Luce passe en mode séduction
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Luce passe en mode séduction
J’enseignais le graphisme depuis 3 ans aux adultes dans un collège privé et cet étudiant, toujours assis au fond de la classe, était de loin le plus timide que je n’avais jamais eu et il me plaisait bien. Il plaisait à tout le monde en fait, il était vif, intelligent, brillant et drôle. De plus cet homme-là était né pour faire du graphisme. Il était et de loin l’élève le plus talentueux que j’avais eu. Pourtant, comme moi il approchait la cinquantaine, une vocation sur le tard probablement. Moi j’avais commencé a étudier dans ce domaine a 18 ans et j’avais passer ma vie dans le graphisme et ça l’intimidait, je le sentais bien. Je l’embarrassais beaucoup ! Même si je projetais l’image d’un petit bout de femme sur d’elle, décider, une fonceuse qui n’as peur de rien, j’étais tout le contraire, une timide moi aussi. Ça m’avait tout pris pour me décider à me lancer dans l’enseignement et la première semaine avait été un véritable calvaire pour moi. Mais j’adorais ça et je me sentais bien maintenant dans cette nouvelle carrière mais seul et Pierre était beau, en plein mon genre.
J’étais séparé depuis deux ans. J’avais bien eu des offres mais que d’hommes attirer par ma poitrine plus que généreuse et ceux-là, j’avais vite apprit a l’adolescence a les éviter. Et puis j’avais envie de vivre seul pendant un moment pour me retrouver donc côté sexe c’était au point mort littéralement. Je fonçais dans le travail sans trop y penser, mais maintenant ce gars me plaisait et je lui plaisais et ce n’était pas juste ma poitrine qui l’attirait. J’avais développé une espèce de sixième sens pour ça, je le voyais bien juste à sa manière de me regarder, de baisser les yeux quand je me retournais après avoir écrit au tableau. Les autres gars le faisaient aussi, mais lui s’était plus par respect que par peur d’être surpris, ça se sentait. Ou il rougissait un peut quand je me penchais a coté de lui pour lui expliquer quelque chose sur son ordinateur.
Il était grand, mince, un profil à la Sherlock Holmes et secret. Il portait constamment des jeans et une veste de cuir user. Pendant les pauses je discutais toujours avec mes étudiants mais c’était surtout les filles qui m’accaparais, Pierre écoutait, jamais loin. Après trois mois de cour je compris qu’il ne se lancerait pas, il devait me croire marier ou en couple ou il était tout simplement trop gêné pour le faire. Moi je lavais entendu dire a un autre qu’il était séparer et vivait seul. De plus il devait se dire qu’une enseignante ne sortirait jamais avec un étudiant, mais pourquoi pas, on était entre adultes ici, je n’enseignais pas a des ados. Pourvu qu’on ne le cri pas sur les toits, pourquoi pas ?
Un beau jour a la toute fin des cours je décidais de prendre les devants et de l’aborder, mais de quelle manière ça, je n’en savais encore rien... J’avais rarement couru après un homme depuis la vingtaine et ça me stressait, je le comprenais donc très bien. Autant je pouvais être gêné moi aussi autant je pouvais être directe et foncer pour bien des choses. Je me mis en tête de l’inviter a souper simplement, mais je le rater a la sortit des classes, il avait disparu. Je remis donc cela a demain sauf que, comme pour bien des gens timides parfois quand on se décide c’est tout ou rien et la....
Le lendemain au collège j'entrai dans mon bureau vêtu d'une jupe noire étroite noire un peut plus courte qu’a l’habitude, bas nylon noir a large bande élastique aux cuisses, chandail a col rouler, moulant, noir également et un rouge éclatant sur mes lèvres bien rondes. Aux pieds je portais des petits escarpins noirs, je déteste les talons hauts, ça fait trop rebondir mes gros seins et a l’approche de la cinquantaine ils gonflaient encore plus, ramollissais et remuait constamment. Je n’aime pas attirer l’attention, surtout devant mes étudiants. Habituellement, je cachais ma grosse poitrine autant que possible sous des tailleurs, mais pas cette fois.
Et ce matin-là, quand j’entrai en classe le regard des gars s’alluma et les filles lâchèrent un « ouuhhh... » extrêmement gênant pour moi. Je les rappeler a l’ordre les joues rougies, en disant : « OK ! OK ! Les filles, on se calme ! » Mais en déposant mes affaires sur le bureau je vis que Pierre n’était pas là, sa place habituelle au fond de la classe était vide. « Merde ! » Je me sentais ridicule a présent vêtu comme je l’étais et si maquiller, enfin pas tant que ça mais pour moi c’était beaucoup. Puis je me dis que les étudiants penseraient que c’était parce que c’était la dernière journée.
Mais en regardant a nouveau vers le bureau vide mon cœur se resserras un peut, il n’avait jamais manqué une seule journée et la, c’était la dernière et il fallut qu’il choisisse celle-là pour s’absenter et moi pour me décider. Je pouvais toujours consulter son dossier, mais oserai-je l’appeler. Pourquoi pas ? Tant pis, y me restait qu’as ne pas trop m’étirer sur la pointe des pieds en écrivant au tableau.
— Personne n’a vu Pierre, demandai-je, ça ne lui ressemble pas d’être en retard ! Je sais que c’est la dernière journée mais tout le monde devait être là.
Et tout le monde fait non.
— Sexy notre prof ce matin, lança Thérèse toujours assise au premier rang en me matant des pieds à la tête comme le ferais un gars et en souriant.
Il y eut des murmures amuser et nouvelles rougeurs aux joues.
— Bon, bon, OK ! Dis-je a nouveau, on commence....
Une heure plus tard je compris qu’il ne viendrait pas à sa dernière journée de cour. Au lunch du midi à la cafétéria avec les autres j’en avais fait mon deuil. Mais soudain il arriva, calme et poser sans rien dire. Je souris soulager en mordant dans mon Sand-Winch. Mon cœur s’emballa...
De retour en classe j’évitai de trop le regarder mais je sentais ses regards a lui sur mon cul, ou je l’imaginais. En tout cas les autres eux, me le regardait sans arrêt ! Je trouver le temps long surtout quand j’écrivais au tableau, j’avais toujours l’impression que ma jupe levait trop et que l’on pouvait voir la bande décorative de mes bas. Je passai la journée a avoir des bouffés de chaleur les aisselles humides.
Vers 4 h, à la fin de cours, je le vis s’apprêter à sortir comme les autres mais pas question de le rater cette fois et quand il passa devant moi en me saluant je lui dis d’aller à mon bureau quelques minutes. Mon cœur se mit à battre en rangeant mes papiers, il me regarda étonner mais sans rien dire, je souris disant au revoir et souhaitant bonne chance aux autres puis filer aux toilettes nerveuses. La peur du refus ma toujours terroriser, comme la plupart des gens j’imagine et cela provoqua chez moi une envie pressante.
Une fois aux toilettes je soupirer assise sur le bol, petite culotte aux genoux, en vidant ma vessie. Je m’essuyer, tirer la chaîne puis soupirer encore en remontant mon slip avant d’aller me laver les mains et de me remettre un peut de rouge. J’étais assez joli je le savais, sans être d’une grande beauté en plus de mes seins opulents. Beaucoup d’hommes m’abordaient avant que je ne me jette corps et âme dans l’enseignement et j’avais eu pas mal de relation à une certaine époque. Une petite brune tout de même attirante, j’avais encore une belle silhouette pas trop de gras, ni trop de fesses avec de jolies jambes et la, sans réfléchir, je fis une chose qui n’était pas moi du tout. J’entrai a nouveau dans une cabine sous une impulsion soudaine et je glisser les mains sous ma jupe et je retirer mon slip et le fourrer dans ma mallette métallique. J’en frissonner en me demandant pourquoi je faisais ça et surtout si j’avais le courage de sortir et de me promener dans l’école fesses et sexe a l’air pratiquement. Mes bras se couvrirent de grosse chair de poule et mon coeur accéléra, mais étrangement j’aimais cette sensation d’interdit.
Et je le fis, je sortis des toilettes nerveuses, en frissonnant chaque fois que je croisais des étudiants ou d’autres enseignants et mon cœur battait de plus en plus vite et ma vulve mouillait. J’avais l’impression que ça se lisait sur mon visage que je ne portais plus mon slip et qu’il était dans ma petite valise qui battait contre ma cuisse, ma main qui serrait la poignée était moite de sueur. Je filer rapidement a mon bureau espérant ne pas rencontrer le directeur de l’école qui s’arrêtait tout le temps pour me parler. Il en pinçait pour moi, en fait, plus pour mes seins, je le savais bien. Je l’avais vue dès mon premier jour, mais il était marié et père de 3 enfants et ça ne l’avait pas empêché de m’inviter à un souper en tête à tête. J’avais refusé net et il n’avait pas insisté, mais il me parlait chaque fois qu’on se croisait. Il devait toujours espérer le pauvre. Mais heureusement je ne le vis pas et entré dans mon bureau comme si j’avais le diable aux trousses, le cœur battant à toute allure et je ris tout seul, me trouvant idiote en refermant derrière moi. Je songeais même à remettre ma petite culotte noire en quatrième vitesse. Mais qu’est-ce qui m’avais prit de l’enlever : les hormones sans doute, la préménopause ou le manque de sexe ou tout ça a la fois. « WAIS, sûrement tout ça en même temps ma vieille. En plus, avec la paire de seins que tu as, tu n’as pas besoin de faire ça pour amener un homme dans ton lit, idiote » J’ouvris ma mallette sur le bureau et prit mon slip sur la pile de dossiers, on frappa a la porte au même moment. Je sursauter comme si je venais de recevoir une décharge électrique d’un taser gun, mon coeur sembla même s’arrêter tandis que je lâchais le slip et refermait la mallette a toute vitesse. En me retournant, une main sur la poitrine, je me sentais comme si on venait de me surprendre à voler du vin de messe. On frappa à nouveau.
— Oui ! Entrez !
Mes mains tremblaient et mes genoux étaient tout mous, je dus appuyer mes fesses contre le bureau et m’y soutenir. Je faillis éclater de rire mais me reprit juste a temps car la porte s’ouvrait.
Seigneur ! Me dis-je. J’espère que c’est lui et non le directeur qui aurait décidé de jouer le tout pour le tout le derniers jours avant nos quelques semaines de vacances en venant se jeter à genoux devant moi en braillant et me suppliant de lui accorder une soirée, ou pire... une nuit. Je le voyais si bien la, a mes pieds avec son crâne a moitié chauve que je dus faire un gros effort pour ne pas éclater de rire encore une fois. Mais c’était bien Pierre. Ouf ! « Il devait être juste derrière moi et regarder mon derrière. » Cette pensée me donna des sueurs supplémentaires. Pourquoi ? Ils le font tous. Mais qu’est-ce qui m’arrive. Je lui dis d’entrer en réalisant que je souriais trop, comme l’une de ces filles qui paradent devant des voitures nouveaux modèle dans un salon de démonstration, en plus. Je fermer les lèvres pour me rendre compte que j’écarquillais les yeux. Voyons ! Seigneur ! Une bouffée de chaleur me monta au visage. J’aurais tout donné pour un bon verre de vin blanc glacer.
Et là, mon cœur bondit en le voyant hésiter devant la porte ouverte. Pourquoi ? Qu’est ce que j’avais ? Je baisser légèrement les yeux pour vérifier que ma jupe n’était pas trop relever ou mon chandail tacher, ou pire que mes mamelons soient dressés et visible parce que j’avais enlevé mon slip. Mais non, tout semblait en ordre. Et je réaliser qu’il semblait juste aussi intimider que moi. Je lui dis de venir s’asseoir. Il entra et s’installa sur la chaise devant mon bureau sans rien dire en croisant ses longues jambes. Il portait des runnings minces noir et blanc ceux que les artistes préfèrent et moi également l’été.
Il me regarda et me sourit, c’est la que je compris ce que j’avais envie de faire depuis que j’avais enlevé mon slip. Ça jaillit soudainement dans ma petite cervelle comme si une part de moi me l’avait caché pour le faire surgir juste maintenant de peur que je n’ose pas le faire et avec raison. Moi, faire ça ? Mon pouls grimpa en flèche quand, comme une automate, je m’assis sur le bureau face à lui en croisant les jambes. Avait-il déjà vu que je n’avais pas de slip ? Non, il n’avait pas baisé les yeux. « Pourquoi je faisais ça ? » « J’avais juste a lui demander de venir souper chez moi, il serait venu j’en étais certaine. » Mais quelque chose que je ne contrôlais vraiment pas m’ordonnait d’être provocante.
Pré-ménopause, hormones et manque de sexe, un cocktail explosif.
Je le sentis aussitôt très mal alaise, pauvre lui, a mon âge je savais très bien quel effet pouvait avoir sur un homme de jolies petites jambes, bien moulé dans des bas noirs et une jupe courte. Assise comme ça, les muscles de mes cuisses avaient gonflé et je sentais mon sexe se dilaté et devenir de plus en plus humide. J’avais même l’impression d’en sentir l’odeur en souriant à Pierre. De plus, je sentais même mon anus poisseux légèrement étirer contre le tissu de ma jupe, tout ça me donnait vraiment de drôle de sensation. Je me donnais l’impression d’être une professionnelle qui racole un client, pas juste une femme qui en pince pour un bel homme.
Jamais je n’avais été aussi allumeuse, enfin, depuis l’adolescence. Je ne me sentais pas correct de lui faire ça mais en même temps j’avais tellement envie de Pierre que j’en avais mal au ventre. En fais, je n’avais plus de contrôle sur moi, plus du tout; je sentais un feu couvrir dans mes veines, je sentais mes seins presque appuyer sur mes cuisses gonfler dans mon soutien-gorge noir en dentelle, je sentais même mes mamelons qui me chatouillaient et devaient paraître à présent. Je n’oser même pas regarder mais mes joues s’empourprèrent encore plus tandis que je ramenais mes cheveux fins derrière mes oreilles essayant de paraître calme et détendue. Mais j’avais l’impression que tout mon corps venait de s’allumer comme un sapin de Noël et que ça se voyait comme le nez au milieu du visage. Je dus ravaler ma salive avant de lui demander :
— Alors Pierre, qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
Merde ! Ma voix avait grimpé d’un cran, presque autant que quand j’avais un orgasme. Ma petite maudite voix gênante. Je me tousser dans la main l’air de rien pour la replacer de plus en plus énerver.
Il déglutit aussi, ça devait le mettre dans tout ses états d’avoir mes jambes juste sous les yeux. Si je les avais décroisés et écartés juste un peu il aurait eu une vue imprenable sur mon sexe mouiller et de ma toison ovale. Pensé ça me donna encore la chair de poule et me fit suer abondamment en même temps, sous les seins surtout et dans ma craque de fesses. Une ondée de chaleur me traversa le corps à m’en étourdir. Je me cramponner au rebord du bureau a m’en faire blanchir les doigts. Il ne manquait plus que je tourne de l’oeil pour m’affaler dans ces bras. Mais qu’est-ce que j’ai ?
— Prendre de petite vacance, ça été six mois intensifs. Dit-il simplement.
— WAIS ! C’est très intense comme matière, affirmai-je en croisant les bras sans y penser soulevant mes seins et les gonflant encore plus. Manquait plus que ça. Si je continuais, c’est lui qui allait s’évanouir ou les deux en même temps. Beau tableau.
