Lubna, les voisins.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lubna, les voisins.
Mon chéri.
J'aurais pu le dire par téléphone ce que je t'écris. Je préfère que tu puisse bien réfléchir à tout ce que j'ai fait .Je sais que te comprendra ce qui m'est arrivé, ce qui pourrait t'arriver un jour que je te pardonnerais à moins de vouloir le partager. Juges en plutôt.
Tu connais bien les Jeanot, les voisins.Ils m'ont invité à passer la soirée avec eux : je suis seule, sans toi parti travailler là bas loin. Avant d'entrer dans leur propriété j'ai sonné au portillon. C'est Lubna, la femme qui est venu m'accueillir. Tu te souviens de cette fille grande, bien faite que d'après toi tu te paierais bien. Elle m'a embrassé près de la bouche avant que j'ai pu réagir. En allant vers l'entrée, elle me tenait par la taille, comme une amie proche. Elle murmurait que nous allions passer une bonne soirée avec son mari.
Lui, Antonin dit Tony, tu ne t'en souviens sans doute pas, est un homme de grande taille, bâti comme un géant, aussi costaud en tout cas. Brun avec des yeux bleus très clairs, comme je les aime bien, souviens toi de mon ex... qui semble fait pour émouvoir les pauvres femmes comme moi. En tout cas c'est un couple charmant qui me reçois comme si j'étais une femme extraordinaire. Quoique c'est bien ce que tu me dis quand je me donne à toi, que tu me fais jouir avec sa queue là où tu aime me la mettre.
Enfin, passons sur l'apéritif déjà servi au salon. Je suis un peu intimidée quand je m'assois sur un grand divan. Vite à l'aise ce couple dont l'amour se voit quand il s'embrasse sur la bouche sans se soucier de ma présence, me tend un verre de whisky que je déguste un petit moment, le temps pour Lubna d'aller nous servir le repas pendant que lui me fait des compliments presque gênants sur mes attraits. Tony m'invite à rejoindre sa femme qui me fait asseoir juste à ses cotés, face à son mari. Il ouvre deux boutons de sa chemise qui laissent apparaître un torse musclé et glabre. Je devine ses tétons en dessous. J'ai presque envie de les voir : je n'en ai pas vu, ni touché depuis que tu est parti : ça me manque beaucoup ces contacts avec un corps d'homme, je te l'ai déjà dit par fil.
Lubna s'aperçoit de mon regard, elle va embrasser une fois encore Tony sur la bouche : je vois que leur langue se mêlent longuement à tel point que j'en suis mal à l'aise. J'aimerais avoir aussi une bouche sur la mienne. J'envie de couple heureux dans l'amour qu'il montre. Elle revient près de moi pour commencer à dîner. Nous avalons les premières bouchées quand c'est au tour de Tony d'embrasser encore sa femme. Cette fois je commence à être excitée, je pense qu'ils feraient bien de baiser devant moi, que je me branle en les regardant comme une fois quand nous regardions ta sœur se faire mettre.
Tony s'occupe encore de Lubna qui sans raison apparente touche ma cuisse. Je ne bouge surtout pas, je laisse venir les choses. La main de mon hôtesse passe sur mon genoux, remonte à peine sur la cuisse. J'attends je ne sais quoi, pas en tout cas Tony qui m'embrasse devant sa femme. Sans rien me demander (j'aurais dit oui sans doute) il s'empare de mes seins. Ainsi ce couple uni l'est aussi dans le triolisme.
Je t'ai toujours refusé de me donner à un ou une autre devant toi, je n'aime faire l'amour qu'en couple, mixte de préférence. Et là je suis prête à me donner aux deux époux en même temps, je suis pressée même qu'ils me donnent du vrai plaisir, celui que nous n'avons pas ni toi ni moi depuis des mois, à moins que tu te sois farci une autre femme que moi là bas où tu es, ce que je te souhaite.
