Lozére
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Lozére
Il existe en Lozère un centre de réadaptation pour jeunes majeurs délinquants. Bien caché sur un plateau, accessible par un chemin de terre. Le voisin le plus proche est à plusieurs kilomètres et invisible de la ferme qui l’abrite. Ils sont sélectionnés par leur appartenance à de petites fratries. Séparés des leurs ils sont malléables comme de petits animaux. Je suis chargé d’eux avec un autre gardien plus jeune et plus apte à les faire réfléchir. Ils sont cinq pour le moment. J’ai une solide cinquantaine et ils savent qu’il faut obéir. En tout. En hiver, qu’il fasse n’importe quel temps, ils n’ont sur eux qu’une sorte de blouson imperméable, fourré mais qui s’arrête juste sous les bras et descendant jusqu’à la raie des fesses libres.
Nus de la poitrine aux pieds ils travaillent vite dehors et se réchauffent entre eux en revenant. Je dis bien entre eux. C’est plaisant de les voir se frotter l’un l’autre.
Ils commençaient à se libérer de leur abus l’un après l’autre et la situation d’un nouvel arrivant était en soi un spectacle. Arrivant imbus de leurs petites personnes la première surprise était de devoir se mettre nus entre deux gendarmes et moi. Ils renâclaient mais un regard dans la cour suffisait pour qu’ils comprennent que tous étaient pareils. Je vous assure que leur sexe aussi gros soit il rapetissait devenant un cannelloni pas cuit. Les vêtements enfermés dans un casier à numéro il devenait ainsi un être sans prénom et les gendarmes après le petit laïus d’arrivée repartaient. Emmenant quelques fois un jeune ayant compris et revenu à de meilleures dispositions.
J’ai eu cette fois un majeur (un cas spécial) condamné pour agressions répétées sur des jeunes femmes de son âge. Ses dix-huit ans le faisaient paraître seize alors selon la loi c’était un adulte. Il avait vu au passage ses futurs camarades de détentions et il a été dur de lui faire comprendre qu’ici on vivait nu quel que soit le temps et plus dur encore de le faire déshabiller devant nous. L’autorité des gendarmes a été nécessaire mais une fois nu je le comprenais presque. Son sexe dépassait la moyenne et il était heureusement velu du pubis.
Il nous défiait en bandant et pour lui faire comprendre son ridicule, j’ai fait attendre les gendarmes et l’ai fait sortir dehors nu. Il a d’abord exhibé son sexe puis assez vite il a eu froid et a débandé. Il a bien vu qu’on le regardait par la fenêtre et une fois son sexe disparu dans les poils il nous a jeté un regard implorant et l’ai fait rentrer.
Voilà ton univers pour quelques années. Il faudra t’y habituer, des jours il fait plus froid et vous pourrez vous mettre sous le préau. Il y fait aussi froid mais entassés vous vous tiendrez chaud. Voilà ta tenue, je lui ai tendu une fourrure comme celle des autres, prends en soin, tu la garderas le temps qu’il faut pour que tu comprennes ce que tu ne dois pas faire. Les plus anciens te donnerons la façon de satisfaire tes excès sexuels. Tu t’y feras comme les autres et aura une autre vue de l’amour. Sortez le d’ici et laissez le dehors !
Ces jeunes cons m’énervent ! Il apprendra vite à survivre. J’avais entrouvert la fenêtre pour les entendre. Une fois la voiture des flics partis ils l’ont entouré.
-Alors toi qu’es ce que t’a fait comme conneries.
J’ai violé des nanas.
Des vieilles ? Non moi c’est les jeunes qui m’intéressent.
Un violeur de gamines ?
Si vous voulez oui et alors ! Vous n’avez rien fait vous ?
On n’aime pas les violeurs ici et tu n’avais pas besoin de les forcer avec ta petite tronche de minet. On fait ça mais entre nous pour le plaisir pas comme toi mais il va falloir t’apprendre ce que c’est de se faire violer. On se fous de ce que tu aimes où n’aime pas, mais tu y passeras en force. Je suis sûr que tes gamines pleuraient et tu vas en chialer mec !
Plaqué contre le mur, tenu par des poignets costauds habitués aux travaux extérieurs il a eu les cuisses ouvertes et je l’ai entendu crier. Gueule comme une nana pour le moment c’est mon doigt mais tu y passeras chaque fois qu’on voudra se vider les burnes. Tu vas vite comprendre qu’un violeur ici c’est une merde et on l’écrase. Le mec s’était collé à lui et j’ai vite entendu ses cris changer.
Arrêtez, je vais me plaindre.
Tu te crois où ? Ici il n'y a pas de flics, que le dirlo que je vois te mater à la fenêtre.
Il donnait des coups de reins furieux dans les fesses du mec.
Je leur ai fait signe, ”pas plus de trois” pour commencer.
Il a commencé à râler disant que ce n’était pas juste. Ils ont rigolé. Et les gaminés c’était juste ?
Elles sont faites pour ça, pas les hommes.
Ben, ici si ! Et comme tu n’as pas de chatte et on se sert de ton cul ou de ta bouche.
