LOUIS, SOLVEIG, ASHLEY ET LES AUTRES
Récit érotique écrit par Galileo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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LOUIS, SOLVEIG, ASHLEY ET LES AUTRES
LOUIS, SOLVEIG, ASHLEY ET LES AUTRES
Délire librement inspiré de mes lecture d’histoires cochonnes.
Louis se présenta à l'adresse indiquée. La maison se trouvait à la limite d'un quartier résidentiel dans lequel toutes les maisons étaient protégées par des haies de deux mètres. Quoique ayant de l'allure, elle ne se distinguait pas particulièrement des autres. Comme on le lui avait indiqué, il y arriva à pied, discrètement par le petit chemin de derrière de façon à ce que personne ne puisse remarquer son arrivée, certainement pour que les voisins ne remarquent pas des allées et venues d'hommes seuls.
Une fois sous le porche, il sonna tout en regardant autour de lui. Personne ne pouvait l'apercevoir de la rue. Il attendit quelques minutes et comme personne ne venait lui ouvrir, il sonna de nouveau. Un peu inquiet, il se demandait s'il ne s'était pas trompé de maison, Vérifia pour la dixième fois que le numéro sur le pilier du porche correspondait avec celui qu'on lui avait donné. Il remarqua alors la caméra qui le filmait. Ne sachant quelle attitude prendre, il songeait déjà à repartir lorsqu'il entendit un bruit de pas se rapprochant de la porte. Son cœur se mit à battre plus fort.
La porte s'ouvrit et il reconnut Ashley, la femme qui l'avait abordé. Elle le fit entrer et le guida jusqu'à une porte dans le couloir. Le fit entrer en lui disant.
Entre assieds-toi et attends en silence, la maîtresse viendra lorsqu'elle l'aura décidé. À ta place, je ne serais pas trop pressé.
Il entra dans une petite pièce plutôt sombre et vit immédiatement qu'il n'était pas seul, trois hommes déjà étaient assis sur des chaises apparemment pas très confortables. Contrarié, il s'assit, il n'avait jamais été dit que son stage d'esclavage se ferait en groupe. Se rappelant que la consigne était de se taire, il n'osa pas poser de question. Son cœur battait la chamade, n'avait-il pas fait une folie en acceptant la proposition de la jeune femme ?
Pas très rassuré, mais se disant que c'était maintenant ou jamais, il décida de ne rien décider et d'attendre la suite. Dans la pièce, l'atmosphère était pesante, chacun observait l'autre du coin de l'œil, on aurait pu entendre une mouche voler.
L'attente dura encore quelques temps, Louis ne se rappelle plus si ce fut long ou si ce fut court, tant il désirait mais craignait en même temps connaître la suite. Les quatre hommes s'observaient en douce, ils s'évaluaient entre eux sachant qu'ils risquaient d'être en concurrence très bientôt. Il y avait un grand blond que Louis surnomma pour lui-même "le viking", un petit vieux, chauve et bedonnant d'une cinquantaine d'années "le petit gros" et un jeune éphèbe d'une vingtaine d'années.
Enfin, ils entendirent des hauts talons marteler le carrelage du couloir, Louis se sentit pâlir, les autres n'en menaient pas plus large. Les pas s'arrêtèrent juste derrière la porte, le cou tendu, ils attendaient avec inquiétude de voir la porte s'ouvrir. Cela ne tarda pas et Solveig entra simplement, habillée comme une bourgeoise lambda, à l'aise, une courte jupe moulante, un pull moulant lui aussi, et un décolleté laissant apparaître la naissance des seins. Elle n'était pas très grande, c'est sans doute pour cela qu'elle portait des chaussures aux talons interminables. Toute en courbe, elle aurait pu servir de modèle pour des mangas érotique.
D'une voix calme, un sourire discret aux coins des lèvres. Elle salua ses stagiaires.
- Bonjour à tous, c'est bien, je vois que vous avez été sage, depuis que vous êtes entré, je vous ai observé grâce à cette caméra dit-elle en montrant un minuscule objectif planqué dans coin du mur.
Le ton calme et débonnaire de Solveig sembla rassurer l'assemblée, Louis se dit que peut-être était-ce le moment de faire remarquer qu'il aurait préféré être seul avec elle pour ce stage si particulier. À peine avait-il ouvert la bouche que Solveig, l'œil subitement assombri, une expression dure sur le visage l'apostropha.
- T'ais-je autorisé à parler, sache qu'ici, c'est moi qui décide, dorénavant, toi comme les autres, vous ne prendrez la parole qu'avec ma permission, est-ce bien compris ?
Après une longue minute d'un silence pesant, elle reprit.
- S'il y en a à qui cela ne plaît pas, je ne les retiens pas, la porte se trouve par-là dit-elle en indiquant la sortie.
Les quatre hommes présents baissèrent la tête. Solveig continua.
Quand je pose une question, j'exige que vous me répondiez. Un "Oui, maîtresse divine" me conviendra tout à fait, c'est compris espèces de larve.
- Oui maîtresse divine murmurèrent-ils dans une cacophonie comique.
- Je n'ai rien entendu, plus fort, avec de la conviction !
- Oui maîtresse divine ! Clamèrent-ils tous aussitôt. Le dressage avait déjà commencé.
- Très bien, suivez-moi dans le salon.
Suivant leur maîtresse à la queue leu leu, ils traversèrent le couloir pour entrer dans un séjour salle à manger lumineux qui devait faire au moins cent mètres carrés. Les grandes baies vitrées laissaient voir un jardin pas très grand mais au milieu duquel trônait une superbe piscine et une grande terrasse ou il devait faire bon se prélasser à l'ombre des grands arbres.
Elle emmena tout son monde au milieu de la pièce ou se trouvait déjà Ashley, les faisant se mettre en cercle autour d'un grand tapis et leur ordonnant avec une voix douce et, de nouveau, son sourire enchanteur.
- Tous à poil, vite.
Sans se regarder, les hommes entreprirent de déshabiller, ils n'étaient pas trop surpris sachant qu'il s'agissait là d'un rituel auquel ils pouvaient s'attendre. Le plus rapide fut le petit bedonnant. Solveig, s'adressant à lui.
- Va me chercher la badine las bas dans le canapé.
Le bonhomme s'exécuta, et d'instinct, s'agenouilla respectueusement devant la maîtresse qui aurait pu être sa fille, et lui tendit la badine respectueusement posée sur ses mains.
- Très bien, je vois que tu es déjà dégrossit, tu peux me baiser les pieds, prenez-en de la graine vous autres dit-elle.
Louis prit ce compliment fait à un autre comme une réprobation et ressentit involontairement une pointe de jalousie. Heureusement, quelque instant plus tard, Solveig repoussa l'homme de la pointe de la chaussure. Celui-ci se releva et la maîtresse, du bout de la badine, souleva le sexe de l'homme et, avec un sifflement admiratif.
- Dit donc, tu n'as pas l'air comme ça, mais tu es sacrément bien monté ! Ton compagnon en esclavage va être jaloux dit-elle en désignant le géant blond.
Le géant baissa la tête, c'est vrai que, comparer à la verge du petit gros, sa verge paraissait ridicule. Mais il semblait à Louis qu'il était dans les normes. Ce ne devait être qu'une provocation de la maîtresse pour prendre l'ascendant, ils devaient tous s'attendre à ce genre de remarque qui vous met minable. Solveig renvoya le petit gros à sa place d'un geste directif appuyé d'un méchant coup de badine sur les fesses.
S'adressant à tous.
- Vous venez d'avoir un exemple de ma façon de diriger mes esclaves. Maintenant, que vous êtes candidat pour faire partie de mon cheptel, sachez que je fais ce que je veux de vous et avec vous. Vous n'avez plus aucun droit sauf celui de satisfaire mes désirs. Mes caprices sont pour vous des ordres qu'il faut satisfaire immédiatement par tous les moyens, sans réfléchir et cela, quelles que soient les difficultés que cela vous pose. Cela vous semble-t-il clair ?
- Oui maîtresse divine !
- Très bien, quelques précisions. Certains parfois estiment que le régime ici est trop dur, alors, il peut être tenté de réagir violemment surtout qu'ils pensent pouvoir prendre le dessus sur un petit bout de bonne femme comme moi. Je les préviens tout de suite. La maison est truffée de caméra, derrière ces caméras, il y a quelqu'un qui surveille en permanence vos réactions. D'autre part, sachez dès maintenant que je m'entraîne régulièrement à différents arts martiaux, mais ce n'est pas tout.
Elle claqua des doigts, aussitôt la porte s'ouvrit, un gaillard d'au moins deux mètres et de cent trente kilos surgit.
- Personne n'a jamais réussi à le maîtriser et il m'est tout dévoué, sur un simple coup de menton de ma part, il peut réduire en bouillie quiconque me voudrait du mal. Ceci dit, je suis sûre que personne n'aura d'idées sournoises. Mais il possible que certain ne supporte pas leur esclavage, volontaire je vous le rappelle, alors, si vous pensez être à l'extrémité de votre résistance et désirez mettre fin à l'expérience, il vous suffira de prononcer un mot, le mot "Karaoké" et aussitôt, vous êtes libre de partir sans avoir d'autres explications à donner. Sachez cependant que si vous utilisez ce mot, vous ne pourrez plus revenir à ce stage pendant une durée minimum de trois mois et si par la suite vous réutilisez ce mot, vous en serez définitivement exclus. Sommes-nous bien d'accord.
