Lise et son bel étalon
Récit érotique écrit par RenaudetLise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lise et son bel étalon
Lise et son bel étalon
Cela fait maintenant quelques jours que je suis soumis à Lise, ma maîtresse.
Avant j’étais son amant mais elle a manifesté le souhait de rencontrer d’autres hommes pour varier ses plaisirs. En même temps elle a découvert mon penchant pour la soumission, ça l’excite encore plus et me voilà devenu, en quelques jours, depuis sa nuit avec Pierre et Luc, son cocu soumis comme elle aime à m’appeler. Je dois ajouter que je suis pleinement consentant et que ça me procure un plaisir et une excitation sans pareil.
Je l’appelle Madame et je la vouvoie pendant nos séances de domination, c’est exquis. Elle s’amuse à m’humilier, à se moquer de moi et elle fait de moi ce qu’elle veut, pour notre plaisir réciproque. Mais dans la vie de tous les jours, quand on rencontre la famille, les amis, quand on vaque aux occupations quotidiennes, nous sommes un couple tout à fait normal, banal. Ce n’est que pour nos séances de sexe que nous sommes un couple dominante-dominé.
Mon dernier challenge c’est de lui trouver un beau mâle avec lequel elle puisse s’amuser, en ma présence, évidemment. J’ai quelques jours pour mener ma mission à bien, elle m’a interdit tout orgasme d’ici là, toute masturbation, toute jouissance. J’ai juste le privilège, quelquefois, de la lécher pour qu’elle jouisse sur ma bouche, un bonheur que de sentir ses jets de cyprine gicler sur ma peau.
J’ai essayé de trouver un mâle par Internet, j’ai même rappelé le patron du sex-shop dans lequel nous avions été. Rien à faire, je ne trouve pas le bon mec, celui qui plaira à Madame.
Elle commence à s’impatienter, d’ailleurs.
Ce soir, après le dîner, elle me fait mettre à poil, m’attache contre la rampe de l’escalier comme l’autre fois, mais cette fois-ci elle s’est armée de ma ceinture en cuir. Elle se met nue elle aussi. Je n’ai pas le droit de toucher, uniquement voir.
- Tourne toi, montre moi ton joli petit cul. Puisque tu es incapable de trouver ce qu’il faut je vais un peu te motiver. Dix coups de ceinture, dix aller retour de branlette, comment tu trouves ?
- Très bien, Madame, comme vous voudrez.
Le premier coup sur mes fesses m’arrache un grognement de douleur. Lise, ma Lise ne retient pas ses coups, elle me cingle mon cul de dix coups de lanière, je commence à transpirer. Puis elle saisit ma queue et me prodigue dix aller retour systématiques de son poignet énergique.
Et c’est reparti pour dix coups de ceinture. Je pensais arriver à l’orgasme, c’est raté.
Elle me détache enfin et me fait : « Puisque tu ne trouves personne, demain tu vas te débrouiller pour faire comprendre au gars qui vient tondre le gazon et entretenir nos arbustes qu’il me plaît, je le veux entre mes cuisses, arrange toi avec lui, sinon gare ».
Le gars en question c’est un jeune marocain, trente, trente cinq ans au plus. Il est bien foutu, c’est vrai, type berbère aux yeux gris bleus. Mais comment je vais faire ça ?
Voilà, nous y sommes, c’est aujourd’hui que je vais devoir expliquer à un type que ma nana veut baiser avec lui.
Le gars est arrivé. Je lui ai donné la tondeuse, les outils nécessaires et il s’affaire dehors. Il commence de tailler des arbustes je crois. Je le regarde par la porte-fenêtre. Il porte des chaussures de chantier et est vêtu d’une salopette. Son pantalon se prolonge par un haut retenu par des bretelles. Dessous il n’a rien, c’est pourquoi je vois ses bras musclés et velus, une partie de son torse d’où sortent aussi des poils longs et noirs.
