Lolita se fait lever par deux people, et moi avec
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lolita se fait lever par deux people, et moi avec
Et tout le resto n'avait d'yeux que pour la robe de Lolita profondément enfouie entre ses deux fesses.
Fesses globes charnus qui appelaient la main de l'honnête homme, comme cri inouï de Bagdad Café.
Mais tous avaient compris que la messe était dite et que ce seraient ces deux femmes blondes, que l'on connaissait pour leurs documentaires sur la Deux, qui emportaient la mise.
Lolita a filé, légère vers le bassin regarder l'eau bleue et le voilier à la peine qui tirait des bords sans parvenir à remonter le descendant. Elle semblait solidaire de l'équipage de jeunes gars qui s'acharnaient sur les écoutes à tourner les winchs. Nous tous on la matait, silhouette fine au couchant, sur fond de dune claire.
Les deux femmes, voisines de table, m'avaient entrepris et même convaincu de les suivre avec mon amie dans leur villa avec vue sur l'océan, boire une liqueur, assis dans les Airborne orange sur leur terrasse de bois blond.
******************
A la villa Envoyées spéciales, accrochée à la dune face à l'océan, Lolita, dans sa robe claire Princesse tam.tam, est allée au promontoire mater les Amériques loin derrière l'horizon rouge du couchant.
Nous n'avions, les deux femmes et moi, d'yeux que pour ses hanches nappées de popeline fine.
Elle, semblait ailleurs.
Nous, nous étions tous trois en attente. Nous ne savions pas ce qui allait arriver. Nous espérions. Mais nous ne pensions à rien, perdus dans nos songes. Songes d'une nuit d'été, Bergman, ou bien Sourires, Shakespeare.
Lolita s'est retournée vers nous, contre-jour indécent qui montrait en clair obscur ses cuisses à touche avec un point clair haut sous sa touffe. Rouge de couchant mais surtout éclatant d'invite.
Les deux femmes, chez elles, montraient aisance et décontraction.
L'une, la blonde a assemblé les fauteuils de toile rouge tendue sur une arachnée de tube acier noir autour de la table basse acier verre fumé, face à l'océan au delà de l'étroite piscine à débordement.
La piscine n'était qu'une ligne de nage, gauche à droite, face, à son extrémité, à un générateur de remous à contre. Bleue du ciel réfléchi en extension d'horizon face au soleil immense rougeoyant à tangenter la mer.
L'autre, blonde aussi, mais plus grande, probablement plus vieille aussi mais tant botoxée qu'on ne s'en apercevait même pas, apportait les flacons des ivresses du soir, alcools forts et liqueurs branchées.
Izarra verte et jaune, armagnac ténarèze, poire Brana.
Bouteilles largement entamées issues de cave de filles portées sur la picole. Ce n'était pas pour me déplaire.
Lolita s'intéressait aux planches de bois blond de la terrasse. Elle a demandé, est-ce du pin étuvé classe 4 ? Puis elle a décidé de nager. Penchant la tête d'un côté de l'autre, elle a fait glisser les bretelles et nous tournant le dos, a aidé des deux pouces la robe à passer l'obstacle de ses hanches. Son corps n'était pas bronzé et ses fesses parfaitement blanches.
Penchée, genoux raides, elle a ramassé le tissu en couronne autour de ses pieds, levant l'un puis l'autre comme tanguant sur ses hautes jambes.
Tous trois assis profond dans les Airborne rouge n'en perdions pas une miette.
Je me suis retenu de faire l'article et de vanter et la texture et l'arôme le goût la douceur fluide de son intimité plissée ici présentée dans son écrin d'astrakan noir brillant.
Je pensais, c'est à elle de s'offrir ou non aux pulsions des deux filles. Est-elle ambidextre, ma Lolita ?
Lolita a jeté la robe froissée sur un palmier de Chusan et a plongé nue toute droite dans la piscine étroite.
La grande blonde a commuté un inter de Bakélite noire au sol et les turbines ont vrombi en grande écume bouillonnante bleue rouge jaune illuminée des projecteurs sous-marins colorés. Lolita crawlait, fine, musclée, efficiente face au courant artificiel puissant.