Je suis presque nue par la faute de mes hôtes. Surprise je me laisse aller à des recherches dans la braguette de Tony. Il est bien monté, plus que toi. Je l'ai en entier dans la main juste au moment ou la main de Lubna arrive sur ma chatte. Tu sais qu'il y a longtemps qu'une autre femme ne m'a pas touché. Avec elle je ressens cette envie d'avoir un orgasme avec elle. Mes jambes s'ouvrent facilement, mon abricot me semble assez mur pour qu'elle me branle comme j'aime, tu sais avec deux doigts autours du clitoris, comme tu me le fais.
Comme un pantin devant ces deux êtres, je me laisse aller. J'ai raison quand je pars rapidement d'un orgasme irraisonné : j'en arrive à mordre la langue de Tony toujours dans ma bouche. Pourtant je continue à masturber Tony dont la bite se gonfle un peu juste avant de laisser juter son sperme. Il ne débande pas, aussi Lubna s'empresse de le prendre dans sa bouche. Elle suce son mari et me doigte. C'est une vraie femme de plaisir. A mon tour de lui passer ma main entre ses cuisses qui s'ouvrent rapidement. Elle me donne sa moule facilement. Mes doigts glissent facilement sur elle : elle est pleine de cyprine. Avant d'aller plus loin je suce rapidement ma main pour la goûter. Sa mouille m'inspire des méthodes peu licites. J'arrive sans forcer à lui mettre un doigt directement dans le con et un autre dans le cul. En me tournant j'arrive à lui disputer la queue de Tony. Elle garde le gland en bouche pendant que je lèche le corps de la bite depuis les couilles jusqu'au lèvres de sa femme. C'est ainsi que nous nous embrassons en ignorant la queue. Tony s'en console en se branlant juste devant nous.
Tu sais que j'aime te voir quand tu te donne du plaisir devant moi, que j'en fais autant aussi. Là j'ai enfin une belle bite qui se fait branler par son propriétaire, pile sous mes yeux. Non son nos yeux, puisque Lubna continue à m'embrasser pendant que nous nous masturbons. Elle est encore plus gourmande, elle devance mon désir quand elle arrive à se mettre nue, qu'elle me débarrasse de mes vêtements.
Nous quittons la table pour aller sur le divan. Même si Tony nous y suit, nous nous donnons l'une à l'autre. Elle m'a faite allonger sur le dos, pendant qu'elle commence à m'embrasser les seins, pour descendre lentement sur mon ventre. Elle passe le pubis pour poser sa langue sur mon intimité, là où tu aime poser ta langue pour me sucer. Elle le fait, moins bien que toi, mais elle m'envoie au paradis du saphisme. Sa chatte à deux centimètres de ma bouche me tente : je la lèche également : nous jouissons ensemble.
Nous sommes encore sous l'emprise de l'orgasme partagé quand je vois la pine de Tony se poser sur le cul de Lubna. C'est moi qui ouvre les fesses. Je jouis rien qu'en regardant le queue entrer dans le ventre de Lubna. Quand elle jouit, Tony sort sa queue du cul de sa femme. Il réclame le mien : j'ai peur qu'il me fasse mal à cause de sa grosseur. Pourtant plein de cyprine sa queue sa fait douce en entrant. Je sens mon anus s'écarter, je sens ce plaisir venir dans le cul en entier. Je sens en plus les doigts de Lubna me branler encore. Je crois que je hurle de plaisir, j'en veux encore plus. Si j'avais une autre bite pour venir me baiser et une autre dans la bouche. J'en aurais été heureuse.
Je me suis contenté de ce que j'avais : une seule bite dans le cul:et des doigts féminin sur ma chatte.
Les Jeanot m'ont encore invité pour dimanche. Je vais y retourner, mon ventre a trop besoin de jouir: mes masturbations, même avec les godes ensemble ne me suffisent plus. Vite revient me baiser avant que je me perde avec les voisins.
Ne sois pas jaloux, branles toi en pensant à mon corps qui se donne aux autres. Téléphone moi pour que je me masturbe en même temps que toi. Branles toi bien, jouis surtout avec ta main et si tu baise une autre femme, penses à moi en entrant dans son con ou son cul.
