Lucette
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
Lucette
Nous faisons connaissance au bureau. Lucette est un fille qui me parait bizarre. Quand elle m'invite à dîner au restaurant pour samedi je suis d'accord : une bonne façon de sortir de ma relative solitude. Je rumine pourvoir 'habiller. Je reste comme je suis, simple en jupe sage et corsage en dentelle.
Lucette doit avoir des espions chez moi : habillée presque exactement comme moi. Sauf qu'elle me semble plus chic, plus visible que je le suis.
Nous nous embrassons vite sur les joues, comme souvent. Le repas est agréable : elle a beaucoup de conversation et de réparties. Comme elle habité a deux pas elle tiens à ce que je passe chez elle pour que nous buvions un petit quelque chose.
Je n'attendais pas sa bouche sur la mienne. Voilà que je pense à se bizarrerie : elle aime les filles. Je ne sais ce que nous devons boire. Pour le moment la seule chose que je boive est sa salive. Sa salive et sa langue. Je suis sur un petit nuage, je me laisse faire : pourtant je suis une hétéro convaincue.
Et puis, qu'est ce que je risque à me laisser faire, comme la première fois quand je me suis faite dépucelée. Je craignais le pire pour finalement en être satisfaite. Tout se fait en un éclair dans ma tête, le pour et le contre, l'abandon ou la beigne.
En me laissant aller je ne risque qu'un seule chose, jouir différemment.
Je risque ma langue aussi dans sa bouche. Lucette embrasse plutôt bien. Maintenant que nos lèvres sont séparées, j'attends la suite. Hélas, elle arrête là. Dans son séjour nous buvons enfin assises près de l'autre. Cette liqueur passe bien même si elle s'approche de moi. Je ne fais que craindre la suite. J'ai vaguement vu des filles se caresser dans un film qui m'avait laissé de marbre.
Elle m'embrasse légèrement sur le bout des lèvres.Ses bras m'encerclent tendrement. Lucette est douce au delà du raisonnable. Sans raison, je me laisse aller contre elle, ma têt sur son cou. Je sens une odeur agréable : son eau de toilette sans doute. Je ne fais qu'apercevoir ses seins sous son chemisier. Je me sens chèvre de monsieur Seguin. Une de ses mains est sur mon dos, elle le caresse comme un chaton.
Perdue dans le début de caresse, je me laisser faire. Je commence même à avoir envie qu'elle aille bien plus loin. Je ne veux rien demander de peur de la contrarier. Nous nous embrassons encore un fois comme de véritables amoureux. Puis sa langue se pose sur mes lèvres qu'elle lèche directement. C'est excitant cette façon de faire, je n'y suis pas habituée.
Nos visages faces proches, nos yeux qui scrutent le désir de l'autre, désigne la suite inévitable. Je suis son esclave consentante. Elle le sait et en abuse comme un chat avec la souris. Sauf que là la souris est déjà conquise.
Comme sans le vouloir une main, est sur mon sein. A travers le corsage je ne la sens pas encore bien, sauf qu'elle commence à appuyer. J'ai envie qu'elle délivre la sensualité que je sens au fond de moi. D'un seul coup je acception que ma chatte se mouille. Je commence à couler entre les fesses : le grand chambardement sexuel est proche pour moi en tout cas, elle doit savoir me faire jouir, j'attends simplement la suite qui tarde.
A nouveau une main sur le dos, cette fois je la sens essayer et réussir à défaire attache du soutien gorge. Mes seins sont libres. Je suis immobile, je n'ose rien faire de peur de rompre le charme. Lucette défait les boutons du corsage un à un, lentement en commençant pas le haut. Il ne tient plus que par les épaules. Elle me délivre enfin toujours lentement, en se faisant câline.
Elle doit attendre ça depuis le début : elle m'embrasse dans le cou, puis ses lèvres se déplacent lentement sur mes aréoles. Je sens mes tétons gonfler. Si sa bouche reste sur mes seins, ses mains descendent largement vers la taille avant de venir sur mes genoux. Je la laisse faire, j'aide même en écartant doucement les jambes.
Je dois lui paraître une fille facile. Tant pis au point où j'en suis. Je ne regrette pas quand sa main monte sur ma peau fragile. Elle n'hésite pas quand elle écarte mon slip. Je sens un index passer juste sur l'aine rabattre mes poils puis venir s'insinuer dans la fente.
En restant tête en arrière, jambes ouvertes, offerte à cette fille, je suis prête à aller loin, jusqu'à l'orgasme que je sens bouillir en moi. Elle sait bien comment faire pour retarder l'inévitable puisqu'elle sort sa main pour maintenant me faire lever.