Il a eu un grand coup de rein, se vidant surement avant de prendre la place d’un de ceux qui le tenait. L’autre est entré facile dans le cul graissé par le jus du premier et l’a labouré y prenant plaisir. Jusqu’au bout. Le troisième je le connaissais était un beau black fier de son membre qui une fois en place, soulevait littéralement le jeune par le cul le faisant gueuler. Et au bout d’un moment, chialer comme un gosse.
Nus de la poitrine aux pieds ils travaillent vite dehors et se réchauffent entre eux en revenant. Je dis bien entre eux. C’est plaisant de les voir se frotter l’un l’autre.
Ils commençaient à se libérer de leur abus l’un après l’autre et la situation d’un nouvel arrivant était en soi un spectacle. Arrivant imbus de leurs petites personnes la première surprise était de devoir se mettre nus entre deux gendarmes et moi. Ils renâclaient mais un regard dans la cour suffisait pour qu’ils comprennent que tous étaient pareils. Je vous assure que leur sexe aussi gros soit il rapetissait devenant un cannelloni pas cuit. Les vêtements enfermés dans un casier à numéro il devenait ainsi un être sans prénom et les gendarmes après le petit laïus d’arrivée repartaient. Emmenant quelques fois un jeune ayant compris et revenu à de meilleures dispositions.
J’ai eu cette fois un majeur (un cas spécial) condamné pour agressions répétées sur des jeunes femmes de son âge. Ses dix-huit ans le faisaient paraître seize alors selon la loi c’était un adulte. Il avait vu au passage ses futurs camarades de détentions et il a été dur de lui faire comprendre qu’ici on vivait nu quel que soit le temps et plus dur encore de le faire déshabiller devant nous. L’autorité des gendarmes a été nécessaire mais une fois nu je le comprenais presque. Son sexe dépassait la moyenne et il était heureusement velu du pubis.
Il nous défiait en bandant et pour lui faire comprendre son ridicule, j’ai fait attendre les gendarmes et l’ai fait sortir dehors nu. Il a d’abord exhibé son sexe puis assez vite il a eu froid et a débandé. Il a bien vu qu’on le regardait par la fenêtre et une fois son sexe disparu dans les poils il nous a jeté un regard implorant et l’ai fait rentrer.
Voilà ton univers pour quelques années. Il faudra t’y habituer, des jours il fait plus froid et vous pourrez vous mettre sous le préau. Il y fait aussi froid mais entassés vous vous tiendrez chaud. Voilà ta tenue, je lui ai tendu une fourrure comme celle des autres, prends en soin, tu la garderas le temps qu’il faut pour que tu comprennes ce que tu ne dois pas faire. Les plus anciens te donnerons la façon de satisfaire tes excès sexuels. Tu t’y feras comme les autres et aura une autre vue de l’amour. Sortez le d’ici et laissez le dehors !
Ces jeunes cons m’énervent ! Il apprendra vite à survivre. J’avais entrouvert la fenêtre pour les entendre. Une fois la voiture des flics partis ils l’ont entouré.
-Alors toi qu’es ce que t’a fait comme conneries.
J’ai violé des nanas.
Des vieilles ? Non moi c’est les jeunes qui m’intéressent.
Un violeur de gamines ?
Si vous voulez oui et alors ! Vous n’avez rien fait vous ?
On n’aime pas les violeurs ici et tu n’avais pas besoin de les forcer avec ta petite tronche de minet. On fait ça mais entre nous pour le plaisir pas comme toi mais il va falloir t’apprendre ce que c’est de se faire violer. On se fous de ce que tu aimes où n’aime pas, mais tu y passeras en force. Je suis sûr que tes gamines pleuraient et tu vas en chialer mec !
Plaqué contre le mur, tenu par des poignets costauds habitués aux travaux extérieurs il a eu les cuisses ouvertes et je l’ai entendu crier. Gueule comme une nana pour le moment c’est mon doigt mais tu y passeras chaque fois qu’on voudra se vider les burnes. Tu vas vite comprendre qu’un violeur ici c’est une merde et on l’écrase. Le mec s’était collé à lui et j’ai vite entendu ses cris changer.
Arrêtez, je vais me plaindre.
Tu te crois où ? Ici il n'y a pas de flics, que le dirlo que je vois te mater à la fenêtre.
Il donnait des coups de reins furieux dans les fesses du mec.
Je leur ai fait signe, ”pas plus de trois” pour commencer.
Il a commencé à râler disant que ce n’était pas juste. Ils ont rigolé. Et les gaminés c’était juste ?
Elles sont faites pour ça, pas les hommes.
Ben, ici si ! Et comme tu n’as pas de chatte et on se sert de ton cul ou de ta bouche.
Il a eu un grand coup de rein, se vidant surement avant de prendre la place d’un de ceux qui le tenait. L’autre est entré facile dans le cul graissé par le jus du premier et l’a labouré y prenant plaisir. Jusqu’au bout. Le troisième je le connaissais était un beau black fier de son membre qui une fois en place, soulevait littéralement le jeune par le cul le faisant gueuler. Et au bout d’un moment, chialer comme un gosse.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très dur ce centre le violeur de gamine va en faire l'expérience est ce un bien Daniel
Merci pour ce n'importe quoi anonyme en un mot, j'adore mes anonymes
N'importe quoi...