Lise en club libertin
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 15 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de RenaudetLise ont reçu un total de 75 804 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 063 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Lise en club libertin
Lise en club libertin
Notre dernière aventure avec Lise fut un franc succès. Lise est devenue une libertine accomplie et moi je suis son complice, amant, cocu consentant, un peu soumis aussi. Nous adorons nos jeux et chacun s’y retrouve.
La dernière aventure de Lise a été avec un couple qui nous a soumis à ses perversités une bonne partie de la nuit, nous en avons gardé un excellent souvenir. Lise a pris, elle aussi, goût à la soumission et ne déteste pas switcher de temps en temps, passer de dominatrice à soumise.
Hier, elle m’a fait part de son désir d’explorer une nouvelle expérience en club libertin. Elle aimerait avoir quelques hommes pour elle toute seule, me dit-elle, un joli sourire aux lèvres. Comme d’habitude ça m’excite sur le champ et je contacte une de nos connaissances, avec qui nous avons déjà bien « joué ». C’est le patron d’un sex-shop dans lequel nous sommes déjà allés plusieurs fois. Il a déjà baisé Lise et sa femme m’a donné pas mal de plaisir aussi.
Evidemment qu’il peut nous organiser ça, aucun problème !
Nous convenons d’un rendez-vous peu de temps après, le club qu’il nous propose est tenu par un de ses amis et sa femme, on doit se rendre chez eux et ils nous emmèneront.
Le jour J, on se retrouve chez le couple propriétaire du sex-shop. Lise est en jolie robe, bleue, fendue, qui laisse voir ses belles jambes. Le décolleté est généreux, ses gros seins semblent vouloir sortir de leur abri à chacun de ses pas. Des bas résille noirs, des escarpins rouges complètent la tenue.
Le patron, toujours aussi élégant porte une veste noire sur une chemise blanche, un pantalon noir également. Sa femme est très désirable en jupe de cuir, ses seins, visibles, sont toujours aussi agressifs sous un chemisier blanc.
Moi je suis en jeans, mocassins, chemise, veston.
Le patron accueille Lise avec un gros baiser sur la bouche, ses mains s’égarent sur ses fesses, sa femme me caresse le torse en m’embrassant. Le ton est donné.
Nous montons dans leur voiture, Lise est devant à côté de Jim, le patron, moi je suis à l’arrière avec Béa, sa femme. Durant le trajet Jim caresse les jambes de Lise, Béa pose sa main sur ma cuisse, je fais de même, c’est agréable, une sensualité exacerbée se dégage tout doucement. Mais il est vrai que nous nous connaissons un peu.
Nous voilà arrivés, le club est un peu à l’écart, genre auberge, quelques voitures sont garées devant. Nous entrons et sommes accueillis par le gérant, un petit bonhomme joufflu, la quarantaine, jovial et très avenant.
« Voilà les petits nouveaux ! », dit-il en faisant la bise à Lise et il me serre la main, il semble sympa. Il nous entraîne rapidement vers les lieux des plaisirs. Dans le bâtiment nous découvrons un bar, quelques personnes sont là, en tenue légère, ça rigole, ça papote, les gens se connaissent, ou pas, mais nous sommes agréablement surpris de l’ambiance détendue qui y règne.
De la musique, une piste de danse, deux couples sont « en action » d’ailleurs. Une des danseuses est en train de déboutonner la chemise de son cavalier qui en profite pour glisser sa main dans l’échancrure de sa robe. Pour l’autre couple c’est plus précis, le cavalier entraîne sa cavalière vers un tabouret de bar, elle s’installe, il lui ouvre ses cuisses et il se met à genoux pour la lécher.
Nous ne pouvons pas nous éloigner de cette scène et restons comme des voyeurs. Deux autres couples s’approchent et commencent à caresser la dame. A côté de moi Lise est fascinée, elle me serre les doigts à me faire mal et me chuchote :« Si tu savais comme ça m’excite, je suis déjà toute mouillée ». Ca je m’en doutais, d’ailleurs je bande bien aussi, faut bien l’avouer.
Jim invite Lise à danser, Béa me prend la main et m’entraîne également, je me colle à elle, ses tétons dressés et bien durs pointent contre mon torse. « Mmmm, en forme, on dirait. » me glisse-t-elle, collant son bassin contre la bosse de mon pantalon.