Ses fesses blanches émergeaient rondes et claires au devant de ses cuisses battantes. Elle avait choisi de respirer côté mer et nous ne voyions que sa chevelure sombre trempée d'eau basculant dans l'eau au rythme de son souffle.
Quand elle a décidé d'arrêter, elle s'est retournée en planche inerte abandonnée offerte, cuisses ouvertes étoile de mer, repoussée à l'extrémité du bassin par le flux artificiel. Sa touffe sombre dépassait comme un gros paquet d'algues, Sargasse, triangle des Bermudes.
La petite blonde a saisi une serviette et est venue l'accueillir au monter de l'échelle pour couvrir sa nudité.
Nous avions la gorge sèche.
Drapée dans le fouta beige nid d'abeille éponge, aux franges blanches mêlées des poils noirs de son pubis, riante et gaie, Lolita s'ébrouait devant nous.
Les deux filles l'ont invitée à prendre place dans un fauteuil face à l'horizon et à déguster un Lillet frappé.
La petite blonde a même poussé l'élégance jusqu'à couvrir d'un geste furtif la fente juvénile velue d'un rabat d'étoffe pendouillant. Indécence involontaire mais néanmoins troublante, extrêmement troublante...
Lolita était toute abandonnée à son bonheur, yeux languissants et corps offert. Son sourire de petite fille heureuse était une vraie invitation à construire le monde de demain, à lui faire des enfants et à tracer.
Les deux femmes en étaient sur le cul et me regardaient interrogatives, àque est-c'est du vrai ça, c'est-y pas qu'un rêve une espérance un cantique des cantiques ?
J'ai dit, je ne vous dirai rien. Sûr que c'est trop beau pour être vrai. Mais profitez. Comme d'une réalité virtuelle augmentée en jeu vidéo, casque 3D sur le crâne. Souvenez-vous comme on bandait devant Lara Croft et ses nibars 95D et sa vulve charnue tyrannisant le short de toile kakie.
Lolita n'est pas une image, elle est vraie.
Profitez.
Prenez-la, serrez-la dans vos bras. Aimez-la. Faites-vous aimer d'elle. C'est ce que j'ai trouvé de mieux, moi, dans ma relation avec cette fille, me faire aimer d'elle.
Vous rigolez... Mais vous n'avez pas idée du step qu'est le désir soudain d'être apprécié considéré aimé par un androïde.
J'ai compris que j'avais trop parlé. Que j'avais vendu la mèche. Que tout était foutu.
Mais par chance ces filles n'étaient pas, n'avaient pas, été attentives et n'avaient pas relevé l'info donnée, avouée, que Lolita, ma Lolita n'était qu'un androïde.
Elle, est venue à nous, serrée chaste dans son fouta, et a servi les verres de breuvages alcoolisés. Elle se frottait de son corps chaud aux uns et aux autres, distillant empathiquement sexe stupre et convivialité.
Les deux femmes étaient sous le charme et moi, modestement, je bandais ... comme d'ordinaire.
La petite blonde avait le regard vissé sur la braguette de mon pantalon blanc. Elle a levé les yeux, a rencontré les miens et aussitôt, comme si elle avait lu chez moi une sorte de consentement a tendu le bras et posé la main. La chaleur de sa main en coque a conforté mon bien-être.
J'ai pensé, si je me lève maintenant et prends cette fille blonde par la taille pour l'emmener dans la blanche maison de bois, cela voudra dire que j'abandonne Lolita aux appétits de cette grande blonde. Saura-t-elle, ma Lolita, se garder de propositions indécentes ?
Mais Lolita m'a jeté un regard sans équivoque. Et il m'a fallu obtempérer.
J'ai pris la tangente, main dans la main de la petite blonde, bitos dressé comme étendard, oublieux du destin de ma dulcinée.
La fille n'était pas causante et vu que moi je suis taiseux, je ne raconterai rien des ébats de la nuit. En revanche, au lendemain j'ai tout su des amours torrides de la copine avec mon sextoy.
Vous savez pourquoi ?
Parce que Lolita m'a volé, au matin, ce qui était jusqu'alors ma prérogative.
Pendant que la maisonnée dormait, elle a profité...