Du coin de l’oeil je vis cette fois mes mamelons qui paraissaient mais pas trop parce que mon chandail était noir, mais suffisamment pour que ça se remarque. Là, je voulais fondre, une bouffée de chaleur me monta au visage en imaginant le directeur entrer soudainement avec son crâne à moitié chauve toujours recouvert de sueur. Je replier mes orteils dans mon soulier droit mon talon en sortit et le soulier tomba entre ses pieds. « Merde ! » me dis-je en décroisant les jambes pour me pencher en même temps que lui en m’agrippant au rebord de la table. Non, on ne se cogna pas la tête comme au cinéma mais ça passa tout prêt, j’avais stoppé juste à temps. Il le regarda amuser et le ramassa. V'là que je jouais les Cendrion. Seigneur !
Mon cœur s’emballa et sans vraiment réfléchir j’écartai les cuisses et quand il se redressa mon soulier en main il ne put s’empêcher de jeter un regard sous ma jupe, très vite, mais pas assez pour que je ne m’en aperçoive pas et il avait vue ce qu’il y avait a voir car il rougit. Cela avait été plus fort que lui, n’importe lequel homme aurais fait pareil et je l’avais voulue, inconsciemment, mais ça, il ne le savait pas. Que devait-il penser en voyant que je n’avais pas de petite culotte, en apercevant ma vulve humide et ma toison ovale, que j’enseignais sans slip. Je doute qu’il comprît que c’était juste pour lui, n’empêche que son regard sous ma jupe me fît un effet du diable. Il devait me prendre maintenant pour une satanée vicieuse. C’était sans doute ce côté-là de moi qui me contrôlait depuis tout à l'heure.
— Merci ! Dis-je aussi embarrasser que lui en tendant mon pied. Tant qu’à jouer les Cendrillons.
Il agrandit les yeux de surprise en apercevant mes petits orteils aux ongles couverts de rouge sombre bien visible sous mon bas juste sous son nez, je les replier, cette fois, il avait une sacrée vue sur mon entrejambe. Aucun doute là-dessus. Il dut me prendre le mollet pour me le remettre, sentir la pression délicate de ses doigts firent que mes pulsions sexuelles prirent le dessus, je n’en pouvais plus. Une fois mon soulier en place il se redressa en croisant les bras très mal a l’aise visiblement, je le regarder droit dans les yeux sans resserrer les cuisses. Il devait avoir les aisselles tout aussi trempes que les miennes et un début d’érection. Visiblement il se demandait ce qui lui arrivait, c’est la que je compris vraiment qu’il me prenait pour une femme inaccessible pour lui, je lui sourit et dit sans détour :
— Pierre, j’ai envie de toi !
Il souleva les sourcils, il semblait se dire. « Moi, ces pas possible. » C’était mignon comme tout.
— De moi ?
— Mais oui ! Affirmai-je amuser me sentant comme soulager d’un lourd fardeau.
Il resta sans voix un moment et il dit :
— Wow !
Je ris, c’était vraiment charmant, ces yeux presque noirs me firent craquer, je voulais qu’il se passe quelque chose là, maintenant, je ne me tenais plus. Un autre m’aurait sûrement déjà étendu sur mon bureau et écarter les cuisses mais pas lui, pas par qu’il était imbécile, juste par timidité et manque d’assurance. Mais la maudite porte de mon bureau ne se barrait pas et n’importe qui pouvait entré à tout moment, je me lever en disant :
— Suis-moi !
Je décidai alors de l'entraîner dans les toilettes pour handicapé juste à côté. Heureusement ce couloir était peu fréquenté, je ne vis personne, mais quelqu’un pouvait surgir à tout moment.
Je flottais en marchant avec Pierre sur mes talons, j’étais comme drogué, comme sur un trip de pote. Étrangement j’avais l’impression d’être une prisonnière en pleine tentative d’évasion. Je sentais plus qu’a l’habitude mes seins sursauter, mais surtout mes fesses a l’air et ma fente mouillée, « ici au travaille » réalisai-je pleinement et j’amenais un gars dans les toilettes. Ma vision semblait se limiter a ce qu’il y avait devant moi et mon bas me ventre me chatouillait. En fait, j’avais maintenant une telle envie de me faire prendre que j’en avais presque une crampe à l’estomac.
La maudite toilette me sembla dix fois plus loin qu’à l’habitude et mon coeur sursautait chaque fois que j’entendais des bruits de pas ou un rire. Enfin arriver on entra rapidement, je barré la porte et me tourner vers lui, je dus lever le menton bien haut pour le regarder droit dans les yeux en croisant mes mains sur sa nuque pour qu’il penche la tête vers moi, je plaquer aussitôt ma bouche sur la sienne et sortit la langue. Il me serra contre lui avec une force étonnante pour un homme aussi mince tout en me frenchant avec vigueur. Ma grosse poitrine était si comprimée entre nous que je crus un instant que les crochets de mon soutien-gorge allaient céder. Je perdis aussitôt toute contenance, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas senti l’étreinte d’un homme, une vraie délivrance !
C’était si bon; sentir son corps, sentir son sexe gonflé contre mon ventre, sentir mes seins écraser contre son torse, sentir mes mains sur ses petites fesses à présent et les siennes sur les miennes. Un long et délicieux frisson me traversa le corps des pieds à la tête tandis que nos langues joutaient furieusement. Mon sexe gonfler pulsait, avide de sentir une verge dure s’y enfoncer, et je ne songeais plus qu’à laisser ses mains d’artiste aux doigts fins et longs courir partout sur mon corps.
Je lui en ramener une sur mon sein droit par-dessus le chandail pour qu’il le presse avec moi un long moment. Il devait en rêver depuis longtemps car il m’enlaça avec encore plus de fougue, presque à me casser en deux en repoussant ma langue dans ma bouche. Je dut me mettre sur la pointe des pieds sentant mon gros orteil droit percer mon bas et mes talons sortir de mes souliers. Je m’en débarrasser avec joie et les repousser derrière moi. La tête me tournait j’aurais aimer qu’il prenne les devants et me saute dessus, me penche sur les lavabos, soulève ma jupe et enfonce ça bite en moi mais je le sentais toujours réserver alors j’abaissai cette même main sous ma jupe par devant, la soulevant et lui fit presser ma fente humide, la frotter, puis je le fis enfoncer son doigt le plus long dans mon vagin.
J’étais si mouillé que son majeur entra facilement jusqu’à la jointure. J’en frémis de tout mon être en gémissant dans sa bouche tandis qu’il l’agitait en repliant les autres doigts. Je lui tenais la main et le fit me pénétrer comme je le souhaitais tandis que nos langues s’enroulaient toujours l’une contre l’autre, je perdais la tête et c’était bien. Je sentis rapidement un orgasme se pointer parce que ces jointures frappaient mon pauvre clitoris bander dur et déjà sortit de sa cachette.
Faire ça dans cette toilette publique était grisant, affolant.
Je le fis accélérer, le vas et viens de son doigt glissant me rendait folle, mes jambes flageolaient, je n’avais pas ressenti un tel plaisir depuis si longtemps et j’eus un petit orgasme en mouillant encore plus et gémissant comme une enfant. Tout ça était trop excitant, son doigt, l’endroit, lui, m’être promené sans slip, sa langue si habile dans ma bouche. Mes genoux se frappèrent, l’orgasme me traversa le bas ventre comme une petite décharge électrique. Je repousser sa langue en geignant et appuyer ma tête contre sa gorge sur son épaule et fit stopper son doigt en serrant plus les cuisses a lui écraser la main. J’en tremblais en reprenant mon souffle sentant mon cœur s’emballer. Mon vagin semblait pris de convulsion. Il attendit patiemment que je reprenne mes sens en me caressant le dos de l’autre main et me baisant la joue. C’était gentil, mais si doux surtout. Pauvre lui pensai-je tout à coup en sentant toujours la bosse sous son pantalon.
Je retirer son doigt de mon sexe en me reculant un peut et l’amener a ma bouche et le sucer en enroulant ma langue autour en sentant quelques gouttes de liquide vaginale couler a l’intérieur de mes cuisses. Son goût salé m’emplit la bouche. Il me regardait les yeux petits, luisants de désir fou, il fixait mes lèvres arrondies autour de son doigt laissant son autre main presser mes seins. Je savais très bien à mon âge ce que je faisais et ce que je me préparais à faire mais c’était délicat dans l’état ou il se trouvait et surtout dans l’état ou je me trouvais. Je me sentais déchirer entre l’envie de le sentir en moi, là, tout de suite, et l’envie de lui sucer la bite. Il en mourait d’envie assurément et je faisais tout pour ça et j’en avais envie aussi et tant pis si cela se terminait comme ça, j’avais bien l’intention de le ramener chez moi. On aurait alors toute la nuit pour se faire plaisir l’un l’autre.
Sans rien dire je sortis son doigt de ma bouche et me laisser tomber à genoux en passant mon chandail par dessus ma tête le jetant sur le lavabo tout près, heureuse de le voir me regarder avec envie. Il avait du rêvé de voir ma poitrine si souvent. Puis je dégrafer mon soutien-gorge, mes seins tombèrent, mais pas trop, je le retirer et il prit le même chemin que le chandail. Il m’admirait comme figer tandis que je détachais son jean et baissait sa fermeture éclair rapidement presser de voir son sexe. Je baisser jean et slip d’un même mouvement jusqu’au genou et ça bite, longue, droite, sans prépuce bondit sous mon nez gonfler a bloc, sursautant a chaque battement de son cœur. Je me mis à saliver comme une affamée en le regardant palpiter, regardant aussi ses testicules sans aucun poil qui pendait très bas, aucun poil non plus sur le pubis ni sur les cuisses, elle était lisse et douce comme des jambes de femme. Ça m’étonna qu’il se rase partout mais ça me plaisait. Je n’ai jamais aimé les hommes trop poilus. Mon cœur battait à vive allure en replaçant mes cheveux en arrière de mes oreilles sentant mes seins se balancer et le carrelage de céramique qui me faisait mal aux genoux et déchirait mes bas, tant pis.
Alors, regardant Pierre droit dans les yeux, je pris mes seins par en dessous, les soulever et coincer son sexe entre eux. Ils l’entourèrent complètement, mes mamelons durcit et sensible se touchait presque et je commencer à le masturber comme ça tandis qu’il me caressait la tête doucement et à chaque aller-retour entre mes seins ma langue pointue venait lécher le bout de son gland qui rougissait déjà.
Et c’est la que je vis par un des grands miroirs au dessus des lavabos, des pieds par-dessous la porte du cabinet juste derrière nous. Il y avait quelqu’un assit sur la cuvette et qui restait la, a attendre, a écouté. Mon cœur bondit, mon sang se glaça car je reconnus les petits souliers de course vert lime à fleurs blanches de Thérèse. Il n’y avait qu’elle qui portait ça ici. Seigneur il fallait que ce soit une de mes étudiantes en plus. Sur le coup je ne pensais qu’à fuir, si elle en parlait à quelqu’un avant de quitter l’école et que ça venait aux oreilles de la direction. Je perdais mon emploi, sans parler de la gêne, de mon embarras une fois devant le directeur. Et lui, il en profiterait sûrement pour me faire chanter. Qui sait ? Mais je préférais perdre mon emploi plutôt que de voir ce type s’agiter entre mes cuisses. Tout ça tournait à une vitesse folle dans ma tête.
Mes joues devinrent si brûlantes qu’on aurait pu y faire cuire un oeuf. Mais je vis que Thérèse ne bougeait pas, pourtant elle savait qu’on était la, peut être se masturbait-elle, que ça l’excitait ou quelle attendait simplement qu’on en finisse en se retenant de rire et moi paniquer je continuais mon mouvement de vas et viens les doigts enfoncer dans mes seins. Mon cœur voulait me sortir de la poitrine, puis je me dis que comme on n’avait rien dit jusqu’a maintenant, peut être qu’elle ne savait pas qui nous étions a moins de regarder et je l’aurais certainement vue faire. Ça devait l’exciter de nous entendre, de deviner ce que l’on faisait et étrangement, de penser ça m’excita encore plus. Je me sentais sur la corde raide, mais d’un autre coté, Thérèse quittait l’école des quelle sortirait d’ici et les autres était probablement déjà tous parti, alors....
Pierre soupirait et geignait faiblement toujours silencieux, profitant pleinement de la situation sans savoir que nous étions épiés et ça me plaisait maintenant. Il devait croire qu’il rêvait, moi aussi d’ailleurs, ce n’était vraiment pas moi ça être aussi vicieuse dans un endroit public tout en me sachant espionner en plus. Moi si prude habituellement et soudain, des bruits de talon haut dans le couloir, je figer paniquer. Pierre regardait la porte, quelqu’un tournait la poignée. Dans mon énervement je ne me rappelais plus si je l’avais barré ou non. La peur de me faire surprendre cette fois soit par le directeur soit par un autre enseignant me fit dresser les cheveux sur la nuque, une montée d’adrénaline décupla tous mes sens. Moi à genoux, a moitié nue coinçant la bite d’un de mes étudiants entre mes gros seins ouf... La fin de ma carrière dans ce collège.
On tourna la poignée, la secoua, elle était barrée, je lâcher un long soupir... Les pas s’éloignèrent, je me rendis compte que mon cœur s’était pratiquement arrêté. Pierre sourit, soulager lui aussi visiblement, je placer un doigt contre mes lèvres pour qu’il ne dise rien à cause de Thérèse et je me remis a la tâche gonfler a l’adrénaline. Son gland qui surgissait de ma chair tendre semblait avoir redoublé de volume et une goutte claire de liquide séminal s’en écoulait en s’étirant. Je la lécher il grimaça, c’était saler, si bon. J’avais chaud, je frissonnais, j’étais nerveuse, excitée, troublée, je ne savais plus si je devais aller jusqu’au bout ou filer avec lui chez moi. Fuir ou profiter de la situation. Mais ce savoir épier, savoir qu’il y avait Thérèse la, juste a côté derrière une mince porte et même si elle ne faisait qu’écouter c’était... étrangement excitant.
Mon cerveau fonctionnait mal, mon corps ne semblait plus m’obéir. Mais tout ce que je ressentais était si bon et la, en me penchant pour lécher son sexe, Pierre, qui n’en pouvait plus sans doute, se mit a remué son membre ce qui poussa son gland entre mes lèvres. Je le laissé faire un moment, bouche arrondit en agitant ma langue, ça me chatouillait les seins et les lèvres. Il devait jubiler et être terriblement excité, autant que moi si non plus. Il devait rêver de ça depuis longtemps. L’imaginé se masturber en pensant a moi me donna une nouvelle fois la chair de poule. J’avais toujours une sacrée envie de le sentir me pénétrer mais plus maintenant, pas ici, pas avec l’autre juste à côté. Oh que non ! J’allais gémir avec ma voix de petite fille si embarrassante, pas question.
J’ai bien cru qu’il viendrait à le voir grimacer, mais, non, il stoppa les joues rouges en laissant son pénis bien au chaud entre mes seins. Je compris que je devais l’empêcher de me prendre à tout prix. L’empêcher de me forcer à me lever pour que je me penche sur les lavabos en écartant les jambes pour qu’il puisse s’enfoncer en moi profondément et me secouer avec force en se remplissant les yeux de la belle vision de mon cul tout blanc rebondissant sous ses coups de boutoir. Dieux que j’aurais aimé ça, mais pas question, plus maintenant. Moi je pouvais attendre un peu, jusqu’à chez moi, mais pas lui, je le voyais bien. Il ne me restait qu’une solution.