Lise se fait masser les seins tout en dansant, les regards coquins qu’elle me lance sont éloquents. Je sens que ça va être une bonne soirée.
D’autres couples sont éparpillés dans des niches discrètes, tout autour de la salle, c’est envoûtant.
Jim prend Lise par la main et l’entraîne vers un couloir où ils disparaissent. Béa me retient et me rassure : « Laisse faire, tout va bien se passer, tu verras ». Elle glisse sa main le long de mon ventre et me caresse la verge tendue à travers mon pantalon, j’ai droit aussi à un baiser, sa langue fouille ma bouche, elle me rend dingue cette femme. J’aperçois deux, puis trois couples qui se lèvent pour emprunter le même couloir. Béa me regarde « Ils vont aller voir Lise, nous on reste encore un peu ici ». Je n’en reviens pas, je voudrais courir pour rejoindre Lise mais je n’ose pas.
Béa m’entraîne sur une banquette, m’ouvre le pantalon pour libérer ma queue bien dressée. Elle commence par me caresser doucement, ses beaux yeux dans les miens. « Laisse les faire, ils vont s’occuper de ta Lise, nous irons regarder tout à l’heure ». Et sa bouche vient sur mon gland bien gonflé, elle est douce, sa langue agace, tournoie autour de ce gland tuméfié, je ferme les yeux et j’imagine Lise, avec tous ces gens autour d’elle. Des gouttes commencent à perler de ma queue, je le sens. Béa arrête de me sucer et me serre bien fort ma bite. « Non, non, tout à l’heure. Retiens-toi. J’ai prévu des choses pour toi ».
Elle m’emmène vers le fond du couloir, je perçois des gémissements, des petits cris, je les reconnais, c’est Lise qui gémit !
Nous arrivons dans une pièce ronde, la lumière est tamisée.
Au centre une couche recouverte de cuir, ou simili, rouge, des sièges font le tour de la pièce mais tout le monde est debout, autour de Lise qui est allongée sur cette espèce de lit.
Elle est pratiquement nue, elle a écarté les bras, les jambes et s’offre sans retenue à toutes ces mains en train de la caresser, de la peloter.
« Viens t’asseoir et regarde comme ils vont bien la baiser » me dit ma cavalière d’un soir. Subjugué je m’exécute. Béa me met complètement à poil, me sourit et se déshabille également, elle se met à côté de moi, me masse la queue et m’invite à la caresser.
« On va se branler doucement l’un l’autre et regarder le spectacle, tu veux bien ? ».
Un peu que je veux, c’est tout simplement génial. Petit à petit les gens se déshabillent et retournent s’occuper de Lise. Un premier mec, trapu, poilu, lui offre sa bite. Sans hésiter Lise la prend en bouche et suce cet inconnu. Un deuxième, longiligne et bien musclé frotte son gland contre les seins de Lise, une femme serre ses deux mamelles et fait bien saillir les tétons pendant que deux mecs frappent leurs queues sur les seins dressés, sur les bouts tendus.
Jim caresse Lise entre les cuisses que les deux autres types lui ont bien relevées. Il la lèche maintenant, Lise commence à crier son plaisir.
Béa m’astique comme il faut, juste pour que je ne jouisse pas, je lui enfonce deux doigts dans la chatte, elle se trémousse, cela glisse bien, elle est trempée. « Salaud », me souffle-t-elle.
Sous la langue de Jim, Lise se cambre, je pense que le premier orgasme de la soirée la secoue, quel délice pour elle, mais quel plaisir visuel pour moi. Les trois types se relaient dans la bouche de Lise et lui enfoncent bien leur dard au fond de la gorge.
Les femmes du groupe se sont éloignées et laissent les hommes seuls s’occuper de ma garce de Lise. Jim se met à genoux entre les cuisses de Lise et s’enfonce en elle son visage se crispe, elle aime les grosses queues, je le sais. Il l’agrippe aux cuisses et commence à bien la baiser. Elle crie son bonheur, chaque coup de rein lui arrache un gémissement rauque.
Les trois femmes se sont approchées de nous, elles sont nues aussi, belles, désirables, en chaleur. Elles se mettent dans les sièges, près de nous et se caressent, attentives au spectacle.
