Lise & Marc (5) - La Dégradation de Marc
Récit érotique écrit par Marc_C [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lise & Marc (5) - La Dégradation de Marc
Lise revint le lendemain vers dix-neuf heures, il faisait déjà nuit. Elle semblait totalement normale, se comportant comme elle s’était comportée pendant les dernières années. Après les dernières vingt-quatre éprouvantes que j’ai passé seul, je sentais un certain réconfort et une certaine normalité. Nous nous mîmes à table pour dîner.
Le plus naturellement du monde, elle me dit qu’elle était fatiguée car Yanis l’avait baisée toute la nuit et toute la journée. Elle disait qu’il était insatiable et que c’était ce dont elle avait besoin pour se sentir bien.
- Tu es sûr que ça ne te dérange pas que je le voie mon chéri ? Demanda-t-elle.
Je fis non de la tête. J’étais rongé par la honte. La situation m’avait totalement échappée, j’étais humilié, mon couple était déshonoré mais je ressentais une inexplicable excitation malgré tout. Je savais que je prenais un chemin périlleux, mais je voulais encore garder cette excitation.
Les jours qui suivirent, il venait chaque soir chez nous après le boulot pour baiser Lise devant moi, le plus souvent dans notre lit conjugal. Il me demandait rarement de le sucer, se contentant de démonter ma femme devant moi. Et à chaque soir, après une bonne baise et parfois une enculade, il s’asseyait à table avec elle pour dîner sans moi. Ensuite il partait. La situation m’excitait malgré tout et je me surpris à coucher avec Lise beaucoup plus souvent qu’avant. L’odeur de sueur et de sperme qu’elle dégageait après les passages de Yanis m’excitaient au plus haut point.
Ce dernier ne semblait pas du tout se lasser de ma femme et ne ratait pas une soirée pour venir la prendre par tous les orifices et m’humilier en prime. Pour le vendredi soir, il décida que nous devions sortir tous les trois pour dîner, il invitait. Il nous emmena dans un restaurant, prenant bien soin de s’assoir avec Lise et de me laisser seul face à eux. Il haussait souvent le ton en parlant, pour essayer de faire parvenir aux oreilles des autres clients, que Lise était en réalité ma femme et qu’il se la tapait. Bien entendu, le message arriva, et tout au long de la soirée, je sentis plusieurs regards nous scruter.
Après le repas, il rentra avec nous, ce qui me surprit.
- Ce soir, je dors chez vous, me dit-il. Bien sûr tu dormiras dans le salon ou dans la chambre d’amis, mais c’est moi qui vais occuper le lit conjugal. Après tout, tu es trop lopette pour être le mari n’est-ce pas ?
Arrivés à la maison, il prit Lise avec lui dans la chambre ou je les entendis baiser pendant près d’une heure avant de le voir sortir la queue à l’air pour aller manger. Il semblait toujours affamé de nourriture et de sexe, et ne semblait pas avoir de limites. J’étais allongé comme un misérable dans le salon, ne pouvant rien faire.
Le lendemain, ma femme lui dit qu’elle avait des courses à faire, il lui dit qu’il l’attendrait à la maison. Au bout de deux heures il s’impatienta.
- Où est-ce qu’elle est ta pute ? Je dois me soulager moi.
Je souris, il ne connaissait pas Lise. Quand elle partait pour des courses, ce n’était jamais pour peu de temps. Mais je sentais que Yanis s’impatientait sérieusement et qu’il commençait à s’énerver. Après une heure d’insultes à mon égard et à l’égard de ma femme absente, il se leva et vint vers moi :
- Je vais me contenter de toi en attendant que ta salope rentre. Déshabille-toi.
Terrifié par son air menaçant, je me suis exécuté.
- Bien, déshabille-moi maintenant.
Déshabiller un colosse qui faisait au moins vingt centimètres de plus que moi n’était pas chose facile mais j’obéis, faisant de mon mieux. Il me prit par le bras et me traina dans la chambre d’amis où il me fit m’allonger sur le dos et vint au-dessus de moi. J’avais la tête entre ses deux jambes puissantes et ses couilles au-dessus de la bouche.
- Vas y pédale, fais ce que tu sais faire de mieux.
Je me mis à lui avaler les couilles, faisant de mon mieux pour satisfaire l’amant de ma femme. Il prenait du plaisir, puis prenant ma tête d’une main, il enfonça sa queue dans ma bouche et continua à me la baiser de cette manière. Avant de se retirer, une lueur de méchanceté dans les yeux.
- Attends, reste ici, j’ai une idée pour toi.
Il sorti pour aller dans notre chambre à coucher et revint avec une robe rouge qui appartenait à Lise.
- Mets ça, me dit-il sur un ton qui n’admettait aucune objection.
