Lolita se fringue
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Lolita se fringue
Jpj, Helsinki juin 2015
Devant moi, elle a enjambé sa culotte, l’a ramassée et a essuyé la goutte sous sa touffe. Et puis elle m'a tendu le slip blanc en me disant, de sa voix rauque à la Marlène Dietrich, donne m'en une propre, une culotte propre, s'il te plait.
Devant mon air étonné dubitatif, elle a dit, mets ton nez dedans, tu verras, faut vraiment.
Moi, des culottes de gonzesse j'ai pas ça dans mes placards, j'étais assez gêné, presque ennuyé.
Elle a dit, regarde y'a une boutique tam.tam pas loin de chez toi, je vois ça sur Google Map, allons-y.
Moi je pensais, le vendeur m'a arnaqué avec cet androïde, me disait, ya pas de frais sauf rien que le courant électrique, un hubot ça ne mange pas et pour le reste nous assurons l'entretien et les révisions périodiques.
Elle a tout de suite compris que ma réticence était d'ordre pécunier, que j'étais pingre et que je rechignais à dépenser pour elle, pour la vêtir.
J'ai quand même téléphoné au SAV pour me plaindre. La fille qui m'a répondu était de Marrakech, un plateau téléphonique. Elle m'a dit quel temps fait-il chez vous, nous ici on est toutes à poil au soleil et aucune ne penserait à acheter une culotte, d'ailleurs les magasins du coin ne vendent pas ce genre d'article. Si vous voulez vérifier vous serez le bienvenu, et pas la peine d'amener votre sextoy on saura vous épanouir sans ça.
Faut reconnaître que quand ils font, après, une enquête de satisfaction, on a du mal à donner une mauvaise note...
J'ai pensé, bon je peux quand même lui payer une culotte, un bout de tissu de quelques centimètres carré ne me ruinera pas. Surtout que, c'est vrai, si elle n'a pas besoin de manger je vais faire de grosses économies de resto, de bouffe et autres dépenses.
On est allé à pied à la boutique Princesse, c'était juste à coté. Heureusement que ce n'était pas loin car cette gamine, lieu de marcher normalement comme une grande, avait pris allure de trot et sautait en bonds cadencés sur ses deux pieds, faisant virevolter sa jupette plissée à chaque pas.
Sans conscience que la raison pour laquelle nous allions à cette boutique était justement qu'elle n'avait pas de culotte. Et offrant à chaque bond aux populations avoisinantes vue imprenable jupe troussée, un instant à chaque fois, sur ses fesses rebondies.
Les quelques voisins que j'ai croisés sur le chemin m'ont tous fait petit signe discret pouce levé et participation à ma veine.
Le magasin Princesse tam.tam était super bien achalandé, que de petites clientes dix-quinze ans, brunes blondes rousses mais toutes avec petit cul rond et poitrine grand format, Bimbettes.
La vendeuse qui nous a pris en main a commencé par me chambrer, elle a dit, chuchotis, en tutoyant Lolita, c'est papy qui paye ?
Lolita a été très classe et a remis en place la petite conne en levant sa jupette elle a dit, va trouve déjà à emballer ce foin-là et tu causeras après.
Faut reconnaître que cette luxuriance était surprenante sur une gamine. On pensait à la Nastassja Kinski, treize ans et déjà la forêt vierge, de Faux Mouvement le film de Wenders dix ans avant ParisTexas.
Ma Mastercard en avait des frissons mais ma bite tendue se faisait une raison.
Lolita voulait tout essayer, les slips, les culottes, les boxer, les tangas, les strings, les shorts et surtout les shorty brésiliens.
Elle ne passait même pas dans la cabine, enfilant et défilant en cadence, tout en offrant au grand miroir ses cuisses et sa jupe relevée pour avis critique.
La vendeuse croulait sous les culottes rejetées qu'il allait lui falloir défroisser et re-ranger sur les présentoirs.
Moi je pensais, ces culottes longuement et multiplement essayées semaine après semaine dans la chaleur de l’été par tant de jeunes filles, ces goussets légers buvards de dizaines d'intimités côtoyées, sont de petits tableaux surréalistes impressionnistes qui disent l'air du temps.
Nina Ricci, L'Air du Temps, non ? Le nom d'un parfum bien sûr...
Et moi dans ma tête, ça vagabondait drôlement…
Elle s’est brusquement retournée vers moi et a dit, fort, tout le monde dans la boutique l’a entendu, papy je vais te faire faire des économies, je n’achète rien je resterai la fente le cul à l’air libre, faudra te tenir, hein ?
Moi j’étais doublement content, d’abord j’allais échapper au découvert bancaire, ensuite et surtout je me préparais à de longues promenades urbaines avec au bras une bimbette à faire bander tous les pensionnaires de Douce France, la maison de retraite d’à coté et aussi tous les gars du quartier.
Je pensais, je vais me faire des copains, plein de copains.
On est retournés chez moi bredouilles de culotte apte à emballer son minou. J’étais bien contrit car, pour rentrer, elle a repris ce pas sautant qui faisait voler à chaque bond sa jupette et exposait aux spectateurs, massés le long du parcours, sa motte charnue lourdement habillée d’une touffe néandertalienne.
Elle m’a dit, t’a vu l’effet qu’on leur fait ?
Moi je pensais, l’effet j’y suis pour rien, c’est surtout toi qui le fait, l’effet…
On est arrivés de retour à la maison et je l’ai fait remonter
Vous voulez la suite ?
Je m'en doute à voir vos braguettes gonflées à péterAlors, attendez le prochain épisode de Lolita l'androïde aux tétés blancs roses rondsAttrayantsQue je suce présentement À l'africaine, en bandant.