- Oui, Maîtresse divine !
- Très bien ! D'un geste, elle renvoya le cerbère.
- Je vais maintenant vous donner quelques conseils et consignes que vous serez bien avisé de suivre le plus scrupuleusement possible.
Les quatre esclaves étaient suspendus à ses lèvres, s'adressant au plus jeune d'entre eux, le beau jeune homme, elle lui ordonna de lui offrir une cigarette du paquet qui se trouvait sur la petite table du salon. Le jeune homme s'exécuta servilement, il l'alluma et reçu même un merci auquel il ne s'attendait pas. De son sourire le plus charmeur, Solveig lui ordonna de se mettre à genoux légèrement en retrait d'elle, de la suivre dans cette position partout où elle allait et de garder la bouche ouverte en regardant le plafond de façon à ce qu'elle puisse y jeter les cendres de sa cigarette. Elle continua.
- J'exige de mes esclaves qu'ils soient à mon service à cent pour cent, qu'ils n'aient qu'une seule obsession, mon bon plaisir. J'aime qu'ils soient serviles jusqu'à l'abjection, vous ne devez plus avoir d'amour propre, toute hésitation à exécuter un ordre sera l'objet d'une punition, au moindre refus, c'est la porte.
Tout en parlant, la maîtresse marchait devant les esclaves qui ne savaient qu'elle attitude prendre, toujours suivi par le jeunot à genoux. De temps en temps, elle secouait sa cigarette au-dessus la bouche grande ouverte. Devant chacun d'entre eux, elle avait des attentions particulières. Par exemple, avec sa badine, elle souleva la queue en berne de Louis, lui frappa le torse en lui faisant remarquer qu'elle était déçue de lui faire si peu d'effet tout en mettant sa virilité en doute. Au viking, elle attrapa les bourses et les tordis jusqu'à que celui-ci la supplie d'arrêter, le traitant de poule mouillée, là aussi il eut droit au coup de badine dans le dos, la badine semblait être un instrument qu'elle affectionnait particulièrement. Elle continua à énumérer ses exigences.
- En ce qui concerne les punitions, j'ai étudié soigneusement vos dossiers, je sais ce qui vous plaît, ce qui vous motive, ce qui ne vous plaît pas et ce que vous ne voulez pas faire à aucun prix. Soyez tranquille, je ne demande jamais à un esclave de faire ce qui le répugne, nous sommes ici pour jouer, un jeu bizarre peut-être, mais un jeu dont la finalité est en générale sexuelle. Les punitions consistent à faire ce que vous n'aimez pas, même et surtout si, ce qui ne vous plaît pas, plaît énormément à un de vos pairs.
Elle s'arrêta devant le petit gros, en fit le tour doucement toujours suivi servilement par le jeunot à genoux.
Sa cigarette se terminait, la prenant entre le pouce et l'index, elle la déposa dans la main du jeunot et lui ordonna d'aller la jeter dans le cendrier. Complètement hypnotisé par la maîtresse, le jeune homme ne poussa même pas un cri alors que le mégot au bout incandescent devait le faire souffrir et s'exécuta sans mot dire. Au retour, ne sachant quelle attitude prendre, il se remit à genoux derrière sa maîtresse, celle-ci le renvoya s'aligner avec les autres.
S'adressant au petit gros d'un air protecteur.
- Toi, petit veinard... approche et descend ma petite culotte. Doucement.
Après toutes ces mises en garde, le bonhomme ne s'attendait pas à une telle chance, il se jeta, plus qu'il ne s'agenouilla aux pieds de la maîtresse, avec beaucoup d'hésitations, craignant un piège, il glissa délicatement ses mains sous la jupe. Tâche ardue tant la jupe était moulante. Elle l'aida en soulevant sa jupe jusqu'aux hanches, le petit gros n'en revenait pas, il avait le visage à dix centimètres du pubis de la jeune femme, et sentit poindre une petite érection. Il descendit précautionneusement la petite culotte blanche, lorsqu'il arriva en bas, elle l'enjamba.
Regardant les esclaves, elle reprit son air sévère, air que les soumis commençaient à craindre sachant que la suite pouvait être méchante.
- Bande de chiens, ça ne vous dérange pas de regarder mes fesses avec cet air lubrique. À genoux, face contre terre. Dorénavant, à chaque fois que vous me verrez le cul à l'air, et ça arrive souvent, j'aime me promener à poil partout dans la maison, vous aller baisser les yeux et vous prosterner face contre terre jusqu'à ce que je quitte l'endroit ou que je vous autorise à vous relever. Compris ?
- Oui, maîtresse divine
Les quatre esclaves se précipitèrent à genoux pendant que la maîtresse accompagnait ses paroles de violents coups de badine sur les dos offerts. Dix minutes plus tard, enfin calmée, elle posa un pied victorieux sur le dos du viking pour marquer sa supériorité. Curieusement, malgré les coups, les esclaves commençaient à bander, sans doute la perspective de voir souvent leur maîtresse nue, même furtivement. Ce qu'il avait vu les encourageait dans leurs fantasmes.
S'adressant au petit gros.
- Prend cette petite culotte et suce la bien pour t'imprégner de mon odeur, cela fait trois jours que je la porte en me disant que cela fera le bonheur de quelqu'un, tu as de chance, ça tombe sur toi.
Réajustant sa jupe, elle s'adressa à tous.
- Je n'ai plus grand chose à vous dire pour l'instant, je ne manquerais pas de vous savoir la suite de mes désiratas en temps utile. Maintenant, il faut en revenir aux contraintes terrestres. Je vais aller faire des courses, l'un d'entre vous aura le privilège de m'accompagner et il a intérêt à avoir sa carte bleue sur lui. Y a-t-il des questions ?
Il y avait certainement des questions, mais les hommes étaient plutôt abasourdis par ce début d'esclavage plutôt musclé. Et ils n'avaient encore rien vu. Surpris qu'on leur demande leur avis. Ils se regardèrent. Les uns répondant par un non timide, les autres agitant la tête de gauche à droite. Louis esquissa un inaudible " non, maîtresse divine".
- Non qui ? Elle avait repris son air méchant, celui qui leur faisait si peur.
Tous en cœur.
- Non, maîtresse divine.
- C'est bon pour cette fois, je n'ai plus le temps de m'occuper de vous, rassurez-vous, ce n'est que partie remise. Pendant mon absence, comme il n'est pas bon qu'un esclave reste oisif, vous serez à la disposition de Ashley qui a quelques tâches ménagères en retard.
Le jeunot s'est vu confier la confection du repas de la maîtresse, elle n'avait rien prévu pour les esclaves. Le viking, après s'être affublé d'un petit tablier blanc pour cacher son sexe et d'un plug dans le cul, fut chargé de faire les poussières dans toute la maison. Louis, pour sa part fut chargé de tondre la pelouse et de nettoyer la piscine. C'est le petit gros qui fut choisi pour accompagner la maîtresse.
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Deux heures plus tard. Les trois esclaves entendirent le crissement des pneus de la voiture qui revenait des courses. Aussitôt, ils redoublèrent d'activité, anxieux de finir leur travail sans que l'on ne puisse leur reprocher quoi que ce soit. Pendant que le petit gros déchargeait les courses, la maîtresse sortit sur la terrasse, et laissa échapper.
- J'ai envie de pisser.
Personne ne réagit à cette phrase lancée apparemment en l'air. Louis avait bien entendu et il aurait bien espéré que la maîtresse l'utilise pour son petit besoin naturel, c'était même sa motivation principale pour ce stage, mais il ne savait pas ce qu'il devait faire. Il n'allait pas tarder à le savoir.
- Eh bien alors ! Je dis que j'ai envie de pisser et personne ne réagit ? Sachez bande de rustres, que lorsqu’un maîtresse dit "j'ai envie de pisser", l'attitude la plus élémentaire de tout esclave est de venir le plus vite possible se mettre à genoux la bouche ouverte pour être à la disposition de la maîtresse.
Évidemment, les quatre hommes présents se précipitèrent à ses genoux la bouche grande ouverte. D'un geste naturel, elle enleva sa jupe et comme elle n'avait pas remis de culotte, pour la première fois, Louis vit le pubis de la jeune femme. Il resta subjugué, jamais il n'avait vu un sexe féminin aussi puissamment érotique, totalement épilé, les deux grosses lèvres commençant juste en dessous du mont de vénus formant un abricot gorgé d'arrogance, tout juste séparé par la fente qui cachait l'intimité la plus secrète. Instinctivement, il se prosterna reconnaissant par-là la puissance de ce sexe supérieur. À ce moment-là, il se livrait corps et âmes à cette maîtresse qui devenait une icône qu'il vénérerait au mépris de toute autre considération.
Malheureusement, cette soumission totale n'eut pas la reconnaissance qu'elle aurait méritée. La maîtresse choisit le viking comme réceptacle pour soulager sa vessie. Elle le fit s'allonger sur le dos la bouche grande ouverte. Posant un genou à terre, elle enjamba l'esclave de façon à ce que son sexe se trouva au-dessus du visage du soumis. Louis assista alors à ce spectacle unique, ce spectacle merveilleux, celui ou la chatte sublime laisse échapper son divin pipi, hautain et méprisant dans la bouche du plus chanceux des hommes, et cet ingrat qui ne bandait même pas ? Des larmes de rage et d'impuissance coulèrent sur ses joues devant l'affront fait à cette déesse. Il aurait tant aimé être à la place de l'homme, la jalousie lui tenaillait le ventre. Mais la maîtresse en avait décidé autrement et il devait s'incliner. Lorsqu'elle eut fini sa miction, Solveig empoigna celui qui venait de lui servir de latrines par les cheveux et, méprisante, le força à lui nettoyer la vulve des dernières gouttes qui y étaient restées accrochées.