Je lâcher mes seins et saisis son sexe si dur entre mes petites mains et l’enfoncer dans ma bouche en écartant les mâchoires au maximum me sentant saliver comme une démente tandis que son gland glissait sur ma langue et contre mon palais jusqu’a ma gorge ou presque.
Je le sentis frémir tandis qu’il me prenait la tête. Je serré les lèvres et commencer a le sucer lentement, en aspirant, narines dilater, enduisant son membre de salive épaisse. Ça me coulait sur le menton jusque sur les seins qui se balançaient mollement. Mes mamelons étaient si dures que ça me faisait presque mal et mon sexe si mouillé qu’il dégoûtait jusqu’a mon anus me le chatouillant. Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais là je me dépassais. Sucer un gars dans une toilette publique en se sachant espionner ces une sacrée sensation.
Surtout que les bruits de succion me semblaient démesurés, amplifier sans doute par les murs de céramique. Et Thérèse juste là, dont les petits pieds se retournaient par en dedans, l’un par-dessus l’autre, elle ne pouvait pas ne pas entendre, ne pas comprendre ce que je faisais et ça m’excitait terriblement. Peut être quelle jouissait en se moment, une main entre les cuisses, l’autre sur ses seins. La belle Thérèse, même a 32 ans elle faisait tourner les têtes a l’école avec ses cheveux noirs très courts, ses camisoles moulantes laissant son nombril a l’air, son sourire dévastateur, ses seins parfaitement ronds et hauts et ses jeans taille basse. Elle s’habillait comme une ados mais elle avait le corps pour ça.
J’agitais ma petite langue tout autour du membre en le pompant avidement. Je donnais de la tête tenant la bite d’une main à présent caressant ses couilles lourdes et si douces de l’autre. Il y avait si longtemps que je n’avais pas sucer un gars et pourtant, a me voir faire y devait se dire que je passais mon temps a tailler des pipes. Il grimaçait de plus en plus, mais la situation m’excitait tellement que je ne voulais pas qu’il jouisse trop vite quand même. C’était un peu sadique de ma part je l’avoue. Je la sortis donc de ma bouche, laissant une longue traîner de bave me tomber sur le menton en s’étirant jusqu’à son gland.
J'entrepris ensuite de le lécher tout le long de la hampe à petit coup de langue sans oublier de gober ses testicules sans poil tout doucement, les pinçant avec mes lèvres, les étirant, les mordillant, l’entendant gémir. Je remonter le long du membre veiné et alterner de petit vas et vient avec mes lèvres et ma langue tournoyant sur le bout de son gland, ça bite était si raide que le moindre attouchement la faisait rebondir, puis, langue sortit et bouche grande ouverte, je raidis la nuque et je décider de gober en entier sa verge. Chose que je faisait rarement a mes amants. Je regarder son membre disparaître peut a peut entre mes lèvres étirer au maximum. Narines dilatées pour ne pas étouffer je sentis ma bouche se remplir de salive qui débordait sur mon menton a nouveau. Je le regarder droit dans les yeux, ça bite enfoncer jusque dans ma gorge comme la dernière des putes et je vis dans les siens le désir brûlant qui l’habitait. Un feu doux bouillonna dans mon ventre me dictant de continuer. Je devais continuer. Je le sentais a deux doigts de me jeter par terre pour s’étendre sur moi. Il se retenait, sans doute parce qu’il voulait que j’aie du plaisir aussi, il voulait me pénétrer. Peut-être aussi qu’il s’empêchait de me jouir dans la bouche ou sur les seins par timidité ou par peur que je ne me fâche et c’était tout a son honneur. Mais moi je voulais qu’il vienne. Je ne dis pas que j’aimais avaler mais à l’occasion, on n’en meurt pas. Mais je ne pouvais pas lui dire, Thérèse aurait reconnu ma voix et avec un peu de chance, elle ne savait toujours pas que c’était nous. Soit j’arrêtais tout, quitte à le frustrer sur le moment, soit je me dépassais jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir. Et ces la deuxième solution qui me plaisait le plus car ça m’excitait trop d’être la, a la sucer avec l’autre juste a côté.
Mains sur ses cuisses je tourner la tête de droite à gauche le sentant frissonner les deux mains maintenant dans mes cheveux fins sans essayer de me forcer a quoi que ce soit, mais n’en pouvant plus je laisser la bite ressortir lentement de ma bouche pour reprendre mon souffle. Je crus entendre Thérèse gémir mais c’était si tenu que je n’en étais pas sur, mais, toujours par le miroir, je vis ses orteils qui se retroussaient dans ses runnings en toile. Du revers de la main tout en le masturbant de l’autre, j’essuyai la bave qui me pendouillait du menton en me sentant plus chaude et femme que jamais en fixant son membre rougit et palpitant luisant de ma salive. Je sentais ses muscles durs et la peau mince qui glissait dessus. J’adorais car il avait une belle bite, n’y trop grosses, n’y trop petite. Je sortis la langue pour cueillir encore une fois de se délicieux liquide transparent et salé qui dégoûtait de son urètre. Il en frémit en plissant les yeux tandis que je voyaient les gros muscles à l’intérieur de ses cuisses qui en tremblèrent d’excitation.
Et c‘était moi qui faisais cela, moi l’enseignante timide et réserver. Habituellement j’avais besoin d’avoir bue pour être aussi cochonne et la, en pleine toilette publique avec une autre personne juste a coté je lui suçais la bite comme une pro les seins a l’air. Et ça m’électrisait, mon sexe pulsait et Pierre me caressait les seins à présent, à porter de ses grandes mains aux doigts fins et délicats, comme des doigts de femme. Ma fente mouillait plus que jamais, je revins gober son sexe et sans réfléchir je glisser ma main sous ma jupe pour recueillie un peu de ma cyprine sur mon index résistant a l’envie de me masturber violemment et j'enfonçai alors tout doucement mon doigt dans son petit trou en écrasant ses couilles avec mon poignet en le sentant se raidir. C’était étroit, chaud et glissant. Je pousser mon doigt a l’intérieur jusqu’a la jointure et l’agiter de bas en haut tout en le suçant.
C'est alors que je sentis son sexe et son anus se contracter et son sperme gicler avec une puissance telle que je sursauter tout en avalant vite. Le goût âcre et salé du foutre épais m’emplit la bouche et passa lentement dans ma gorge. Le premier jet fut suivi de plusieurs autres, longs et continus... Son sperme se faufilait partout dans ma bouche, j’avalais au fur et à mesure en femme d’expérience même si je n’avais pas fait ça depuis des années. Il trépignait sur ses pieds en déchargeant les mains agripper à ma tête. Mains bien fermer sur son membre je le pompais de plus en plus lentement pour bien vider ses couilles et ça fini par cesser de couler sur ma langue. Essoufflé, je le sucer tout de même encore un peut avant de sortir ça bite de ma bouche. Je garder les lèvres fermer couverte de sperme, j’en avais même sur les seins. Mon coeur battait à cent à l’heure. Il se la secoua en se reculant, remonta slip et pantalon et alla me chercher du papier au distributeur. Tandis que je m’essuyais en me relevant il voulut parler mais a nouveau je lui fis signe de se taire lui montrant les petits runnings sous la porte. Il fut surpris en jetant les papiers à la poubelle puis m’aida à remettre mon soutien-gorge et j’enfilai mon chandail et je vis mes bas déchirer laissant voir mes genoux rougis. Je les enlevé et les jeter a la poubelle avant de me laver le visage un peut et l’on sortit sans voir personne. Une fois dans mon bureau je soupirer, soulager affaiblit et il m’enlaça et voulue m’embrasser mais je tourner la tête en disant.
— Je ne me suis pas brossé les dents.
Mais il m’embrassa quand même, ce fut long et passionné puis il me dit à l’oreille en me serrant fort :
— Merci Luce !
Je souris gêner contre sa joue piquante de barbe. Puis je reculer la tête légèrement pour le regarder droit dans les yeux.
— Ouf j’ai chaud, je ne sais pas ce qui ma prise, dis-je mes bras entourant sa nuque, tu dois me prendre pour une...
— Une femme magnifique... Oui et... surprenante !
Je rit, me sentant soulager, vider d’une tension accumulée depuis trop longtemps et la je ne pensais qu’a l’avoir sur et en moi.
— C’était Thérèse dans la toilette, je ne l’avais pas vue, j’espère qu’a ne parlera pas ! Elle ne sait peut-être pas que c’était nous.
— J’espère aussi, pour toi, mais c’est quelqu’un de bien, je pense, je ne croîs pas quelle va en parler. On peut se revoir ?
— Tient, dis-je amuser, y se dégêne enfin ? Ouais, ce soir si tu veux, viens souper.
— Wow, J’ai de la misère a croire a tout ça, t'es tellement belle Luce, je n’aurais jamais cru que tu puisses être intéressé pas moi.
Je me contenté de lui sourire, il était si charmant, si délicat dans son genre. Il accepta, je lui donner mon adresse et on s’embrassa très fort a nouveau et il partit. Je flottais après son départ, j’étais encore sur l’adrénaline, je ne pensais qu’a me brosser les dents et prendre une bonne douche une fois a la maison et on frappa a ma porte, ça m’électrisa. Je me rajuster vite avant de dire entré en soupirant, certaine que c’était cette fois le fatiguant de directeur mais...c’était Thérèse.
Je me sentis rougir des pieds à la tête. Elle souriait en entrant et malgré moi je loucher discrètement vers ses seins car ces petits mamelons pointaient sous sa camisole courte qui laissait son nombril a l’air et elle referma la porte. Je ne pus m’empêcher de regarder rapidement ses souliers de course, comme si j’avais besoin de vérifier que c’était bien elle, et oui. Elle se laissa tomber sur la chaise ou était Pierre quelques minutes plutôt et croisa ses jolies jambes bien mouler dans un jean bleu pâle déchirer aux genoux en me regardant les yeux tout petits. Elle souriait toujours en mâchant de la gomme comme d’habitude.
Mon cœur s’arrêta encore en m’assoyant derrière mon bureau pour cacher mes jambes nus et mes genoux surtout, tous rougis ceux-là, en essayant de paraître calme en croisant les bras. Mais je vis ma mallette contenant toujours mon slip et j’eut une bouffé de chaleur en plus de voir Thérèse la, juste devant moi a me sourire après se que je venais juste de faire pratiquement devant elle. J’espérais seulement qu’elle est quitter l’école, mais non ! Merde ! À qui allait-elle en parler ? Je croiser les jambes en sentant trop mon sexe encore humide. Incapable de parler j’attendais qu’elle ce décide. Qu’est-ce quelle pouvait bien vouloir ?
— Ne stresse pas Luce, je n’en parlerai pas ! Tu savais que j’étais la hein ?
Mon cœur repartit mais tout croche et là, j’avais si chaud que j’avais l’impression d’être assis sur un calorifère par une belle journée d’été.
— Pas au début si non... on aurait fait ça ailleurs ! Dis-je exaspérer tout en ramenant mes cheveux derrière mes oreilles. Mais j’ai vu tes souliers de course si... uniques sous la porte.
Elle leva une jambe bien droite en agitant son pied pour bien me montrer son running avant de la laisser retomber et toujours en mâchant. Ça m’énervait cette maudite gomme, ça et ses mains croiser sur son ventre plat et fermer car elle tournait les pouces.
— Hum, désolez, mais ça m’a donné de petites sueurs et j’ai juste attendu que ça finisse pour ne pas... enfin vous couper le plaisir. Écoute j’ai déjà fait ça moi aussi sucer un gars dans une toilette c'est flippant, ont le fait toutes non, je veux dire sucer des bites. T’inquiète pas, je ne dirai rien tu perdrais ton job, mais je veux juste une chose !
Je déglutis bruyamment le cerveau embrouillé, j’étais coincé. Je voulais garder cet emploi et éviter la honte de me faire virer pour avoir fait une pipe a un étudiant, même adulte dans les toilettes. Je soupirer longuement vraiment embarrasser maintenant par tout ça. Mais qu’est-ce qu’elle voulait ? De meilleures notes, elle n’en avait pas besoin. De l’argent ?
— Quoi ! T’as déjà ton diplôme et d’excellentes notes. T’as du talent, tu vas aller loin dans ce métier et tu le sais.
Elle plissa ses jolis yeux bruns pale et sourit en les baissant juste un instant pour regarder ma poitrine avant de faire non en secouant la tête. Merde ! Mes mamelons pointaient toujours tout comme les siens d’ailleurs. Ce petit épisode dans les toilettes l’avait sans doute excité. Bon, si ce n’était pas les notes c’était l’argent. J’allais lui demander combien quand elle dit :
— Je veux juste passer une nuit avec toi Luce ! Mais, si tu ne veux pas et bien... tant pis. Je n’en parlerai pas de toute façon. Ce n’est pas mon genre le chantage, je détesterais trop qu’on me fasse le coup. Ne t’inquiète pas, motus et bouche cousue peut importe ta réponse. Mais je te trouve mignonne à croquer. En fait tout a l’heure, j’aurais bien aimé être à la place de Pierre et ça m’a tout pris pour ne pas regarder en plus d’écouter. Mais je ne voulais pas te mettre encore plus dans l’embarras.
J’ouvris la bouche de surprise mais aucun son n’en sortit, je refermer les lèvres sentant mon cœur battre sous mes seins. Je déglutis à nouveau. Je n’aurais jamais cru qu’elle était aux femmes. Moi et elle dans mon lit. Seigneur ! J’étais de retour sur mon calorifère et sans slip.
— Je ne suis pas lesbienne Luce si ses ce que tu te demandes, j’en pince juste un peut moi aussi pour ma belle prof a la poitrine ma foi... très généreuse. C’est juste un fantasme, juste une nuit d’ici a lundi. Je quitte Montréal pour retourner à Québec. Je fantasme sur des filles parfois même si je préfère les hommes et toi déjà essayer ?
Oui, j’avais déjà essayé mais ça ce n’était pas ses affaires et j’étais saoul cette fois-là. N’empêche que j’y repensais souvent en me masturbant et puis je n’en mourais pas de baiser à nouveau avec une fille, au contraire, et puis elle était mignonne. Un peut énervante avec sa gomme et le reste mais... Pourquoi pas après tout ? Je ne la reverrai pas et ce genre d’occasion ne se présente pas souvent et puis elle renonçait au chantage. Pourtant elle aurait pu presque m’y obliger. Elle et moi... Juste de l’imaginer mon sexe pulsa et me démangea. Je n’en revenais de voir avec quelle faciliter j’acceptais l’idée de l’amener dans mon lit surtout que je venais de... enfin. Je renoncer a me comprendre pour aujourd’hui. Je passais de, « pas de sexe du tout à une pipe dans une toilette et... ça, le même jour. »
— OK !
— OK ?
Elle en oublia de mâcher et ses pouces stoppèrent. Visiblement elle s’attendait à se faire jeter dehors. Étrangement j’en ressentis une certaine fierté de la surprendre mais aussi d’être un fantasme pour elle tout comme je l’étais pour Pierre. A mon âge c’est plutôt étrange de se savoir le fantasme d’une autre fille, si jolie en plus, mais en même temps rassurant.
