa hampe et se la fourre d’un seul coup dans la chatte, impatiente. Il la pénètre, se colle sur elle, passe la main derrière ses fesses et la prend, comme elle aime. Il la pilonne bien à fond, sans faillir, son souffle s’accélère, Lise gémit, elle me prend la main, elle l’agrippe. Je suis couché à côté, je lui remonte bien la jambe pour faciliter la pénétration. Claude la baise bien profond, elle crie : « Oh non, non, mon dieu, encore. Continue, arrête, c’est trop bon, je n’en peux plus ». Des orgasmes puissants la secouent, je la regarde jouir, comblée.
Claude se retire, me laisse la place, je fais comme lui, je prends Lise, en missionnaire. Elle mouille tellement que j’ai l’impression de me perdre en elle, c’est chaud, c’est trempé, c’est bon. Je passe mes bras dans son dos, la serre contre moi, elle remonte ses cuisses au maximum et je baise ma déesse, sans retenue. Elle m’a fait languir longtemps, je vais la défoncer, elle apprécie d’être prise bien fort. Elle m’encourage :« Vas y, baise moi fort, profite, mon cocu, ma chatte est bien ouverte, enfonce toi en elle », elle sait que ça m’excite. Je redouble d’ardeur, ma queue tape au fond, ses jambes se nouent derrière mon dos. Ma bouche cherche la sienne, nos langues se mêlent, j’éjacule au fond de sa chatte en criant mon bonheur. Je reste longtemps sur elle, on se regarde, Claude se fait discret, sympa de sa part.
Je me mets sur le dos, Lise s’agenouille sur moi, à quatre pattes, devant mes yeux ses mamelles pendent. Elle invite Claude à se faire plaisir.
« Prends moi comme tu veux, fais toi plaisir et remplis-moi». Il s’installe derrière elle et la prend en levrette, elle est collée contre moi, ses yeux dans les miens, je la serre contre mon corps tout le temps que son amant la défonce. A ses va et vient s’ajoutent des bruits de « glou glou », il est vrai que son vagin est rempli par mon sperme. Il la tient par les hanches. Elle se refait un, deux orgasmes, Claude sent l’éjaculation proche il sort et décharge sur son dos, son cul. « Oh, putain, c’est bon, la vache ».
Lise demande grâce, elle a son compte comme elle dit. Nous prenons une douche, à tour de rôle, je monte les verres dans la chambre. Claude nous questionne encore un peu sur notre couple, il est curieux le bougre. On lui raconte le plaisir que nous prenons, tous les deux, avec cette dôle de relation, comme il dit. Lise nous invite à passer la nuit avec elle, le lit est grand.
Elle se fera encore bien baiser, une partie de la nuit. Nous la prenons cette fois-ci en double, au petit matin, Claude en-dessous et moi lui défonçant son joli cul. Une expérience à renouveler. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Alors, après le petit-déjeuner bien mérité, Claude nous quitte, à regret.
Après son départ, Lise se jette dans mes bras, je la serre contre moi.
Nul besoin de parler, les regards échangés sont éloquents. Nous sommes heureux, comblés, prêts à de nouvelles expériences.
De simple maîtresse, Lise est devenue une libertine dominatrice, elle a fait de moi son cocu, son soumis, lors de nos escapades sexuelles.
Nous sommes évidemment toujours amoureux, cette situation nous convient très bien, je dirais même que nos sentiments réciproques se sont affermis.
Lorsqu’elle en a envie, Lise peut s’offrir l’homme, les hommes qu’elle désire, avec mon accord complet, je l’aide même très souvent à concrétiser ses choix, en parfait complice.
Ce soir, je l’emmène dîner tout d’abord, un repas léger avant d’aller danser.
Nous voilà à pied d’œuvre. C’est un endroit charmant, un peu loin de chez nous, c’est la première fois que nous venons. L’ambiance est chaleureuse, il y a beaucoup de monde, surtout des couples mais aussi des hommes seuls accoudés au grand bar. La moyenne d’âge est assez élevée et l’orchestre est plutôt bon.