Après s'être soulagée, elle se releva et s'informa du repas. Celui-ci était prêt, le jeunot avait mis les petits plats dans les grands, il avait dressé une table digne d'un grand restaurant. Louis avait été désigné pour faire service. Les deux femmes s’installèrent confortablement dans une chaise, le petit gros et le viking se mirent à genoux derrière chacune des maîtresses. Le déjeuner se déroula de la meilleure façon qui soit, Louis se montrait prévenant et obséquieux, réagissant aux désirs des maîtresses avant même que celles-ci n'avaient le temps de les exprimer, disponible au moindre froncement de sourcils. De temps en temps, elles donnaient leurs doigts à lécher aux esclaves à genoux, leur faisant avaler les reliefs ou des morceaux de pain qui avait servi à nettoyer leur assiette. Le repas dura une bonne heure.
Après avoir bu son café, Solveig déclara être fatigué et avoir la tête qui tourne à cause du vin qu'elle avait bu en quantité. Elle décida d'aller faire une petite sieste. Avant de partir, elle donna ses dernières consignes.
- Vous êtes autorisé à manger les restes, mais uniquement de l'eau comme boisson, s'il n'y en a pas assez, Ashley pourra vous autoriser à faire un petit sandwich mais ne vous goinfrez pas, un esclave repu est un mauvais esclave et je n'aimerais pas avoir à renvoyer l'un d'entre vous.
S'adressant au petit gros.
- Sauf toi mon minou, j'adore me faire lécher le cul pour m'endormir, et comme il n'y a plus de pq aux WC, je n'ai pas pu m'essuyer les fesses la dernière fois que j'ai chié, avec de la chance tu trouveras entre mes fesses un peu de ce qu'il faut pour te régaler.
Décidément, tous les goûts sont dans la nature. À cette évocation, le bonhomme se mit à bander.
Au milieu de l'après-midi, les trois esclaves avaient fini la vaisselle et fini de ranger la maison, désœuvrés, ils tournaient en rond dans l'attente de leur maîtresse. Brusquement, le petit gros déboula sur la terrasse et s'adressant à Louis.
- Vite, la maîtresse te réclame.
Sans plus attendre, Louis se rendit dans la chambre de Solveig, elle était allongée sur le côté lui tournant le dos.
- C'est toi, il était temps, c'est toujours pareil, lorsque j'ai envie de pisser, les chiottes ne sont jamais là, il n'est quand même pas normal qu'avec tous ces esclaves à ma disposition, je me fatigue pour me soulager, d'autant plus qu'au moindre mouvement, je sens que je ne pourrais pas me retenir, glisse-toi vite entre mes cuisses.
Louis s'exécuta le plus délicatement possible, à peine avait-il eut le temps de poser ses lèvres ouvertes sur la vulve brûlante qu'il sentit la pisse divine lui envahir la bouche, le jet était dru. Il en avait rêvé, il s'était si souvent branlé en imaginant ce moment qu'il n'eut aucun effort à faire pour avaler la cascade d'urine qui déferlait dans son gosier. C'était encore meilleur que tout ce qu'il avait imaginé, il n'en laissa pas une goutte s'échapper.
Louis bandait à se faire mal. Quand elle eut fini, trop vite pour Louis, il se mit à la lécher avec dévotion. Elle se laissait faire faisant durer le plaisir, appréciant cet instant ou rien qu'en pissant, elle avait mis son esclave en transe. Ravi de faire cet effet, elle oublia un instant son statut et prononça des paroles qui confortèrent Louis dans son fantasme.
- Waouh, pas mal, l'essayer c'est l'adopter, je constate que tu ne t'étais pas vanté sur ton CV, dès à présent tu es titulaire de la place de pissotière pour dames. Je suis sûr que tu vas beaucoup plaire à mes amies et mes clientes.
Heureux d'avoir réussi son examen de passage et toujours bandant, Louis rejoignit ses pairs sur la terrasse. À la vue du gland violacé, ceux-ci pâlir de jalousie. Bientôt, ils furent rejoints par le petit gros et la maîtresse.
Solveig rejoignit le petit groupe sur la terrasse et comme elle était nue, aussitôt, les quatre esclaves se prosternèrent au grand plaisir de la maîtresse. Sans se presser, elle fit le tour de la piscine, réclama une boisson rafraîchissante au petit gros et enfin, autorisa les autres esclaves à se relever. Elle trempa ses petits pieds dans la piscine et décida de prendre un bain. Appelant le viking, elle fit se prosterner au bord de la piscine de façon à ce qu'il lui serve de tremplin pour plonger. Plusieurs fois de suite, elle sortit de l'eau pour mieux replonger. Quand elle en eut assez, après s'être fait sécher par deux esclaves, elle s'installa confortablement dans un fauteuil de plage. Prenant une revue qui traînait, se mit à la parcourir.
L'après-midi n'en était qu'à son début, et il fallait occuper les esclaves, Solveig demanda donc à Ashley d'emmener des esclaves pour faire quelques emplettes dans leur sex-shop préféré. Ashley choisit le viking et Louis, les deux autres seraient suffisants pour préparer le dîner et servir Solveig.
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Le vendeur reconnu Ashley lorsqu'elle entra dans le sex-shop, il ne fut pas étonné non plus de voir deux hommes, pas très à l'aise, la suivre. Il l'avait déjà vue une ou deux fois et n'avait aucun doute sur sa profession, il savait aussi qu'elle ne se refusait rien, alors il lui proposa d'emblée de s'installer dans une petite pièce derrière la boutique pour être plus tranquille. Cette pièce servait de stockage et contenait tout ce que pouvait vendre le magasin. Le vendeur présenta ses catalogues.
Ashley souhaita voir des cagoules pour esclaves, des plugs pour sa collection et des colliers pour chien. Le vendeur faisait son métier et proposait tout ce qu'il avait, Ashley hésitait, faisant essayer toutes sorte de masque au viking, toute une collection de collier, à chaque collier, elle ordonnait à Louis de se mettre à quatre pattes pour voir l'effet que ça faisait. Le temps passait et finalement elle s'arrêta sur un collier en cuir incrusté de pyramides en métal, genre chien méchant, Complétant son achat par la laisse qui allait avec. C'est à ce moment qu'elle décida avoir un petit besoin urgent à satisfaire. Le vendeur lui dit qu'il n'y avait pas de toilettes dans le magasin et lui indiqua un bar proche ou elle pourrait satisfaire sa petite envie. Elle lui répliqua que ce n'était pas nécessaire, qu'elle avait pris ses précautions. Demandant au vendeur de détourner son regard, elle tira fortement sur la laisse au bout de laquelle Louis était attaché, en se dirigeant vers un coin de la pièce, elle s'assit sur le bord d'une chaise. Louis avait compris. Le collier lui faisait mal et il était gêné à cause du vendeur mais aussi, il était très excité par la situation. Ne se faisant pas plus prier, ce qui était inutile, il s'installa entre les cuisses de la femme, la bouche à cinq centimètres de la source merveilleuse. La dame écarta sa petite culotte d'une main, découvrit son sexe de l'autre main et pissa le plus naturellement du monde, ne doutant pas un instant des capacités de Louis. Solveig lui avait probablement parlé.
Le vendeur nullement étonné, n'avait pas pu se retenir de regarder la scène. Lorsque Louis eut fini de nettoyer Ashley, il déclara avec un aplomb formidable.
- J'ai envie de pisser moi aussi, puis-je utiliser... vos toilettes ?
- Désolé, toilettes pour dames uniquement ! Répondit Ashley.
Et après un temps de réflexion.
- Mais ça peut s'arranger, si vous savez être bon commerçant, je pourrais peut-être vous aider. Par exemple, cinquante pour cent sur mes achats et vous pouvez utiliser la tapette là derrière vous.
La tapette en question était le viking, Louis n'aurait jamais cru que le gaillard aimait les hommes, comme quoi, nous avons tous des idées préconçues. Le vendeur, passablement excité par la situation accepta. D'un claquement de doigt, Ashley ordonna au viking de s'exécuter.
Le géant blond s'agenouilla devant le vendeur et entrepris de lui ouvrir la braguette, fouillant dans le slip de l'homme, il en ressortit une bite qui, sous le traitement qu'elle subissait, se raidissait à vue d'œil. Le mandrin était à son zénith et lorsque son propriétaire fut en position de se libérer, il lui fut impossible de faire sortir la moindre goutte. Ashley intervint.
- On ne va pas y passer la journée, suces le pour solde de tout compte et on rentre à la maison.
Le viking devait savoir y faire parce que quelques minutes après avoir embouché le vendeur, celui-ci gémissait et dû s'appuyer sur un mur pour ne pas flancher. Brusquement il se raidit et son raidissement fut très vite suivit de saccades libératrices. Le viking, le pantalon déformé au niveau de son entrejambe, s'appliquait à aspirer les dernières gouttes avant d'entreprendre un long et délicat nettoyage.