Lise s’approche de moi par derrière, me prend mon sexe à travers le pantalon et me susurre à l’oreille :« Alors mon cocu, qu’est ce que t’attends, va le voir ».
Je me retourne et je découvre Madame, une magnifique robe brun clair, serrée, courte, avec une épaisse ceinture noire à la taille. Ce qui est terrible c’est qu’elle est complètement nue sous sa robe, ses gros tétons pointent agressivement, ses seins sont déjà tout gonflés de désir.
« Je ne porte pas de culotte non plus, allez va le voir, fais-le entrer, le reste j’en fais mon affaire. Dis-lui simplement que Madame veut le rencontrer, elle a des choses à lui montrer. Allez, exécution ! ».
Penaud, je sors, j’engage la conversation. Ahmed est marocain, ses parents viennent d’Agadir, lui est né en France. Il a effectivement des yeux gris bleus à damner un saint. Je lui demande s’il veut bien rentrer, Madame aura des belles choses à lui montrer. Je lui indique également que je suis sûr que ça lui plaira. Un peu indécis tout de même il me suit.
Lise nous attend au salon, sur le canapé, dans sa tenue sans équivoque, les jambes croisées très haut qui dénudent ses cuisses.. Ahmed, surpris, se tourne vers moi. Je le prends par le bras, « N’aie pas peur, Madame a envie de te faire du bien, ne t’inquiète pas, je suis d’accord ».
Ses yeux courent de l’un à l’autre.
Lise engage la conversation :- Comment tu me trouves ?
- Vous…, vous êtes très belle.
- Viens t’asseoir à côté de moi, on va passer un agréable moment ensemble si tu es d’accord.
Ahmed me jette encore un coup d’œil rapide, je lui envoie mon meilleur sourire, ça le décide subitement même s’il ne comprend pas tout. Il va se mettre à côté de Lise, sur le canapé de notre séjour.
Lise m’indique d’un ton autoritaire de m’asseoir sur le fauteuil, dans un coin de la pièce. Puis elle se lève, fait se lever Ahmed et se colle à lui. Elle enserre sa tête et l’embrasse fougueusement sur la bouche, sa langue va chercher la sienne, elle ondule lascivement du bassin contre son entrejambe, les seins collés à sa poitrine. Ahmed met ses bras autour d’elle et la serre contre lui. Il lui écrase ses gros seins.
C’est parti, ma queue devient dure et je sais que je ne serai que spectateur, terrible.
C’est émouvant, excitant, ce couple qui s’étreint devant moi.
Lise s’installe de nouveau sur le canapé, Ahmed debout devant elle a compris que cette mature salope veut se faire baiser devant son mec. Il me jette un coup d’œil en coin, se débarrasse de ses bretelles, sa salopette tombe à ses pieds. Lise me regarde et me fait un doigt d’honneur moqueur, puis elle baisse prestement le boxer de son mâle du jour. Une queue dressée jaillit et se balance devant le visage de Lise, longue, épaisse et dure, bien veinée. Une touffe de poils encadre ce bijou, au grand plaisir de Madame.
Elle saisit cette verge tendue, grogne de contentement « Hmmmm ! », décalotte un gland rouge vif qui contraste avec le brun de la peau et se le frotte contre sa bouche, ses joues et tout le visage.
Ahmed avance son bassin pour mieux s’offrir à Lise, elle ouvre ses lèvres et fait pénétrer le vit au fond de sa gorge. Le gars pousse à fond, saisit la tête de Madame et entreprend des allers- retours lascifs contre le visage de la belle. C’est magique, je ne peux pas résister et je déballe ma bite, gonflée à mort.
Voyant cela Madame se dégage et me lance : « Ah mais non, tu rigoles, on avait dit spectateur, pas branleur. » Je lâche mon sexe.
Elle se lève, s’approche de moi, défait sa ceinture et m’ordonne de mettre les mains dans le dos ; elle m’attache solidement les bras, « Fini la branlette », elle me lance, et elle rigole.