Il faut dire que Lise fait sensation dans sa robe longue bleue qui a un décolleté profond. Elle a poussé le vice jusqu’à ne pas mettre de soutien gorge, laissant déborder sa paire de gros et magnifiques seins. La robe ne cache pas grand chose, ça ballotte à chacun de ses pas. Nous savons tous les deux que c’est calculé, elle aime aguicher et moi j’adore le regard des hommes posés sur elle. D’ailleurs les yeux envieux ne manquent pas.
Nous nous installons dans un coin du dancing, sur une banquette confortable, derrière une table basse. Quand Lise croise ses jambes, ses escarpins et ses mollets, gainés de soie, sont bien apparents. Nous bavardons un peu. Lise aimerait boire un verre, le serveur se fait attendre. Je vais donc au bar chercher deux coupes, c’est un peu loin de notre table, il y a du monde, j’attends d’être servi et de loin j’admire la beauté de ma Lise qui attend que je revienne. Sa robe met vraiment ses formes de femme mûre en évidence et je ne peux que regarder avec envie sa poitrine provoquante. Son décolleté est vraiment très osé.
L’orchestre entame un slow langoureux, comme on aime tous les deux. Qu’est ce que je fais, je retourne danser ou j’attends mon tour ? C’est à mon tour, je commande mes deux coupes, je les prends et je repars vers la table. Lise n’y est plus ! Je la vois se diriger vers la piste aux bras d’un bel inconnu. Je ne le vois pas très bien, il est grand, des cheveux mi longs, un sportif ça se voit.
Lise se retourne, me jette un vague regard et la voilà qui entame sa danse aux bras de ce mec. Je devrais être jaloux, faire la gueule un peu, mais non, je suis heureux pour elle, elle le sait, c’est très bien ainsi. Elle aime danser et je sais qu’elle apprécie aussi d’être dans les bras d’un mâle.
Une, deux, trois danses puis ils reviennent vers la table, elle semble ravie, elle est souriante. Je vois mieux le bonhomme, la cinquantaine je pense, cheveux poivre et sel, un beau gars, Lise a toujours bon goût.
- Je vous présente Renaud, un ami avec qui je suis venue danser, ce soir.
- Bonsoir Monsieur, je puis vous dire que Madame est une excellente cavalière.
- C’est vrai, j’aime danser mais vous êtes aussi un très bon danseur, Claude.
- Avec une femme si charmante on ne peut qu’être appliqué et … prévenant.
Et bien ma coquine, je sens que quelque chose est en route me dis-je. Elle invite ce Claude à s’asseoir à notre table, si ça ne me dérange pas, bien sûr. Mais non, voyons.
Il est élégant dans son pantalon noir, des chaussures brunes de marque, une belle chemise blanche, ouverte au col qui laisse entrevoir sa poitrine légèrement velue. Il est bien bronzé également.
Une valse lente, elle voudrait danser avec moi. J’accepte avec empressement, nous laissons l’inconnu assis et nous rejoignons la piste de danse. Je la serre contre moi, un, deux, trois, on ne dit rien, elle me fixe, souriante, je connais ce regard.
- Il te plaît le coco ?
- Absolument, je le sens bien, tu en penses quoi ?
- Comment tu vois la chose, tu as vraiment envie ?
- Oui, me souffle-t-elle dans l’oreille, lui, toi, nous trois, j’aimerais beaucoup, ce soir, chez moi.
- Laissons faire les choses, je ne suis pas contre mais peut-être ne voudra-t-il pas ?