J'aurais pu le dire par téléphone ce que je t'écris. Je préfère que tu puisse bien réfléchir à tout ce que j'ai fait .Je sais que te comprendra ce qui m'est arrivé, ce qui pourrait t'arriver un jour que je te pardonnerais à moins de vouloir le partager. Juges en plutôt.
Tu connais bien les Jeanot, les voisins.Ils m'ont invité à passer la soirée avec eux : je suis seule, sans toi parti travailler là bas loin. Avant d'entrer dans leur propriété j'ai sonné au portillon. C'est Lubna, la femme qui est venu m'accueillir. Tu te souviens de cette fille grande, bien faite que d'après toi tu te paierais bien. Elle m'a embrassé près de la bouche avant que j'ai pu réagir. En allant vers l'entrée, elle me tenait par la taille, comme une amie proche. Elle murmurait que nous allions passer une bonne soirée avec son mari.
Lui, Antonin dit Tony, tu ne t'en souviens sans doute pas, est un homme de grande taille, bâti comme un géant, aussi costaud en tout cas. Brun avec des yeux bleus très clairs, comme je les aime bien, souviens toi de mon ex... qui semble fait pour émouvoir les pauvres femmes comme moi. En tout cas c'est un couple charmant qui me reçois comme si j'étais une femme extraordinaire. Quoique c'est bien ce que tu me dis quand je me donne à toi, que tu me fais jouir avec sa queue là où tu aime me la mettre.
Enfin, passons sur l'apéritif déjà servi au salon. Je suis un peu intimidée quand je m'assois sur un grand divan. Vite à l'aise ce couple dont l'amour se voit quand il s'embrasse sur la bouche sans se soucier de ma présence, me tend un verre de whisky que je déguste un petit moment, le temps pour Lubna d'aller nous servir le repas pendant que lui me fait des compliments presque gênants sur mes attraits. Tony m'invite à rejoindre sa femme qui me fait asseoir juste à ses cotés, face à son mari. Il ouvre deux boutons de sa chemise qui laissent apparaître un torse musclé et glabre. Je devine ses tétons en dessous. J'ai presque envie de les voir : je n'en ai pas vu, ni touché depuis que tu est parti : ça me manque beaucoup ces contacts avec un corps d'homme, je te l'ai déjà dit par fil.
Lubna s'aperçoit de mon regard, elle va embrasser une fois encore Tony sur la bouche : je vois que leur langue se mêlent longuement à tel point que j'en suis mal à l'aise. J'aimerais avoir aussi une bouche sur la mienne. J'envie de couple heureux dans l'amour qu'il montre. Elle revient près de moi pour commencer à dîner. Nous avalons les premières bouchées quand c'est au tour de Tony d'embrasser encore sa femme. Cette fois je commence à être excitée, je pense qu'ils feraient bien de baiser devant moi, que je me branle en les regardant comme une fois quand nous regardions ta sœur se faire mettre.
Tony s'occupe encore de Lubna qui sans raison apparente touche ma cuisse. Je ne bouge surtout pas, je laisse venir les choses. La main de mon hôtesse passe sur mon genoux, remonte à peine sur la cuisse. J'attends je ne sais quoi, pas en tout cas Tony qui m'embrasse devant sa femme. Sans rien me demander (j'aurais dit oui sans doute) il s'empare de mes seins. Ainsi ce couple uni l'est aussi dans le triolisme.
Je t'ai toujours refusé de me donner à un ou une autre devant toi, je n'aime faire l'amour qu'en couple, mixte de préférence. Et là je suis prête à me donner aux deux époux en même temps, je suis pressée même qu'ils me donnent du vrai plaisir, celui que nous n'avons pas ni toi ni moi depuis des mois, à moins que tu te sois farci une autre femme que moi là bas où tu es, ce que je te souhaite.