Elle installe Ahmed sur le canapé, il n’a pas débandé, tu parles, je retrouve ma place de cocu dans le coin de la pièce, sur une chaise, bras derrière mon dos et sexe dur sorti de mon pantalon !
Lise grimpe sur son étalon, cuisses écartées. Sa robe est remontée à sa taille, elle dégrafe le haut de sa robe et lui présente ses deux magnifiques mamelles. Ahmed les saisit à pleines mains, fait saillir deux tétons gonflés qu’il se met à sucer l’un après l’autre.
« Merci madame, merci, c’est bon, mmmm ».
Lise rejette la tête en arrière, prend ses seins et les pousse sur le visage du mec : « Suce, c’est bon ça, hein mon salaud ».
Un coup d’œil égrillard dans ma direction, je suis assis sur ma chaise, les bras attachés dans le dos, une gaule d’enfer entre les jambes ; j’essaie de me frotter contre la chaise, c’est plutôt désagréable, Madame, elle, est aux anges.
Les deux baiseurs se mettent à poil, Ahmed est beau, musclé mais sans excès, bien velu comme Madame aime. Il est toujours assis dans le canapé, Madame se met debout, nue, elle est superbe avec ses forme de femelle mature, et lui présente sa chatte lisse : « Suce-moi, lèche-moi, tu veux bien, vas y à fond mon trésor ! ».
Ahmed lui empoigne les fesses qu’il malaxe de ses mains puissantes et plonge son visage dans le sexe humide de ma maîtresse. Je deviens fou de frustration et je sais que cela excite encore plus Madame, elle ondule du bassin contre la langue de ce coquin. Dire qu’il était venu tailler les arbres…Lise grogne de plaisir, des petits cris s’échappent du fond de sa gorge tandis qu’elle se frotte contre le visage, la langue de son amant. Je n’en peux plus, j’essais de me faire jouir par tous les moyens mais rien à faire, Madame m’a bien attaché. D’ailleurs un orgasme puissant la secoue, elle me regarde : « Vois comme il me fait jouir, cocu, ça te plaît ? Allez Ahmed, baise moi bien maintenant, je suis à toi »Elle le prend par la main, s’allonge sur le tapis du salon et relève ses cuisses, nous dévoilant sa chatte dégoulinante de plaisir, des lèvres gonflées en attente de bite.
« Regarde cocu comment ta maîtresse se fait défoncer ».
Ahmed se met sur elle, place ses bras en appui entre ses cuisses et enfonce sa belle queue dans Madame. Elle gémit, halète, l’encourage.
Ahmed n’y va pas par quatre chemins, il la besogne comme un sauvage en poussant des « Han » de bûcheron. Il la pilonne violemment, méthodiquement, il a la fougue de la jeunesse.
Lise se tape rapidement son deuxième orgasme, ça la secoue fort, Ahmed n’arrête pas, il la défonce de plus belle. Il se met sur ses genoux, lui saisit les chevilles pour lui écarter ses cuisse au maximum. Lise est grand ouverte j’ai une vue imprenable sur sa chatte luisante, le dard bien enfoncé. De la cyprine s’écoule doucement vers la raie de son cul. Ahmed se retire doucement, jusqu’au gland, puis d’un coup sec s’enfonce au plus profond du vagin, et il recommence, sans arrêt. Lise crie, sanglote de bonheur.
Ce mec lui fait ce que je ne pourrai jamais réaliser. Je suis tellement heureux pour elle.
Il se couche maintenant sur cette belle femelle blanche, l’étreint de ses bras musclés, l’écrase et la chevauche, impitoyable. On ne perçoit plus que les souffles rauques, les claquements secs du pubis d’Ahmed contre les fesses de Lise.
Je deviens fou de frustration, de jalousie aussi du plaisir qu’il lui procure, je me suis levé et je balance mon sexe bandé, dans l’espoir idiot de déclencher un orgasme qui ne viendra pas.
