Lise et moi en vacances - histoire érotique

Lise est ma maîtresse, je suis son amant, candauliste à mes heures. J’aime lui organiser des rencontres, assister à ses rendez-vous coquins avec d’autres partenaires. Cela me comble, elle y prend un plaisir immense, en libertine avertie.
Les choses se sont faites petit à petit, progressivement, naturellement, au fil de nos relations et de nos sorties.

Nous sommes des sexagénaires alertes, aimant les plaisirs de la vie.
Lise est une très jolie plante, pas trop grande. Elle a quelques rondeurs qui sont agréables à voir et à toucher. Pour moi c’est un joli petit bout de femme de mon âge, avec une poitrine généreuse que j’adore et avec une envie de sexe qui me comble.

Nous avons décidé de nous offrir quelques jours de vacances dans un joli hôtel dans les Dolomites, un endroit magnifique, au cœur des vignes. Cet hôtel possède un complexe spa, piscines, sauna assez exceptionnel, tout ce que nous apprécions.

La chambre est superbe, spacieuse, avec une grande terrasse qui donne sur les vignes et sur la piscine extérieure. Au loin on voit les montagnes qui prennent, le soir, cette teinte orange, rose, typique des Dolomites.

Lise est ravie, nous décidons d’aller explorer le sauna, avant l’apéritif qui précède le dîner le premier jour de notre arrivée. En jolis peignoirs blancs nous nous rendons donc à l’espace bien-être, un endroit magique : hammam, bains froids, bains chauds, solarium, espace massage. C’est relativement désert et nous trouvons le coin sauna, hommes, femmes, mixte.

Un clin d’œil de Lise et elle se dirige sans hésiter vers le sauna mixte. Nous retirons nos peignoir, gardons en main une serviette et nous entrons, il fait chaud, très chaud. Nous devinons deux personnes assises au fond. Après avoir posés nos serviettes sur le banc, nous nous asseyons sur le côté. Au bout d’un moment la vapeur retombe un peu, apparaissent alors deux jeunes hommes nus comme nous, qui nous saluent et nous sourient.

Lise se trémousse à côté de moi, ils sont à son goût je la connais. Musclés, baraqué même pour l’un d’eux, poilus comme elle aime. Elle les regarde, je crois savoir à quoi elle pense : de beaux jeunes hommes, dans la fleur de l’âge !
Ses doigts me pincent le bras, je sens que ça va devenir chaud, ce n’est pas pour me déplaire.
L’un est brun, l’autre un peu métissé, ils fixent Lise, toujours souriante.
Elle ose un « Bonjour ».
- Bonjour, vous êtes français ?, répond l’un d’eux.
- Oui, nous venons d’arriver pour quelques jours.

Ils nous expliquent qu’ils sont là depuis quatre jours, ce sont des Vététistes, ils repartent demain. Tout en parlant, l’un se gratte sa poitrine, Lise fixe ses longs poils noirs qui laissent goutter sa transpiration. L’autre a légèrement écarté ses genoux, une belle queue épaisse pend négligemment vers le sol.

Lise s’agite à ces vues, elle prend l’initiative de me caresser doucement, naturellement la cuisse, puis effleure doucement mon sexe. Ça va j’ai compris, elle a une envie folle de ces deux gars, je la comprends et je joue le jeu. Mon sexe commence à gonfler doucement, les deux gaillards continuent de sourire et regardent la manœuvre de ma Lise. Plus un mot n’est échangé, ils sont dans l’expectative, ne sachant pas trop où elle veut en venir. Ils doivent deviner qu’elle est excitée car ses tétons sont dressés, ses mamelles ont gonflé et elle aussi a écarté ses jambes, rendant visible sa fente lisse.

Elle précise les choses de façon intuitive. Elle devient plus explicite en se levant, les joues rouges et les tétons dressés. Elle m’abandonne et se dirige vers les garçons. Du regard, elle s’invite, ils s’écartent pour qu’elle puisse s’installer entre eux.
J’ouvre mes deux mains, l’air de leur dire : « Qu’est-ce que vous attendez ? ».
Le métis pose timidement une main sur la cuisse de Lise, elle se tourne vers lui et sourit pour l’encourager. Lise prend l’initiative et commence à les caresser, bien pelotonnée entre eux. Elle ferme les yeux, se laisse aller. Ils se laissent faire les deux coquins. Très rapidement les mains de Lise s’égarent et elle tient maintenant les deux belles queues bien dures pour les caresser de concert. Les gars me regardent, ils ont du mal à comprendre je crois, je bande fort sous le spectacle offert et en m’imaginant la suite. Mon sexe se dresse à l’horizontale, ils le voient car j’ai écarté mes jambes.