Désespéré de pouvoir lui résister, j’ai décidé de l’enfiler. En réalité, Lise était à peine plus petite que moi et j’étais assez maigre, la robe s’enfila facilement.
- Voilà, me dit Yanis satisfait. Là tu es dans ton élément.
Il m’emmena au salon et où il se remit à me baiser la bouche avec les manières les plus avilissantes possibles, me faisant suffoquer, me faisant baver, tachant la belle robe rouge de Lise de salive. Il me mit ensuite dans la fameuse position du facial. Je bandais comme jamais. Il m’envoya plusieurs jets de spermes inondant mon visage. Ce fut à ce moment-là que Lise décida de rentrer.
Elle fut choquée au début de voir une femme en robe rouge, croyant qu’il y avait une nouvelle personne dans la maison, ensuite réalisant que c’était moi, elle fit de son mieux pour paraitre impassible.
- Où est ce que tu étais sale garce ? Lui hurla Yanis, regarde ce que j’ai dû faire à ton homme pour m’occuper.
J’étais à genoux devant l’amant de ma femme qui venait de me souiller et de m’humilier d’une façon inédite devant la femme que j’aimais. Cette dernière m’ignorant complétement, alla voir Yanis et l’embrassa et à pleine bouche.
- Je suis désolé mon chéri, lui dit-elle. Mais tu ne seras pas déçu, j’ai ramené plusieurs tenues sexy que je voudrais essayer avec toi.
Le plus naturellement du monde, elle me dit qu’elle était fatiguée car Yanis l’avait baisée toute la nuit et toute la journée. Elle disait qu’il était insatiable et que c’était ce dont elle avait besoin pour se sentir bien.
- Tu es sûr que ça ne te dérange pas que je le voie mon chéri ? Demanda-t-elle.
Je fis non de la tête. J’étais rongé par la honte. La situation m’avait totalement échappée, j’étais humilié, mon couple était déshonoré mais je ressentais une inexplicable excitation malgré tout. Je savais que je prenais un chemin périlleux, mais je voulais encore garder cette excitation.
Les jours qui suivirent, il venait chaque soir chez nous après le boulot pour baiser Lise devant moi, le plus souvent dans notre lit conjugal. Il me demandait rarement de le sucer, se contentant de démonter ma femme devant moi. Et à chaque soir, après une bonne baise et parfois une enculade, il s’asseyait à table avec elle pour dîner sans moi. Ensuite il partait. La situation m’excitait malgré tout et je me surpris à coucher avec Lise beaucoup plus souvent qu’avant. L’odeur de sueur et de sperme qu’elle dégageait après les passages de Yanis m’excitaient au plus haut point.
Ce dernier ne semblait pas du tout se lasser de ma femme et ne ratait pas une soirée pour venir la prendre par tous les orifices et m’humilier en prime. Pour le vendredi soir, il décida que nous devions sortir tous les trois pour dîner, il invitait. Il nous emmena dans un restaurant, prenant bien soin de s’assoir avec Lise et de me laisser seul face à eux. Il haussait souvent le ton en parlant, pour essayer de faire parvenir aux oreilles des autres clients, que Lise était en réalité ma femme et qu’il se la tapait. Bien entendu, le message arriva, et tout au long de la soirée, je sentis plusieurs regards nous scruter.
Après le repas, il rentra avec nous, ce qui me surprit.
- Ce soir, je dors chez vous, me dit-il. Bien sûr tu dormiras dans le salon ou dans la chambre d’amis, mais c’est moi qui vais occuper le lit conjugal. Après tout, tu es trop lopette pour être le mari n’est-ce pas ?
Arrivés à la maison, il prit Lise avec lui dans la chambre ou je les entendis baiser pendant près d’une heure avant de le voir sortir la queue à l’air pour aller manger. Il semblait toujours affamé de nourriture et de sexe, et ne semblait pas avoir de limites. J’étais allongé comme un misérable dans le salon, ne pouvant rien faire.
Le lendemain, ma femme lui dit qu’elle avait des courses à faire, il lui dit qu’il l’attendrait à la maison. Au bout de deux heures il s’impatienta.
- Où est-ce qu’elle est ta pute ? Je dois me soulager moi.
Je souris, il ne connaissait pas Lise. Quand elle partait pour des courses, ce n’était jamais pour peu de temps. Mais je sentais que Yanis s’impatientait sérieusement et qu’il commençait à s’énerver. Après une heure d’insultes à mon égard et à l’égard de ma femme absente, il se leva et vint vers moi :
- Je vais me contenter de toi en attendant que ta salope rentre. Déshabille-toi.
Terrifié par son air menaçant, je me suis exécuté.
- Bien, déshabille-moi maintenant.