Au moins avec Lise c’est toujours direct, j’apprécie, j’ai horreur comme elle de l’hypocrisie qui pourrit la vie et génère des frustrations. Elle m’embrasse, la série est terminée, nous retournons nous asseoir, je la sens bien émoustillée, d’ailleurs je remarque que les tétons ont gonflé sous le tissu. Comme elle ne porte pas de soutien-gorge, ils pointent à travers le tissu moulant de la robe. Je crois que les yeux de notre ami vont lui sortir de la tête. Il commande, paye une nouvelle tournée.
Une série de tangos est annoncée. Sans un regard vers moi, Lise lui prend la main et l’entraîne sur la piste. Je reste assis bien sagement à m’exciter en les regardant, en imaginant la suite de la soirée.
Je les vois bavarder, rire, le courant passe. Il lui frôle le dos avec sa main, ses seins se pressent contre lui, moi je bande, assis à ma table.
Je me réserve la prochaine série avec Lise, on bavarde, je demande des précisions à Lise. Claude nous observe depuis la table.
« Il me plaît vraiment, j’aimerais que nous l’invitions tu serais d’accord ? », Lise semble déterminée, j’ai vachement envie aussi. Je lui donne mon accord, juste pour le principe, je sais que c’est plié dans sa tête. De retour de la danse, elle lui propose de boire un dernier verre à la maison. Il accepte avec entrain. Il doit bien se douter que Lise est excitée car ses mamelles sont gonflées dans son décolleté provoquant et ses tétons ont encore rallongés.
Sur le parking, elle trouve moyen de monter dans sa voiture, je passe devant avec la mienne, pour ouvrir la route. Au bout de 20 minutes, nous arrivons à la maison et nous entrons. J’aurais bien aimé savoir ce qu’ils se sont dits dans la voiture, ce qu’ils ont fait mais aucun des deux n’en parle.
On s’installe au salon, Claude reluque Lise, je le comprends. Il est indécis, plaisante maladroitement, je sais que Lise le rend dingue, elle le sait également, des petits regards qu’elle me lance montrent qu’elle n’a qu’une envie, jouir.
Je fais le service, j’offre un bon whisky. Lise s’excuse, nous disant que la danse lui a donné chaud, elle monte se débarbouiller. Je connais déjà ce que sera la suite.
Adroitement j’oriente la conversation sur Lise, raconte que c’est une femme plutôt libre, qui sait ce qu’elle veut, etc, etc ….. Claude est subjugué, intéressé évidemment.
Au bout d’un moment elle réapparaît, changée, ça oui. Elle a troqué sa robe bleue, déjà bien provocante, contre une nuisette qui ne cache plus grand chose. On aperçoit ses beaux et gros seins à travers le tissu vaporeux, Ses nichons sont de grosses poires, avec des aréoles brunes et larges qui sont visibles et bien sûr des tétons qui dressent. Elle a gardé ses bas résille blancs, ses escarpins, sa petite culotte blanche. L’allusion est claire, Claude pose son verre, scotché, il me regarde, j’écarte les bras avec un grand sourire. « Je t’avais dit, elle sait ce qu’elle veut ».
Il semble avoir compris, alors avec l’alcool aidant, l’ambiance se détend d’un seul coup, Lise nous met une belle musique, elle passe près de l’interrupteur, éteint le lustre du plafond et avec la seule lumière tamisée des appliques murales, elle invite Claude à danser. Elle se serre contre lui, il répond à ses sollicitations, ses mains s’égarent sur le dos, sur les fesses de Lise. Elle me scrute, souriante, radieuse, elle est dans son élément.
Elle va s’asseoir, la musique s’arrête avant le morceau suivant. « Les garçons, je voudrais vous voir aussi à l’aise, mettez-vous nus, je ne cache plus grand chose, moi, je trouverais ça normal».