— Hum ! Hum ! demain soir ça te va ?
— Super ! Wow ! J’amènerai du vin, après on se verra plus, fâcher ?
— Non, surprise c’est tout ! Mais, tu as deux enfants non ?
— WAIS ! Deux petits monstres de garçon de 4 et 5 ans qui m’en font voir de toute les couleurs mais que j’aime plus que tout et que j’élève seul. Ils passent la fin de semaine chez leur grand-mère, une vraie délivrance.
Je ris quelque peut soulager en replaçant encore mes cheveux derrière mes oreilles et c’était reparti pour la gomme et les pouces.
— Je vais t’écrire mon adresse.
Je lui griffonner sur un bout de papier, ma main tremblait légèrement en me levant à demi pour lui donner par dessus mon bureau.
— Demain vers 7 h. Dis-je ?
Pour toute réponse elle se leva, se pencha vers moi et tout sourire elle posa ses lèvres sur les miennes en prenant le papier et ma main. Je n’offris aucune résistance et fermer même les yeux en sentant mon coeur s’affoler. Qu’un baiser fugace très doux entre fille et du bout des lèvres qui me troubla terriblement.
— Merci Luce ! Dit-elle simplement les yeux malicieux en s’en allant tandis que je retombais sur ma chaise en lui souriant comme une idiote.
Je n’en revenais toujours pas de ce baiser, n’y de son aplomb, n’y de ma si fable résistance en ne pouvant m’empêcher de regarder son joli derrière qui se balançait tandis qu’elle sortait en refermant la porte. Jamais je n’aurais eu le front de faire ce quelle venait de faire et j’allais baiser avec un autre de mes étudiants, une étudiante en plus. Je ne savais plus si cela m’excitait ou non. La tête me tournait trop, j’avais le vertige. Je devais être bi. Le mot bi résonna dans ma tête étrangement. Moi, bi ! Sûrement pas ! On n’est pas bi parce que l’on a juste quelques relations dans sa vie avec quelqu’un du même sexe. Dire que si je n’aurais pas osé enlever ma petite culotte ce qui m’avais mise dans tous mes états et fait emmener Pierre aux toilettes, tout ça ne se serait pas produit.
Je ramassai mes affaires l’esprit ailleurs, le sourire aux lèvres et j’échappai mon manteau en le décrochant de la patère. Comme j’étais seul, je me pencher sans plier les genoux pour le ramasser au plus vite et (toc toc) la porte s’ouvrit et quelqu’un entra en coup de vent. Je me redresser rapidement paniquer en me retournant pour apercevoir le directeur avec son crane presque chauve couver de sueur la bouche ouverte de stupeur. Merde ! Mon coeur en cognait d’avoir été ainsi surprise. Quelle idiote ! Qu’avait’ il vue : le bas de mes fesses avec mon sexe ouvert, humide et prêt a l’emploie. À le voir, j’en étais certaine. Il était aussi surpris que moi et dit ce que je redoutais d’entendre et surtout de vivre depuis un moment.
— Vous enseigné sans petite culotte ? Vous, Luce !
J’étais figé, comme un zombie devant les phares d’une voiture et il me dévorait des yeux, figer lui aussi. Je venais sans le vouloir de l’allumer complètement. Mais ça, je pouvais le comprendre car le pauvre en avait sans doute fait son deuil depuis longtemps d’en arriver a me voir le cul et le reste et la je lui avais offert cette vision sur un plateau d’argent. Quelle idiote ! En plus de mes mamelons qui pointaient toujours et ses yeux était rivé dessus. Je rougis de plus belle tout en bredouillant.
— Non je...
Non je quoi ? J’ai eu mes règles et j’avais plus de tampons et ça me fait bander des tétons de ne pas porter de slip. Merde !
— Luce, 100 dollars pour une petite vite, ici maintenant, je vous fais un chèque et après. Je ne vous demanderai plus rien, promis, jurer et on oublie tout.
Ma bouche qui était restée ouverte s’arrondit de stupeur tandis que mes yeux s’écarquillaient.
« Me payer moi pour me baiser ! Le salaud. » « Mais comment osait-il ? Qu’on t-il tous aujourd’hui a me prendre pour... pour... Merde !
J’ai juste enlevé ma maudite petite culotte et ça les rendait tous fous ma parole. Je faillis en rire tellement ça devenait ridicule. Mais en même temps je rougissait de plus belle mais cette fois de colère. J’allais l’engueuler quand :
— Bon, disons 500 OK !
Il sortait son chéquier de la poche de sa veste en plus. J’étais si interloqué que j’en restais toujours sans voix tandis qu’il attendait désespérément une réponse ou une bonne gifle, probablement les deux. En tout cas il semblait extrêmement nerveux en plus d’être excité au possible. J’allais lui dire ma façon de penser et de se foutre son boulot dans le cul quand il augmenta la mise:
— Bon, 1000, mais je ne peux pas plus. Je sais bien que je ne t’intéresse pas une miette Luce mais, Bon Dieu... juste une fois ça... ça me libérerait. Prends ça comme un cadeau si tu veux. Juste un cadeau et puis tu es célibataire.
« WAIS, mais pas toi. »
Et il me suppliait en plus, encore une minute et il allait se mettre à genoux. C’est fou ce que peut faire un homme juste à la vue d’une vulve mouiller. Mais il y avait aussi mes seins ballon, ça, c’est certain, il en bavait depuis notre première rencontre. Attend, 1000 dollars, il avait dit 1000 dollars. Deux semaines de salaire pour un petit orgasme... Et là, j’eus une vision. Je me vis sur mon sofa dans mon salon au fond duquel trônait la télé géante dont je rêvais depuis l’an dernier et que mon salaire d’enseignante de me permettait de me payer. Je me voyais clairement en jaquette et pantoufle a m’empiffrer de chips, bière en main, en écoutant mes DVD préférer sur grand écran au lieu de ma vielle télé. Ma bouche se referma. Et pourquoi pas, juste une fois. Il était si excité que ça irait vite.
— Alors c’est oui ?
Comme dans un rêve je m’entendis dire oui.
— Génial, fit-il en se précipitant sur mon bureau pour faire le chèque, sur ma mallette en plus.
Je ranger mon manteau en ayant l’impression de vivre un rêve étrange. Quand il me tendit le chèque, je le pris sans y croire mais il ne le lâcha pas. Ses yeux vicieux me fixaient et son crâne était plus luisant que jamais. Le chèque resta étirer entre nos doigts et il rajouta :
— À ce prix-là je veux ta petite culotte Luce. Tu la ?
Mes yeux s’agrandirent encore de surprise. Je ne fis qu’acquiescer trop méduser pour dire quoi que se soit. Je faillis même éclater de rire en me disant qu’il allait sans doute la porter, peut-être même ici a l’école. Allez savoir avec un homme. Il lâcha le chèque et de la main je lui fis signe de s’écarter. J’ouvris ma mallette y déposer le chèque et lui donner mon slip des plus ordinaires. Il le prix comme une sainte relique et, sans le renifler, heureusement, il le fourra dans une des poches de sa veste en me disant :
— Enlève ton chandail, ton soutien-gorge. T'inquiètes pas j’ai un condom.
« Merci mon dieux, » me dis-je en transe, je me sentais comme si j’avais fumé un joint. Mais, je me dit que je ne voulait surtout pas que ça s’éternise, pas avec lui, même pas pour son chèque. Je regarder ma montre en disant :
— J’ai que 10 minutes, pas plus Goerge.
Il grimaça mais acquiesça impatient détachant déjà sa ceinture. Je ne voulais surtout pas voir sa. Je me retourner vers mon bureau en rajoutant :
— La chaise, dis-je en ayant toujours l’impression de rêver éveillé.
— Quoi ?
— Bloque la porte avec la chaise George.
— Ah oui !
Il le fit rapidement, j’enlevai alors mon chandail pour le jeter sur mon bureau puis dégrafer mon soutien-gorge. Mes gros seins tombèrent une nouvelle fois et ils reluisaient de sueur. Je n’arrivais pas a croire que ce type avait réussit a m’avoir et pourtant. Mon soutif rejoint mon chandail et il avait déjà les culottes et les slips aux genoux et branlait son petit sexe encore mou au gros gland rond en se bavant dessus, subjuguer par ma poitrine que je lui permis de palper un moment histoire de le faire bander dur sans que j’ai a l’aider et ça marcha. Je me dépêcher alors de me mettre face au bureau pour soulever ma jupe sur mes reins et je me pencher pour me mettre sur les coudes en écartant les cuisses. Je l’entendis enfiler son condom en réalisant pleinement que je m’étais vendu à ce type pour une télé. Mais d’un autre côté j’avais songé sérieusement à emprunter de l’argent à ma mère et à mon âge c’était plutôt embarrassant. Mais qu’est-ce qui était le plus humiliant ? Me faire baiser par George pour 1000 dollars ou emprunter a ma mère. Ma mère.
La situation m’excitait tout de même un peu, suffisamment pour être bien humide. Je le sentis aussitôt me caresser les fesses et mon sexe vérifiant avec un doigt si j’étais bien mouillé et il me pénétra un peut trop vite et commença à s’agiter une main sur mes hanches l’autre sur un sein. Bonne fille comme je suis, je me dis, en sentant mes fesses rebondir, que je me devais tout de même lui en donner un peut pour son argent si je ne voulais pas que son chèque rebondisse autant que mon derrière. Je me mis a gémir en l’entendant haleter pencher sur moi. Je sentais même des gouttes de sueur me tomber sur le dos. Sa bite en pleine érection maintenant me procurait tout de même de bonnes sensations mais pas au point de jouir. Pas avec lui. Il finit par lâcher mon sein pour me prendre par les hanches et me secouer rudement contre le bureau. Je gémis plus fort comme si j’aimais vraiment ça. À peine quelques minutes plus tard il stoppa en grognant, c’était fini, enfin je pensais. Mais il me dit de ne pas bouger en se retirant. J’entendis comme un bruit d’élastique qui claque et comme je l’imaginais je reçus du foutre chaud sur tout le dos mais surtout sur les fesses. Je grimacer en sentant le sperme me couler sur le corps. Merde !
Je dus attendre qu’il m’ait essuyé avec des kleenex pour pouvoir me rhabiller.
— Merci Luce, c’était génial.
Je me forcer a lui sourire en agrafant mon soutien-gorge et y replaçant mes gros seins tandis qu’il se rinçait l’oeil en se reculottant.
— Si ton chèque rebondit George, dis-je en rabaissant ma jupe, je jure que je vais voir ta femme.
— T’inquiète pas ma belle, il ne va pas rebondir. On pourrait...
— Bonne vacance George.
Je conduisis sur l’automatique jusqu’à la maison. Je n’arrivais toujours pas à croire à tout ça. La pipe, Thérèse, Gorge et le chèque qui allait se transformer en télé géante. Une fois dans mon appartement au premier d’une maison ancestrale dans l’est de la ville je ne rêvais qu’à une bonne douche chaude. Je me sentais sale et j’avais surtout hâte d’aller à la banque pour encaisser le chèque au cas ou Gorge déciderait de le bloquer... mais avant tout, j’avais bien besoin d’une bonne bière froide. J’avais la gorge si sèche après toutes ces émotions. Je me débarrasser de mes vêtements au salon et filer nue a la cuisine en souriant. J’ouvris le frigo, me prit une bière allemande, la décapsuler et la caler de moitié tellement elle était froide et délicieuse. Je me sentais épuiser mais étrangement bien, comme libérer de mes pulsions pour un moment. Je n’arrivais toujours pas à croire que je venais de me faire baiser pour de l’argent. 1000 dollars pour 10 minutes et pas si pénibles, cela aurait pu être pire, il aurait pu me demander de lui faire une pipe ou de me la mettre entre les fesses. Puis, seins ballottant, je retourner au salon pour imaginer ou j’allais placer ma future télé et tomber face à face avec ma mère en robe de chambre, ma robe de chambre et elle sortait de ma toilette. J’hurler de peur, elle aussi d’ailleurs en agitant les mains comme moi sauf qu’elle, elle ne tenait pas de bière. Je m’éclabousser toute la poitrine avant de cacher mon pubis avec la bouteille presque vide et mes mamelons mouiller avec mon bras gauche. Mes orteils trempaient dans la bière.
— M’man, mais qu’est-ce que tu fais la ? Comment t’es entré ? Mais, tu portes mon peignoir.
— Seigneur Luce, je ne t’ai pas entendue arriver tu m’as fait une de c’est peur.
Ma mère était ma copie conforme mais avec 20 ans de plus. Même grosse poitrine. Elle me regarda de bas en haut en riant a présent.
— Donne-moi mon peignoir. Criai-je en entrant me cacher dans la salle de bain.
— Je ne t’ai pas vu tout nu ma fille depuis au moins 30 ans. On se ressemble comme des soeurs jumelles non ? Oups ! T’as mis de la bière partout, j’ai failli me casser le cou.
Elle me le glissa par la porte que j’avais laissée entrouverte et je la fermer.
— Je reste toute nue ? Cria-t-elle
— Comment ça toute nue ?
— Ils ont perdu mes bagages à l’aéroport. Mes vêtements sont dans ton panier à linge sale. Je viens de me doucher. 8 h d’avions tu sais. Je voulais te faire une surprise, je pense que c’est réussi non ?
Je soupirer longuement dos a la porte en sentant mon coeur ce calmer.
— Je pense aussi. Va fouiller dans mes affaires, mais pas dans le tiroir du bas à droite. C’est la proprio qui t’a ouvert ?
— Quoi !
— Tu repars quand ?
— Lundi. C’est un peu embarrassant d’avoir à porter tes sous-vêtements, surtout tes petites culottes. Mais au moins on fait la même taille. Oh ! C’est un string ça ? Seigneur comment tu fais pour porter une chose pareille. On ira faire les magasins demain s’ils n’ont pas récupéré mes valises. Tu ranges toujours aussi mal tes vêtements ma fille.( Un silence et... ) C’est pas un vibrateur cette chose, c’est un instrument de torture. Ah ! Voilà, je vais être sexy avec ça.
J’avais hérité des gros seins de ma mère mais pour la timidité, je tenais ça de mon défunt père. J’étais encore rouge de honte. En plus mon plan baise venait de s’écrouler a moins de trouver une solution miracle comme de l’assommer et de la ligoter. Et Pierre qui allait s’amener et demain Thérèse et leur numéro de téléphone était à l’école.
Merde !
Et soudain je l’entendis juste derrière la porte.
— Luce !
— Oui m’Man.
— On se ressemble beaucoup tu sais.
— Oui m’Man.
— Sauf pour les fesses, les miennes sont pas mal plus grosses malheureusement.
— Heureuse de le savoir m’Man. Je veux dire désoler pour toi.
— Je vais devoir rester sans petite culotte et en jupe.
— Je te ne le conseil pas m’Man.
— T’inquiète pas, je vais croiser les jambes quand je vais m’assoir.
— Oui m’Man.
— Bon, je vais nettoyer ton dégât par terre.
— Bonne idée m’Man.
— Et désoler d’arriver ainsi à l'improviste mais tu sais, les longues distances...
— Je sais m’Man.
— Seigneur, j’ai l’impression d’avoir les fesses à l’air. T’es déjà sorti en jupe sans slip ? On se sent vulnérable.