Au retour à la maison, les choses n'avaient pas beaucoup bougé, le repas froid était prêt. Les esclaves attendaient dans un coin que l'on ait besoin d'eux. Ashley raconta avec forces détails le déroulement de son shopping. Elle semblait très contente d'elle. Solveig, prit la laisse au bout de laquelle Louis se tenait à genoux, se leva et fit un aller-retour sur la terrasse tirant sur la laisse à contretemps pour voir le comportement de son nouveau toutou.
Satisfaites, les deux jeunes femmes décidèrent qu'il était l'heure de prendre l'apéritif et pour agrémenter cet apéritif de préparer le jeunot pour un petit divertissement qui devait avoir lieu après le repas. Les maîtresses s'habillèrent plutôt chaudement pour la saison et Ils descendirent tous les six dans le sous-sol.
La fraîcheur était au rendez-vous dans ce sous-sol banal, une cave à vin d'un côté, un bric à brac de choses que l'on ne se résout pas à jeter de l'autre. Au fond par contre, un semblant de décors qui faisait plus penser une chambre de torture qu'à une cave, une estrade et au-dessus de cette estrade, des chaînes accrochées au plafond. La lumière, blafarde comme il se doit, projetait des ombres inquiétantes. Le jeunot prit place sur l'estrade les mains dans le dos, les jambes écartées. Les trois autres esclaves préparaient le spectacle sous la direction de Solveig. Bientôt installées dans de confortables fauteuils, les deux femmes réclamèrent leur apéritif. Louis fut chargé de les servir et de se tenir à leur disposition. Le viking et le petit gros étaient aux ordres, il s'agissait pour eux de préparer le jeunot sous les directives sadiquement contradictoires des maîtresses.
Une demi-heure s'écoula en essais, hésitation, tergiversations pour se terminer par la position classique ou le jeunot se trouva debout, attaché au plafond par les poignets, les jambes tendus, un plug dans le cul. Les maîtresses s'étaient particulièrement attachées à trouver une manière esthétique à pincer les couilles et la queue avec des pinces à linge.
Louis ne comprenait pas l'intérêt érotique de cette mascarade mais il vit qu'elle faisait un effet bœuf au jeunot. Celui-ci bandait comme un taureau et sa queue prenait une dimension insoupçonnable au repos, un liquide blanchâtre suintait sur son méat urinaire. Solveig donna l'ordre de départ.
- A la bonne heure, j'apprécie que tu bandes comme ça, maintenant, nous allons nous restaurer avec le bon repas que tu nous as préparé et nous reviendrons te voir ensuite, j'espère que tu seras toujours dans de bonnes dispositions, sinon gare.
Elle accompagna ses dires d'un violent coup de badines sur les fesses du jeune homme. Le laissant là en ayant pris bien soin d'éteindre la lumière, Ils remontèrent dans la salle à manger laissant le jeunot seul avec craintes et ses désirs.
Comme le midi, les maîtresses s'installèrent à table, elles choisirent chacune un esclave, Louis pour Solveig et le viking pour Ashley, qu'elles mirent sous la table. Pendant qu'elles dégustaient un repas froid mais diablement appétissant surtout pour le petit gros qui était de service et que la faim tenaillait. Les deux esclaves de leur côté, appliquaient tout leur savoir-faire pour sucer ces merveilleuses créatures.
Le repas terminé, Ashley exprima le besoin de s'isoler. Solveig s'installa dans un fauteuil pour boire son thé. L'air était à douceur et à la langueur. Au bout de dix minutes, une petite sonnette comme celle qui se trouve dans les hôtels que l'on voit dans les films, se fit entendre.
Solveig s'adressant au petit gros.
- Je crois que Ashley a besoin de tes services.
Le petit gros rosit et il se précipita aux toilettes. Dès leur retour, Solveig décréta qu'il était temps d'aller voir le mignon à la cave. Arrivée en bas, après avoir allumé la lumière, ils virent le jeune homme clignant des yeux, agressé, par cette lumière soudaine et trop vive pour lui. Sa queue était retombée au repos et il semblait fatigué. La soirée commençait et le jeunot devait en être le centre d'intérêts principal.
Solveig et Ashley se mirent à tourner autour de leur souffre-douleur les bras toujours attachés à la chaîne. Un pincement par-ci un autre par-là, Solveig arracha les pinces à linge sans précaution faisant gémir l'esclave. Les coups de badine n'étaient pas comptés. Le jeune homme en avait les larmes aux yeux mais curieusement, semblait en redemander. Ashley décida d'harnacher le viking avec une muselière pour pouvoir le monter comme on monte un cheval. Elle fit ensuite plusieurs fois le tour du jeunot ne manquant pas à chaque fois de lui cingler les fesses avec un martinet. Les deux femmes, fatiguées sans doute, décidèrent qu'il était temps d'en finir. Elles ordonnèrent au viking et au petit gros de détacher le jeunot et de le saucissonner avec la corde prévue spécialement pour cela.
Ashley, s'adressant au viking et au petit gros.
- Comme cela, vous aurez un jouet pour vous tous seuls, vous aller pouvoir l'enculer et tout ce que vous avez envie sans qu'il fasse des manières.
A ces mots, le jeunot se mit à avoir une érection extraordinaire et une fois de plus, son sexe fascina tout le monde. Ashley proposa au viking de sucer le supplicié, le géant ne se le fit pas dire deux fois. Pendant ce temps, Ashley s'équipa d'un gode ceinture et encula le viking qui reçut l'hommage avec des grognements de satisfaction. Le petit gros bandait comme un âne et Solveig l'autorisa à enculer le jeunot qui ne pouvait rien refuser mais qui semblait ravit de la tournure des événements.
Louis n'en vit pas beaucoup plus parce que Solveig, après l'avoir fait allonger sur la table basse, lui mit un petit banc au-dessus de la tête. Ce petit banc était percé au milieu d'un trou qui permettait juste le passage du visage de Louis. Solveig s'assit dessus et alors, commença pour Louis une merveilleuse séance de face-sitting. Il ne voyait plus ce qui se passait mais il entendait le claquement d'un fouet ; le bruit d'un manche que l'on frappe par terre accompagné par un "changez" prononcé par Solveig. De toute évidence une variante de ce qui se passe dans les bals ou l'on doit changer de partenaire à chaque fois que le maître de cérémonie fait claquer son balai sur le parquet.
Louis n'était pas jaloux, il avait une place de choix et il léchait le con et le trou du cul de Solveig avec gourmandise. Solveig gigotait sur son banc ce qui nécessitait tout le savoir-faire de Louis pour atteindre son petit trou ou pour essorer sa chatte. Louis se surpris même à constater que tous ses désirs étaient comblés et il bandait comme il n'avait pas bandé depuis longtemps. Il supposa qu'il en était de même pour les autres esclaves.
Il était tard, Solveig se leva et tira sur la laisse qui était toujours attaché au collier de Louis obligeant celui-ci à se relever. Il put alors voir que le viking et le jeunot étaient tout en sueur, en position de 69. Le petit gros était entre en les cuisses de Ashley qui avait les yeux vitreux.
Solveig, s'adressant à Ashley.
- Ashley, tu veux bien surveiller que l'on détache le petit branleur. S'ils le veulent, tu peux installer les esclaves dans la petite chambre au-dessus du garage. Moi, je garde Louis, comme ça si j'ai envie de pisser cette nuit, j'aurai ce qu'il faut à portée.
Ashley acquiesça, déclarant qu'elle se gardait le petit gros pour éventuellement le même service et plus si affinités. La nuit se passa conformément aux souhaits de Solveig, pour le grand plaisir de Louis. Elle l'autorisa à lui lécher la raie du cul jusqu'à ce qu'elle s'endorme et le réveilla une fois pour se soulager dans la gorge avide.
Au petit matin, alors qu'il était dans un sommeil profond, il fut réveillé brusquement manquant de s'étouffer. Il eut du mal à comprendre ce qui se passait et n'arrivait pas à retrouver ses repères ordinaires. Se demandant où il était et quel était ce poids au-dessus de lui.
Il commença à comprendre lorsqu'il reconnut l'odeur d'une chatte en chaleur, il se rappela la soirée de la veille et sa condition de pissotière pour dames. Solveig, à cause de la fraîcheur du matin, avait revêtu une chemise de nuit et s'installait sur lui tout en le recouvrant. Dans la demi pénombre, il parvenait maintenant à reconnaître les cuisses et les petites lèvres luisantes de Solveig. À peine, eut-il le temps d'ouvrir la bouche que déjà, un flot odorant et tumultueux investissait son gosier. Bien réveillé maintenant, il fut digne de l'honneur qu'on lui faisait. Comme d'habitude, il se mit à bander, désespérant pouvoir libérer le flot de sperme qui à chaque fois était alerté pour rien. Cette fois pourtant, après qu'il l'eut bien essuyé, son icône se déplaça jusqu'à être au-dessus de sa queue et s'enfonça doucement sur celle-ci.
Pour Louis commença alors un nouveau supplice, ne pas éjaculer tout de suite, tenir, tenir le plus longtemps possible, tenir jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Solveig ne lui facilitait pas la tâche, au contraire, étranglant le pieu de chair avec ses muscles vaginaux, elle effectuait des mouvements de bas en haut avec son corps dans le but sadique de lui extraire son concentré d'homme. Jouissant à la limite de l'évanouissement, Louis rendit les armes dans un râle de satisfaction qui aurait été grotesque en d'autres circonstances. Décidément, elle avait bien lu son dossier, dossier dans lequel il avait déclaré apprécier particulièrement de pouvoir satisfaire la petite érection du matin.
