ll n'y a que le plaisir qui compte dans notre famille 1/2

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : ll n'y a que le plaisir qui compte dans notre famille 1/2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ll n'y a que le plaisir qui compte dans notre famille 1/2
J’en ai beaucoup voulu à mon père lorsqu’il a quitté ma mère, aussi je suis resté avec maman, mais vivre avec deux femmes, c\'est-à-dire avec ma sœur aussi c’est vite devenu intenable, à dix-huit ans je rêvais de liberté et d’aventures, entendre des histoires de nanas, menstruations douloureuses et compagnie à longueur de journée m’a vite insupporté Aussi je n’avais pas le choix, travailler pour quitter le domicile n’était pas évident, alors j’ai ravalé ma rancœur et me suis adressé à ‘papa’ qui m’a gentiment reçu- Tu as bienfait de venir me voir, j’ai envisagé de prendre une maison en location car je vais me mettre à en couple avec Sabine, je vais donc prévoir une chambre pour toi- Tu es sûr que je ne vais pas déranger ?
- Aucunement, Sabine est une femme formidable et compréhensive elle a d’ailleurs une fille de ton âge Ce que n’avait pas précisé mon père c’est que la fille viendrait vivre avec sa mère, j’ai donc été surpris lorsque j’ai déboulé dans cette grande maison, si Sabine est une belle femme Julie est sublime et très sympathique, de suite nous nous somment trouvés des points communs et elle n’a pas de petit copain … moi non plus …Les deux femmes évoluent volontiers de façon décontractée dans la maison, j’ai rapidement pu constater que les poitrines étaient naturelles ! je me suis donc adapté et circulé moi aussi, comme papa, en simple bermuda, je n’ai pas été privé non plus de petites culottes très sexy qui trainent dans la salle de bain, j’en ai même vu une coincée entre deux coussins du canapé... Sans doute ôtée un soir où nous Julie et moi dormions paisiblement dans nos chambres respectivesUn soir ou nos parents étaient sortis au ciné, Julie et moi avons mangé une pizza en regardant un DVD, blottie contre moi mon coude a pu vérifier la fermeté de sa poitrine bien ronde qui ne s’est pas écartée, au contraire elle résiste à ma pression constante, c’est clair Julie ne porte pas de soutien-gorge - Tu as une copine Nicolas ?
- Non, rien d’officiel et toi ?
- No comment, une seule fois, à oublier !
- Ha ….
- Tu ‘l’as’ fait avec des filles de ton âge ?
- Oui, mais sans souvenirs impérissables- C’est con ! à quoi ça tient ?
- Il me semble que je serais plus à l’aise avec une femme plus âgée- Genre, ma mère ?
- Ne te braque pas mais je pense que oui, faire ça avec une femme qui a de l’expérience doit être sublime- Tu as sans doute raison, je ne sais pas pourquoi mais moi aussi je suis attirée par Michaël, ton père, quand j’entends maman crier dans leur chambre je me dis que c’est un bon coup - Peut-être mais c’est insoluble !
- Nicolas ?
- Oui ?
- Et si nous faisions ça ensemble histoire de se prouver si notre théorie est la bonne ?
- Faire l’amour ? carrément, sans sentiments ??
- Sans sentiments… ce n’est pas tout à fait exact, j’éprouve pour toi une certaine attirance - Oui, moi aussi c’est sans doute parce que nous somment proches et habitué à se côtoyer a demi nus ?
- J’sais pas … - Alors testons-nous ? !
- Déshabille moi Nicolas … lentement, met-y du cœur, fait moi oublier ce dépucelage affreux Son regard se voile, nos respirations s’accélèrent lorsque j’ouvre le corsage qui cache sa jolie poitrine nue, Julie soulève ses fesse afin que je tire sur la jupe serrée qui entraine le slip a mi-cuisses, me permettant de voir son abricot a peine poilu, lézardé et luisant , prostré devant ce divin tableau je m’agenouille et fait glisser le dernier obstacle jusqu’aux chevilles , la fille se positionne afin d’être a l’aise pour le cuni que je démarre sans attendre , ma bouche se ventouse a la fente iodée, ma langue perfore les petites lèvres jusqu\'à trouver la source intarissable d’où jaillit la cyprine , Julie me guide par les oreilles pour que je débusque le clitoris , une fois aspiré entre mes lèvres la fille devient incontrôlable, ne surtout plus le lâcher, j’appuis très légèrement mes dents afin de le bloquer et le travailler à ma guise - Salaud ! tu sais faire ! je vais te pisser dans la bouche si tu continues à me faire… tant… de … biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnnnnnn ! oooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !
- Eh bien, pour une fille qui a raté son dépucelage ?
- C’est oublié ! marions nous Nicolas, tu es l’homme de ma vie ! essuie-toi le visage tu es maculé de mouille !
- Non, embrasse-moi …lèche tes sécrétions, prouve que tu n’as aucuns dégouts de l’amour- Mais bien sûr, je vais te nettoyer totalement le visage avant de prendre ta queue dans ma bouche pour une pipe dont tu te souviendras ! ferme les yeux que je nettoie tes paupières - Je dois me rendre à l’évidence, baiser avec une fille de mon âge est sublime !
- J’espère que ta bite sera à la hauteur et dans ce cas-là je rejoins ta conclusion ! hhhuuuummmm la taille de ton membre me convient parfaitement !
- Avale …haaaaaaaaaaaaa, tète moi le bout …aspire, branle-moi …un doigt … met moi un doigt au cul, oooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !
Julie a parfaitement réalisé sa fellation sans perdre une goutte de foutre chaud, ne délaissant jamais mon anus d’un doigt fureteur, elle m’a poussé au fond du canapé pour me chevaucher, mais avant elle s’est laissée glisser sur ma poitrine laissant derrière elle une trainée comme le ferait une limace- Met-moi ta bite, j’ouvre ma chatte … mmmmmmmmmuuuuuuuuummmmmm je te sent biiiiiiiiiieeeeeeeeeennnnnnnnnnn ! ! ne reste pas immobile, fait moi sauter sur ton ventre !
Il faut admettre que nos sexes sont fait l’un pour l’autre, parfaitement emboités, coulissants à merveille entrainant les muqueuses pour des sensations géniales, débouchant logiquement sur un orgasme simultané à défaillir, épuisés, nous nous somment endormis encore enlacés... et ce qui devait arriver, arriva …nos parent nous ont découvert dans cette position, ne permettant aucun doute sur ce qui s’est passé - Léa ? Nicolas ? il est temps de se réveiller !
- Hein ? quoi ? ooooh merde c’est vous ?
- Ce n’est pas ce que vous croyez !
- Bien sûr ! je vais donc nettoyez mes lunettes - Couvrez-vous mais prenez votre temps, ne gâchez pas un si bel acte, - Vous êtes adorables ainsi enlacés, je suppose que c’était formidable pour les deux ?
- Su-bli-me !
- Donc vous allez recommencer ? inutile de faire deux lits dorénavant ?
- Ne vous méprenez pas, c’était un simple test - Et alors ? quel est le verdict ?
- C’est pas mal, mais nous voulons faire l’amour avec des partenaires plus âgés, histoire de comparer …- Et vous pensez trouver facilement ?
- Bien sûr… ici... vous deux ….
- Suis-je bête ! pourquoi n’y ai-je pas pensé ! c’est une plaisanterie Julie ?
- Nous n’avons jamais étés aussi sérieux- Moi avec Sabine et Julie avec toi papa- Ne dites rien maintenant, réfléchissez bien avant de dire non - Laissons les revenir à eux chérie, ils sont encore sous l’effet de la jouissance, nous en reparlerons a tête reposée ce soir les enfants ?
- Ne bougez surtout pas, sinon le canapé va dérouiller grave, je vous apporte une servietteAprès une bonne douche prise ensemble agrémentée de caresses osées, nous pensions que notre idée était utopique, pourtant au sortir de la salle de bain …- Julie, Nicolas, asseyez-vous, nous allons prendre une coupe de champagne - Nous fêtons quoi ?
- Notre union de cet après midi ?
- Ne riez pas l’instant est solennel- Nous avons bien réfléchi vous êtes majeurs et nous… libertins - Libertins ?
- Oui, cet après-midi nous n’étions pas au cinéma mais au sauna mixte - La boite échangiste ?
- Oui, c’est là que nous nous somment connus et nous y avons toujours des amis - Donc vous aussi avez … - Baiser ? oui, d’où les cerne sous les yeux de Sabine - Effectivement, je n’avais pas remarqué !
- Donc, en conclusion, demain c’est samedi - Le samedi tout est permis ?
- Tu ne crois pas si bien dire, le soir j’irais rejoindre Julie dans sa chambre et Sabine viendra te rendre une petite visite dans la tienne- Merde alors … nous somment pris à notre propre piège !
- Une dernière précision, tout est permis … absolument toutCette dernière phrase est lourde de conséquences, Julie devra certainement accepter une sodomie de papa et autres amusements que nous ignorons ?
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