— À qui le dis-tu ?
— Ça donne le frisson. Je devrais faire ça au bingo.
J’éclatai de rire tout en me disant : « Maudite journée de fou ! »
— Seigneur, tu as encore cette vieille télé Luce. Demain je vais t’en payer une belle, une grande. Je ne t’ai rien donné à ta fête cette année ma grande.
J’ouvris la bouche pour répondre mais... Je fus pris d’un autre fou rire avant de filer sous la douche.
J’étais séparé depuis deux ans. J’avais bien eu des offres mais que d’hommes attirer par ma poitrine plus que généreuse et ceux-là, j’avais vite apprit a l’adolescence a les éviter. Et puis j’avais envie de vivre seul pendant un moment pour me retrouver donc côté sexe c’était au point mort littéralement. Je fonçais dans le travail sans trop y penser, mais maintenant ce gars me plaisait et je lui plaisais et ce n’était pas juste ma poitrine qui l’attirait. J’avais développé une espèce de sixième sens pour ça, je le voyais bien juste à sa manière de me regarder, de baisser les yeux quand je me retournais après avoir écrit au tableau. Les autres gars le faisaient aussi, mais lui s’était plus par respect que par peur d’être surpris, ça se sentait. Ou il rougissait un peut quand je me penchais a coté de lui pour lui expliquer quelque chose sur son ordinateur.
Il était grand, mince, un profil à la Sherlock Holmes et secret. Il portait constamment des jeans et une veste de cuir user. Pendant les pauses je discutais toujours avec mes étudiants mais c’était surtout les filles qui m’accaparais, Pierre écoutait, jamais loin. Après trois mois de cour je compris qu’il ne se lancerait pas, il devait me croire marier ou en couple ou il était tout simplement trop gêné pour le faire. Moi je lavais entendu dire a un autre qu’il était séparer et vivait seul. De plus il devait se dire qu’une enseignante ne sortirait jamais avec un étudiant, mais pourquoi pas, on était entre adultes ici, je n’enseignais pas a des ados. Pourvu qu’on ne le cri pas sur les toits, pourquoi pas ?
Un beau jour a la toute fin des cours je décidais de prendre les devants et de l’aborder, mais de quelle manière ça, je n’en savais encore rien... J’avais rarement couru après un homme depuis la vingtaine et ça me stressait, je le comprenais donc très bien. Autant je pouvais être gêné moi aussi autant je pouvais être directe et foncer pour bien des choses. Je me mis en tête de l’inviter a souper simplement, mais je le rater a la sortit des classes, il avait disparu. Je remis donc cela a demain sauf que, comme pour bien des gens timides parfois quand on se décide c’est tout ou rien et la....
Le lendemain au collège j'entrai dans mon bureau vêtu d'une jupe noire étroite noire un peut plus courte qu’a l’habitude, bas nylon noir a large bande élastique aux cuisses, chandail a col rouler, moulant, noir également et un rouge éclatant sur mes lèvres bien rondes. Aux pieds je portais des petits escarpins noirs, je déteste les talons hauts, ça fait trop rebondir mes gros seins et a l’approche de la cinquantaine ils gonflaient encore plus, ramollissais et remuait constamment. Je n’aime pas attirer l’attention, surtout devant mes étudiants. Habituellement, je cachais ma grosse poitrine autant que possible sous des tailleurs, mais pas cette fois.
Et ce matin-là, quand j’entrai en classe le regard des gars s’alluma et les filles lâchèrent un « ouuhhh... » extrêmement gênant pour moi. Je les rappeler a l’ordre les joues rougies, en disant : « OK ! OK ! Les filles, on se calme ! » Mais en déposant mes affaires sur le bureau je vis que Pierre n’était pas là, sa place habituelle au fond de la classe était vide. « Merde ! » Je me sentais ridicule a présent vêtu comme je l’étais et si maquiller, enfin pas tant que ça mais pour moi c’était beaucoup. Puis je me dis que les étudiants penseraient que c’était parce que c’était la dernière journée.
Mais en regardant a nouveau vers le bureau vide mon cœur se resserras un peut, il n’avait jamais manqué une seule journée et la, c’était la dernière et il fallut qu’il choisisse celle-là pour s’absenter et moi pour me décider. Je pouvais toujours consulter son dossier, mais oserai-je l’appeler. Pourquoi pas ? Tant pis, y me restait qu’as ne pas trop m’étirer sur la pointe des pieds en écrivant au tableau.
— Personne n’a vu Pierre, demandai-je, ça ne lui ressemble pas d’être en retard ! Je sais que c’est la dernière journée mais tout le monde devait être là.
Et tout le monde fait non.
— Sexy notre prof ce matin, lança Thérèse toujours assise au premier rang en me matant des pieds à la tête comme le ferais un gars et en souriant.
Il y eut des murmures amuser et nouvelles rougeurs aux joues.
— Bon, bon, OK ! Dis-je a nouveau, on commence....
Une heure plus tard je compris qu’il ne viendrait pas à sa dernière journée de cour. Au lunch du midi à la cafétéria avec les autres j’en avais fait mon deuil. Mais soudain il arriva, calme et poser sans rien dire. Je souris soulager en mordant dans mon Sand-Winch. Mon cœur s’emballa...
De retour en classe j’évitai de trop le regarder mais je sentais ses regards a lui sur mon cul, ou je l’imaginais. En tout cas les autres eux, me le regardait sans arrêt ! Je trouver le temps long surtout quand j’écrivais au tableau, j’avais toujours l’impression que ma jupe levait trop et que l’on pouvait voir la bande décorative de mes bas. Je passai la journée a avoir des bouffés de chaleur les aisselles humides.
Vers 4 h, à la fin de cours, je le vis s’apprêter à sortir comme les autres mais pas question de le rater cette fois et quand il passa devant moi en me saluant je lui dis d’aller à mon bureau quelques minutes. Mon cœur se mit à battre en rangeant mes papiers, il me regarda étonner mais sans rien dire, je souris disant au revoir et souhaitant bonne chance aux autres puis filer aux toilettes nerveuses. La peur du refus ma toujours terroriser, comme la plupart des gens j’imagine et cela provoqua chez moi une envie pressante.
Une fois aux toilettes je soupirer assise sur le bol, petite culotte aux genoux, en vidant ma vessie. Je m’essuyer, tirer la chaîne puis soupirer encore en remontant mon slip avant d’aller me laver les mains et de me remettre un peut de rouge. J’étais assez joli je le savais, sans être d’une grande beauté en plus de mes seins opulents. Beaucoup d’hommes m’abordaient avant que je ne me jette corps et âme dans l’enseignement et j’avais eu pas mal de relation à une certaine époque. Une petite brune tout de même attirante, j’avais encore une belle silhouette pas trop de gras, ni trop de fesses avec de jolies jambes et la, sans réfléchir, je fis une chose qui n’était pas moi du tout. J’entrai a nouveau dans une cabine sous une impulsion soudaine et je glisser les mains sous ma jupe et je retirer mon slip et le fourrer dans ma mallette métallique. J’en frissonner en me demandant pourquoi je faisais ça et surtout si j’avais le courage de sortir et de me promener dans l’école fesses et sexe a l’air pratiquement. Mes bras se couvrirent de grosse chair de poule et mon coeur accéléra, mais étrangement j’aimais cette sensation d’interdit.
Et je le fis, je sortis des toilettes nerveuses, en frissonnant chaque fois que je croisais des étudiants ou d’autres enseignants et mon cœur battait de plus en plus vite et ma vulve mouillait. J’avais l’impression que ça se lisait sur mon visage que je ne portais plus mon slip et qu’il était dans ma petite valise qui battait contre ma cuisse, ma main qui serrait la poignée était moite de sueur. Je filer rapidement a mon bureau espérant ne pas rencontrer le directeur de l’école qui s’arrêtait tout le temps pour me parler. Il en pinçait pour moi, en fait, plus pour mes seins, je le savais bien. Je l’avais vue dès mon premier jour, mais il était marié et père de 3 enfants et ça ne l’avait pas empêché de m’inviter à un souper en tête à tête. J’avais refusé net et il n’avait pas insisté, mais il me parlait chaque fois qu’on se croisait. Il devait toujours espérer le pauvre. Mais heureusement je ne le vis pas et entré dans mon bureau comme si j’avais le diable aux trousses, le cœur battant à toute allure et je ris tout seul, me trouvant idiote en refermant derrière moi. Je songeais même à remettre ma petite culotte noire en quatrième vitesse. Mais qu’est-ce qui m’avais prit de l’enlever : les hormones sans doute, la préménopause ou le manque de sexe ou tout ça a la fois. « WAIS, sûrement tout ça en même temps ma vieille. En plus, avec la paire de seins que tu as, tu n’as pas besoin de faire ça pour amener un homme dans ton lit, idiote » J’ouvris ma mallette sur le bureau et prit mon slip sur la pile de dossiers, on frappa a la porte au même moment. Je sursauter comme si je venais de recevoir une décharge électrique d’un taser gun, mon coeur sembla même s’arrêter tandis que je lâchais le slip et refermait la mallette a toute vitesse. En me retournant, une main sur la poitrine, je me sentais comme si on venait de me surprendre à voler du vin de messe. On frappa à nouveau.
— Oui ! Entrez !
Mes mains tremblaient et mes genoux étaient tout mous, je dus appuyer mes fesses contre le bureau et m’y soutenir. Je faillis éclater de rire mais me reprit juste a temps car la porte s’ouvrait.
Seigneur ! Me dis-je. J’espère que c’est lui et non le directeur qui aurait décidé de jouer le tout pour le tout le derniers jours avant nos quelques semaines de vacances en venant se jeter à genoux devant moi en braillant et me suppliant de lui accorder une soirée, ou pire... une nuit. Je le voyais si bien la, a mes pieds avec son crâne a moitié chauve que je dus faire un gros effort pour ne pas éclater de rire encore une fois. Mais c’était bien Pierre. Ouf ! « Il devait être juste derrière moi et regarder mon derrière. » Cette pensée me donna des sueurs supplémentaires. Pourquoi ? Ils le font tous. Mais qu’est-ce qui m’arrive. Je lui dis d’entrer en réalisant que je souriais trop, comme l’une de ces filles qui paradent devant des voitures nouveaux modèle dans un salon de démonstration, en plus. Je fermer les lèvres pour me rendre compte que j’écarquillais les yeux. Voyons ! Seigneur ! Une bouffée de chaleur me monta au visage. J’aurais tout donné pour un bon verre de vin blanc glacer.
Et là, mon cœur bondit en le voyant hésiter devant la porte ouverte. Pourquoi ? Qu’est ce que j’avais ? Je baisser légèrement les yeux pour vérifier que ma jupe n’était pas trop relever ou mon chandail tacher, ou pire que mes mamelons soient dressés et visible parce que j’avais enlevé mon slip. Mais non, tout semblait en ordre. Et je réaliser qu’il semblait juste aussi intimider que moi. Je lui dis de venir s’asseoir. Il entra et s’installa sur la chaise devant mon bureau sans rien dire en croisant ses longues jambes. Il portait des runnings minces noir et blanc ceux que les artistes préfèrent et moi également l’été.
Il me regarda et me sourit, c’est la que je compris ce que j’avais envie de faire depuis que j’avais enlevé mon slip. Ça jaillit soudainement dans ma petite cervelle comme si une part de moi me l’avait caché pour le faire surgir juste maintenant de peur que je n’ose pas le faire et avec raison. Moi, faire ça ? Mon pouls grimpa en flèche quand, comme une automate, je m’assis sur le bureau face à lui en croisant les jambes. Avait-il déjà vu que je n’avais pas de slip ? Non, il n’avait pas baisé les yeux. « Pourquoi je faisais ça ? » « J’avais juste a lui demander de venir souper chez moi, il serait venu j’en étais certaine. » Mais quelque chose que je ne contrôlais vraiment pas m’ordonnait d’être provocante.
Pré-ménopause, hormones et manque de sexe, un cocktail explosif.
Je le sentis aussitôt très mal alaise, pauvre lui, a mon âge je savais très bien quel effet pouvait avoir sur un homme de jolies petites jambes, bien moulé dans des bas noirs et une jupe courte. Assise comme ça, les muscles de mes cuisses avaient gonflé et je sentais mon sexe se dilaté et devenir de plus en plus humide. J’avais même l’impression d’en sentir l’odeur en souriant à Pierre. De plus, je sentais même mon anus poisseux légèrement étirer contre le tissu de ma jupe, tout ça me donnait vraiment de drôle de sensation. Je me donnais l’impression d’être une professionnelle qui racole un client, pas juste une femme qui en pince pour un bel homme.
Jamais je n’avais été aussi allumeuse, enfin, depuis l’adolescence. Je ne me sentais pas correct de lui faire ça mais en même temps j’avais tellement envie de Pierre que j’en avais mal au ventre. En fais, je n’avais plus de contrôle sur moi, plus du tout; je sentais un feu couvrir dans mes veines, je sentais mes seins presque appuyer sur mes cuisses gonfler dans mon soutien-gorge noir en dentelle, je sentais même mes mamelons qui me chatouillaient et devaient paraître à présent. Je n’oser même pas regarder mais mes joues s’empourprèrent encore plus tandis que je ramenais mes cheveux fins derrière mes oreilles essayant de paraître calme et détendue. Mais j’avais l’impression que tout mon corps venait de s’allumer comme un sapin de Noël et que ça se voyait comme le nez au milieu du visage. Je dus ravaler ma salive avant de lui demander :
— Alors Pierre, qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
Merde ! Ma voix avait grimpé d’un cran, presque autant que quand j’avais un orgasme. Ma petite maudite voix gênante. Je me tousser dans la main l’air de rien pour la replacer de plus en plus énerver.
Il déglutit aussi, ça devait le mettre dans tout ses états d’avoir mes jambes juste sous les yeux. Si je les avais décroisés et écartés juste un peu il aurait eu une vue imprenable sur mon sexe mouiller et de ma toison ovale. Pensé ça me donna encore la chair de poule et me fit suer abondamment en même temps, sous les seins surtout et dans ma craque de fesses. Une ondée de chaleur me traversa le corps à m’en étourdir. Je me cramponner au rebord du bureau a m’en faire blanchir les doigts. Il ne manquait plus que je tourne de l’oeil pour m’affaler dans ces bras. Mais qu’est-ce que j’ai ?
— Prendre de petite vacance, ça été six mois intensifs. Dit-il simplement.
— WAIS ! C’est très intense comme matière, affirmai-je en croisant les bras sans y penser soulevant mes seins et les gonflant encore plus. Manquait plus que ça. Si je continuais, c’est lui qui allait s’évanouir ou les deux en même temps. Beau tableau.
Du coin de l’oeil je vis cette fois mes mamelons qui paraissaient mais pas trop parce que mon chandail était noir, mais suffisamment pour que ça se remarque. Là, je voulais fondre, une bouffée de chaleur me monta au visage en imaginant le directeur entrer soudainement avec son crâne à moitié chauve toujours recouvert de sueur. Je replier mes orteils dans mon soulier droit mon talon en sortit et le soulier tomba entre ses pieds. « Merde ! » me dis-je en décroisant les jambes pour me pencher en même temps que lui en m’agrippant au rebord de la table. Non, on ne se cogna pas la tête comme au cinéma mais ça passa tout prêt, j’avais stoppé juste à temps. Il le regarda amuser et le ramassa. V'là que je jouais les Cendrion. Seigneur !