Je ne suis pas surpris, Claude un peu plus, il me regarde, je commence à me désaper. Convaincu il s’y met aussi, Lise, amusée, nous regarde faire, quelle garce, elle a bien joué son coup, elle y arrive toujours. Nous voilà nus, moi comme d’habitude, bite dressée, j’attends. Claude est bien bâti, un corps encore musclé, il est poilu comme moi, ça va plaire à Lise. Sa queue aussi va être à son goût, elle est épaisse, bien veinée, un gland bien rond, luisant. De belles couilles pendent entre ses cuisses. C’est tendu, chaud, on attend.
C’est Lise qui prend la parole. « Mon chéri, toi tu vas chercher ta cage dans la chambre. Laisse-nous un peu, je voudrais faire connaissance avec Claude, juste avec lui. »Purée, je ne l’attendais pas celle-là mais docile je m’exécute, monte l’escalier et vais chercher ma cage de chasteté. A l’étage, je patiente un peu, elle m’a dit qu’elle voulait être un peu seule.
Quand je reviens, je découvre Lise sans sa nuisette mais elle a gardé ses bas et ses escarpins. Elle est assise, collée à Claude qui a passé un bras dans son dos et lui triture un téton.
Je me présente devant eux, elle me met l’anneau de la cage, ça serre. Mais pour la cage elle même c’est un autre problème, je bande fort, rien à faire. Lise s’agace, elle pousse, tourne, en désespoir de cause elle m’envoie deux claques sur ma bite, toujours pareil, elle veut me faire débander.
« Je vais te la gifler jusqu’à ce que tu débandes, pense à autre chose, nom d’une pipe ! ».
Là encore elle joue, je sais qu’elle s’amuse, je joue le jeu même si ça fait un peu mal, mais ça aussi j’aime bien. Elle me saisit les testicules, les serre, les tire vers le bas, et m’envoie des aller retour sur ma queue gonflée, je me trémousse dans tous les sens. Sous le traitement je débande enfin, la cage est ajustée par les mains expertes de Lise. Elle met le cadenas, clac, et la clé autour du cou, entre ses jolis seins bien gonflés. J’ai droit à un baiser.
Claude a les yeux écarquillés, il n’a jamais dû voir cela. Il demande quand même comment nous fonctionnons. Lise explique que je suis son amant, mais aussi son cocu et soumis, qu’elle adore passer du bon temps avec d’autres hommes en ma présence. Voilà c’est dit, tout est clair. Paradoxalement Claude semble soulagé, il met son autre bras autour d’elle et lui pose des petits baisers dans son cou avant de l’embrasser à pleine bouche.
Je vais m’installer discrètement dans le fauteuil en face, en bon voyeur.
Lise caresse Claude, ses doigts cherchent ses tétons qu’elle entreprend de lui pincer. Claude lui palpe les mamelles, elle gémit de contentement.
« Vas-y, ne te gêne pas, montre au cocu comment on fait ».
Le petit jeu a pris, je sais qu’elle aime me chambrer, ça m’excite, je bande dans la cage, ça serre fort, ça tire sur mes couilles, c’est le but. La main de Claude a disparu dans sa culotte, elle ouvre largement les cuisses, il lui entreprend la chatte, doucement d’abord puis plus vite, plus fort, elle s’abandonne, tend son bassin, se laisse masturber.
« Oh, oui, je viens, continue, mets les trois doigts »Il ne se fait pas prier et branle la belle femelle offerte, il la doigte rapidement, toujours dans sa culotte. Lise connaît un premier orgasme, elle crie de plaisir, reprend son souffle, il entreprend de lui enlever sa nuisette et sa culotte, elle garde ses bas, elle est belle sa chatte est trempée.
Elle s’agenouille sur le tapis, entre les jambes de Claude. Ses doigts saisissent la hampe dressée, caressent, branlent. Sa bouche vient envelopper le gland, sa langue court sur la queue de notre invité ; il ferme les yeux, se laisse faire. Lise suce, lèche cette nouvelle queue, elle palpe les couilles ; en bon voyeur je n’en rate pas une miette, je m’approche même pour mieux voir.