Jim cède sa place et le mec trapu, velu à souhait vient empaler Lise. Jim va se faire sucer, il se met au-dessus de la bouche de Lise et lui enfonce sa bite au fond de la bouche, profond, sans arrêt, elle l’a déjà goûté et avait superbement bien joui entre ses mains.
L’autre gars la pilonne violemment, elle grogne, bien maintenue par les deux autres dont elle branle les queues.
Deux femmes se lèvent, me prennent par la main et m’entraînent sur un lit, à quelques mètres, un peu à l’écart. Elles me fixent bras et jambes écartés avec des lanières scratch prévues à cet effet. Je me laisse faire. Je ne suis plus libre de mes mouvements, je suis attaché.
Béa s’approche, me sourit. « Les hommes s’occupent de la femme, le cocu est à disposition des femelles ».
La première de ces dames grimpe sur le lit, se met au-dessus de moi et me donne sa chatte à lécher. Elle est blonde, grande, corpulente. Elle écarte ses grosses lèvres contre ma bouche, la chatte coule bien. Elle a une toison de poils blonds qui me chatouille les lèvres. Je lui donne ma langue et ma bouche. Les autres me caressent, me branlent, me pincent les tétons aussi, mais globalement c’est super bon.
J’entends hurler Lise : « Ouii, ouiii, prenez moi, baisez moi ». « La salope » me dis-je.
La femme au-dessus de moi écrase sa chatte sur mon visage, elle coule, elle s’agite, des claques atterrissent sur mon torse, ma bite, quelqu’un me tord les tétons.
La femme pousse un feulement de plaisir et me gicle dans la bouche.
« Avale, cochon ! », c’est Béa qui n’a rien perdu de la scène. La salope se dégage et laisse la place.
Je peux apercevoir Lise, le grand gaillard est en train de bien la baiser, elle suce le poilu.
Jim surveille, un peu à l’écart. Deux nouveaux sont autour de Lise, ils se branlent à toute vitesse contre ses seins. Le poilu lui baise ardemment sa bouche.
J’ai juste le temps de voir deux giclées de sperme partir sur les gros nichons tout gonflés de Lise que déjà une autre salope vient carrément s’asseoir sur mon visage et ma bouche.
C’est une petite nana, cul bien rond, des fesses superbes, des seins petits, dressés, de longs tétons noirs. J’ai sa chatte bien ouverte, elle est lisse avec des lèvres toutes fines. Elle se frotte sur la bouche, mon nez dans son cul. « Suce moi, fais moi jouir pendant qu’on baise ta salope » m’ordonne-t-elle.
J’ouvre ma bouche, j’aspire, je suce je lèche, je deviens dingue. J’entends crier Lise.
« Wouah, ils la prennent bien, elle se fait gicler dessus par tous les mecs du club », çà c’est Béa qui fait les commentaires à mon intention. La garce au-dessus de moi me baise comme il faut la bouche, je la lèche, je la suce, elle finit par venir. De nouveau, de puissants jets de mouille m’inondent bien. En se dégageant elle me met une belle petite claque « Tu es doué, ma parole », rigole-t-elle. Je me sens fier.
La couche sur laquelle se trouve Lise est entourée de mecs, six ou sept me semble-t-il, elle a de nouveau une bonne bite dans la chatte et se fait bien ramoner. Un grognement sourd s’échappe de sa bouche remplie par une belle tige bien rouge. Tous les autres gars se branlent furieusement autour d’elle et déchargent à tour de rôle sur son ventre plat, sur ses gros seins gonflés qui ballottent.
La troisième garce, une nana bien en chair vient se mettre sur moi, son gros cul vient s’écraser contre mon visage, elle m’étouffe carrément la vicieuse. Je me débats comme je peux, je suce, j’aspire une chatte poilue et luisante de mouille, elle est impitoyable et me jute dessus, rapidement, de grosses giclées bien chaudes. Ses poils sont trempés, mon visage aussi. Enfin elle se dégage, Béa à côté rigole en me voyant.
« Tu t’es bien débrouillé dis donc, t’es un champion, ta Lise aussi d’ailleurs ».
