Louise - histoire érotique

Louise 1
Je m’appelle Louise j’ai cinquante-six ans et je suis veuve. Parisienne, deux enfants majeurs maintenant vivant en province. Mon mari est décédé l’année dernière d’un stupide accident de chasse l’ayant confronté à un sanglier male qui chargeait en fuite de la meute des chiens. Nous étions un couple très unis, mariés depuis trente ans dans une complicité intense, dans la vie de chaque jours bien sûr mais surtout une complicité sexuelle hors normes. Nos professions médicales à tous les deux nous permettaient un abord de la notion « cul » très ouvert, souvenirs des années d’études en fac de médecine, et nous en jouissions l’un et l’autre.
Je suis assez grande, et très bien proportionnée de très beaux et gros seins avec de beaux mamelons et des tétons érectiles (quatre-vingt-quinze D), une belle paire de fesses qui supporte un cul bien rebondi. J’aime mon corps et j’aime beaucoup le montrer, des tenues très suggestives me permettait d’aguicher et attirer les hommes en tous lieux et cela au grand plaisir de mon mari qui, en jouissait fortement. Je portais pour ces occasions des tenues extrêmement sexy pas de culotte ni de soutien-gorge bien sûr, mes grosses mamelles bien exposées dans un décolleté souvent plongeant et libre de leur mouvement qui laissait le balancement naturel opérer le charme pervers que je souhaitais. En jupe courte ou en robe boutonnée devant, mes cuisses étaient bien visibles et je n’hésitais pas à les écarter afin de montrer ce que les males voulaient voir. J’en jouissait rien que d’y penser, ma chatte bien rasée mais avec de longues lèvres qui pendaient outrageusement souvent trempée de cyprine. Mon cul bien rebondi que je balançait avec plaisir appelait les caresses et le pelotage de cul que j’affectionnais. Bon vous vous doutez que j’étais une bonne salope mais toujours avec mon mari.
Bien sûr cela ne s’arrêtait pas là et je me faisait « mettre », comme disait mon mari, aussi souvent que possible. Je prenais toutes les bites qui se proposaient dans la chatte ou dans le cul, j’étais très habituée à la sodomie et la recherchais très souvent. Pour cela nous étions habitués aux parking et lieux d’exhibition de notre région ainsi qu’aux clubs échangistes, mais c’est l’exhibition qui me faisait le plus fantasmer, savoir qu’en pleine nature ou en pleine ville je suis disponible et exhibée par mon mari me faisait et me fait encore mouiller.
Depuis son départ je suis en manque, je suis retournée, seule, dans certains clubs mais l’ambiance sans mon mari n’est plus la même, je me suis fait baiser et enculer bien sûr, sucer aussi plusieurs bites et chattes mais sans véritable excitation, il me manque le plaisir de m’offrir avec le consentement de mon mari qui regarde et m’incite à en faire toujours plus.
Quelques amis de débauche me réconfortent et m’incitent à les rejoindre dans leurs partouzes fréquentes, j’y suis allé et j’ai rencontré un bel homme, Alex, plus jeune que moi, extrêmement bien pourvu, mon cul peut en témoigner, nous nous sommes revus à la maison et je dois dire que j’ai bien aimé les moments chauds passés ensemble.
C’est à cette occasion que je lui ai fait part de mes gouts et de mon vécu avec mon mari, il me posa beaucoup de questions pour bien comprendre la relation que j’ai vécue mais aussi pour envisager de me satisfaire à nouveau.
- Louise souhaiterait tu revivre ces moments ou plutôt re-jouir de tes pulsions ?
- N’est-ce pas la même chose lui répondis-je ?
- Non, car si tu veux jouir de tes envies tu n’as pas besoin de revivre ce que tu faisais avec ton mari, je m’explique, tu aimes te montrer exhiber ton cul et ta chatte dans le but de te faire prendre, et cela en public, je te vois comme une femme soumise, très crue et salope, aimant l’humiliation, je l’ai déjà remarqué, tu t’offres avec un côté un peu obscène, et si je t’accompagne avec des mots crus voire insultant tu trembles comme une belle pute qui en veut non ?
En entendant ces mots ma chatte mouillât instantanément, ces paroles m’excitaient c’était la première fois que j’étais mise en face de mes vices et de mes envies, c’est vrai que dans l’action j’aime être insultée surtout en public. Mais cela évoquait en moi de nombreux souvenirs ou étant offerte et exhibée, les hommes me palpant m’insultaient et tentaient de me triturer les seins, certains me crachaient au visage ou me donnait de petites gifles, mon mari intervenait alors pour me protéger, faisant stopper mes partenaires, j’aurais pourtant voulu aller plus loin, inconsciemment je recherchais ces situations dégradantes ma chatte me disait oui mais mon mari intervenait alors et l’excitation tombait un peu. Alex me faisait sentir la chienne qui sommeillait en moi, j’acceptais de la réveiller.