Déshabiller un colosse qui faisait au moins vingt centimètres de plus que moi n’était pas chose facile mais j’obéis, faisant de mon mieux. Il me prit par le bras et me traina dans la chambre d’amis où il me fit m’allonger sur le dos et vint au-dessus de moi. J’avais la tête entre ses deux jambes puissantes et ses couilles au-dessus de la bouche.
- Vas y pédale, fais ce que tu sais faire de mieux.
Je me mis à lui avaler les couilles, faisant de mon mieux pour satisfaire l’amant de ma femme. Il prenait du plaisir, puis prenant ma tête d’une main, il enfonça sa queue dans ma bouche et continua à me la baiser de cette manière. Avant de se retirer, une lueur de méchanceté dans les yeux.
- Attends, reste ici, j’ai une idée pour toi.
Il sorti pour aller dans notre chambre à coucher et revint avec une robe rouge qui appartenait à Lise.
- Mets ça, me dit-il sur un ton qui n’admettait aucune objection.
Désespéré de pouvoir lui résister, j’ai décidé de l’enfiler. En réalité, Lise était à peine plus petite que moi et j’étais assez maigre, la robe s’enfila facilement.
- Voilà, me dit Yanis satisfait. Là tu es dans ton élément.
Il m’emmena au salon et où il se remit à me baiser la bouche avec les manières les plus avilissantes possibles, me faisant suffoquer, me faisant baver, tachant la belle robe rouge de Lise de salive. Il me mit ensuite dans la fameuse position du facial. Je bandais comme jamais. Il m’envoya plusieurs jets de spermes inondant mon visage. Ce fut à ce moment-là que Lise décida de rentrer.
Elle fut choquée au début de voir une femme en robe rouge, croyant qu’il y avait une nouvelle personne dans la maison, ensuite réalisant que c’était moi, elle fit de son mieux pour paraitre impassible.
- Où est ce que tu étais sale garce ? Lui hurla Yanis, regarde ce que j’ai dû faire à ton homme pour m’occuper.
J’étais à genoux devant l’amant de ma femme qui venait de me souiller et de m’humilier d’une façon inédite devant la femme que j’aimais. Cette dernière m’ignorant complétement, alla voir Yanis et l’embrassa et à pleine bouche.
- Je suis désolé mon chéri, lui dit-elle. Mais tu ne seras pas déçu, j’ai ramené plusieurs tenues sexy que je voudrais essayer avec toi.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais que c'est nul.
Comme d'hab les clichés rapide facile.. le petit cocu blanc qui est une m.... Qui fini par se faire baisé. Qui accepte tout sans dignité...
L'arabe ou le black bien puissant dominant. Et la femme qui n'a aucune compassion, aucune considération pour son soit disant mari.
C'est pathetique, nul. Une belle histoire raciste anti blanc
Comme d'hab les clichés rapide facile.. le petit cocu blanc qui est une m.... Qui fini par se faire baisé. Qui accepte tout sans dignité...
L'arabe ou le black bien puissant dominant. Et la femme qui n'a aucune compassion, aucune considération pour son soit disant mari.
C'est pathetique, nul. Une belle histoire raciste anti blanc
le risque c'est de perdre sa femme, mais marc est devenue une soumise , en s'habillant en femme!!l'épilation totale est recommandée ainsi qu'une cage de chasteté!!
Jusqu'où va aller cette descente aux enfers? Ce Yanis est un prédateur, comme j'en ai rencontré un également. De tels personnages sont destructeurs
J'adore cette série.
Très impatiente que Yanis encule profondément Marc devant Louise, qu'elle entende gémir son mari et qu'elle le voit éjaculer sans se toucher lors de sa sodomie. Peut-être avec l'une des tenues sexy qu'elle vient d'acheter? Merci beaucoup Marc_C
Très impatiente que Yanis encule profondément Marc devant Louise, qu'elle entende gémir son mari et qu'elle le voit éjaculer sans se toucher lors de sa sodomie. Peut-être avec l'une des tenues sexy qu'elle vient d'acheter? Merci beaucoup Marc_C
La connerie humaine continue , bravo le con de misogyne hurle et l'autre se fait marcher dessus ce n'est plus du cuckold la à mon humble avis mais bien 1 agression verbale et la femme la trahit dans le sens ou elle n'a pas defendu son mari.
C'est 1 belle poufiasse. Certaines femmes ont la chance d'avoir des maris ouvert d'esprit et prevenant au lieu d'etre complice de vivre ensemble et de faire les 400 coups , celle la traite son mari comme de la merde.
C'est 1 belle poufiasse. Certaines femmes ont la chance d'avoir des maris ouvert d'esprit et prevenant au lieu d'etre complice de vivre ensemble et de faire les 400 coups , celle la traite son mari comme de la merde.