Délire librement inspiré de mes lecture d’histoires cochonnes.
Louis se présenta à l'adresse indiquée. La maison se trouvait à la limite d'un quartier résidentiel dans lequel toutes les maisons étaient protégées par des haies de deux mètres. Quoique ayant de l'allure, elle ne se distinguait pas particulièrement des autres. Comme on le lui avait indiqué, il y arriva à pied, discrètement par le petit chemin de derrière de façon à ce que personne ne puisse remarquer son arrivée, certainement pour que les voisins ne remarquent pas des allées et venues d'hommes seuls.
Une fois sous le porche, il sonna tout en regardant autour de lui. Personne ne pouvait l'apercevoir de la rue. Il attendit quelques minutes et comme personne ne venait lui ouvrir, il sonna de nouveau. Un peu inquiet, il se demandait s'il ne s'était pas trompé de maison, Vérifia pour la dixième fois que le numéro sur le pilier du porche correspondait avec celui qu'on lui avait donné. Il remarqua alors la caméra qui le filmait. Ne sachant quelle attitude prendre, il songeait déjà à repartir lorsqu'il entendit un bruit de pas se rapprochant de la porte. Son cœur se mit à battre plus fort.
La porte s'ouvrit et il reconnut Ashley, la femme qui l'avait abordé. Elle le fit entrer et le guida jusqu'à une porte dans le couloir. Le fit entrer en lui disant.
Entre assieds-toi et attends en silence, la maîtresse viendra lorsqu'elle l'aura décidé. À ta place, je ne serais pas trop pressé.
Il entra dans une petite pièce plutôt sombre et vit immédiatement qu'il n'était pas seul, trois hommes déjà étaient assis sur des chaises apparemment pas très confortables. Contrarié, il s'assit, il n'avait jamais été dit que son stage d'esclavage se ferait en groupe. Se rappelant que la consigne était de se taire, il n'osa pas poser de question. Son cœur battait la chamade, n'avait-il pas fait une folie en acceptant la proposition de la jeune femme ?
Pas très rassuré, mais se disant que c'était maintenant ou jamais, il décida de ne rien décider et d'attendre la suite. Dans la pièce, l'atmosphère était pesante, chacun observait l'autre du coin de l'œil, on aurait pu entendre une mouche voler.
L'attente dura encore quelques temps, Louis ne se rappelle plus si ce fut long ou si ce fut court, tant il désirait mais craignait en même temps connaître la suite. Les quatre hommes s'observaient en douce, ils s'évaluaient entre eux sachant qu'ils risquaient d'être en concurrence très bientôt. Il y avait un grand blond que Louis surnomma pour lui-même "le viking", un petit vieux, chauve et bedonnant d'une cinquantaine d'années "le petit gros" et un jeune éphèbe d'une vingtaine d'années.
Enfin, ils entendirent des hauts talons marteler le carrelage du couloir, Louis se sentit pâlir, les autres n'en menaient pas plus large. Les pas s'arrêtèrent juste derrière la porte, le cou tendu, ils attendaient avec inquiétude de voir la porte s'ouvrir. Cela ne tarda pas et Solveig entra simplement, habillée comme une bourgeoise lambda, à l'aise, une courte jupe moulante, un pull moulant lui aussi, et un décolleté laissant apparaître la naissance des seins. Elle n'était pas très grande, c'est sans doute pour cela qu'elle portait des chaussures aux talons interminables. Toute en courbe, elle aurait pu servir de modèle pour des mangas érotique.
D'une voix calme, un sourire discret aux coins des lèvres. Elle salua ses stagiaires.
- Bonjour à tous, c'est bien, je vois que vous avez été sage, depuis que vous êtes entré, je vous ai observé grâce à cette caméra dit-elle en montrant un minuscule objectif planqué dans coin du mur.
Le ton calme et débonnaire de Solveig sembla rassurer l'assemblée, Louis se dit que peut-être était-ce le moment de faire remarquer qu'il aurait préféré être seul avec elle pour ce stage si particulier. À peine avait-il ouvert la bouche que Solveig, l'œil subitement assombri, une expression dure sur le visage l'apostropha.
- T'ais-je autorisé à parler, sache qu'ici, c'est moi qui décide, dorénavant, toi comme les autres, vous ne prendrez la parole qu'avec ma permission, est-ce bien compris ?
Après une longue minute d'un silence pesant, elle reprit.
- S'il y en a à qui cela ne plaît pas, je ne les retiens pas, la porte se trouve par-là dit-elle en indiquant la sortie.
Les quatre hommes présents baissèrent la tête. Solveig continua.
Quand je pose une question, j'exige que vous me répondiez. Un "Oui, maîtresse divine" me conviendra tout à fait, c'est compris espèces de larve.
- Oui maîtresse divine murmurèrent-ils dans une cacophonie comique.
- Je n'ai rien entendu, plus fort, avec de la conviction !
- Oui maîtresse divine ! Clamèrent-ils tous aussitôt. Le dressage avait déjà commencé.
- Très bien, suivez-moi dans le salon.
Suivant leur maîtresse à la queue leu leu, ils traversèrent le couloir pour entrer dans un séjour salle à manger lumineux qui devait faire au moins cent mètres carrés. Les grandes baies vitrées laissaient voir un jardin pas très grand mais au milieu duquel trônait une superbe piscine et une grande terrasse ou il devait faire bon se prélasser à l'ombre des grands arbres.
Elle emmena tout son monde au milieu de la pièce ou se trouvait déjà Ashley, les faisant se mettre en cercle autour d'un grand tapis et leur ordonnant avec une voix douce et, de nouveau, son sourire enchanteur.
- Tous à poil, vite.
Sans se regarder, les hommes entreprirent de déshabiller, ils n'étaient pas trop surpris sachant qu'il s'agissait là d'un rituel auquel ils pouvaient s'attendre. Le plus rapide fut le petit bedonnant. Solveig, s'adressant à lui.
- Va me chercher la badine las bas dans le canapé.
Le bonhomme s'exécuta, et d'instinct, s'agenouilla respectueusement devant la maîtresse qui aurait pu être sa fille, et lui tendit la badine respectueusement posée sur ses mains.
- Très bien, je vois que tu es déjà dégrossit, tu peux me baiser les pieds, prenez-en de la graine vous autres dit-elle.
Louis prit ce compliment fait à un autre comme une réprobation et ressentit involontairement une pointe de jalousie. Heureusement, quelque instant plus tard, Solveig repoussa l'homme de la pointe de la chaussure. Celui-ci se releva et la maîtresse, du bout de la badine, souleva le sexe de l'homme et, avec un sifflement admiratif.
- Dit donc, tu n'as pas l'air comme ça, mais tu es sacrément bien monté ! Ton compagnon en esclavage va être jaloux dit-elle en désignant le géant blond.
Le géant baissa la tête, c'est vrai que, comparer à la verge du petit gros, sa verge paraissait ridicule. Mais il semblait à Louis qu'il était dans les normes. Ce ne devait être qu'une provocation de la maîtresse pour prendre l'ascendant, ils devaient tous s'attendre à ce genre de remarque qui vous met minable. Solveig renvoya le petit gros à sa place d'un geste directif appuyé d'un méchant coup de badine sur les fesses.
S'adressant à tous.
- Vous venez d'avoir un exemple de ma façon de diriger mes esclaves. Maintenant, que vous êtes candidat pour faire partie de mon cheptel, sachez que je fais ce que je veux de vous et avec vous. Vous n'avez plus aucun droit sauf celui de satisfaire mes désirs. Mes caprices sont pour vous des ordres qu'il faut satisfaire immédiatement par tous les moyens, sans réfléchir et cela, quelles que soient les difficultés que cela vous pose. Cela vous semble-t-il clair ?
- Oui maîtresse divine !
- Très bien, quelques précisions. Certains parfois estiment que le régime ici est trop dur, alors, il peut être tenté de réagir violemment surtout qu'ils pensent pouvoir prendre le dessus sur un petit bout de bonne femme comme moi. Je les préviens tout de suite. La maison est truffée de caméra, derrière ces caméras, il y a quelqu'un qui surveille en permanence vos réactions. D'autre part, sachez dès maintenant que je m'entraîne régulièrement à différents arts martiaux, mais ce n'est pas tout.
Elle claqua des doigts, aussitôt la porte s'ouvrit, un gaillard d'au moins deux mètres et de cent trente kilos surgit.
- Personne n'a jamais réussi à le maîtriser et il m'est tout dévoué, sur un simple coup de menton de ma part, il peut réduire en bouillie quiconque me voudrait du mal. Ceci dit, je suis sûre que personne n'aura d'idées sournoises. Mais il possible que certain ne supporte pas leur esclavage, volontaire je vous le rappelle, alors, si vous pensez être à l'extrémité de votre résistance et désirez mettre fin à l'expérience, il vous suffira de prononcer un mot, le mot "Karaoké" et aussitôt, vous êtes libre de partir sans avoir d'autres explications à donner. Sachez cependant que si vous utilisez ce mot, vous ne pourrez plus revenir à ce stage pendant une durée minimum de trois mois et si par la suite vous réutilisez ce mot, vous en serez définitivement exclus. Sommes-nous bien d'accord.
- Oui, Maîtresse divine !
- Très bien ! D'un geste, elle renvoya le cerbère.