Je reprends mes esprits, la salle est quasi vide, ne restent que Lise, Béa, Jim et moi. Jim invite Lise à se mettre sur ma couche. Elle semble épuisée par ce qu’elle vient de vivre. Avec Béa ils la font s’allonger contre moi, sur moi. Elle est poisseuse du sperme de tous ces mâles qui l’ont arrosée. Béa me détache, je serre ma Lise tout contre moi, on se regarde, elle me caresse les joues, on s’embrasse tendrement. C’est irréel avec cette odeur tenace du plaisir des uns et des autres sur nous.
« Merci, merci mon chéri de tout ce plaisir que tu me permets d’avoir », me chuchote-t-elle au creux de l’oreille.
Je suis allongé sur elle, on s’embrasse encore puis elle me pousse de ses bras sur mes épaules pour me faire glisser vers le bas. Je descends, avec ma bouche et ma langue, je profite pour lécher ses deux tétons dressés, son nombril. J’arrive à son sexe, à ses lèvres lisses, chaudes. Elle écarte ses jambes, comme pour une invitation ! J’ai compris, oui je me sens prêt à lécher ce sexe féminin qui a connu tant de grosses queues. Je lèche, du sperme coule, je lèche, de la cyprine jaillit, je lèche, Lise pousse des cris, des cris de plaisir, de bonheur. Je la fais jouir. Après tous les hommes qui l’ont prise avant moi, c’est moi qui arrive à la mener au septième ciel. Peu à peu, elle se calme et on reste allongés, goûtant ce moment de quiétude à deux.
Béa et Jim se sont éclipsés, nous les retrouvons au bar, après une bonne douche bien chaude. Nous avons remis nos vêtements. Le patron du club nous adresse un clin d’œil, de loin, ses deux pouces levés à l’intention de Lise et de sa performance, je suppose.
Le reste de la soirée se passe tranquillement, Béa va batifoler un peu à droite et à gauche. Elle bavarde avec les uns, les autres qui ne peuvent enlever leur regard de la poitrine opulente de ma chérie, mise en évidence par son vêtement. Jim a rejoint son copain, nous deux restons spectateurs, la main dans la main.
Nous passerons la nuit chez nos deux hôtes, une nuit reposante et réparatrice. Lise fait une grasse matinée, bien méritée. Puis nous quittons nos amis, car ce sont des amis maintenant, en les remerciant bien fort de la magnifique expérience qu’ils nous ont fait vivre.
Notre dernière aventure avec Lise fut un franc succès. Lise est devenue une libertine accomplie et moi je suis son complice, amant, cocu consentant, un peu soumis aussi. Nous adorons nos jeux et chacun s’y retrouve.
La dernière aventure de Lise a été avec un couple qui nous a soumis à ses perversités une bonne partie de la nuit, nous en avons gardé un excellent souvenir. Lise a pris, elle aussi, goût à la soumission et ne déteste pas switcher de temps en temps, passer de dominatrice à soumise.
Hier, elle m’a fait part de son désir d’explorer une nouvelle expérience en club libertin. Elle aimerait avoir quelques hommes pour elle toute seule, me dit-elle, un joli sourire aux lèvres. Comme d’habitude ça m’excite sur le champ et je contacte une de nos connaissances, avec qui nous avons déjà bien « joué ». C’est le patron d’un sex-shop dans lequel nous sommes déjà allés plusieurs fois. Il a déjà baisé Lise et sa femme m’a donné pas mal de plaisir aussi.
Evidemment qu’il peut nous organiser ça, aucun problème !
Nous convenons d’un rendez-vous peu de temps après, le club qu’il nous propose est tenu par un de ses amis et sa femme, on doit se rendre chez eux et ils nous emmèneront.
Le jour J, on se retrouve chez le couple propriétaire du sex-shop. Lise est en jolie robe, bleue, fendue, qui laisse voir ses belles jambes. Le décolleté est généreux, ses gros seins semblent vouloir sortir de leur abri à chacun de ses pas. Des bas résille noirs, des escarpins rouges complètent la tenue.
Le patron, toujours aussi élégant porte une veste noire sur une chemise blanche, un pantalon noir également. Sa femme est très désirable en jupe de cuir, ses seins, visibles, sont toujours aussi agressifs sous un chemisier blanc.
Moi je suis en jeans, mocassins, chemise, veston.
Le patron accueille Lise avec un gros baiser sur la bouche, ses mains s’égarent sur ses fesses, sa femme me caresse le torse en m’embrassant. Le ton est donné.