Lise adore m’offrir ce genre de spectacle, elle sait que je prends un plaisir immense à la vue de ses plaisirs à elle. Elle branle maintenant les deux gars qui se laissent aller aux caresses expertes de ma compagne ; elle me regarde avec son sourire coquin qui m’excite tellement.
Et elle plonge sur la première queue, celle du gars le plus costaud. Il gémit sous la bouche de Lise qui gobe le gland gonflé. Elle prend possession de la hampe noueuse, dressée vers son visage. Ses lèvres s’arrondissent, je l’entends sucer, elle est sur un nuage. L’autre, le métis, arque son bassin pour mieux offrir sa bite. Lise le branle méthodiquement tout en se régalant de la bite de son copain.

Les garçons ne sont pas en reste, ils caressent le corps offert, Lise ouvre ses cuisses aux mains qui cherchent son intimité.

Elle les suce l’un après l’autre, dans un parfait souci d’équité, les mecs soupirent, gémissent, ils lui pétrissent ses seins gonflés par l’envie. C’est super.

Mais à l’extérieur de la cabine il y a subitement du mouvement, des voix.
La porte du sauna s’ouvre timidement, une tête apparaît, deux personnes, un couple fait son apparition. Tout s’arrête, évidemment, nous masquons nos érections sous les serviettes, Lise se relève, de son air le plus innocent, je me retiens pour ne pas éclater de rire.
Le couple s’installe, Lise revient à mes côtés, frustrée, je le sens bien.
Elle manifeste l’envie de s’en aller ; en passant à côté des deux garçons elle leur chuchote discrètement : « à ce soir, au bar ». Les garçons lui sourient, lèvent le pouce en signe d’accord.

Le reste de l’après midi nous le passons à la piscine, il fait bon, je suis excité, mais Lise ne veut rien savoir, elle a ces deux mecs en tête et je la connais bien, il faudra que je sois patient.

Nous prenons une douche avant d’aller dîner. Au moment de m’habiller ma coquine déballe mon cadeau du soir, comme elle me dit. Cest pas vrai, elle a emmené la cage de chasteté et se propose, ni plus ni moins de me la faire porter pour la soirée.
Je ne lui refuse rien, au contraire, ça m’excite drôlement au point que c’est compliqué de me mettre cette foutue cage.
Le dîner est sympa, les garçons sont assis deux tables plus loin, Lise n’arrête pas de leur sourire.
Nous nous retrouvons comme prévu au bar car très rapidement les deux loustics nous rejoignent comme prévu. Il y a de la musique sympa, Lise va se trémousser sur la piste en leur compagnie. Je sais que je dois rester assis, la laisser agir à sa guise. Ça discute ferme sur la piste et au bout d’un moment Lise m’annonce qu’elle va monter dans la chambre, les garçons sont invités à la rejoindre.
- Toi mon chéri, tu vas rester là, je t’écrirai sur le téléphone, peut être que tu auras des photos aussi.

Mince alors, ça n’a pas traîné, elle me dépose un baiser sur la joue et s’en va dans un déhanchement des plus sensuels. Les deux la suivent du regard, ils me sourient.
Au bout de cinq minutes je les vois s’éclipser aussi, c’est parti !
Je me recommande un verre et j’attends, deux minutes, cinq minutes.

Mon téléphone vibre.
- Coucou mon chéri- Oui- Mes garçons sont là, ils sont mignons.
- Tu es contente- Oui bien sûr, ils me caressent partout- C’est bien- Je suis déjà toute nue, et trempée- Coquine- Je te laisse
La vache, elle en profite. Moi, je me trémousse sur mon tabouret, je crois qu’il est plus prudent de me mettre à l’écart. Je vais m’installer au fond, à une table un peu isolée.
Le téléphone vibre à nouveau.
Sms avec une photo.
Je vois en gros plan la bouche de Lise, une grosse queue plantée au fond de sa gorge, le regard malicieux tourné vers l’objectif.
Je vais exploser ma cage de chasteté si ça continue. Mon sexe veut se tendre, mais il est prisonnier.

Deuxième photo : la main de Lise autour d’un gros sexe bien dur.
Je deviens fou, elle doit bien le savoir et je sais aussi que ça participe singulièrement à son excitation, jouer avec moi.