- Je vais maintenant vous donner quelques conseils et consignes que vous serez bien avisé de suivre le plus scrupuleusement possible.
Les quatre esclaves étaient suspendus à ses lèvres, s'adressant au plus jeune d'entre eux, le beau jeune homme, elle lui ordonna de lui offrir une cigarette du paquet qui se trouvait sur la petite table du salon. Le jeune homme s'exécuta servilement, il l'alluma et reçu même un merci auquel il ne s'attendait pas. De son sourire le plus charmeur, Solveig lui ordonna de se mettre à genoux légèrement en retrait d'elle, de la suivre dans cette position partout où elle allait et de garder la bouche ouverte en regardant le plafond de façon à ce qu'elle puisse y jeter les cendres de sa cigarette. Elle continua.
- J'exige de mes esclaves qu'ils soient à mon service à cent pour cent, qu'ils n'aient qu'une seule obsession, mon bon plaisir. J'aime qu'ils soient serviles jusqu'à l'abjection, vous ne devez plus avoir d'amour propre, toute hésitation à exécuter un ordre sera l'objet d'une punition, au moindre refus, c'est la porte.
Tout en parlant, la maîtresse marchait devant les esclaves qui ne savaient qu'elle attitude prendre, toujours suivi par le jeunot à genoux. De temps en temps, elle secouait sa cigarette au-dessus la bouche grande ouverte. Devant chacun d'entre eux, elle avait des attentions particulières. Par exemple, avec sa badine, elle souleva la queue en berne de Louis, lui frappa le torse en lui faisant remarquer qu'elle était déçue de lui faire si peu d'effet tout en mettant sa virilité en doute. Au viking, elle attrapa les bourses et les tordis jusqu'à que celui-ci la supplie d'arrêter, le traitant de poule mouillée, là aussi il eut droit au coup de badine dans le dos, la badine semblait être un instrument qu'elle affectionnait particulièrement. Elle continua à énumérer ses exigences.
- En ce qui concerne les punitions, j'ai étudié soigneusement vos dossiers, je sais ce qui vous plaît, ce qui vous motive, ce qui ne vous plaît pas et ce que vous ne voulez pas faire à aucun prix. Soyez tranquille, je ne demande jamais à un esclave de faire ce qui le répugne, nous sommes ici pour jouer, un jeu bizarre peut-être, mais un jeu dont la finalité est en générale sexuelle. Les punitions consistent à faire ce que vous n'aimez pas, même et surtout si, ce qui ne vous plaît pas, plaît énormément à un de vos pairs.
Elle s'arrêta devant le petit gros, en fit le tour doucement toujours suivi servilement par le jeunot à genoux.
Sa cigarette se terminait, la prenant entre le pouce et l'index, elle la déposa dans la main du jeunot et lui ordonna d'aller la jeter dans le cendrier. Complètement hypnotisé par la maîtresse, le jeune homme ne poussa même pas un cri alors que le mégot au bout incandescent devait le faire souffrir et s'exécuta sans mot dire. Au retour, ne sachant quelle attitude prendre, il se remit à genoux derrière sa maîtresse, celle-ci le renvoya s'aligner avec les autres.
S'adressant au petit gros d'un air protecteur.
- Toi, petit veinard... approche et descend ma petite culotte. Doucement.
Après toutes ces mises en garde, le bonhomme ne s'attendait pas à une telle chance, il se jeta, plus qu'il ne s'agenouilla aux pieds de la maîtresse, avec beaucoup d'hésitations, craignant un piège, il glissa délicatement ses mains sous la jupe. Tâche ardue tant la jupe était moulante. Elle l'aida en soulevant sa jupe jusqu'aux hanches, le petit gros n'en revenait pas, il avait le visage à dix centimètres du pubis de la jeune femme, et sentit poindre une petite érection. Il descendit précautionneusement la petite culotte blanche, lorsqu'il arriva en bas, elle l'enjamba.
Regardant les esclaves, elle reprit son air sévère, air que les soumis commençaient à craindre sachant que la suite pouvait être méchante.
- Bande de chiens, ça ne vous dérange pas de regarder mes fesses avec cet air lubrique. À genoux, face contre terre. Dorénavant, à chaque fois que vous me verrez le cul à l'air, et ça arrive souvent, j'aime me promener à poil partout dans la maison, vous aller baisser les yeux et vous prosterner face contre terre jusqu'à ce que je quitte l'endroit ou que je vous autorise à vous relever. Compris ?
- Oui, maîtresse divine
Les quatre esclaves se précipitèrent à genoux pendant que la maîtresse accompagnait ses paroles de violents coups de badine sur les dos offerts. Dix minutes plus tard, enfin calmée, elle posa un pied victorieux sur le dos du viking pour marquer sa supériorité. Curieusement, malgré les coups, les esclaves commençaient à bander, sans doute la perspective de voir souvent leur maîtresse nue, même furtivement. Ce qu'il avait vu les encourageait dans leurs fantasmes.
S'adressant au petit gros.
- Prend cette petite culotte et suce la bien pour t'imprégner de mon odeur, cela fait trois jours que je la porte en me disant que cela fera le bonheur de quelqu'un, tu as de chance, ça tombe sur toi.
Réajustant sa jupe, elle s'adressa à tous.
- Je n'ai plus grand chose à vous dire pour l'instant, je ne manquerais pas de vous savoir la suite de mes désiratas en temps utile. Maintenant, il faut en revenir aux contraintes terrestres. Je vais aller faire des courses, l'un d'entre vous aura le privilège de m'accompagner et il a intérêt à avoir sa carte bleue sur lui. Y a-t-il des questions ?
Il y avait certainement des questions, mais les hommes étaient plutôt abasourdis par ce début d'esclavage plutôt musclé. Et ils n'avaient encore rien vu. Surpris qu'on leur demande leur avis. Ils se regardèrent. Les uns répondant par un non timide, les autres agitant la tête de gauche à droite. Louis esquissa un inaudible " non, maîtresse divine".
- Non qui ? Elle avait repris son air méchant, celui qui leur faisait si peur.
Tous en cœur.
- Non, maîtresse divine.
- C'est bon pour cette fois, je n'ai plus le temps de m'occuper de vous, rassurez-vous, ce n'est que partie remise. Pendant mon absence, comme il n'est pas bon qu'un esclave reste oisif, vous serez à la disposition de Ashley qui a quelques tâches ménagères en retard.
Le jeunot s'est vu confier la confection du repas de la maîtresse, elle n'avait rien prévu pour les esclaves. Le viking, après s'être affublé d'un petit tablier blanc pour cacher son sexe et d'un plug dans le cul, fut chargé de faire les poussières dans toute la maison. Louis, pour sa part fut chargé de tondre la pelouse et de nettoyer la piscine. C'est le petit gros qui fut choisi pour accompagner la maîtresse.
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Deux heures plus tard. Les trois esclaves entendirent le crissement des pneus de la voiture qui revenait des courses. Aussitôt, ils redoublèrent d'activité, anxieux de finir leur travail sans que l'on ne puisse leur reprocher quoi que ce soit. Pendant que le petit gros déchargeait les courses, la maîtresse sortit sur la terrasse, et laissa échapper.
- J'ai envie de pisser.
Personne ne réagit à cette phrase lancée apparemment en l'air. Louis avait bien entendu et il aurait bien espéré que la maîtresse l'utilise pour son petit besoin naturel, c'était même sa motivation principale pour ce stage, mais il ne savait pas ce qu'il devait faire. Il n'allait pas tarder à le savoir.
- Eh bien alors ! Je dis que j'ai envie de pisser et personne ne réagit ? Sachez bande de rustres, que lorsqu’un maîtresse dit "j'ai envie de pisser", l'attitude la plus élémentaire de tout esclave est de venir le plus vite possible se mettre à genoux la bouche ouverte pour être à la disposition de la maîtresse.
Évidemment, les quatre hommes présents se précipitèrent à ses genoux la bouche grande ouverte. D'un geste naturel, elle enleva sa jupe et comme elle n'avait pas remis de culotte, pour la première fois, Louis vit le pubis de la jeune femme. Il resta subjugué, jamais il n'avait vu un sexe féminin aussi puissamment érotique, totalement épilé, les deux grosses lèvres commençant juste en dessous du mont de vénus formant un abricot gorgé d'arrogance, tout juste séparé par la fente qui cachait l'intimité la plus secrète. Instinctivement, il se prosterna reconnaissant par-là la puissance de ce sexe supérieur. À ce moment-là, il se livrait corps et âmes à cette maîtresse qui devenait une icône qu'il vénérerait au mépris de toute autre considération.
Malheureusement, cette soumission totale n'eut pas la reconnaissance qu'elle aurait méritée. La maîtresse choisit le viking comme réceptacle pour soulager sa vessie. Elle le fit s'allonger sur le dos la bouche grande ouverte. Posant un genou à terre, elle enjamba l'esclave de façon à ce que son sexe se trouva au-dessus du visage du soumis. Louis assista alors à ce spectacle unique, ce spectacle merveilleux, celui ou la chatte sublime laisse échapper son divin pipi, hautain et méprisant dans la bouche du plus chanceux des hommes, et cet ingrat qui ne bandait même pas ? Des larmes de rage et d'impuissance coulèrent sur ses joues devant l'affront fait à cette déesse. Il aurait tant aimé être à la place de l'homme, la jalousie lui tenaillait le ventre. Mais la maîtresse en avait décidé autrement et il devait s'incliner. Lorsqu'elle eut fini sa miction, Solveig empoigna celui qui venait de lui servir de latrines par les cheveux et, méprisante, le força à lui nettoyer la vulve des dernières gouttes qui y étaient restées accrochées.