Ahmed, après une ultime série de coups de reins au fond de cette femelle offerte, se dégage enfin, saisit cette verge impressionnante et se finit sur Madame qui a la force de se redresser sur ses coudes pour mieux accueillir les belles giclées de foutre qui se déversent sur sa chatte, son ventre, entre ses seins.
Elle attire Ahmed sur elle, lui prodigue un ultime baiser et lui ébouriffe sa belle chevelure d’ébène.
« Merci, tu as été formidable ». Il se rhabille, elle le raccompagne, il dit qu’il va terminer dehors.
« Je compte sur toi pour une autre fois, si tu as un collègue comme toi, ramène le »Ahmed, un peu gêné, lui fait encore un dernier coucou et retourne bosser.
Comblée, souriante, coquine, Lise s’approche de moi.
« Si tu me lèches bien, si tu nettoies tout tu auras une récompense »Sacrebleu, elle me demande de lécher le sperme d’Ahmed ; je n’ai jamais été adepte du truc mais au point où j’en suis. Je ferais n’importe quoi pour pouvoir jouir. Les mains toujours attachées, je lèche, les seins d’abord, c’est âcre, collant, mais sur la peau de Madame, ça me console, je m’enivre de son parfum. Je lèche tout, je finis par sa chatte, elle en profite bien un peu.
Elle m’embrasse tendrement, me détache, me déshabille complètement.
Sans un mot elle me fait allonger au sol et elle se met à me sucer ma queue qui ne demande que cela.
« Retiens toi encore un peu, je veux te donner beaucoup de plaisir »Sa fellation est la tendresse même, que c’est bon, elle m’amène au bord de l’orgasme, me laisse redescendre et recommence.
Elle se couche sur le dos, « viens, prends moi », elle m’attire sur elle, en elle, colle sa bouche à la mienne. Sa langue me fouille, je la pénètre, je la prends comme un dingue, jouissant au fond de son vagin, elle crie son bonheur.
Nous restons longtemps l’un sur l’autre, puis un contre l’autre avant d’aller prendre un bon bain chaud, ensemble.
J’aime ma Lise, ma Maîtresse, ma dominatrice.
Cela fait maintenant quelques jours que je suis soumis à Lise, ma maîtresse.
Avant j’étais son amant mais elle a manifesté le souhait de rencontrer d’autres hommes pour varier ses plaisirs. En même temps elle a découvert mon penchant pour la soumission, ça l’excite encore plus et me voilà devenu, en quelques jours, depuis sa nuit avec Pierre et Luc, son cocu soumis comme elle aime à m’appeler. Je dois ajouter que je suis pleinement consentant et que ça me procure un plaisir et une excitation sans pareil.
Je l’appelle Madame et je la vouvoie pendant nos séances de domination, c’est exquis. Elle s’amuse à m’humilier, à se moquer de moi et elle fait de moi ce qu’elle veut, pour notre plaisir réciproque. Mais dans la vie de tous les jours, quand on rencontre la famille, les amis, quand on vaque aux occupations quotidiennes, nous sommes un couple tout à fait normal, banal. Ce n’est que pour nos séances de sexe que nous sommes un couple dominante-dominé.
Mon dernier challenge c’est de lui trouver un beau mâle avec lequel elle puisse s’amuser, en ma présence, évidemment. J’ai quelques jours pour mener ma mission à bien, elle m’a interdit tout orgasme d’ici là, toute masturbation, toute jouissance. J’ai juste le privilège, quelquefois, de la lécher pour qu’elle jouisse sur ma bouche, un bonheur que de sentir ses jets de cyprine gicler sur ma peau.
J’ai essayé de trouver un mâle par Internet, j’ai même rappelé le patron du sex-shop dans lequel nous avions été. Rien à faire, je ne trouve pas le bon mec, celui qui plaira à Madame.
Elle commence à s’impatienter, d’ailleurs.
Ce soir, après le dîner, elle me fait mettre à poil, m’attache contre la rampe de l’escalier comme l’autre fois, mais cette fois-ci elle s’est armée de ma ceinture en cuir. Elle se met nue elle aussi. Je n’ai pas le droit de toucher, uniquement voir.