Nous montons dans leur voiture, Lise est devant à côté de Jim, le patron, moi je suis à l’arrière avec Béa, sa femme. Durant le trajet Jim caresse les jambes de Lise, Béa pose sa main sur ma cuisse, je fais de même, c’est agréable, une sensualité exacerbée se dégage tout doucement. Mais il est vrai que nous nous connaissons un peu.
Nous voilà arrivés, le club est un peu à l’écart, genre auberge, quelques voitures sont garées devant. Nous entrons et sommes accueillis par le gérant, un petit bonhomme joufflu, la quarantaine, jovial et très avenant.
« Voilà les petits nouveaux ! », dit-il en faisant la bise à Lise et il me serre la main, il semble sympa. Il nous entraîne rapidement vers les lieux des plaisirs. Dans le bâtiment nous découvrons un bar, quelques personnes sont là, en tenue légère, ça rigole, ça papote, les gens se connaissent, ou pas, mais nous sommes agréablement surpris de l’ambiance détendue qui y règne.
De la musique, une piste de danse, deux couples sont « en action » d’ailleurs. Une des danseuses est en train de déboutonner la chemise de son cavalier qui en profite pour glisser sa main dans l’échancrure de sa robe. Pour l’autre couple c’est plus précis, le cavalier entraîne sa cavalière vers un tabouret de bar, elle s’installe, il lui ouvre ses cuisses et il se met à genoux pour la lécher.
Nous ne pouvons pas nous éloigner de cette scène et restons comme des voyeurs. Deux autres couples s’approchent et commencent à caresser la dame. A côté de moi Lise est fascinée, elle me serre les doigts à me faire mal et me chuchote :« Si tu savais comme ça m’excite, je suis déjà toute mouillée ». Ca je m’en doutais, d’ailleurs je bande bien aussi, faut bien l’avouer.
Jim invite Lise à danser, Béa me prend la main et m’entraîne également, je me colle à elle, ses tétons dressés et bien durs pointent contre mon torse. « Mmmm, en forme, on dirait. » me glisse-t-elle, collant son bassin contre la bosse de mon pantalon.
Lise se fait masser les seins tout en dansant, les regards coquins qu’elle me lance sont éloquents. Je sens que ça va être une bonne soirée.
D’autres couples sont éparpillés dans des niches discrètes, tout autour de la salle, c’est envoûtant.
Jim prend Lise par la main et l’entraîne vers un couloir où ils disparaissent. Béa me retient et me rassure : « Laisse faire, tout va bien se passer, tu verras ». Elle glisse sa main le long de mon ventre et me caresse la verge tendue à travers mon pantalon, j’ai droit aussi à un baiser, sa langue fouille ma bouche, elle me rend dingue cette femme. J’aperçois deux, puis trois couples qui se lèvent pour emprunter le même couloir. Béa me regarde « Ils vont aller voir Lise, nous on reste encore un peu ici ». Je n’en reviens pas, je voudrais courir pour rejoindre Lise mais je n’ose pas.
Béa m’entraîne sur une banquette, m’ouvre le pantalon pour libérer ma queue bien dressée. Elle commence par me caresser doucement, ses beaux yeux dans les miens. « Laisse les faire, ils vont s’occuper de ta Lise, nous irons regarder tout à l’heure ». Et sa bouche vient sur mon gland bien gonflé, elle est douce, sa langue agace, tournoie autour de ce gland tuméfié, je ferme les yeux et j’imagine Lise, avec tous ces gens autour d’elle. Des gouttes commencent à perler de ma queue, je le sens. Béa arrête de me sucer et me serre bien fort ma bite. « Non, non, tout à l’heure. Retiens-toi. J’ai prévu des choses pour toi ».
Elle m’emmène vers le fond du couloir, je perçois des gémissements, des petits cris, je les reconnais, c’est Lise qui gémit !
Nous arrivons dans une pièce ronde, la lumière est tamisée.
Au centre une couche recouverte de cuir, ou simili, rouge, des sièges font le tour de la pièce mais tout le monde est debout, autour de Lise qui est allongée sur cette espèce de lit.
Elle est pratiquement nue, elle a écarté les bras, les jambes et s’offre sans retenue à toutes ces mains en train de la caresser, de la peloter.