Après s'être soulagée, elle se releva et s'informa du repas. Celui-ci était prêt, le jeunot avait mis les petits plats dans les grands, il avait dressé une table digne d'un grand restaurant. Louis avait été désigné pour faire service. Les deux femmes s’installèrent confortablement dans une chaise, le petit gros et le viking se mirent à genoux derrière chacune des maîtresses. Le déjeuner se déroula de la meilleure façon qui soit, Louis se montrait prévenant et obséquieux, réagissant aux désirs des maîtresses avant même que celles-ci n'avaient le temps de les exprimer, disponible au moindre froncement de sourcils. De temps en temps, elles donnaient leurs doigts à lécher aux esclaves à genoux, leur faisant avaler les reliefs ou des morceaux de pain qui avait servi à nettoyer leur assiette. Le repas dura une bonne heure.
Après avoir bu son café, Solveig déclara être fatigué et avoir la tête qui tourne à cause du vin qu'elle avait bu en quantité. Elle décida d'aller faire une petite sieste. Avant de partir, elle donna ses dernières consignes.
- Vous êtes autorisé à manger les restes, mais uniquement de l'eau comme boisson, s'il n'y en a pas assez, Ashley pourra vous autoriser à faire un petit sandwich mais ne vous goinfrez pas, un esclave repu est un mauvais esclave et je n'aimerais pas avoir à renvoyer l'un d'entre vous.
S'adressant au petit gros.
- Sauf toi mon minou, j'adore me faire lécher le cul pour m'endormir, et comme il n'y a plus de pq aux WC, je n'ai pas pu m'essuyer les fesses la dernière fois que j'ai chié, avec de la chance tu trouveras entre mes fesses un peu de ce qu'il faut pour te régaler.
Décidément, tous les goûts sont dans la nature. À cette évocation, le bonhomme se mit à bander.
Au milieu de l'après-midi, les trois esclaves avaient fini la vaisselle et fini de ranger la maison, désœuvrés, ils tournaient en rond dans l'attente de leur maîtresse. Brusquement, le petit gros déboula sur la terrasse et s'adressant à Louis.
- Vite, la maîtresse te réclame.
Sans plus attendre, Louis se rendit dans la chambre de Solveig, elle était allongée sur le côté lui tournant le dos.
- C'est toi, il était temps, c'est toujours pareil, lorsque j'ai envie de pisser, les chiottes ne sont jamais là, il n'est quand même pas normal qu'avec tous ces esclaves à ma disposition, je me fatigue pour me soulager, d'autant plus qu'au moindre mouvement, je sens que je ne pourrais pas me retenir, glisse-toi vite entre mes cuisses.
Louis s'exécuta le plus délicatement possible, à peine avait-il eut le temps de poser ses lèvres ouvertes sur la vulve brûlante qu'il sentit la pisse divine lui envahir la bouche, le jet était dru. Il en avait rêvé, il s'était si souvent branlé en imaginant ce moment qu'il n'eut aucun effort à faire pour avaler la cascade d'urine qui déferlait dans son gosier. C'était encore meilleur que tout ce qu'il avait imaginé, il n'en laissa pas une goutte s'échapper.
Louis bandait à se faire mal. Quand elle eut fini, trop vite pour Louis, il se mit à la lécher avec dévotion. Elle se laissait faire faisant durer le plaisir, appréciant cet instant ou rien qu'en pissant, elle avait mis son esclave en transe. Ravi de faire cet effet, elle oublia un instant son statut et prononça des paroles qui confortèrent Louis dans son fantasme.
- Waouh, pas mal, l'essayer c'est l'adopter, je constate que tu ne t'étais pas vanté sur ton CV, dès à présent tu es titulaire de la place de pissotière pour dames. Je suis sûr que tu vas beaucoup plaire à mes amies et mes clientes.
Heureux d'avoir réussi son examen de passage et toujours bandant, Louis rejoignit ses pairs sur la terrasse. À la vue du gland violacé, ceux-ci pâlir de jalousie. Bientôt, ils furent rejoints par le petit gros et la maîtresse.
Solveig rejoignit le petit groupe sur la terrasse et comme elle était nue, aussitôt, les quatre esclaves se prosternèrent au grand plaisir de la maîtresse. Sans se presser, elle fit le tour de la piscine, réclama une boisson rafraîchissante au petit gros et enfin, autorisa les autres esclaves à se relever. Elle trempa ses petits pieds dans la piscine et décida de prendre un bain. Appelant le viking, elle fit se prosterner au bord de la piscine de façon à ce qu'il lui serve de tremplin pour plonger. Plusieurs fois de suite, elle sortit de l'eau pour mieux replonger. Quand elle en eut assez, après s'être fait sécher par deux esclaves, elle s'installa confortablement dans un fauteuil de plage. Prenant une revue qui traînait, se mit à la parcourir.
L'après-midi n'en était qu'à son début, et il fallait occuper les esclaves, Solveig demanda donc à Ashley d'emmener des esclaves pour faire quelques emplettes dans leur sex-shop préféré. Ashley choisit le viking et Louis, les deux autres seraient suffisants pour préparer le dîner et servir Solveig.
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Le vendeur reconnu Ashley lorsqu'elle entra dans le sex-shop, il ne fut pas étonné non plus de voir deux hommes, pas très à l'aise, la suivre. Il l'avait déjà vue une ou deux fois et n'avait aucun doute sur sa profession, il savait aussi qu'elle ne se refusait rien, alors il lui proposa d'emblée de s'installer dans une petite pièce derrière la boutique pour être plus tranquille. Cette pièce servait de stockage et contenait tout ce que pouvait vendre le magasin. Le vendeur présenta ses catalogues.
Ashley souhaita voir des cagoules pour esclaves, des plugs pour sa collection et des colliers pour chien. Le vendeur faisait son métier et proposait tout ce qu'il avait, Ashley hésitait, faisant essayer toutes sorte de masque au viking, toute une collection de collier, à chaque collier, elle ordonnait à Louis de se mettre à quatre pattes pour voir l'effet que ça faisait. Le temps passait et finalement elle s'arrêta sur un collier en cuir incrusté de pyramides en métal, genre chien méchant, Complétant son achat par la laisse qui allait avec. C'est à ce moment qu'elle décida avoir un petit besoin urgent à satisfaire. Le vendeur lui dit qu'il n'y avait pas de toilettes dans le magasin et lui indiqua un bar proche ou elle pourrait satisfaire sa petite envie. Elle lui répliqua que ce n'était pas nécessaire, qu'elle avait pris ses précautions. Demandant au vendeur de détourner son regard, elle tira fortement sur la laisse au bout de laquelle Louis était attaché, en se dirigeant vers un coin de la pièce, elle s'assit sur le bord d'une chaise. Louis avait compris. Le collier lui faisait mal et il était gêné à cause du vendeur mais aussi, il était très excité par la situation. Ne se faisant pas plus prier, ce qui était inutile, il s'installa entre les cuisses de la femme, la bouche à cinq centimètres de la source merveilleuse. La dame écarta sa petite culotte d'une main, découvrit son sexe de l'autre main et pissa le plus naturellement du monde, ne doutant pas un instant des capacités de Louis. Solveig lui avait probablement parlé.
Le vendeur nullement étonné, n'avait pas pu se retenir de regarder la scène. Lorsque Louis eut fini de nettoyer Ashley, il déclara avec un aplomb formidable.
- J'ai envie de pisser moi aussi, puis-je utiliser... vos toilettes ?
- Désolé, toilettes pour dames uniquement ! Répondit Ashley.
Et après un temps de réflexion.
- Mais ça peut s'arranger, si vous savez être bon commerçant, je pourrais peut-être vous aider. Par exemple, cinquante pour cent sur mes achats et vous pouvez utiliser la tapette là derrière vous.
La tapette en question était le viking, Louis n'aurait jamais cru que le gaillard aimait les hommes, comme quoi, nous avons tous des idées préconçues. Le vendeur, passablement excité par la situation accepta. D'un claquement de doigt, Ashley ordonna au viking de s'exécuter.
Le géant blond s'agenouilla devant le vendeur et entrepris de lui ouvrir la braguette, fouillant dans le slip de l'homme, il en ressortit une bite qui, sous le traitement qu'elle subissait, se raidissait à vue d'œil. Le mandrin était à son zénith et lorsque son propriétaire fut en position de se libérer, il lui fut impossible de faire sortir la moindre goutte. Ashley intervint.
- On ne va pas y passer la journée, suces le pour solde de tout compte et on rentre à la maison.
Le viking devait savoir y faire parce que quelques minutes après avoir embouché le vendeur, celui-ci gémissait et dû s'appuyer sur un mur pour ne pas flancher. Brusquement il se raidit et son raidissement fut très vite suivit de saccades libératrices. Le viking, le pantalon déformé au niveau de son entrejambe, s'appliquait à aspirer les dernières gouttes avant d'entreprendre un long et délicat nettoyage.
Au retour à la maison, les choses n'avaient pas beaucoup bougé, le repas froid était prêt. Les esclaves attendaient dans un coin que l'on ait besoin d'eux. Ashley raconta avec forces détails le déroulement de son shopping. Elle semblait très contente d'elle. Solveig, prit la laisse au bout de laquelle Louis se tenait à genoux, se leva et fit un aller-retour sur la terrasse tirant sur la laisse à contretemps pour voir le comportement de son nouveau toutou.