Je suis presque nue par la faute de mes hôtes. Surprise je me laisse aller à des recherches dans la braguette de Tony. Il est bien monté, plus que toi. Je l'ai en entier dans la main juste au moment ou la main de Lubna arrive sur ma chatte. Tu sais qu'il y a longtemps qu'une autre femme ne m'a pas touché. Avec elle je ressens cette envie d'avoir un orgasme avec elle. Mes jambes s'ouvrent facilement, mon abricot me semble assez mur pour qu'elle me branle comme j'aime, tu sais avec deux doigts autours du clitoris, comme tu me le fais.
Comme un pantin devant ces deux êtres, je me laisse aller. J'ai raison quand je pars rapidement d'un orgasme irraisonné : j'en arrive à mordre la langue de Tony toujours dans ma bouche. Pourtant je continue à masturber Tony dont la bite se gonfle un peu juste avant de laisser juter son sperme. Il ne débande pas, aussi Lubna s'empresse de le prendre dans sa bouche. Elle suce son mari et me doigte. C'est une vraie femme de plaisir. A mon tour de lui passer ma main entre ses cuisses qui s'ouvrent rapidement. Elle me donne sa moule facilement. Mes doigts glissent facilement sur elle : elle est pleine de cyprine. Avant d'aller plus loin je suce rapidement ma main pour la goûter. Sa mouille m'inspire des méthodes peu licites. J'arrive sans forcer à lui mettre un doigt directement dans le con et un autre dans le cul. En me tournant j'arrive à lui disputer la queue de Tony. Elle garde le gland en bouche pendant que je lèche le corps de la bite depuis les couilles jusqu'au lèvres de sa femme. C'est ainsi que nous nous embrassons en ignorant la queue. Tony s'en console en se branlant juste devant nous.
Tu sais que j'aime te voir quand tu te donne du plaisir devant moi, que j'en fais autant aussi. Là j'ai enfin une belle bite qui se fait branler par son propriétaire, pile sous mes yeux. Non son nos yeux, puisque Lubna continue à m'embrasser pendant que nous nous masturbons. Elle est encore plus gourmande, elle devance mon désir quand elle arrive à se mettre nue, qu'elle me débarrasse de mes vêtements.
Nous quittons la table pour aller sur le divan. Même si Tony nous y suit, nous nous donnons l'une à l'autre. Elle m'a faite allonger sur le dos, pendant qu'elle commence à m'embrasser les seins, pour descendre lentement sur mon ventre. Elle passe le pubis pour poser sa langue sur mon intimité, là où tu aime poser ta langue pour me sucer. Elle le fait, moins bien que toi, mais elle m'envoie au paradis du saphisme. Sa chatte à deux centimètres de ma bouche me tente : je la lèche également : nous jouissons ensemble.
Nous sommes encore sous l'emprise de l'orgasme partagé quand je vois la pine de Tony se poser sur le cul de Lubna. C'est moi qui ouvre les fesses. Je jouis rien qu'en regardant le queue entrer dans le ventre de Lubna. Quand elle jouit, Tony sort sa queue du cul de sa femme. Il réclame le mien : j'ai peur qu'il me fasse mal à cause de sa grosseur. Pourtant plein de cyprine sa queue sa fait douce en entrant. Je sens mon anus s'écarter, je sens ce plaisir venir dans le cul en entier. Je sens en plus les doigts de Lubna me branler encore. Je crois que je hurle de plaisir, j'en veux encore plus. Si j'avais une autre bite pour venir me baiser et une autre dans la bouche. J'en aurais été heureuse.
Je me suis contenté de ce que j'avais : une seule bite dans le cul:et des doigts féminin sur ma chatte.
Les Jeanot m'ont encore invité pour dimanche. Je vais y retourner, mon ventre a trop besoin de jouir: mes masturbations, même avec les godes ensemble ne me suffisent plus. Vite revient me baiser avant que je me perde avec les voisins.
Ne sois pas jaloux, branles toi en pensant à mon corps qui se donne aux autres. Téléphone moi pour que je me masturbe en même temps que toi. Branles toi bien, jouis surtout avec ta main et si tu baise une autre femme, penses à moi en entrant dans son con ou son cul.
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