Mon cœur s’emballa et sans vraiment réfléchir j’écartai les cuisses et quand il se redressa mon soulier en main il ne put s’empêcher de jeter un regard sous ma jupe, très vite, mais pas assez pour que je ne m’en aperçoive pas et il avait vue ce qu’il y avait a voir car il rougit. Cela avait été plus fort que lui, n’importe lequel homme aurais fait pareil et je l’avais voulue, inconsciemment, mais ça, il ne le savait pas. Que devait-il penser en voyant que je n’avais pas de petite culotte, en apercevant ma vulve humide et ma toison ovale, que j’enseignais sans slip. Je doute qu’il comprît que c’était juste pour lui, n’empêche que son regard sous ma jupe me fît un effet du diable. Il devait me prendre maintenant pour une satanée vicieuse. C’était sans doute ce côté-là de moi qui me contrôlait depuis tout à l'heure.
— Merci ! Dis-je aussi embarrasser que lui en tendant mon pied. Tant qu’à jouer les Cendrillons.
Il agrandit les yeux de surprise en apercevant mes petits orteils aux ongles couverts de rouge sombre bien visible sous mon bas juste sous son nez, je les replier, cette fois, il avait une sacrée vue sur mon entrejambe. Aucun doute là-dessus. Il dut me prendre le mollet pour me le remettre, sentir la pression délicate de ses doigts firent que mes pulsions sexuelles prirent le dessus, je n’en pouvais plus. Une fois mon soulier en place il se redressa en croisant les bras très mal a l’aise visiblement, je le regarder droit dans les yeux sans resserrer les cuisses. Il devait avoir les aisselles tout aussi trempes que les miennes et un début d’érection. Visiblement il se demandait ce qui lui arrivait, c’est la que je compris vraiment qu’il me prenait pour une femme inaccessible pour lui, je lui sourit et dit sans détour :
— Pierre, j’ai envie de toi !
Il souleva les sourcils, il semblait se dire. « Moi, ces pas possible. » C’était mignon comme tout.
— De moi ?
— Mais oui ! Affirmai-je amuser me sentant comme soulager d’un lourd fardeau.
Il resta sans voix un moment et il dit :
— Wow !
Je ris, c’était vraiment charmant, ces yeux presque noirs me firent craquer, je voulais qu’il se passe quelque chose là, maintenant, je ne me tenais plus. Un autre m’aurait sûrement déjà étendu sur mon bureau et écarter les cuisses mais pas lui, pas par qu’il était imbécile, juste par timidité et manque d’assurance. Mais la maudite porte de mon bureau ne se barrait pas et n’importe qui pouvait entré à tout moment, je me lever en disant :
— Suis-moi !
Je décidai alors de l'entraîner dans les toilettes pour handicapé juste à côté. Heureusement ce couloir était peu fréquenté, je ne vis personne, mais quelqu’un pouvait surgir à tout moment.
Je flottais en marchant avec Pierre sur mes talons, j’étais comme drogué, comme sur un trip de pote. Étrangement j’avais l’impression d’être une prisonnière en pleine tentative d’évasion. Je sentais plus qu’a l’habitude mes seins sursauter, mais surtout mes fesses a l’air et ma fente mouillée, « ici au travaille » réalisai-je pleinement et j’amenais un gars dans les toilettes. Ma vision semblait se limiter a ce qu’il y avait devant moi et mon bas me ventre me chatouillait. En fait, j’avais maintenant une telle envie de me faire prendre que j’en avais presque une crampe à l’estomac.
La maudite toilette me sembla dix fois plus loin qu’à l’habitude et mon coeur sursautait chaque fois que j’entendais des bruits de pas ou un rire. Enfin arriver on entra rapidement, je barré la porte et me tourner vers lui, je dus lever le menton bien haut pour le regarder droit dans les yeux en croisant mes mains sur sa nuque pour qu’il penche la tête vers moi, je plaquer aussitôt ma bouche sur la sienne et sortit la langue. Il me serra contre lui avec une force étonnante pour un homme aussi mince tout en me frenchant avec vigueur. Ma grosse poitrine était si comprimée entre nous que je crus un instant que les crochets de mon soutien-gorge allaient céder. Je perdis aussitôt toute contenance, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas senti l’étreinte d’un homme, une vraie délivrance !
C’était si bon; sentir son corps, sentir son sexe gonflé contre mon ventre, sentir mes seins écraser contre son torse, sentir mes mains sur ses petites fesses à présent et les siennes sur les miennes. Un long et délicieux frisson me traversa le corps des pieds à la tête tandis que nos langues joutaient furieusement. Mon sexe gonfler pulsait, avide de sentir une verge dure s’y enfoncer, et je ne songeais plus qu’à laisser ses mains d’artiste aux doigts fins et longs courir partout sur mon corps.
Je lui en ramener une sur mon sein droit par-dessus le chandail pour qu’il le presse avec moi un long moment. Il devait en rêver depuis longtemps car il m’enlaça avec encore plus de fougue, presque à me casser en deux en repoussant ma langue dans ma bouche. Je dut me mettre sur la pointe des pieds sentant mon gros orteil droit percer mon bas et mes talons sortir de mes souliers. Je m’en débarrasser avec joie et les repousser derrière moi. La tête me tournait j’aurais aimer qu’il prenne les devants et me saute dessus, me penche sur les lavabos, soulève ma jupe et enfonce ça bite en moi mais je le sentais toujours réserver alors j’abaissai cette même main sous ma jupe par devant, la soulevant et lui fit presser ma fente humide, la frotter, puis je le fis enfoncer son doigt le plus long dans mon vagin.
J’étais si mouillé que son majeur entra facilement jusqu’à la jointure. J’en frémis de tout mon être en gémissant dans sa bouche tandis qu’il l’agitait en repliant les autres doigts. Je lui tenais la main et le fit me pénétrer comme je le souhaitais tandis que nos langues s’enroulaient toujours l’une contre l’autre, je perdais la tête et c’était bien. Je sentis rapidement un orgasme se pointer parce que ces jointures frappaient mon pauvre clitoris bander dur et déjà sortit de sa cachette.
Faire ça dans cette toilette publique était grisant, affolant.
Je le fis accélérer, le vas et viens de son doigt glissant me rendait folle, mes jambes flageolaient, je n’avais pas ressenti un tel plaisir depuis si longtemps et j’eus un petit orgasme en mouillant encore plus et gémissant comme une enfant. Tout ça était trop excitant, son doigt, l’endroit, lui, m’être promené sans slip, sa langue si habile dans ma bouche. Mes genoux se frappèrent, l’orgasme me traversa le bas ventre comme une petite décharge électrique. Je repousser sa langue en geignant et appuyer ma tête contre sa gorge sur son épaule et fit stopper son doigt en serrant plus les cuisses a lui écraser la main. J’en tremblais en reprenant mon souffle sentant mon cœur s’emballer. Mon vagin semblait pris de convulsion. Il attendit patiemment que je reprenne mes sens en me caressant le dos de l’autre main et me baisant la joue. C’était gentil, mais si doux surtout. Pauvre lui pensai-je tout à coup en sentant toujours la bosse sous son pantalon.
Je retirer son doigt de mon sexe en me reculant un peut et l’amener a ma bouche et le sucer en enroulant ma langue autour en sentant quelques gouttes de liquide vaginale couler a l’intérieur de mes cuisses. Son goût salé m’emplit la bouche. Il me regardait les yeux petits, luisants de désir fou, il fixait mes lèvres arrondies autour de son doigt laissant son autre main presser mes seins. Je savais très bien à mon âge ce que je faisais et ce que je me préparais à faire mais c’était délicat dans l’état ou il se trouvait et surtout dans l’état ou je me trouvais. Je me sentais déchirer entre l’envie de le sentir en moi, là, tout de suite, et l’envie de lui sucer la bite. Il en mourait d’envie assurément et je faisais tout pour ça et j’en avais envie aussi et tant pis si cela se terminait comme ça, j’avais bien l’intention de le ramener chez moi. On aurait alors toute la nuit pour se faire plaisir l’un l’autre.
Sans rien dire je sortis son doigt de ma bouche et me laisser tomber à genoux en passant mon chandail par dessus ma tête le jetant sur le lavabo tout près, heureuse de le voir me regarder avec envie. Il avait du rêvé de voir ma poitrine si souvent. Puis je dégrafer mon soutien-gorge, mes seins tombèrent, mais pas trop, je le retirer et il prit le même chemin que le chandail. Il m’admirait comme figer tandis que je détachais son jean et baissait sa fermeture éclair rapidement presser de voir son sexe. Je baisser jean et slip d’un même mouvement jusqu’au genou et ça bite, longue, droite, sans prépuce bondit sous mon nez gonfler a bloc, sursautant a chaque battement de son cœur. Je me mis à saliver comme une affamée en le regardant palpiter, regardant aussi ses testicules sans aucun poil qui pendait très bas, aucun poil non plus sur le pubis ni sur les cuisses, elle était lisse et douce comme des jambes de femme. Ça m’étonna qu’il se rase partout mais ça me plaisait. Je n’ai jamais aimé les hommes trop poilus. Mon cœur battait à vive allure en replaçant mes cheveux en arrière de mes oreilles sentant mes seins se balancer et le carrelage de céramique qui me faisait mal aux genoux et déchirait mes bas, tant pis.
Alors, regardant Pierre droit dans les yeux, je pris mes seins par en dessous, les soulever et coincer son sexe entre eux. Ils l’entourèrent complètement, mes mamelons durcit et sensible se touchait presque et je commencer à le masturber comme ça tandis qu’il me caressait la tête doucement et à chaque aller-retour entre mes seins ma langue pointue venait lécher le bout de son gland qui rougissait déjà.
Et c’est la que je vis par un des grands miroirs au dessus des lavabos, des pieds par-dessous la porte du cabinet juste derrière nous. Il y avait quelqu’un assit sur la cuvette et qui restait la, a attendre, a écouté. Mon cœur bondit, mon sang se glaça car je reconnus les petits souliers de course vert lime à fleurs blanches de Thérèse. Il n’y avait qu’elle qui portait ça ici. Seigneur il fallait que ce soit une de mes étudiantes en plus. Sur le coup je ne pensais qu’à fuir, si elle en parlait à quelqu’un avant de quitter l’école et que ça venait aux oreilles de la direction. Je perdais mon emploi, sans parler de la gêne, de mon embarras une fois devant le directeur. Et lui, il en profiterait sûrement pour me faire chanter. Qui sait ? Mais je préférais perdre mon emploi plutôt que de voir ce type s’agiter entre mes cuisses. Tout ça tournait à une vitesse folle dans ma tête.
Mes joues devinrent si brûlantes qu’on aurait pu y faire cuire un oeuf. Mais je vis que Thérèse ne bougeait pas, pourtant elle savait qu’on était la, peut être se masturbait-elle, que ça l’excitait ou quelle attendait simplement qu’on en finisse en se retenant de rire et moi paniquer je continuais mon mouvement de vas et viens les doigts enfoncer dans mes seins. Mon cœur voulait me sortir de la poitrine, puis je me dis que comme on n’avait rien dit jusqu’a maintenant, peut être qu’elle ne savait pas qui nous étions a moins de regarder et je l’aurais certainement vue faire. Ça devait l’exciter de nous entendre, de deviner ce que l’on faisait et étrangement, de penser ça m’excita encore plus. Je me sentais sur la corde raide, mais d’un autre coté, Thérèse quittait l’école des quelle sortirait d’ici et les autres était probablement déjà tous parti, alors....
Pierre soupirait et geignait faiblement toujours silencieux, profitant pleinement de la situation sans savoir que nous étions épiés et ça me plaisait maintenant. Il devait croire qu’il rêvait, moi aussi d’ailleurs, ce n’était vraiment pas moi ça être aussi vicieuse dans un endroit public tout en me sachant espionner en plus. Moi si prude habituellement et soudain, des bruits de talon haut dans le couloir, je figer paniquer. Pierre regardait la porte, quelqu’un tournait la poignée. Dans mon énervement je ne me rappelais plus si je l’avais barré ou non. La peur de me faire surprendre cette fois soit par le directeur soit par un autre enseignant me fit dresser les cheveux sur la nuque, une montée d’adrénaline décupla tous mes sens. Moi à genoux, a moitié nue coinçant la bite d’un de mes étudiants entre mes gros seins ouf... La fin de ma carrière dans ce collège.
On tourna la poignée, la secoua, elle était barrée, je lâcher un long soupir... Les pas s’éloignèrent, je me rendis compte que mon cœur s’était pratiquement arrêté. Pierre sourit, soulager lui aussi visiblement, je placer un doigt contre mes lèvres pour qu’il ne dise rien à cause de Thérèse et je me remis a la tâche gonfler a l’adrénaline. Son gland qui surgissait de ma chair tendre semblait avoir redoublé de volume et une goutte claire de liquide séminal s’en écoulait en s’étirant. Je la lécher il grimaça, c’était saler, si bon. J’avais chaud, je frissonnais, j’étais nerveuse, excitée, troublée, je ne savais plus si je devais aller jusqu’au bout ou filer avec lui chez moi. Fuir ou profiter de la situation. Mais ce savoir épier, savoir qu’il y avait Thérèse la, juste a côté derrière une mince porte et même si elle ne faisait qu’écouter c’était... étrangement excitant.
Mon cerveau fonctionnait mal, mon corps ne semblait plus m’obéir. Mais tout ce que je ressentais était si bon et la, en me penchant pour lécher son sexe, Pierre, qui n’en pouvait plus sans doute, se mit a remué son membre ce qui poussa son gland entre mes lèvres. Je le laissé faire un moment, bouche arrondit en agitant ma langue, ça me chatouillait les seins et les lèvres. Il devait jubiler et être terriblement excité, autant que moi si non plus. Il devait rêver de ça depuis longtemps. L’imaginé se masturber en pensant a moi me donna une nouvelle fois la chair de poule. J’avais toujours une sacrée envie de le sentir me pénétrer mais plus maintenant, pas ici, pas avec l’autre juste à côté. Oh que non ! J’allais gémir avec ma voix de petite fille si embarrassante, pas question.
J’ai bien cru qu’il viendrait à le voir grimacer, mais, non, il stoppa les joues rouges en laissant son pénis bien au chaud entre mes seins. Je compris que je devais l’empêcher de me prendre à tout prix. L’empêcher de me forcer à me lever pour que je me penche sur les lavabos en écartant les jambes pour qu’il puisse s’enfoncer en moi profondément et me secouer avec force en se remplissant les yeux de la belle vision de mon cul tout blanc rebondissant sous ses coups de boutoir. Dieux que j’aurais aimé ça, mais pas question, plus maintenant. Moi je pouvais attendre un peu, jusqu’à chez moi, mais pas lui, je le voyais bien. Il ne me restait qu’une solution.
Je lâcher mes seins et saisis son sexe si dur entre mes petites mains et l’enfoncer dans ma bouche en écartant les mâchoires au maximum me sentant saliver comme une démente tandis que son gland glissait sur ma langue et contre mon palais jusqu’a ma gorge ou presque.