- Tourne toi, montre moi ton joli petit cul. Puisque tu es incapable de trouver ce qu’il faut je vais un peu te motiver. Dix coups de ceinture, dix aller retour de branlette, comment tu trouves ?
- Très bien, Madame, comme vous voudrez.
Le premier coup sur mes fesses m’arrache un grognement de douleur. Lise, ma Lise ne retient pas ses coups, elle me cingle mon cul de dix coups de lanière, je commence à transpirer. Puis elle saisit ma queue et me prodigue dix aller retour systématiques de son poignet énergique.
Et c’est reparti pour dix coups de ceinture. Je pensais arriver à l’orgasme, c’est raté.
Elle me détache enfin et me fait : « Puisque tu ne trouves personne, demain tu vas te débrouiller pour faire comprendre au gars qui vient tondre le gazon et entretenir nos arbustes qu’il me plaît, je le veux entre mes cuisses, arrange toi avec lui, sinon gare ».
Le gars en question c’est un jeune marocain, trente, trente cinq ans au plus. Il est bien foutu, c’est vrai, type berbère aux yeux gris bleus. Mais comment je vais faire ça ?
Voilà, nous y sommes, c’est aujourd’hui que je vais devoir expliquer à un type que ma nana veut baiser avec lui.
Le gars est arrivé. Je lui ai donné la tondeuse, les outils nécessaires et il s’affaire dehors. Il commence de tailler des arbustes je crois. Je le regarde par la porte-fenêtre. Il porte des chaussures de chantier et est vêtu d’une salopette. Son pantalon se prolonge par un haut retenu par des bretelles. Dessous il n’a rien, c’est pourquoi je vois ses bras musclés et velus, une partie de son torse d’où sortent aussi des poils longs et noirs.
Lise s’approche de moi par derrière, me prend mon sexe à travers le pantalon et me susurre à l’oreille :« Alors mon cocu, qu’est ce que t’attends, va le voir ».
Je me retourne et je découvre Madame, une magnifique robe brun clair, serrée, courte, avec une épaisse ceinture noire à la taille. Ce qui est terrible c’est qu’elle est complètement nue sous sa robe, ses gros tétons pointent agressivement, ses seins sont déjà tout gonflés de désir.
« Je ne porte pas de culotte non plus, allez va le voir, fais-le entrer, le reste j’en fais mon affaire. Dis-lui simplement que Madame veut le rencontrer, elle a des choses à lui montrer. Allez, exécution ! ».
Penaud, je sors, j’engage la conversation. Ahmed est marocain, ses parents viennent d’Agadir, lui est né en France. Il a effectivement des yeux gris bleus à damner un saint. Je lui demande s’il veut bien rentrer, Madame aura des belles choses à lui montrer. Je lui indique également que je suis sûr que ça lui plaira. Un peu indécis tout de même il me suit.
Lise nous attend au salon, sur le canapé, dans sa tenue sans équivoque, les jambes croisées très haut qui dénudent ses cuisses.. Ahmed, surpris, se tourne vers moi. Je le prends par le bras, « N’aie pas peur, Madame a envie de te faire du bien, ne t’inquiète pas, je suis d’accord ».
Ses yeux courent de l’un à l’autre.
Lise engage la conversation :- Comment tu me trouves ?
- Vous…, vous êtes très belle.
- Viens t’asseoir à côté de moi, on va passer un agréable moment ensemble si tu es d’accord.
Ahmed me jette encore un coup d’œil rapide, je lui envoie mon meilleur sourire, ça le décide subitement même s’il ne comprend pas tout. Il va se mettre à côté de Lise, sur le canapé de notre séjour.