- Ouf… lui dis-je, touchée, je n’ai jamais entrevue ma sexualité sous cet aspect, mon mari savait ce dont j’avais envie et il me donnait ce que j’attendais sans chercher à comprendre ou développer, il bandait quand sa « salope chérie » se faisait mettre comme il disait mais c’était tout. Tu aimes cette femme que je suis, je veux dire ses envies ?
- Oh oui, je suis assez dominateur et la belle femme mature et ouverte aux humiliations que tu es m’attire beaucoup, mais, si nous allons plus loin, je te demanderais beaucoup plus que ce que tu as pratiquée jusque maintenant.
- Ha ? de quelles expériences parles-tu ?
- Être un belle truie donnée en pâture aux males, en sachant que la pute qui est là est une grande salope, qui aimes cela et qui en redemande, te voir l’exprimer et t’entendre en redemander ? en jouir comme une chienne et être connue pour cela ? mettre des annonces sur les sites internet de rencontres hard et te louer pour une nuit comme une grosse trainée qui jouit de l’humiliation, peut être gouter à des séances plus crade ? et je ne te parles pas de la possibilité de te punir physiquement, tu vois l’étendue de la sexualité crade et hard est infinie. J’aimerais que tu sois une vraie pute qui fait le trottoir, juste pour mon plaisir de te voir te dégrader, mais de nos jours c’est devenu difficile, mais il y a beaucoup d’endroit où tu pourrais être exhibée comme tu l’aimes mais aussi être traitée comme une sale truie.
Je coulais littéralement du con et le lui montrait en écartant les cuisses sur cette chatte bien défoncée dont les lèvres pendaient et ou la cyprine dégoulinait.
- Est-ce que cette réponse te plait mon maître ?
- Être ton Maître ? tu sais ce que ce mot signifie pour moi ?
- Je le devines répondis-je, celui qui dressera cette belle truie dont vous venez de parler ?
- Penses-tu avoir des envies masochistes ?
- Je ne sais pas, mais j’aime que l’on tire et pince mes tétons, les gifles m’excitent beaucoup comme les insultes, mais je ne connais pas le plaisir dans la douleur.
Il me pris les deux tétons et les tordis fortement, en me fixant dans les yeux, je ne baissait pas le regard mais la douleur était forte, je gémis un peu mais ne me dérobais pas à la torture de mes seins, j’avançais un peu la poitrine pour m’offrir davantage, la douleur petit à petit se mua en onde de chaleur que je ressentais dans ma chatte, il tordit encore plus les tétons en soulevant les deux seins, cette fois la douleur était trop forte mais il me sourit en me disant
- Résiste encore un peu, teste tes limites, branle toi en même temps et jouis de la morsure de tes seins, si tu désires arrêter, le mot pour dire stop est « YES ». Il est important pour moi de bien te tester et de t’amener au plaisir que tu recherches, mais guides moi aussi en me disant ce que tu ressent.
- La douleur est vive Alex mais j’ai la chatte en feu et le clito dur comme du bois, comme jamais avant, j’ai envie d’être cette sale truie que tu me décris.
- Quelle grosse truie qui se branle en ayant les nichons torturés, tu es une salope tu aimerais qu’il y ai du monde pour te voir sale chienne hein ? pinces aussi le clito tire dessus très fort et jouis sale pute !
A ces mots j’explosais, les tétons étirés sous les doigts d’Alex et mes doigts enfoncés dans mon con de salope, un flot de cyprine gicla sur ma main, Alex me lâcha les seins et me roula une pelle d’enfer. Je n’avais jamais joui comme cela aussi fort, je tremblais et gémissais sous le plaisir d’être humiliée et torturée en même temps. Alex bandait comme un cerf et il me retourna comme une crêpe, me mis en levrette et m’encula d’une traite ses couilles battaient sur mes fesses et j’étais pilonnée et défoncée par une belle bite bien dure. Il explosa dans mon cul en me tirant par les hanches et me traitant de tous les noms de salope que je méritais.