« Viens me lécher, mon petit cocu », c’est Lise, entre deux coups de langue, qui m’invite. Je réagis vite, heureux, et me couche, la tête entre ses cuisses, sa chatte humide vient se poser sur ma bouche. Je gobe avidement les lèvres gonflées de sa vulve et je la suce, elle appuie son sexe contre ma tête, elle en veut la coquine. Je la lèche comme elle aime. Au-dessus, je sens la bouche de Lise s’activer sur Claude : « Oh oui, comme ça, continue, suce moi bien, mmmm, c’est bon ».
Je vais exploser ma cage, tellement je bande. Lise se frotte sur moi avec de grands mouvements de son bassin, son sexe est grand ouvert les lèvres roses sont écartées, je plonge ma langue aussi profond que je peux. Elle me baise la bouche, ma salope !
Elle lâche la bite de Claude, il l’invite à se mettre dans le fauteuil, les jambes ouvertes, posées sur les accoudoirs. La position est changée, je me suis éloigné. Il la pénètre ainsi, debout, fléchi à la bonne hauteur. Il la baise lentement, des mouvements amples de son bassin la pénètrent toujours et encore. Elle apprécie énormément et le fait savoir à Claude.
« Oui, c’est ça, prends-moi, c’est bon, continue ». Il accélère et la ramone pendant un bon moment. Je sais que Lise adore se faire prendre vigoureusement, elle est servie.
Je ne peux plus attendre, je me relève et vais me coucher sous les baiseurs, au pied du fauteuil, sur le dos pour ne rien rater du spectacle.
« Tu vois bien comme il me baise, hein, c’est bon ça le cocu », le reste est crié, l’orgasme la transperce, elle jouit, elle est belle, elle grimace de plaisir, elle est secouée de plusieurs spasmes.
Claude se retire, elle s’agenouille sur mon visage. « Lèche ! », j’obéis avec empressement et je bois le plaisir qui s’écoule de sa chatte, elle ondule au-dessus de moi, elle a repris dans sa bouche le sexe que Claude lui présente, elle suce, pompe avidement cette tige. Et c’est à son tour de jouir, il explose, éjacule contre son visage, sa poitrine tendue, des gouttes me tombent dessus. La quantité de sperme qui est sortie est impressionnante. Il va s’écrouler dans un fauteuil, Lise se relève, je suis allongé devant eux.
- Alors ça te plaît mon cocu voyeur, tu as vu comme il m’a bien baisée ? »- Oui, c’était formidable, je reconnais que Claude est un bon amant- Cela c’est bien vrai et tu as vu sa quantité de sperme !
Je me sens gêné, je me relève, Lise me demande de servir un rafraîchissement.
Lise propose à Claude de monter avec elle dans la chambre, je suis un peu vexé quand même, je vais faire quoi, tout seul avec ma queue prisonnière. Elle voit mon air déçu et triste.
« Mais non, mon petit cocu, tu viens aussi, je vais même t’ôter la cage, mais il faudra que tu te montres à la hauteur ».
Oh, la garce !
Nous allons dans la chambre, elle ouvre le grand lit et s’assied dessus. Je m’approche, elle ouvre le cadenas, ma queue est libre. Elle se tend, enfin libre, elle s’allonge et durcit. Je suis fier. Claude, debout à côté se caresse sa bite, nous bandons bien tous les deux. Je reconnais que la sienne est plus longue et surtout plus épaisse. Je trouve la mienne plus dure ! Lise en profite, elle prend une verge dans chaque main, nous restons debout devant elle. Elle nous caresse un moment puis elle me prend en bouche, dieu que c’est bon, ses lèvres sont douces, sa langue chaude s’enroule autour de mon gland. Elle me suce un bon moment, son regard coquin s’égare dans mes yeux, elle est formidable. Elle masturbe sans arrêt Claude qui lui offre son sexe sans retenue.