« Viens t’asseoir et regarde comme ils vont bien la baiser » me dit ma cavalière d’un soir. Subjugué je m’exécute. Béa me met complètement à poil, me sourit et se déshabille également, elle se met à côté de moi, me masse la queue et m’invite à la caresser.
« On va se branler doucement l’un l’autre et regarder le spectacle, tu veux bien ? ».
Un peu que je veux, c’est tout simplement génial. Petit à petit les gens se déshabillent et retournent s’occuper de Lise. Un premier mec, trapu, poilu, lui offre sa bite. Sans hésiter Lise la prend en bouche et suce cet inconnu. Un deuxième, longiligne et bien musclé frotte son gland contre les seins de Lise, une femme serre ses deux mamelles et fait bien saillir les tétons pendant que deux mecs frappent leurs queues sur les seins dressés, sur les bouts tendus.
Jim caresse Lise entre les cuisses que les deux autres types lui ont bien relevées. Il la lèche maintenant, Lise commence à crier son plaisir.
Béa m’astique comme il faut, juste pour que je ne jouisse pas, je lui enfonce deux doigts dans la chatte, elle se trémousse, cela glisse bien, elle est trempée. « Salaud », me souffle-t-elle.
Sous la langue de Jim, Lise se cambre, je pense que le premier orgasme de la soirée la secoue, quel délice pour elle, mais quel plaisir visuel pour moi. Les trois types se relaient dans la bouche de Lise et lui enfoncent bien leur dard au fond de la gorge.
Les femmes du groupe se sont éloignées et laissent les hommes seuls s’occuper de ma garce de Lise. Jim se met à genoux entre les cuisses de Lise et s’enfonce en elle son visage se crispe, elle aime les grosses queues, je le sais. Il l’agrippe aux cuisses et commence à bien la baiser. Elle crie son bonheur, chaque coup de rein lui arrache un gémissement rauque.
Les trois femmes se sont approchées de nous, elles sont nues aussi, belles, désirables, en chaleur. Elles se mettent dans les sièges, près de nous et se caressent, attentives au spectacle.
Jim cède sa place et le mec trapu, velu à souhait vient empaler Lise. Jim va se faire sucer, il se met au-dessus de la bouche de Lise et lui enfonce sa bite au fond de la bouche, profond, sans arrêt, elle l’a déjà goûté et avait superbement bien joui entre ses mains.
L’autre gars la pilonne violemment, elle grogne, bien maintenue par les deux autres dont elle branle les queues.
Deux femmes se lèvent, me prennent par la main et m’entraînent sur un lit, à quelques mètres, un peu à l’écart. Elles me fixent bras et jambes écartés avec des lanières scratch prévues à cet effet. Je me laisse faire. Je ne suis plus libre de mes mouvements, je suis attaché.
Béa s’approche, me sourit. « Les hommes s’occupent de la femme, le cocu est à disposition des femelles ».
La première de ces dames grimpe sur le lit, se met au-dessus de moi et me donne sa chatte à lécher. Elle est blonde, grande, corpulente. Elle écarte ses grosses lèvres contre ma bouche, la chatte coule bien. Elle a une toison de poils blonds qui me chatouille les lèvres. Je lui donne ma langue et ma bouche. Les autres me caressent, me branlent, me pincent les tétons aussi, mais globalement c’est super bon.
J’entends hurler Lise : « Ouii, ouiii, prenez moi, baisez moi ». « La salope » me dis-je.
La femme au-dessus de moi écrase sa chatte sur mon visage, elle coule, elle s’agite, des claques atterrissent sur mon torse, ma bite, quelqu’un me tord les tétons.
La femme pousse un feulement de plaisir et me gicle dans la bouche.
« Avale, cochon ! », c’est Béa qui n’a rien perdu de la scène. La salope se dégage et laisse la place.
Je peux apercevoir Lise, le grand gaillard est en train de bien la baiser, elle suce le poilu.
Jim surveille, un peu à l’écart. Deux nouveaux sont autour de Lise, ils se branlent à toute vitesse contre ses seins. Le poilu lui baise ardemment sa bouche.
J’ai juste le temps de voir deux giclées de sperme partir sur les gros nichons tout gonflés de Lise que déjà une autre salope vient carrément s’asseoir sur mon visage et ma bouche.