Satisfaites, les deux jeunes femmes décidèrent qu'il était l'heure de prendre l'apéritif et pour agrémenter cet apéritif de préparer le jeunot pour un petit divertissement qui devait avoir lieu après le repas. Les maîtresses s'habillèrent plutôt chaudement pour la saison et Ils descendirent tous les six dans le sous-sol.
La fraîcheur était au rendez-vous dans ce sous-sol banal, une cave à vin d'un côté, un bric à brac de choses que l'on ne se résout pas à jeter de l'autre. Au fond par contre, un semblant de décors qui faisait plus penser une chambre de torture qu'à une cave, une estrade et au-dessus de cette estrade, des chaînes accrochées au plafond. La lumière, blafarde comme il se doit, projetait des ombres inquiétantes. Le jeunot prit place sur l'estrade les mains dans le dos, les jambes écartées. Les trois autres esclaves préparaient le spectacle sous la direction de Solveig. Bientôt installées dans de confortables fauteuils, les deux femmes réclamèrent leur apéritif. Louis fut chargé de les servir et de se tenir à leur disposition. Le viking et le petit gros étaient aux ordres, il s'agissait pour eux de préparer le jeunot sous les directives sadiquement contradictoires des maîtresses.
Une demi-heure s'écoula en essais, hésitation, tergiversations pour se terminer par la position classique ou le jeunot se trouva debout, attaché au plafond par les poignets, les jambes tendus, un plug dans le cul. Les maîtresses s'étaient particulièrement attachées à trouver une manière esthétique à pincer les couilles et la queue avec des pinces à linge.
Louis ne comprenait pas l'intérêt érotique de cette mascarade mais il vit qu'elle faisait un effet bœuf au jeunot. Celui-ci bandait comme un taureau et sa queue prenait une dimension insoupçonnable au repos, un liquide blanchâtre suintait sur son méat urinaire. Solveig donna l'ordre de départ.
- A la bonne heure, j'apprécie que tu bandes comme ça, maintenant, nous allons nous restaurer avec le bon repas que tu nous as préparé et nous reviendrons te voir ensuite, j'espère que tu seras toujours dans de bonnes dispositions, sinon gare.
Elle accompagna ses dires d'un violent coup de badines sur les fesses du jeune homme. Le laissant là en ayant pris bien soin d'éteindre la lumière, Ils remontèrent dans la salle à manger laissant le jeunot seul avec craintes et ses désirs.
Comme le midi, les maîtresses s'installèrent à table, elles choisirent chacune un esclave, Louis pour Solveig et le viking pour Ashley, qu'elles mirent sous la table. Pendant qu'elles dégustaient un repas froid mais diablement appétissant surtout pour le petit gros qui était de service et que la faim tenaillait. Les deux esclaves de leur côté, appliquaient tout leur savoir-faire pour sucer ces merveilleuses créatures.
Le repas terminé, Ashley exprima le besoin de s'isoler. Solveig s'installa dans un fauteuil pour boire son thé. L'air était à douceur et à la langueur. Au bout de dix minutes, une petite sonnette comme celle qui se trouve dans les hôtels que l'on voit dans les films, se fit entendre.
Solveig s'adressant au petit gros.
- Je crois que Ashley a besoin de tes services.
Le petit gros rosit et il se précipita aux toilettes. Dès leur retour, Solveig décréta qu'il était temps d'aller voir le mignon à la cave. Arrivée en bas, après avoir allumé la lumière, ils virent le jeune homme clignant des yeux, agressé, par cette lumière soudaine et trop vive pour lui. Sa queue était retombée au repos et il semblait fatigué. La soirée commençait et le jeunot devait en être le centre d'intérêts principal.
Solveig et Ashley se mirent à tourner autour de leur souffre-douleur les bras toujours attachés à la chaîne. Un pincement par-ci un autre par-là, Solveig arracha les pinces à linge sans précaution faisant gémir l'esclave. Les coups de badine n'étaient pas comptés. Le jeune homme en avait les larmes aux yeux mais curieusement, semblait en redemander. Ashley décida d'harnacher le viking avec une muselière pour pouvoir le monter comme on monte un cheval. Elle fit ensuite plusieurs fois le tour du jeunot ne manquant pas à chaque fois de lui cingler les fesses avec un martinet. Les deux femmes, fatiguées sans doute, décidèrent qu'il était temps d'en finir. Elles ordonnèrent au viking et au petit gros de détacher le jeunot et de le saucissonner avec la corde prévue spécialement pour cela.
Ashley, s'adressant au viking et au petit gros.
- Comme cela, vous aurez un jouet pour vous tous seuls, vous aller pouvoir l'enculer et tout ce que vous avez envie sans qu'il fasse des manières.
A ces mots, le jeunot se mit à avoir une érection extraordinaire et une fois de plus, son sexe fascina tout le monde. Ashley proposa au viking de sucer le supplicié, le géant ne se le fit pas dire deux fois. Pendant ce temps, Ashley s'équipa d'un gode ceinture et encula le viking qui reçut l'hommage avec des grognements de satisfaction. Le petit gros bandait comme un âne et Solveig l'autorisa à enculer le jeunot qui ne pouvait rien refuser mais qui semblait ravit de la tournure des événements.
Louis n'en vit pas beaucoup plus parce que Solveig, après l'avoir fait allonger sur la table basse, lui mit un petit banc au-dessus de la tête. Ce petit banc était percé au milieu d'un trou qui permettait juste le passage du visage de Louis. Solveig s'assit dessus et alors, commença pour Louis une merveilleuse séance de face-sitting. Il ne voyait plus ce qui se passait mais il entendait le claquement d'un fouet ; le bruit d'un manche que l'on frappe par terre accompagné par un "changez" prononcé par Solveig. De toute évidence une variante de ce qui se passe dans les bals ou l'on doit changer de partenaire à chaque fois que le maître de cérémonie fait claquer son balai sur le parquet.
Louis n'était pas jaloux, il avait une place de choix et il léchait le con et le trou du cul de Solveig avec gourmandise. Solveig gigotait sur son banc ce qui nécessitait tout le savoir-faire de Louis pour atteindre son petit trou ou pour essorer sa chatte. Louis se surpris même à constater que tous ses désirs étaient comblés et il bandait comme il n'avait pas bandé depuis longtemps. Il supposa qu'il en était de même pour les autres esclaves.
Il était tard, Solveig se leva et tira sur la laisse qui était toujours attaché au collier de Louis obligeant celui-ci à se relever. Il put alors voir que le viking et le jeunot étaient tout en sueur, en position de 69. Le petit gros était entre en les cuisses de Ashley qui avait les yeux vitreux.
Solveig, s'adressant à Ashley.
- Ashley, tu veux bien surveiller que l'on détache le petit branleur. S'ils le veulent, tu peux installer les esclaves dans la petite chambre au-dessus du garage. Moi, je garde Louis, comme ça si j'ai envie de pisser cette nuit, j'aurai ce qu'il faut à portée.
Ashley acquiesça, déclarant qu'elle se gardait le petit gros pour éventuellement le même service et plus si affinités. La nuit se passa conformément aux souhaits de Solveig, pour le grand plaisir de Louis. Elle l'autorisa à lui lécher la raie du cul jusqu'à ce qu'elle s'endorme et le réveilla une fois pour se soulager dans la gorge avide.
Au petit matin, alors qu'il était dans un sommeil profond, il fut réveillé brusquement manquant de s'étouffer. Il eut du mal à comprendre ce qui se passait et n'arrivait pas à retrouver ses repères ordinaires. Se demandant où il était et quel était ce poids au-dessus de lui.
Il commença à comprendre lorsqu'il reconnut l'odeur d'une chatte en chaleur, il se rappela la soirée de la veille et sa condition de pissotière pour dames. Solveig, à cause de la fraîcheur du matin, avait revêtu une chemise de nuit et s'installait sur lui tout en le recouvrant. Dans la demi pénombre, il parvenait maintenant à reconnaître les cuisses et les petites lèvres luisantes de Solveig. À peine, eut-il le temps d'ouvrir la bouche que déjà, un flot odorant et tumultueux investissait son gosier. Bien réveillé maintenant, il fut digne de l'honneur qu'on lui faisait. Comme d'habitude, il se mit à bander, désespérant pouvoir libérer le flot de sperme qui à chaque fois était alerté pour rien. Cette fois pourtant, après qu'il l'eut bien essuyé, son icône se déplaça jusqu'à être au-dessus de sa queue et s'enfonça doucement sur celle-ci.
Pour Louis commença alors un nouveau supplice, ne pas éjaculer tout de suite, tenir, tenir le plus longtemps possible, tenir jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Solveig ne lui facilitait pas la tâche, au contraire, étranglant le pieu de chair avec ses muscles vaginaux, elle effectuait des mouvements de bas en haut avec son corps dans le but sadique de lui extraire son concentré d'homme. Jouissant à la limite de l'évanouissement, Louis rendit les armes dans un râle de satisfaction qui aurait été grotesque en d'autres circonstances. Décidément, elle avait bien lu son dossier, dossier dans lequel il avait déclaré apprécier particulièrement de pouvoir satisfaire la petite érection du matin.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitante histoire de pisse. J’aurai adoré être à la place de Louis