Elle change, suce l’autre et me branle. Elle tente de mettre les deux glands dans sa bouche, on pousse un peu, elle y arrive, sa bouche est toute étirée, elle aime je sais. Elle nous donne un plaisir immense avec sa langue, nous respirons fort, elle s’allonge sur le lit, écarte ses cuisses et se caresse devant nous, une lueur de défi dans ses yeux. D’une main elle pince un de ses tétons et de l’autre main elle glisse le long de sa fente.
Claude s’allonge à côté, prend le relais et lui caresse la chatte, il s’occupe surtout de son clitoris. Je me mets de l’autre côté, moi je suce ses beaux seins, les tétons durcis par le plaisir.
« Baisez moi, prenez moi, je suis votre salope ! »Je m’écarte, Claude vient se mettre sur elle, entre ses jambes. Elle se saisit de sa hampe et se la fourre d’un seul coup dans la chatte, impatiente. Il la pénètre, se colle sur elle, passe la main derrière ses fesses et la prend, comme elle aime. Il la pilonne bien à fond, sans faillir, son souffle s’accélère, Lise gémit, elle me prend la main, elle l’agrippe. Je suis couché à côté, je lui remonte bien la jambe pour faciliter la pénétration. Claude la baise bien profond, elle crie : « Oh non, non, mon dieu, encore. Continue, arrête, c’est trop bon, je n’en peux plus ». Des orgasmes puissants la secouent, je la regarde jouir, comblée.
Claude se retire, me laisse la place, je fais comme lui, je prends Lise, en missionnaire. Elle mouille tellement que j’ai l’impression de me perdre en elle, c’est chaud, c’est trempé, c’est bon. Je passe mes bras dans son dos, la serre contre moi, elle remonte ses cuisses au maximum et je baise ma déesse, sans retenue. Elle m’a fait languir longtemps, je vais la défoncer, elle apprécie d’être prise bien fort. Elle m’encourage :« Vas y, baise moi fort, profite, mon cocu, ma chatte est bien ouverte, enfonce toi en elle », elle sait que ça m’excite. Je redouble d’ardeur, ma queue tape au fond, ses jambes se nouent derrière mon dos. Ma bouche cherche la sienne, nos langues se mêlent, j’éjacule au fond de sa chatte en criant mon bonheur. Je reste longtemps sur elle, on se regarde, Claude se fait discret, sympa de sa part.
Je me mets sur le dos, Lise s’agenouille sur moi, à quatre pattes, devant mes yeux ses mamelles pendent. Elle invite Claude à se faire plaisir.
« Prends moi comme tu veux, fais toi plaisir et remplis-moi». Il s’installe derrière elle et la prend en levrette, elle est collée contre moi, ses yeux dans les miens, je la serre contre mon corps tout le temps que son amant la défonce. A ses va et vient s’ajoutent des bruits de « glou glou », il est vrai que son vagin est rempli par mon sperme. Il la tient par les hanches. Elle se refait un, deux orgasmes, Claude sent l’éjaculation proche il sort et décharge sur son dos, son cul. « Oh, putain, c’est bon, la vache ».
Lise demande grâce, elle a son compte comme elle dit. Nous prenons une douche, à tour de rôle, je monte les verres dans la chambre. Claude nous questionne encore un peu sur notre couple, il est curieux le bougre. On lui raconte le plaisir que nous prenons, tous les deux, avec cette dôle de relation, comme il dit. Lise nous invite à passer la nuit avec elle, le lit est grand.
Elle se fera encore bien baiser, une partie de la nuit. Nous la prenons cette fois-ci en double, au petit matin, Claude en-dessous et moi lui défonçant son joli cul. Une expérience à renouveler. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Alors, après le petit-déjeuner bien mérité, Claude nous quitte, à regret.
Après son départ, Lise se jette dans mes bras, je la serre contre moi.
Nul besoin de parler, les regards échangés sont éloquents. Nous sommes heureux, comblés, prêts à de nouvelles expériences.
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