Louise 3 - histoire érotique

Louise 3

J’étais maintenant bien en couple avec Alex, nous vivions ensemble dans son appartement plus grand que le mien, il avait surtout une salle bien équipée SM et malgré ma préférence pour l’exhibe et la baise hard, j’appréciais de plus en plus les contraintes de la soumission, il adorait me fouetter et me cravacher, mes grosses mamelles en portait les traces ainsi que mon cul, les marques du fouet et les anneaux que je portais avaient redessinées la grande salope soumise que j’étais devenue avec Alex. Les anneaux étaient beaucoup plus gros qu’au début de mes piercings, je portais des anneaux devenus lourds de 10mm ce qui étirait mes grandes lèvres et mes tétons, avec mon corset qui comprimait ma taille j’attirais les regards pervers des hommes et des femmes lorsque j’étais exhibée. Cette jouissance nouvelle d’être exhibée comme une femme soumise hard me donnait d’autres émotions, la déchéance que je vivais me transportais de joie, je recherchais ces moments ou les autres verraient les anneaux de mes mamelles et surtout les gros anneaux qui étiraient les lèvres de ma chatte, celles-ci pendaient maintenant assez bas et étaient visible sous une jupe courte. Me promener dans la rue au bras d’Alex qui profitait de toutes les opportunités pour me pencher en avent ou me baisser et montrer mon cul ou écarter mes cuisses assise à la terrasse d’un café, ce qui attirait les regards des hommes qui s’apercevaient que j’en souriait, voir les fixaient dans les yeux leurs montrant tout le vice que j’y mettait.
Souvent je me faisait prendre dans les toilettes du bistrot ou au fond d’une cour, Alex faisait l’intermédiaire avec mes baiseurs, leur indiquant de m’enculer plutôt que de me baiser la chatte. Son plaisir était aussi de m’emmener dans le métro aux heures de pointe, que de mains sur mon cul ou me triturant les mamelles, que d’insultes me furent susurrées à l’oreille, tu baises salope ? grosse pute etc…mais il fut impossible de me prendre dans ces conditions, sauf une fois, bien entourée par plusieurs hommes je sentis une bite me prendre par derrière, Alex qui avait vu me fit un sourire en disant ok vas y …et j’en pris une » bonne dans le cul.
Dans le bar ou je servais deux fois par semaine j’avais maintenant mes habitués, des amis du patron bien sur mais aussi Malik qui m’avait suivie avec deux amis à lui, des gros calibres, des bites monstrueuses. J’étais enculée entre huit et dix fois par soirée, mais je jouissais surtout de m’exhiber, mes gros nibards avec les gros anneaux bien visibles sous mon corsage ouvert jusqu’à la taille et mon cul sans culotte sous une courte jupe de cuir noir. Ma chatte étirée par les anneaux bien visibles sous le bord de la jupe, j‘étais pelotée toute la soirée, très insultée car le patron savait que je jouissais de la honte et de l’humiliation, il m’appelait la truie en chaleur ou la pute gratuite, il me tirait les cheveux et me giflait avec force sous mes yeux reconnaissants de plaisir, les clients comprenant qu’ils pouvaient en profiter je devenais rapidement un bout de viande à défoncer, ce qui me comblais d’une jouissance perverse et vicieuse, je gueulais littéralement mon plaisir en giclant des flots de cyprine sous les coups de bite et des coups que je recevais sur mon corps. Mon trou du cul dilaté au maximum était devenu un objet de curiosité et souvent les clients voulaient vérifier le diamètre que je prenais dans le cul. Penchée en avant sur une table il m’enculait avec divers objets bouteilles etc… et en mesuraient le diamètre, le plus que je pris fut de 12cms, une bouteille de bordeaux. Je leurs offrait ce plaisir qui augmentait la honte que je ressentait et aussi le plaisir d’en jouir. Alex me fistait le cul assez souvent mais son poing était mince, plus mince qu’une bouteille de bordeaux en tous cas.
Quelques clients venaient avec leurs femmes, les plus vicieuses assurément, elle étaient intéressées par le degré de perversion que j‘avais atteint, je gouinais maintenant avec plaisir et leur sucer la chatte était devenu un grand plaisir souvent elle me pissaient en même temps qu’elle jouissaient. Ces soirées-là se terminaient toujours en partouze générale, le patron ayant fermé les portes du bar.
Nous fréquentions assidument les différent club SM de Paris, et j’étais souvent le centre d’intérêt des participants surtout les femmes dominatrices qui adoraient mes grosses mamelles et ne se privait pas pour me les « travailler » comme elles disaient, mes tétons surtout souffraient beaucoup de leurs travail, elles tiraient tordaient et pinçaient durement à l’aide des anneaux mes pauvres tétons qui étaient devenus longs et gros. Ces diverses souffrances augmentaient mon plaisir de me montrer, ma chatte était étirée lorsque Alex reliait mes anneaux autour de mes fesses pour écarter au maximum mes grandes lèvres et exposer mon con de grande pute a tous les regards. J’en jouissais surtout lorsque les insultes pleuvaient sur la grande truie que je suis. Bien sur mon cul en prenait un max, j’étais connue pour être très dilatée et j’acceptait les grosses bites mais aussi les gros gods de ces dames qui raffolaient de me défoncer le cul. Je passais souvent du temps dans la salle réservée à l’uro, Alex aimait me voir dégoulinante de pisse, il savait le plaisir que j’en retirait cette déchéance et cette perversité m’emmena plus loin encore j’avais besoin de boire et d’être inondée par la pisse des femmes surtout, j’étais connue pour aimer cette pratique et Sandra, une belle anglaise bien en chair me remarqua et nous devînmes amies, elle était accro à l’uro mais aussi scato, Alex en profita beaucoup à la maison, il lui servit tout ce dont elle aimait, je participait mais juste uro, ce qui ne gênait personne. Sandra appréciait beaucoup Alex elle le lui fit savoir, je n’étais pas jalouse et Sandra fit partie de nos jeux, en plus de la baise crade elle adorait me sucer le cul et la chatte, je lui fis profiter très souvent du foutre que j’avais dans le cul. Etant anglaise elle appréciait les divers châtiments corporels et Alex lui fit gouter à sa cravache et aux différents paddles qu’il possédait, son gros cul en gémis souvent de plaisir.
Nous étions maintenant un trio, deux salopes et un maitre nous partîmes en vacances à st Tropez en juillet, mais ca ce sera une autre histoire.
A bientôt merci de vos commentaires que j’apprécie.