Lise m’indique d’un ton autoritaire de m’asseoir sur le fauteuil, dans un coin de la pièce. Puis elle se lève, fait se lever Ahmed et se colle à lui. Elle enserre sa tête et l’embrasse fougueusement sur la bouche, sa langue va chercher la sienne, elle ondule lascivement du bassin contre son entrejambe, les seins collés à sa poitrine. Ahmed met ses bras autour d’elle et la serre contre lui. Il lui écrase ses gros seins.
C’est parti, ma queue devient dure et je sais que je ne serai que spectateur, terrible.
C’est émouvant, excitant, ce couple qui s’étreint devant moi.
Lise s’installe de nouveau sur le canapé, Ahmed debout devant elle a compris que cette mature salope veut se faire baiser devant son mec. Il me jette un coup d’œil en coin, se débarrasse de ses bretelles, sa salopette tombe à ses pieds. Lise me regarde et me fait un doigt d’honneur moqueur, puis elle baisse prestement le boxer de son mâle du jour. Une queue dressée jaillit et se balance devant le visage de Lise, longue, épaisse et dure, bien veinée. Une touffe de poils encadre ce bijou, au grand plaisir de Madame.
Elle saisit cette verge tendue, grogne de contentement « Hmmmm ! », décalotte un gland rouge vif qui contraste avec le brun de la peau et se le frotte contre sa bouche, ses joues et tout le visage.
Ahmed avance son bassin pour mieux s’offrir à Lise, elle ouvre ses lèvres et fait pénétrer le vit au fond de sa gorge. Le gars pousse à fond, saisit la tête de Madame et entreprend des allers- retours lascifs contre le visage de la belle. C’est magique, je ne peux pas résister et je déballe ma bite, gonflée à mort.
Voyant cela Madame se dégage et me lance : « Ah mais non, tu rigoles, on avait dit spectateur, pas branleur. » Je lâche mon sexe.
Elle se lève, s’approche de moi, défait sa ceinture et m’ordonne de mettre les mains dans le dos ; elle m’attache solidement les bras, « Fini la branlette », elle me lance, et elle rigole.
Elle installe Ahmed sur le canapé, il n’a pas débandé, tu parles, je retrouve ma place de cocu dans le coin de la pièce, sur une chaise, bras derrière mon dos et sexe dur sorti de mon pantalon !
Lise grimpe sur son étalon, cuisses écartées. Sa robe est remontée à sa taille, elle dégrafe le haut de sa robe et lui présente ses deux magnifiques mamelles. Ahmed les saisit à pleines mains, fait saillir deux tétons gonflés qu’il se met à sucer l’un après l’autre.
« Merci madame, merci, c’est bon, mmmm ».
Lise rejette la tête en arrière, prend ses seins et les pousse sur le visage du mec : « Suce, c’est bon ça, hein mon salaud ».
Un coup d’œil égrillard dans ma direction, je suis assis sur ma chaise, les bras attachés dans le dos, une gaule d’enfer entre les jambes ; j’essaie de me frotter contre la chaise, c’est plutôt désagréable, Madame, elle, est aux anges.
Les deux baiseurs se mettent à poil, Ahmed est beau, musclé mais sans excès, bien velu comme Madame aime. Il est toujours assis dans le canapé, Madame se met debout, nue, elle est superbe avec ses forme de femelle mature, et lui présente sa chatte lisse : « Suce-moi, lèche-moi, tu veux bien, vas y à fond mon trésor ! ».
Ahmed lui empoigne les fesses qu’il malaxe de ses mains puissantes et plonge son visage dans le sexe humide de ma maîtresse. Je deviens fou de frustration et je sais que cela excite encore plus Madame, elle ondule du bassin contre la langue de ce coquin. Dire qu’il était venu tailler les arbres…Lise grogne de plaisir, des petits cris s’échappent du fond de sa gorge tandis qu’elle se frotte contre le visage, la langue de son amant. Je n’en peux plus, j’essais de me faire jouir par tous les moyens mais rien à faire, Madame m’a bien attaché. D’ailleurs un orgasme puissant la secoue, elle me regarde : « Vois comme il me fait jouir, cocu, ça te plaît ? Allez Ahmed, baise moi bien maintenant, je suis à toi »Elle le prend par la main, s’allonge sur le tapis du salon et relève ses cuisses, nous dévoilant sa chatte dégoulinante de plaisir, des lèvres gonflées en attente de bite.