Puis plus rien, je me morfonds sur ma banquette, j’ai une folle envie d’aller voir, mais c’est convenu que c’est Lise la maîtresse du jeu.
Cinq, dix minutes passent, mon téléphone vibre, un appel. C’est Lise, je décroche, personne au bout du fil, puis j’entends.
- Hmmm, oui, c’est bon, oh oui, lèche moi bien, oui, comme ça, oh que c’est bon.
Des râles des bruits divers, des froissements, ça tourbillonne dans mon crâne.
- Oui c’est ça, viens au-dessus, donne-moi ta queue- C’est bon ça, suce bien, oui comme ça prends la bien au fond, (une voix d’homme).
- J’imagine, je vois Lise, écartelée sur le lit, l’un des deux lui broutant allègrement sa belle chatte, toute lisse, trempée, gonflée , et l’autre arc bouté au-dessus de son joli visage, lui fourrant sa bite au fond de la gorge.
Et moi je suis là, ma queue enserrée dans cette cage, et le plus curieux dans l’histoire c’est que je suis excité comme jamais. Un plaisir intense me pénètre, à imaginer Lise avec ces deux gaillards. Elle me connaît tellement bien, elle savait ce qu’elle faisait, le trouble que ça allait occasionner chez moi.

Une image apparaît sur l’écran de mon téléphone : une vidéo en direct, ça bouge pas mal.
On voit une queue qui va et vient dans la bouche de Lise, elle me fait un coucou de la main, l’œil malicieux à souhait, la coquine.
C’est le gars qui se fait sucer qui filme, le salaud. Il me montre maintenant son copain qui suce le minou de Lise. Il s’active, je devine ses deux doigts dans la chatte, il relève la tête, regarde la caméra, se marre et commence à doigter Lise à toute vitesse.
J’ai juste le temps de baisser le son sur mon téléphone que Lise se met à hurler sous l’orgasme qu’il lui déclenche.
J’ai droit tour à tour à la vision de la queue qui vient se faire sucer et aux doigts qui baisent Lise, c’est impressionnant, excitant, totalement inédit pour moi.

Des personnes vont et viennent dans la salle, la musique, des couples qui dansent et moi j’assiste à la baise de ma chérie, sur un téléphone en les sachant au-dessus de moi, à l’étage, dans notre chambre. C’est irréel, mais ça me rend dingue d’excitation, Lise sait cela.

L’image devient fixe, on voit la chambre, le grand lit et tout ce qui s’y passe bien sûr.
Il a dû poser le téléphone sur la commode qui est contre le mur et cela filme en direct.
Ils ont mis Lise à quatre pattes, celui qui la suçait lui met sa queue dans la bouche, le métis s’installe derrière, lui saisit les hanches et enfonce sa grosse hampe en elle. Je l’entends gémir, ils synchronisent les mouvements, sortent, la pénètrent en cadence. Je vois monter le plaisir chez Lise, elle crie, grogne, l’orgasme la secoue. Ils changent de place et la reprennent.

J’assiste sur mon téléphone à cette scène de Lise qui se fait défoncer par ces deux jeunes, elle aime, elle les encourage, sachant que j’assiste au spectacle. Elle est belle dans son plaisir.

Elle demande grâce, en rigolant, puis je la vois s’approcher.
- Ca te plaît, me demande-t-elle, impudique.
- Oui, bien sûr- Tu veux monter ?
- Evidemment- Ok, ramène du champagne alors.
La vache, si je veux monter, je vais devoir me fendre d’une bouteille, vu les prix à l’hôtel, la garce. Mais je m’exécute et je me dirige vers la chambre, une bouteille à la main.

En ouvrant la porte je vois que les hostilités ont repris. Le grand costaud est en train de pilonner Lise, en missionnaire, son copain récupère, affalé dans un fauteuil.
Lise me perçoit et dans un gémissement me demande de me mettre à poil.
Non, avec ma cage je ne veux pas je n’ai pas envie d’être honteux devant les deux jeunes. Mais soumis à Lise comme je le suis, je m’exécute. Les deux gars sourient au spectacle de ma queue qui essaie de s’échapper par tous les orifices, ça comprime salement.

Enfin ils font une pause. Ils sont les trois, nus, assis sur le lit. Moi nu aussi je remplis les verres et on boit ce bon champagne. Lise me demande si ça m’a plu, bien sûr je lui réponds.