Je le sentis frémir tandis qu’il me prenait la tête. Je serré les lèvres et commencer a le sucer lentement, en aspirant, narines dilater, enduisant son membre de salive épaisse. Ça me coulait sur le menton jusque sur les seins qui se balançaient mollement. Mes mamelons étaient si dures que ça me faisait presque mal et mon sexe si mouillé qu’il dégoûtait jusqu’a mon anus me le chatouillant. Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais là je me dépassais. Sucer un gars dans une toilette publique en se sachant espionner ces une sacrée sensation.
Surtout que les bruits de succion me semblaient démesurés, amplifier sans doute par les murs de céramique. Et Thérèse juste là, dont les petits pieds se retournaient par en dedans, l’un par-dessus l’autre, elle ne pouvait pas ne pas entendre, ne pas comprendre ce que je faisais et ça m’excitait terriblement. Peut être quelle jouissait en se moment, une main entre les cuisses, l’autre sur ses seins. La belle Thérèse, même a 32 ans elle faisait tourner les têtes a l’école avec ses cheveux noirs très courts, ses camisoles moulantes laissant son nombril a l’air, son sourire dévastateur, ses seins parfaitement ronds et hauts et ses jeans taille basse. Elle s’habillait comme une ados mais elle avait le corps pour ça.
J’agitais ma petite langue tout autour du membre en le pompant avidement. Je donnais de la tête tenant la bite d’une main à présent caressant ses couilles lourdes et si douces de l’autre. Il y avait si longtemps que je n’avais pas sucer un gars et pourtant, a me voir faire y devait se dire que je passais mon temps a tailler des pipes. Il grimaçait de plus en plus, mais la situation m’excitait tellement que je ne voulais pas qu’il jouisse trop vite quand même. C’était un peu sadique de ma part je l’avoue. Je la sortis donc de ma bouche, laissant une longue traîner de bave me tomber sur le menton en s’étirant jusqu’à son gland.
J'entrepris ensuite de le lécher tout le long de la hampe à petit coup de langue sans oublier de gober ses testicules sans poil tout doucement, les pinçant avec mes lèvres, les étirant, les mordillant, l’entendant gémir. Je remonter le long du membre veiné et alterner de petit vas et vient avec mes lèvres et ma langue tournoyant sur le bout de son gland, ça bite était si raide que le moindre attouchement la faisait rebondir, puis, langue sortit et bouche grande ouverte, je raidis la nuque et je décider de gober en entier sa verge. Chose que je faisait rarement a mes amants. Je regarder son membre disparaître peut a peut entre mes lèvres étirer au maximum. Narines dilatées pour ne pas étouffer je sentis ma bouche se remplir de salive qui débordait sur mon menton a nouveau. Je le regarder droit dans les yeux, ça bite enfoncer jusque dans ma gorge comme la dernière des putes et je vis dans les siens le désir brûlant qui l’habitait. Un feu doux bouillonna dans mon ventre me dictant de continuer. Je devais continuer. Je le sentais a deux doigts de me jeter par terre pour s’étendre sur moi. Il se retenait, sans doute parce qu’il voulait que j’aie du plaisir aussi, il voulait me pénétrer. Peut-être aussi qu’il s’empêchait de me jouir dans la bouche ou sur les seins par timidité ou par peur que je ne me fâche et c’était tout a son honneur. Mais moi je voulais qu’il vienne. Je ne dis pas que j’aimais avaler mais à l’occasion, on n’en meurt pas. Mais je ne pouvais pas lui dire, Thérèse aurait reconnu ma voix et avec un peu de chance, elle ne savait toujours pas que c’était nous. Soit j’arrêtais tout, quitte à le frustrer sur le moment, soit je me dépassais jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir. Et ces la deuxième solution qui me plaisait le plus car ça m’excitait trop d’être la, a la sucer avec l’autre juste a côté.
Mains sur ses cuisses je tourner la tête de droite à gauche le sentant frissonner les deux mains maintenant dans mes cheveux fins sans essayer de me forcer a quoi que ce soit, mais n’en pouvant plus je laisser la bite ressortir lentement de ma bouche pour reprendre mon souffle. Je crus entendre Thérèse gémir mais c’était si tenu que je n’en étais pas sur, mais, toujours par le miroir, je vis ses orteils qui se retroussaient dans ses runnings en toile. Du revers de la main tout en le masturbant de l’autre, j’essuyai la bave qui me pendouillait du menton en me sentant plus chaude et femme que jamais en fixant son membre rougit et palpitant luisant de ma salive. Je sentais ses muscles durs et la peau mince qui glissait dessus. J’adorais car il avait une belle bite, n’y trop grosses, n’y trop petite. Je sortis la langue pour cueillir encore une fois de se délicieux liquide transparent et salé qui dégoûtait de son urètre. Il en frémit en plissant les yeux tandis que je voyaient les gros muscles à l’intérieur de ses cuisses qui en tremblèrent d’excitation.
Et c‘était moi qui faisais cela, moi l’enseignante timide et réserver. Habituellement j’avais besoin d’avoir bue pour être aussi cochonne et la, en pleine toilette publique avec une autre personne juste a coté je lui suçais la bite comme une pro les seins a l’air. Et ça m’électrisait, mon sexe pulsait et Pierre me caressait les seins à présent, à porter de ses grandes mains aux doigts fins et délicats, comme des doigts de femme. Ma fente mouillait plus que jamais, je revins gober son sexe et sans réfléchir je glisser ma main sous ma jupe pour recueillie un peu de ma cyprine sur mon index résistant a l’envie de me masturber violemment et j'enfonçai alors tout doucement mon doigt dans son petit trou en écrasant ses couilles avec mon poignet en le sentant se raidir. C’était étroit, chaud et glissant. Je pousser mon doigt a l’intérieur jusqu’a la jointure et l’agiter de bas en haut tout en le suçant.
C'est alors que je sentis son sexe et son anus se contracter et son sperme gicler avec une puissance telle que je sursauter tout en avalant vite. Le goût âcre et salé du foutre épais m’emplit la bouche et passa lentement dans ma gorge. Le premier jet fut suivi de plusieurs autres, longs et continus... Son sperme se faufilait partout dans ma bouche, j’avalais au fur et à mesure en femme d’expérience même si je n’avais pas fait ça depuis des années. Il trépignait sur ses pieds en déchargeant les mains agripper à ma tête. Mains bien fermer sur son membre je le pompais de plus en plus lentement pour bien vider ses couilles et ça fini par cesser de couler sur ma langue. Essoufflé, je le sucer tout de même encore un peut avant de sortir ça bite de ma bouche. Je garder les lèvres fermer couverte de sperme, j’en avais même sur les seins. Mon coeur battait à cent à l’heure. Il se la secoua en se reculant, remonta slip et pantalon et alla me chercher du papier au distributeur. Tandis que je m’essuyais en me relevant il voulut parler mais a nouveau je lui fis signe de se taire lui montrant les petits runnings sous la porte. Il fut surpris en jetant les papiers à la poubelle puis m’aida à remettre mon soutien-gorge et j’enfilai mon chandail et je vis mes bas déchirer laissant voir mes genoux rougis. Je les enlevé et les jeter a la poubelle avant de me laver le visage un peut et l’on sortit sans voir personne. Une fois dans mon bureau je soupirer, soulager affaiblit et il m’enlaça et voulue m’embrasser mais je tourner la tête en disant.
— Je ne me suis pas brossé les dents.
Mais il m’embrassa quand même, ce fut long et passionné puis il me dit à l’oreille en me serrant fort :
— Merci Luce !
Je souris gêner contre sa joue piquante de barbe. Puis je reculer la tête légèrement pour le regarder droit dans les yeux.
— Ouf j’ai chaud, je ne sais pas ce qui ma prise, dis-je mes bras entourant sa nuque, tu dois me prendre pour une...
— Une femme magnifique... Oui et... surprenante !
Je rit, me sentant soulager, vider d’une tension accumulée depuis trop longtemps et la je ne pensais qu’a l’avoir sur et en moi.
— C’était Thérèse dans la toilette, je ne l’avais pas vue, j’espère qu’a ne parlera pas ! Elle ne sait peut-être pas que c’était nous.
— J’espère aussi, pour toi, mais c’est quelqu’un de bien, je pense, je ne croîs pas quelle va en parler. On peut se revoir ?
— Tient, dis-je amuser, y se dégêne enfin ? Ouais, ce soir si tu veux, viens souper.
— Wow, J’ai de la misère a croire a tout ça, t'es tellement belle Luce, je n’aurais jamais cru que tu puisses être intéressé pas moi.
Je me contenté de lui sourire, il était si charmant, si délicat dans son genre. Il accepta, je lui donner mon adresse et on s’embrassa très fort a nouveau et il partit. Je flottais après son départ, j’étais encore sur l’adrénaline, je ne pensais qu’a me brosser les dents et prendre une bonne douche une fois a la maison et on frappa a ma porte, ça m’électrisa. Je me rajuster vite avant de dire entré en soupirant, certaine que c’était cette fois le fatiguant de directeur mais...c’était Thérèse.
Je me sentis rougir des pieds à la tête. Elle souriait en entrant et malgré moi je loucher discrètement vers ses seins car ces petits mamelons pointaient sous sa camisole courte qui laissait son nombril a l’air et elle referma la porte. Je ne pus m’empêcher de regarder rapidement ses souliers de course, comme si j’avais besoin de vérifier que c’était bien elle, et oui. Elle se laissa tomber sur la chaise ou était Pierre quelques minutes plutôt et croisa ses jolies jambes bien mouler dans un jean bleu pâle déchirer aux genoux en me regardant les yeux tout petits. Elle souriait toujours en mâchant de la gomme comme d’habitude.
Mon cœur s’arrêta encore en m’assoyant derrière mon bureau pour cacher mes jambes nus et mes genoux surtout, tous rougis ceux-là, en essayant de paraître calme en croisant les bras. Mais je vis ma mallette contenant toujours mon slip et j’eut une bouffé de chaleur en plus de voir Thérèse la, juste devant moi a me sourire après se que je venais juste de faire pratiquement devant elle. J’espérais seulement qu’elle est quitter l’école, mais non ! Merde ! À qui allait-elle en parler ? Je croiser les jambes en sentant trop mon sexe encore humide. Incapable de parler j’attendais qu’elle ce décide. Qu’est-ce quelle pouvait bien vouloir ?
— Ne stresse pas Luce, je n’en parlerai pas ! Tu savais que j’étais la hein ?
Mon cœur repartit mais tout croche et là, j’avais si chaud que j’avais l’impression d’être assis sur un calorifère par une belle journée d’été.
— Pas au début si non... on aurait fait ça ailleurs ! Dis-je exaspérer tout en ramenant mes cheveux derrière mes oreilles. Mais j’ai vu tes souliers de course si... uniques sous la porte.
Elle leva une jambe bien droite en agitant son pied pour bien me montrer son running avant de la laisser retomber et toujours en mâchant. Ça m’énervait cette maudite gomme, ça et ses mains croiser sur son ventre plat et fermer car elle tournait les pouces.
— Hum, désolez, mais ça m’a donné de petites sueurs et j’ai juste attendu que ça finisse pour ne pas... enfin vous couper le plaisir. Écoute j’ai déjà fait ça moi aussi sucer un gars dans une toilette c'est flippant, ont le fait toutes non, je veux dire sucer des bites. T’inquiète pas, je ne dirai rien tu perdrais ton job, mais je veux juste une chose !
Je déglutis bruyamment le cerveau embrouillé, j’étais coincé. Je voulais garder cet emploi et éviter la honte de me faire virer pour avoir fait une pipe a un étudiant, même adulte dans les toilettes. Je soupirer longuement vraiment embarrasser maintenant par tout ça. Mais qu’est-ce qu’elle voulait ? De meilleures notes, elle n’en avait pas besoin. De l’argent ?
— Quoi ! T’as déjà ton diplôme et d’excellentes notes. T’as du talent, tu vas aller loin dans ce métier et tu le sais.
Elle plissa ses jolis yeux bruns pale et sourit en les baissant juste un instant pour regarder ma poitrine avant de faire non en secouant la tête. Merde ! Mes mamelons pointaient toujours tout comme les siens d’ailleurs. Ce petit épisode dans les toilettes l’avait sans doute excité. Bon, si ce n’était pas les notes c’était l’argent. J’allais lui demander combien quand elle dit :
— Je veux juste passer une nuit avec toi Luce ! Mais, si tu ne veux pas et bien... tant pis. Je n’en parlerai pas de toute façon. Ce n’est pas mon genre le chantage, je détesterais trop qu’on me fasse le coup. Ne t’inquiète pas, motus et bouche cousue peut importe ta réponse. Mais je te trouve mignonne à croquer. En fait tout a l’heure, j’aurais bien aimé être à la place de Pierre et ça m’a tout pris pour ne pas regarder en plus d’écouter. Mais je ne voulais pas te mettre encore plus dans l’embarras.
J’ouvris la bouche de surprise mais aucun son n’en sortit, je refermer les lèvres sentant mon cœur battre sous mes seins. Je déglutis à nouveau. Je n’aurais jamais cru qu’elle était aux femmes. Moi et elle dans mon lit. Seigneur ! J’étais de retour sur mon calorifère et sans slip.
— Je ne suis pas lesbienne Luce si ses ce que tu te demandes, j’en pince juste un peut moi aussi pour ma belle prof a la poitrine ma foi... très généreuse. C’est juste un fantasme, juste une nuit d’ici a lundi. Je quitte Montréal pour retourner à Québec. Je fantasme sur des filles parfois même si je préfère les hommes et toi déjà essayer ?
Oui, j’avais déjà essayé mais ça ce n’était pas ses affaires et j’étais saoul cette fois-là. N’empêche que j’y repensais souvent en me masturbant et puis je n’en mourais pas de baiser à nouveau avec une fille, au contraire, et puis elle était mignonne. Un peut énervante avec sa gomme et le reste mais... Pourquoi pas après tout ? Je ne la reverrai pas et ce genre d’occasion ne se présente pas souvent et puis elle renonçait au chantage. Pourtant elle aurait pu presque m’y obliger. Elle et moi... Juste de l’imaginer mon sexe pulsa et me démangea. Je n’en revenais de voir avec quelle faciliter j’acceptais l’idée de l’amener dans mon lit surtout que je venais de... enfin. Je renoncer a me comprendre pour aujourd’hui. Je passais de, « pas de sexe du tout à une pipe dans une toilette et... ça, le même jour. »
— OK !
— OK ?
Elle en oublia de mâcher et ses pouces stoppèrent. Visiblement elle s’attendait à se faire jeter dehors. Étrangement j’en ressentis une certaine fierté de la surprendre mais aussi d’être un fantasme pour elle tout comme je l’étais pour Pierre. A mon âge c’est plutôt étrange de se savoir le fantasme d’une autre fille, si jolie en plus, mais en même temps rassurant.
— Hum ! Hum ! demain soir ça te va ?
— Super ! Wow ! J’amènerai du vin, après on se verra plus, fâcher ?
— Non, surprise c’est tout ! Mais, tu as deux enfants non ?
— WAIS ! Deux petits monstres de garçon de 4 et 5 ans qui m’en font voir de toute les couleurs mais que j’aime plus que tout et que j’élève seul. Ils passent la fin de semaine chez leur grand-mère, une vraie délivrance.
Je ris quelque peut soulager en replaçant encore mes cheveux derrière mes oreilles et c’était reparti pour la gomme et les pouces.
— Je vais t’écrire mon adresse.