« Regarde cocu comment ta maîtresse se fait défoncer ».
Ahmed se met sur elle, place ses bras en appui entre ses cuisses et enfonce sa belle queue dans Madame. Elle gémit, halète, l’encourage.
Ahmed n’y va pas par quatre chemins, il la besogne comme un sauvage en poussant des « Han » de bûcheron. Il la pilonne violemment, méthodiquement, il a la fougue de la jeunesse.
Lise se tape rapidement son deuxième orgasme, ça la secoue fort, Ahmed n’arrête pas, il la défonce de plus belle. Il se met sur ses genoux, lui saisit les chevilles pour lui écarter ses cuisse au maximum. Lise est grand ouverte j’ai une vue imprenable sur sa chatte luisante, le dard bien enfoncé. De la cyprine s’écoule doucement vers la raie de son cul. Ahmed se retire doucement, jusqu’au gland, puis d’un coup sec s’enfonce au plus profond du vagin, et il recommence, sans arrêt. Lise crie, sanglote de bonheur.
Ce mec lui fait ce que je ne pourrai jamais réaliser. Je suis tellement heureux pour elle.
Il se couche maintenant sur cette belle femelle blanche, l’étreint de ses bras musclés, l’écrase et la chevauche, impitoyable. On ne perçoit plus que les souffles rauques, les claquements secs du pubis d’Ahmed contre les fesses de Lise.
Je deviens fou de frustration, de jalousie aussi du plaisir qu’il lui procure, je me suis levé et je balance mon sexe bandé, dans l’espoir idiot de déclencher un orgasme qui ne viendra pas.
Ahmed, après une ultime série de coups de reins au fond de cette femelle offerte, se dégage enfin, saisit cette verge impressionnante et se finit sur Madame qui a la force de se redresser sur ses coudes pour mieux accueillir les belles giclées de foutre qui se déversent sur sa chatte, son ventre, entre ses seins.
Elle attire Ahmed sur elle, lui prodigue un ultime baiser et lui ébouriffe sa belle chevelure d’ébène.
« Merci, tu as été formidable ». Il se rhabille, elle le raccompagne, il dit qu’il va terminer dehors.
« Je compte sur toi pour une autre fois, si tu as un collègue comme toi, ramène le »Ahmed, un peu gêné, lui fait encore un dernier coucou et retourne bosser.
Comblée, souriante, coquine, Lise s’approche de moi.
« Si tu me lèches bien, si tu nettoies tout tu auras une récompense »Sacrebleu, elle me demande de lécher le sperme d’Ahmed ; je n’ai jamais été adepte du truc mais au point où j’en suis. Je ferais n’importe quoi pour pouvoir jouir. Les mains toujours attachées, je lèche, les seins d’abord, c’est âcre, collant, mais sur la peau de Madame, ça me console, je m’enivre de son parfum. Je lèche tout, je finis par sa chatte, elle en profite bien un peu.
Elle m’embrasse tendrement, me détache, me déshabille complètement.
Sans un mot elle me fait allonger au sol et elle se met à me sucer ma queue qui ne demande que cela.
« Retiens toi encore un peu, je veux te donner beaucoup de plaisir »Sa fellation est la tendresse même, que c’est bon, elle m’amène au bord de l’orgasme, me laisse redescendre et recommence.
Elle se couche sur le dos, « viens, prends moi », elle m’attire sur elle, en elle, colle sa bouche à la mienne. Sa langue me fouille, je la pénètre, je la prends comme un dingue, jouissant au fond de son vagin, elle crie son bonheur.
Nous restons longtemps l’un sur l’autre, puis un contre l’autre avant d’aller prendre un bon bain chaud, ensemble.
J’aime ma Lise, ma Maîtresse, ma dominatrice.
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