Alex me proposa d’aller un peu plus loin dans la débauche, il me dit qu’il connaissait un petit bar un peu sombre fréquenté surtout par des hommes dans un quartier chaud du 10ème. Un endroit ou mes talents de pute seraient appréciés. J’étais intéressée bien sûr, la petite baise que nous venions de vivre n’était pas suffisante pour calmer mes envies, elle l’avait au contraire décuplée. Ma tenue fut très à la hauteur de ce que je voulais vivre, Alex me conforta dans le choix une petite jupe courte moulante mais avec une fermeture éclair dans le dos qui s’ouvrait de bas en haut, qui pouvait donc me dénuder le cul juste avec un geste en remontant la fermeture, une brassière raglan sans bouton juste fermée dans le dos par deux cordons un peu lâche, qui permettaient aux deux gros seins d’être cachés ou dénudes selon le serrage des cordons. Je choisis le serrage lâche, les deux seins qui tendaient le tissus bien visibles dans le décolleté plongeant, une paire d’escarpins qui me faisait une croupe de jument compléta ma tenue.
Je retrouvais dans un tiroir une petite chaine avec un médaillon ou était inscrit « slut » et le mis autour du cou et donnais aussi à Alex deus petites pinces à seins que je lui demandais de me poser sur les tétons, la vrais tenue de truie me dit Alex en me pelotant les fesses, je n’avais pas mis de culotte pour bien montrer ma chatte.
Notre arrivée dans ce petit troquet fut à la hauteur de ce que Alex avait promis, une pièce tout en longueur avec un bar et de nombreux tabourets, plusieurs hommes étaient assis et d’autres debout, le patron reconnu Alex et le salua très chaleureusement, nous primes place au bar, les tabourets assez haut permettaient tous les jeux de jambes que j’affectionnais, je me retrouvais dans mon élément, le cul sur le cuir du tabouret, la chatte nue, les seins à l’aise prêts à être entrevus.
- Bonjour Alex, il y a longtemps que nous ne nous sommes vus, mais tu nous offre un joli spectacle, qui est cette belle plante que tu nous amène ?
- Une amie Louise, belle plante en effet, lui dit-il en me pelotant discrètement les seins.
- Et pas farouche à ce que je peux voir, et belles mamelles dis donc.
- Non monsieur je ne suis pas farouche lui répondis-je en le fixant dans les yeux avec mon sourire de salope aux lèvres.
Les clients présents au bar me regardèrent avec plus d’attention, après avoir commandé deux coupes Alex me conseilla d’aller aux toilettes qui se trouvaient au fond de la pièce, il fit glisser vers le haut la fermeture éclair de ma jupe, le début de mon cul était cette fois bien visible, Alex voulait montrer la marchandise aux clients présents dans ce bar, je pris le temps pour aller au fond du bar, marchant en roulant mon cul et en balançant mes grosses mamelles, l’espace exigu permettait de se frotter les uns aux autres ce que je fis, les mains ne tardèrent pas à me peloter, les seins d’abord puis mon cul. Je mouillais littéralement prise entre trois hommes qui me mirent la main au cul de suite, je me laissait faire, je me retrouvait coincée entre ces males qui me barraient le passage des toilettes.
- Envie de quelque chose, me dit celui qui me pelotait le cul
- Continue, lui répondis-je
- Putain la salope me dit-il, et bien roulée en plus.
Ils me fouillaient la chatte et le cul, un autre avait sortis mes seins et tirait sur les bijoux des tétons. La pute dans toute sa splendeur, la truie en chaleur et j’aimais ça.
- Et son cul bien ouvert je lui ai mis deux doigts. Dit un autre
- Suce moi, dit le premier en me prenant la nuque violement.
Il avait sorti sa bite et la truie que j’étais se pencha et pris la bite en bouche, un peu forte en gout et puant la pisse, mais je m’exhibais, une bite dans la bouche mes mamelles et mon cul dénudés, pelotée comme la truie en chaleur que j’étais et en voulait plus. Alex nous rejoignis et invita les autres à venir vers moi, le patron ferma la porte à clef et baissa le rideau pour être tranquille, il y avait je crois douze Hommes dans la salle. Alex précisa toutes mes envies et mes qualités et précisant que l’humiliation étais très demandée, ce fut le début d’une partouze ou j’étais la seule femelle. Les gifles, les insultes et les claques sur mon cul se déchainèrent, je jouissais sans discontinuer. Ma chatte et mon cul eurent leurs ration de bite et de foutre, ma bouche en avala de longs et puissants jets, la douleur ressentie au début se mua rapidement en plaisir.
Alex me récupéra nue et couverte de foutre, les yeux reconnaissants d’un plaisir nouveau que je n’avais jamais vécu aussi intensément que cette fois-là. Les hommes présents me gratifièrent de compliments selon eux largement mérités en m’invitant à revenir le plus souvent possible.
La truie pouvait aller plus loin avec Alex.