Je lui griffonner sur un bout de papier, ma main tremblait légèrement en me levant à demi pour lui donner par dessus mon bureau.
— Demain vers 7 h. Dis-je ?
Pour toute réponse elle se leva, se pencha vers moi et tout sourire elle posa ses lèvres sur les miennes en prenant le papier et ma main. Je n’offris aucune résistance et fermer même les yeux en sentant mon coeur s’affoler. Qu’un baiser fugace très doux entre fille et du bout des lèvres qui me troubla terriblement.
— Merci Luce ! Dit-elle simplement les yeux malicieux en s’en allant tandis que je retombais sur ma chaise en lui souriant comme une idiote.
Je n’en revenais toujours pas de ce baiser, n’y de son aplomb, n’y de ma si fable résistance en ne pouvant m’empêcher de regarder son joli derrière qui se balançait tandis qu’elle sortait en refermant la porte. Jamais je n’aurais eu le front de faire ce quelle venait de faire et j’allais baiser avec un autre de mes étudiants, une étudiante en plus. Je ne savais plus si cela m’excitait ou non. La tête me tournait trop, j’avais le vertige. Je devais être bi. Le mot bi résonna dans ma tête étrangement. Moi, bi ! Sûrement pas ! On n’est pas bi parce que l’on a juste quelques relations dans sa vie avec quelqu’un du même sexe. Dire que si je n’aurais pas osé enlever ma petite culotte ce qui m’avais mise dans tous mes états et fait emmener Pierre aux toilettes, tout ça ne se serait pas produit.
Je ramassai mes affaires l’esprit ailleurs, le sourire aux lèvres et j’échappai mon manteau en le décrochant de la patère. Comme j’étais seul, je me pencher sans plier les genoux pour le ramasser au plus vite et (toc toc) la porte s’ouvrit et quelqu’un entra en coup de vent. Je me redresser rapidement paniquer en me retournant pour apercevoir le directeur avec son crane presque chauve couver de sueur la bouche ouverte de stupeur. Merde ! Mon coeur en cognait d’avoir été ainsi surprise. Quelle idiote ! Qu’avait’ il vue : le bas de mes fesses avec mon sexe ouvert, humide et prêt a l’emploie. À le voir, j’en étais certaine. Il était aussi surpris que moi et dit ce que je redoutais d’entendre et surtout de vivre depuis un moment.
— Vous enseigné sans petite culotte ? Vous, Luce !
J’étais figé, comme un zombie devant les phares d’une voiture et il me dévorait des yeux, figer lui aussi. Je venais sans le vouloir de l’allumer complètement. Mais ça, je pouvais le comprendre car le pauvre en avait sans doute fait son deuil depuis longtemps d’en arriver a me voir le cul et le reste et la je lui avais offert cette vision sur un plateau d’argent. Quelle idiote ! En plus de mes mamelons qui pointaient toujours et ses yeux était rivé dessus. Je rougis de plus belle tout en bredouillant.
— Non je...
Non je quoi ? J’ai eu mes règles et j’avais plus de tampons et ça me fait bander des tétons de ne pas porter de slip. Merde !
— Luce, 100 dollars pour une petite vite, ici maintenant, je vous fais un chèque et après. Je ne vous demanderai plus rien, promis, jurer et on oublie tout.
Ma bouche qui était restée ouverte s’arrondit de stupeur tandis que mes yeux s’écarquillaient.
« Me payer moi pour me baiser ! Le salaud. » « Mais comment osait-il ? Qu’on t-il tous aujourd’hui a me prendre pour... pour... Merde !
J’ai juste enlevé ma maudite petite culotte et ça les rendait tous fous ma parole. Je faillis en rire tellement ça devenait ridicule. Mais en même temps je rougissait de plus belle mais cette fois de colère. J’allais l’engueuler quand :
— Bon, disons 500 OK !
Il sortait son chéquier de la poche de sa veste en plus. J’étais si interloqué que j’en restais toujours sans voix tandis qu’il attendait désespérément une réponse ou une bonne gifle, probablement les deux. En tout cas il semblait extrêmement nerveux en plus d’être excité au possible. J’allais lui dire ma façon de penser et de se foutre son boulot dans le cul quand il augmenta la mise:
— Bon, 1000, mais je ne peux pas plus. Je sais bien que je ne t’intéresse pas une miette Luce mais, Bon Dieu... juste une fois ça... ça me libérerait. Prends ça comme un cadeau si tu veux. Juste un cadeau et puis tu es célibataire.
« WAIS, mais pas toi. »
Et il me suppliait en plus, encore une minute et il allait se mettre à genoux. C’est fou ce que peut faire un homme juste à la vue d’une vulve mouiller. Mais il y avait aussi mes seins ballon, ça, c’est certain, il en bavait depuis notre première rencontre. Attend, 1000 dollars, il avait dit 1000 dollars. Deux semaines de salaire pour un petit orgasme... Et là, j’eus une vision. Je me vis sur mon sofa dans mon salon au fond duquel trônait la télé géante dont je rêvais depuis l’an dernier et que mon salaire d’enseignante de me permettait de me payer. Je me voyais clairement en jaquette et pantoufle a m’empiffrer de chips, bière en main, en écoutant mes DVD préférer sur grand écran au lieu de ma vielle télé. Ma bouche se referma. Et pourquoi pas, juste une fois. Il était si excité que ça irait vite.
— Alors c’est oui ?
Comme dans un rêve je m’entendis dire oui.
— Génial, fit-il en se précipitant sur mon bureau pour faire le chèque, sur ma mallette en plus.
Je ranger mon manteau en ayant l’impression de vivre un rêve étrange. Quand il me tendit le chèque, je le pris sans y croire mais il ne le lâcha pas. Ses yeux vicieux me fixaient et son crâne était plus luisant que jamais. Le chèque resta étirer entre nos doigts et il rajouta :
— À ce prix-là je veux ta petite culotte Luce. Tu la ?
Mes yeux s’agrandirent encore de surprise. Je ne fis qu’acquiescer trop méduser pour dire quoi que se soit. Je faillis même éclater de rire en me disant qu’il allait sans doute la porter, peut-être même ici a l’école. Allez savoir avec un homme. Il lâcha le chèque et de la main je lui fis signe de s’écarter. J’ouvris ma mallette y déposer le chèque et lui donner mon slip des plus ordinaires. Il le prix comme une sainte relique et, sans le renifler, heureusement, il le fourra dans une des poches de sa veste en me disant :
— Enlève ton chandail, ton soutien-gorge. T'inquiètes pas j’ai un condom.
« Merci mon dieux, » me dis-je en transe, je me sentais comme si j’avais fumé un joint. Mais, je me dit que je ne voulait surtout pas que ça s’éternise, pas avec lui, même pas pour son chèque. Je regarder ma montre en disant :
— J’ai que 10 minutes, pas plus Goerge.
Il grimaça mais acquiesça impatient détachant déjà sa ceinture. Je ne voulais surtout pas voir sa. Je me retourner vers mon bureau en rajoutant :
— La chaise, dis-je en ayant toujours l’impression de rêver éveillé.
— Quoi ?
— Bloque la porte avec la chaise George.
— Ah oui !
Il le fit rapidement, j’enlevai alors mon chandail pour le jeter sur mon bureau puis dégrafer mon soutien-gorge. Mes gros seins tombèrent une nouvelle fois et ils reluisaient de sueur. Je n’arrivais pas a croire que ce type avait réussit a m’avoir et pourtant. Mon soutif rejoint mon chandail et il avait déjà les culottes et les slips aux genoux et branlait son petit sexe encore mou au gros gland rond en se bavant dessus, subjuguer par ma poitrine que je lui permis de palper un moment histoire de le faire bander dur sans que j’ai a l’aider et ça marcha. Je me dépêcher alors de me mettre face au bureau pour soulever ma jupe sur mes reins et je me pencher pour me mettre sur les coudes en écartant les cuisses. Je l’entendis enfiler son condom en réalisant pleinement que je m’étais vendu à ce type pour une télé. Mais d’un autre côté j’avais songé sérieusement à emprunter de l’argent à ma mère et à mon âge c’était plutôt embarrassant. Mais qu’est-ce qui était le plus humiliant ? Me faire baiser par George pour 1000 dollars ou emprunter a ma mère. Ma mère.
La situation m’excitait tout de même un peu, suffisamment pour être bien humide. Je le sentis aussitôt me caresser les fesses et mon sexe vérifiant avec un doigt si j’étais bien mouillé et il me pénétra un peut trop vite et commença à s’agiter une main sur mes hanches l’autre sur un sein. Bonne fille comme je suis, je me dis, en sentant mes fesses rebondir, que je me devais tout de même lui en donner un peut pour son argent si je ne voulais pas que son chèque rebondisse autant que mon derrière. Je me mis a gémir en l’entendant haleter pencher sur moi. Je sentais même des gouttes de sueur me tomber sur le dos. Sa bite en pleine érection maintenant me procurait tout de même de bonnes sensations mais pas au point de jouir. Pas avec lui. Il finit par lâcher mon sein pour me prendre par les hanches et me secouer rudement contre le bureau. Je gémis plus fort comme si j’aimais vraiment ça. À peine quelques minutes plus tard il stoppa en grognant, c’était fini, enfin je pensais. Mais il me dit de ne pas bouger en se retirant. J’entendis comme un bruit d’élastique qui claque et comme je l’imaginais je reçus du foutre chaud sur tout le dos mais surtout sur les fesses. Je grimacer en sentant le sperme me couler sur le corps. Merde !
Je dus attendre qu’il m’ait essuyé avec des kleenex pour pouvoir me rhabiller.
— Merci Luce, c’était génial.
Je me forcer a lui sourire en agrafant mon soutien-gorge et y replaçant mes gros seins tandis qu’il se rinçait l’oeil en se reculottant.
— Si ton chèque rebondit George, dis-je en rabaissant ma jupe, je jure que je vais voir ta femme.
— T’inquiète pas ma belle, il ne va pas rebondir. On pourrait...
— Bonne vacance George.
Je conduisis sur l’automatique jusqu’à la maison. Je n’arrivais toujours pas à croire à tout ça. La pipe, Thérèse, Gorge et le chèque qui allait se transformer en télé géante. Une fois dans mon appartement au premier d’une maison ancestrale dans l’est de la ville je ne rêvais qu’à une bonne douche chaude. Je me sentais sale et j’avais surtout hâte d’aller à la banque pour encaisser le chèque au cas ou Gorge déciderait de le bloquer... mais avant tout, j’avais bien besoin d’une bonne bière froide. J’avais la gorge si sèche après toutes ces émotions. Je me débarrasser de mes vêtements au salon et filer nue a la cuisine en souriant. J’ouvris le frigo, me prit une bière allemande, la décapsuler et la caler de moitié tellement elle était froide et délicieuse. Je me sentais épuiser mais étrangement bien, comme libérer de mes pulsions pour un moment. Je n’arrivais toujours pas à croire que je venais de me faire baiser pour de l’argent. 1000 dollars pour 10 minutes et pas si pénibles, cela aurait pu être pire, il aurait pu me demander de lui faire une pipe ou de me la mettre entre les fesses. Puis, seins ballottant, je retourner au salon pour imaginer ou j’allais placer ma future télé et tomber face à face avec ma mère en robe de chambre, ma robe de chambre et elle sortait de ma toilette. J’hurler de peur, elle aussi d’ailleurs en agitant les mains comme moi sauf qu’elle, elle ne tenait pas de bière. Je m’éclabousser toute la poitrine avant de cacher mon pubis avec la bouteille presque vide et mes mamelons mouiller avec mon bras gauche. Mes orteils trempaient dans la bière.
— M’man, mais qu’est-ce que tu fais la ? Comment t’es entré ? Mais, tu portes mon peignoir.
— Seigneur Luce, je ne t’ai pas entendue arriver tu m’as fait une de c’est peur.
Ma mère était ma copie conforme mais avec 20 ans de plus. Même grosse poitrine. Elle me regarda de bas en haut en riant a présent.
— Donne-moi mon peignoir. Criai-je en entrant me cacher dans la salle de bain.
— Je ne t’ai pas vu tout nu ma fille depuis au moins 30 ans. On se ressemble comme des soeurs jumelles non ? Oups ! T’as mis de la bière partout, j’ai failli me casser le cou.
Elle me le glissa par la porte que j’avais laissée entrouverte et je la fermer.
— Je reste toute nue ? Cria-t-elle
— Comment ça toute nue ?
— Ils ont perdu mes bagages à l’aéroport. Mes vêtements sont dans ton panier à linge sale. Je viens de me doucher. 8 h d’avions tu sais. Je voulais te faire une surprise, je pense que c’est réussi non ?
Je soupirer longuement dos a la porte en sentant mon coeur ce calmer.
— Je pense aussi. Va fouiller dans mes affaires, mais pas dans le tiroir du bas à droite. C’est la proprio qui t’a ouvert ?
— Quoi !
— Tu repars quand ?
— Lundi. C’est un peu embarrassant d’avoir à porter tes sous-vêtements, surtout tes petites culottes. Mais au moins on fait la même taille. Oh ! C’est un string ça ? Seigneur comment tu fais pour porter une chose pareille. On ira faire les magasins demain s’ils n’ont pas récupéré mes valises. Tu ranges toujours aussi mal tes vêtements ma fille.( Un silence et... ) C’est pas un vibrateur cette chose, c’est un instrument de torture. Ah ! Voilà, je vais être sexy avec ça.
J’avais hérité des gros seins de ma mère mais pour la timidité, je tenais ça de mon défunt père. J’étais encore rouge de honte. En plus mon plan baise venait de s’écrouler a moins de trouver une solution miracle comme de l’assommer et de la ligoter. Et Pierre qui allait s’amener et demain Thérèse et leur numéro de téléphone était à l’école.
Merde !
Et soudain je l’entendis juste derrière la porte.
— Luce !
— Oui m’Man.
— On se ressemble beaucoup tu sais.
— Oui m’Man.
— Sauf pour les fesses, les miennes sont pas mal plus grosses malheureusement.
— Heureuse de le savoir m’Man. Je veux dire désoler pour toi.
— Je vais devoir rester sans petite culotte et en jupe.
— Je te ne le conseil pas m’Man.
— T’inquiète pas, je vais croiser les jambes quand je vais m’assoir.
— Oui m’Man.
— Bon, je vais nettoyer ton dégât par terre.
— Bonne idée m’Man.
— Et désoler d’arriver ainsi à l'improviste mais tu sais, les longues distances...
— Je sais m’Man.
— Seigneur, j’ai l’impression d’avoir les fesses à l’air. T’es déjà sorti en jupe sans slip ? On se sent vulnérable.
— À qui le dis-tu ?
— Ça donne le frisson. Je devrais faire ça au bingo.
J’éclatai de rire tout en me disant : « Maudite journée de fou ! »
— Seigneur, tu as encore cette vieille télé Luce. Demain je vais t’en payer une belle, une grande. Je ne t’ai rien donné à ta fête cette année ma grande.
J’ouvris la bouche pour répondre mais... Je fus pris d’un autre fou rire avant de filer sous la douche.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe, merci j'ai adoré !!! maintenir l'excitation sans craquer, c'est très dur pour
moi!!!lol vivement la suite, du monde attend vos récits je pense....
moi!!!lol vivement la suite, du monde attend vos récits je pense....