C’est une petite nana, cul bien rond, des fesses superbes, des seins petits, dressés, de longs tétons noirs. J’ai sa chatte bien ouverte, elle est lisse avec des lèvres toutes fines. Elle se frotte sur la bouche, mon nez dans son cul. « Suce moi, fais moi jouir pendant qu’on baise ta salope » m’ordonne-t-elle.
J’ouvre ma bouche, j’aspire, je suce je lèche, je deviens dingue. J’entends crier Lise.
« Wouah, ils la prennent bien, elle se fait gicler dessus par tous les mecs du club », çà c’est Béa qui fait les commentaires à mon intention. La garce au-dessus de moi me baise comme il faut la bouche, je la lèche, je la suce, elle finit par venir. De nouveau, de puissants jets de mouille m’inondent bien. En se dégageant elle me met une belle petite claque « Tu es doué, ma parole », rigole-t-elle. Je me sens fier.
La couche sur laquelle se trouve Lise est entourée de mecs, six ou sept me semble-t-il, elle a de nouveau une bonne bite dans la chatte et se fait bien ramoner. Un grognement sourd s’échappe de sa bouche remplie par une belle tige bien rouge. Tous les autres gars se branlent furieusement autour d’elle et déchargent à tour de rôle sur son ventre plat, sur ses gros seins gonflés qui ballottent.
La troisième garce, une nana bien en chair vient se mettre sur moi, son gros cul vient s’écraser contre mon visage, elle m’étouffe carrément la vicieuse. Je me débats comme je peux, je suce, j’aspire une chatte poilue et luisante de mouille, elle est impitoyable et me jute dessus, rapidement, de grosses giclées bien chaudes. Ses poils sont trempés, mon visage aussi. Enfin elle se dégage, Béa à côté rigole en me voyant.
« Tu t’es bien débrouillé dis donc, t’es un champion, ta Lise aussi d’ailleurs ».
Je reprends mes esprits, la salle est quasi vide, ne restent que Lise, Béa, Jim et moi. Jim invite Lise à se mettre sur ma couche. Elle semble épuisée par ce qu’elle vient de vivre. Avec Béa ils la font s’allonger contre moi, sur moi. Elle est poisseuse du sperme de tous ces mâles qui l’ont arrosée. Béa me détache, je serre ma Lise tout contre moi, on se regarde, elle me caresse les joues, on s’embrasse tendrement. C’est irréel avec cette odeur tenace du plaisir des uns et des autres sur nous.
« Merci, merci mon chéri de tout ce plaisir que tu me permets d’avoir », me chuchote-t-elle au creux de l’oreille.
Je suis allongé sur elle, on s’embrasse encore puis elle me pousse de ses bras sur mes épaules pour me faire glisser vers le bas. Je descends, avec ma bouche et ma langue, je profite pour lécher ses deux tétons dressés, son nombril. J’arrive à son sexe, à ses lèvres lisses, chaudes. Elle écarte ses jambes, comme pour une invitation ! J’ai compris, oui je me sens prêt à lécher ce sexe féminin qui a connu tant de grosses queues. Je lèche, du sperme coule, je lèche, de la cyprine jaillit, je lèche, Lise pousse des cris, des cris de plaisir, de bonheur. Je la fais jouir. Après tous les hommes qui l’ont prise avant moi, c’est moi qui arrive à la mener au septième ciel. Peu à peu, elle se calme et on reste allongés, goûtant ce moment de quiétude à deux.
Béa et Jim se sont éclipsés, nous les retrouvons au bar, après une bonne douche bien chaude. Nous avons remis nos vêtements. Le patron du club nous adresse un clin d’œil, de loin, ses deux pouces levés à l’intention de Lise et de sa performance, je suppose.
Le reste de la soirée se passe tranquillement, Béa va batifoler un peu à droite et à gauche. Elle bavarde avec les uns, les autres qui ne peuvent enlever leur regard de la poitrine opulente de ma chérie, mise en évidence par son vêtement. Jim a rejoint son copain, nous deux restons spectateurs, la main dans la main.
Nous passerons la nuit chez nos deux hôtes, une nuit reposante et réparatrice. Lise fait une grasse matinée, bien méritée. Puis nous quittons nos amis, car ce sont des amis maintenant, en les remerciant bien fort de la magnifique expérience qu’ils nous ont fait vivre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par RenaudetLise
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...