Voilà ... vous faudra attendre le prochain épisode pour connaître ce retournement de situation. À bientôt sur HDS.
Fesses globes charnus qui appelaient la main de l'honnête homme, comme cri inouï de Bagdad Café.
Mais tous avaient compris que la messe était dite et que ce seraient ces deux femmes blondes, que l'on connaissait pour leurs documentaires sur la Deux, qui emportaient la mise.
Lolita a filé, légère vers le bassin regarder l'eau bleue et le voilier à la peine qui tirait des bords sans parvenir à remonter le descendant. Elle semblait solidaire de l'équipage de jeunes gars qui s'acharnaient sur les écoutes à tourner les winchs. Nous tous on la matait, silhouette fine au couchant, sur fond de dune claire.
Les deux femmes, voisines de table, m'avaient entrepris et même convaincu de les suivre avec mon amie dans leur villa avec vue sur l'océan, boire une liqueur, assis dans les Airborne orange sur leur terrasse de bois blond.
******************
A la villa Envoyées spéciales, accrochée à la dune face à l'océan, Lolita, dans sa robe claire Princesse tam.tam, est allée au promontoire mater les Amériques loin derrière l'horizon rouge du couchant.
Nous n'avions, les deux femmes et moi, d'yeux que pour ses hanches nappées de popeline fine.
Elle, semblait ailleurs.
Nous, nous étions tous trois en attente. Nous ne savions pas ce qui allait arriver. Nous espérions. Mais nous ne pensions à rien, perdus dans nos songes. Songes d'une nuit d'été, Bergman, ou bien Sourires, Shakespeare.
Lolita s'est retournée vers nous, contre-jour indécent qui montrait en clair obscur ses cuisses à touche avec un point clair haut sous sa touffe. Rouge de couchant mais surtout éclatant d'invite.
Les deux femmes, chez elles, montraient aisance et décontraction.
L'une, la blonde a assemblé les fauteuils de toile rouge tendue sur une arachnée de tube acier noir autour de la table basse acier verre fumé, face à l'océan au delà de l'étroite piscine à débordement.
La piscine n'était qu'une ligne de nage, gauche à droite, face, à son extrémité, à un générateur de remous à contre. Bleue du ciel réfléchi en extension d'horizon face au soleil immense rougeoyant à tangenter la mer.
L'autre, blonde aussi, mais plus grande, probablement plus vieille aussi mais tant botoxée qu'on ne s'en apercevait même pas, apportait les flacons des ivresses du soir, alcools forts et liqueurs branchées.
Izarra verte et jaune, armagnac ténarèze, poire Brana.
Bouteilles largement entamées issues de cave de filles portées sur la picole. Ce n'était pas pour me déplaire.
Lolita s'intéressait aux planches de bois blond de la terrasse. Elle a demandé, est-ce du pin étuvé classe 4 ? Puis elle a décidé de nager. Penchant la tête d'un côté de l'autre, elle a fait glisser les bretelles et nous tournant le dos, a aidé des deux pouces la robe à passer l'obstacle de ses hanches. Son corps n'était pas bronzé et ses fesses parfaitement blanches.
Penchée, genoux raides, elle a ramassé le tissu en couronne autour de ses pieds, levant l'un puis l'autre comme tanguant sur ses hautes jambes.
Tous trois assis profond dans les Airborne rouge n'en perdions pas une miette.
Je me suis retenu de faire l'article et de vanter et la texture et l'arôme le goût la douceur fluide de son intimité plissée ici présentée dans son écrin d'astrakan noir brillant.
Je pensais, c'est à elle de s'offrir ou non aux pulsions des deux filles. Est-elle ambidextre, ma Lolita ?
Lolita a jeté la robe froissée sur un palmier de Chusan et a plongé nue toute droite dans la piscine étroite.
La grande blonde a commuté un inter de Bakélite noire au sol et les turbines ont vrombi en grande écume bouillonnante bleue rouge jaune illuminée des projecteurs sous-marins colorés. Lolita crawlait, fine, musclée, efficiente face au courant artificiel puissant.
Ses fesses blanches émergeaient rondes et claires au devant de ses cuisses battantes. Elle avait choisi de respirer côté mer et nous ne voyions que sa chevelure sombre trempée d'eau basculant dans l'eau au rythme de son souffle.