A que oui.
Devant moi, elle a enjambé sa culotte, l’a ramassée et a essuyé la goutte sous sa touffe. Et puis elle m'a tendu le slip blanc en me disant, de sa voix rauque à la Marlène Dietrich, donne m'en une propre, une culotte propre, s'il te plait.
Devant mon air étonné dubitatif, elle a dit, mets ton nez dedans, tu verras, faut vraiment.
Moi, des culottes de gonzesse j'ai pas ça dans mes placards, j'étais assez gêné, presque ennuyé.
Elle a dit, regarde y'a une boutique tam.tam pas loin de chez toi, je vois ça sur Google Map, allons-y.
Moi je pensais, le vendeur m'a arnaqué avec cet androïde, me disait, ya pas de frais sauf rien que le courant électrique, un hubot ça ne mange pas et pour le reste nous assurons l'entretien et les révisions périodiques.
Elle a tout de suite compris que ma réticence était d'ordre pécunier, que j'étais pingre et que je rechignais à dépenser pour elle, pour la vêtir.
J'ai quand même téléphoné au SAV pour me plaindre. La fille qui m'a répondu était de Marrakech, un plateau téléphonique. Elle m'a dit quel temps fait-il chez vous, nous ici on est toutes à poil au soleil et aucune ne penserait à acheter une culotte, d'ailleurs les magasins du coin ne vendent pas ce genre d'article. Si vous voulez vérifier vous serez le bienvenu, et pas la peine d'amener votre sextoy on saura vous épanouir sans ça.
Faut reconnaître que quand ils font, après, une enquête de satisfaction, on a du mal à donner une mauvaise note...
J'ai pensé, bon je peux quand même lui payer une culotte, un bout de tissu de quelques centimètres carré ne me ruinera pas. Surtout que, c'est vrai, si elle n'a pas besoin de manger je vais faire de grosses économies de resto, de bouffe et autres dépenses.
On est allé à pied à la boutique Princesse, c'était juste à coté. Heureusement que ce n'était pas loin car cette gamine, lieu de marcher normalement comme une grande, avait pris allure de trot et sautait en bonds cadencés sur ses deux pieds, faisant virevolter sa jupette plissée à chaque pas.
Sans conscience que la raison pour laquelle nous allions à cette boutique était justement qu'elle n'avait pas de culotte. Et offrant à chaque bond aux populations avoisinantes vue imprenable jupe troussée, un instant à chaque fois, sur ses fesses rebondies.
Les quelques voisins que j'ai croisés sur le chemin m'ont tous fait petit signe discret pouce levé et participation à ma veine.
Le magasin Princesse tam.tam était super bien achalandé, que de petites clientes dix-quinze ans, brunes blondes rousses mais toutes avec petit cul rond et poitrine grand format, Bimbettes.
La vendeuse qui nous a pris en main a commencé par me chambrer, elle a dit, chuchotis, en tutoyant Lolita, c'est papy qui paye ?
Lolita a été très classe et a remis en place la petite conne en levant sa jupette elle a dit, va trouve déjà à emballer ce foin-là et tu causeras après.
Faut reconnaître que cette luxuriance était surprenante sur une gamine. On pensait à la Nastassja Kinski, treize ans et déjà la forêt vierge, de Faux Mouvement le film de Wenders dix ans avant ParisTexas.
Ma Mastercard en avait des frissons mais ma bite tendue se faisait une raison.
Lolita voulait tout essayer, les slips, les culottes, les boxer, les tangas, les strings, les shorts et surtout les shorty brésiliens.
Elle ne passait même pas dans la cabine, enfilant et défilant en cadence, tout en offrant au grand miroir ses cuisses et sa jupe relevée pour avis critique.
La vendeuse croulait sous les culottes rejetées qu'il allait lui falloir défroisser et re-ranger sur les présentoirs.
Moi je pensais, ces culottes longuement et multiplement essayées semaine après semaine dans la chaleur de l’été par tant de jeunes filles, ces goussets légers buvards de dizaines d'intimités côtoyées, sont de petits tableaux surréalistes impressionnistes qui disent l'air du temps.
Nina Ricci, L'Air du Temps, non ? Le nom d'un parfum bien sûr...
Et moi dans ma tête, ça vagabondait drôlement…
Elle s’est brusquement retournée vers moi et a dit, fort, tout le monde dans la boutique l’a entendu, papy je vais te faire faire des économies, je n’achète rien je resterai la fente le cul à l’air libre, faudra te tenir, hein ?
Moi j’étais doublement content, d’abord j’allais échapper au découvert bancaire, ensuite et surtout je me préparais à de longues promenades urbaines avec au bras une bimbette à faire bander tous les pensionnaires de Douce France, la maison de retraite d’à coté et aussi tous les gars du quartier.
Je pensais, je vais me faire des copains, plein de copains.
On est retournés chez moi bredouilles de culotte apte à emballer son minou. J’étais bien contrit car, pour rentrer, elle a repris ce pas sautant qui faisait voler à chaque bond sa jupette et exposait aux spectateurs, massés le long du parcours, sa motte charnue lourdement habillée d’une touffe néandertalienne.
Elle m’a dit, t’a vu l’effet qu’on leur fait ?
Moi je pensais, l’effet j’y suis pour rien, c’est surtout toi qui le fait, l’effet…
On est arrivés de retour à la maison et je l’ai fait remonter
Vous voulez la suite ?
Je m'en doute à voir vos braguettes gonflées à péterAlors, attendez le prochain épisode de Lolita l'androïde aux tétés blancs roses rondsAttrayantsQue je suce présentement À l'africaine, en bandant.
A que oui.
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