Quand elle a décidé d'arrêter, elle s'est retournée en planche inerte abandonnée offerte, cuisses ouvertes étoile de mer, repoussée à l'extrémité du bassin par le flux artificiel. Sa touffe sombre dépassait comme un gros paquet d'algues, Sargasse, triangle des Bermudes.
La petite blonde a saisi une serviette et est venue l'accueillir au monter de l'échelle pour couvrir sa nudité.
Nous avions la gorge sèche.
Drapée dans le fouta beige nid d'abeille éponge, aux franges blanches mêlées des poils noirs de son pubis, riante et gaie, Lolita s'ébrouait devant nous.
Les deux filles l'ont invitée à prendre place dans un fauteuil face à l'horizon et à déguster un Lillet frappé.
La petite blonde a même poussé l'élégance jusqu'à couvrir d'un geste furtif la fente juvénile velue d'un rabat d'étoffe pendouillant. Indécence involontaire mais néanmoins troublante, extrêmement troublante...
Lolita était toute abandonnée à son bonheur, yeux languissants et corps offert. Son sourire de petite fille heureuse était une vraie invitation à construire le monde de demain, à lui faire des enfants et à tracer.
Les deux femmes en étaient sur le cul et me regardaient interrogatives, àque est-c'est du vrai ça, c'est-y pas qu'un rêve une espérance un cantique des cantiques ?
J'ai dit, je ne vous dirai rien. Sûr que c'est trop beau pour être vrai. Mais profitez. Comme d'une réalité virtuelle augmentée en jeu vidéo, casque 3D sur le crâne. Souvenez-vous comme on bandait devant Lara Croft et ses nibars 95D et sa vulve charnue tyrannisant le short de toile kakie.
Lolita n'est pas une image, elle est vraie.
Profitez.
Prenez-la, serrez-la dans vos bras. Aimez-la. Faites-vous aimer d'elle. C'est ce que j'ai trouvé de mieux, moi, dans ma relation avec cette fille, me faire aimer d'elle.
Vous rigolez... Mais vous n'avez pas idée du step qu'est le désir soudain d'être apprécié considéré aimé par un androïde.
J'ai compris que j'avais trop parlé. Que j'avais vendu la mèche. Que tout était foutu.
Mais par chance ces filles n'étaient pas, n'avaient pas, été attentives et n'avaient pas relevé l'info donnée, avouée, que Lolita, ma Lolita n'était qu'un androïde.
Elle, est venue à nous, serrée chaste dans son fouta, et a servi les verres de breuvages alcoolisés. Elle se frottait de son corps chaud aux uns et aux autres, distillant empathiquement sexe stupre et convivialité.
Les deux femmes étaient sous le charme et moi, modestement, je bandais ... comme d'ordinaire.
La petite blonde avait le regard vissé sur la braguette de mon pantalon blanc. Elle a levé les yeux, a rencontré les miens et aussitôt, comme si elle avait lu chez moi une sorte de consentement a tendu le bras et posé la main. La chaleur de sa main en coque a conforté mon bien-être.
J'ai pensé, si je me lève maintenant et prends cette fille blonde par la taille pour l'emmener dans la blanche maison de bois, cela voudra dire que j'abandonne Lolita aux appétits de cette grande blonde. Saura-t-elle, ma Lolita, se garder de propositions indécentes ?
Mais Lolita m'a jeté un regard sans équivoque. Et il m'a fallu obtempérer.
J'ai pris la tangente, main dans la main de la petite blonde, bitos dressé comme étendard, oublieux du destin de ma dulcinée.
La fille n'était pas causante et vu que moi je suis taiseux, je ne raconterai rien des ébats de la nuit. En revanche, au lendemain j'ai tout su des amours torrides de la copine avec mon sextoy.
Vous savez pourquoi ?
Parce que Lolita m'a volé, au matin, ce qui était jusqu'alors ma prérogative.
Pendant que la maisonnée dormait, elle a profité...
Voilà ... vous faudra attendre le prochain épisode pour connaître ce retournement de situation. À bientôt sur HDS.
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