Elle me tient contre elle pendant qu'elle se déshabille. Son corps est très chaud contre le mien. Ses seins durs caressent la poitrine, sa main est venue enlever le slip. Si elle l'avait voulu j'aurais aimé qu'elle pose son pubis contre le mien. Elle préfère non plus me caresser le clitoris. Son seul but immédiat est d'entrer deux doigts dans la vagin.
J'aime me doigter, le fait souvent. Avec Lucette c'est divin. Je ne savais pas qu'une fille sache autant faire de bien. Je me laisse aller au premier orgasme. Je sens toujours ses doigts en moi pendant que je jouis. Mon bas ventre est tendu malgré moi contre le sien.
Viens dans la chambreOui. Aimes moi.
C'est tout ce que je trouve à dire quand le principal est fait : mon accord.
Elle est encore contre moi, je caresse sa chevelure contre son dos : je n'avais pas fais attention à crinière magnifique.Puis, doucement elle s'accroupit devant moi pour adorer mon abricot. Ou le goûter, je ne sais plus. Je sens sa langue chercher mon sexe. J'ouvre encore les jambes surtout quand je sens qu'elle est sur mon petit haricot. Elle va de bas en haut revient pour recommencer, puis toute la langue le serre contre le sexe. Elle peut faire ce qu'elle veut, je suis d'accord quand sa langue entre dans le vagin.
Cette fois allongées nous nous embrassons encore : je sens mon jus sur sa langue. Elle m'a encore faire jouir. Je sais que si j'étais avec un homme il aurait déjà déclarer forfait, alors qu'entre femmes, nous sommes illimitées en jouissance.
J'ose enfin la masturber. Je trouve qu'elle est fragile, je la ménage alors qu'elle en veut plus, plus fort.J'arrive à trouvr la caresse ultime qui la fait jouir : deux doigts dans le con et deux autre dans le cul. Ses gémissement montrent qu'elle apprécieElle se tourne pour me donner sa chatte dans ma bouche. Je n'hésite pas, je plonge là où elle aime. Ainsi nous nous trouvons en 69. je redoutais cet instant, cette position. Pourtant je pratique ce que je n'ai jamais fais qu'avec un homme et son sperme final dans la bouche. Sa cyprine est parfaite. Nous arrivons par le plus grandes hasard à jouir ensemble avant de nous endormir jusqu'au lendemain.
C'est sa bouche qui me réveille.
Lucette doit avoir des espions chez moi : habillée presque exactement comme moi. Sauf qu'elle me semble plus chic, plus visible que je le suis.
Nous nous embrassons vite sur les joues, comme souvent. Le repas est agréable : elle a beaucoup de conversation et de réparties. Comme elle habité a deux pas elle tiens à ce que je passe chez elle pour que nous buvions un petit quelque chose.
Je n'attendais pas sa bouche sur la mienne. Voilà que je pense à se bizarrerie : elle aime les filles. Je ne sais ce que nous devons boire. Pour le moment la seule chose que je boive est sa salive. Sa salive et sa langue. Je suis sur un petit nuage, je me laisse faire : pourtant je suis une hétéro convaincue.
Et puis, qu'est ce que je risque à me laisser faire, comme la première fois quand je me suis faite dépucelée. Je craignais le pire pour finalement en être satisfaite. Tout se fait en un éclair dans ma tête, le pour et le contre, l'abandon ou la beigne.
En me laissant aller je ne risque qu'un seule chose, jouir différemment.
Je risque ma langue aussi dans sa bouche. Lucette embrasse plutôt bien. Maintenant que nos lèvres sont séparées, j'attends la suite. Hélas, elle arrête là. Dans son séjour nous buvons enfin assises près de l'autre. Cette liqueur passe bien même si elle s'approche de moi. Je ne fais que craindre la suite. J'ai vaguement vu des filles se caresser dans un film qui m'avait laissé de marbre.
Elle m'embrasse légèrement sur le bout des lèvres.Ses bras m'encerclent tendrement. Lucette est douce au delà du raisonnable. Sans raison, je me laisse aller contre elle, ma têt sur son cou. Je sens une odeur agréable : son eau de toilette sans doute. Je ne fais qu'apercevoir ses seins sous son chemisier. Je me sens chèvre de monsieur Seguin. Une de ses mains est sur mon dos, elle le caresse comme un chaton.
Perdue dans le début de caresse, je me laisser faire. Je commence même à avoir envie qu'elle aille bien plus loin. Je ne veux rien demander de peur de la contrarier. Nous nous embrassons encore un fois comme de véritables amoureux. Puis sa langue se pose sur mes lèvres qu'elle lèche directement. C'est excitant cette façon de faire, je n'y suis pas habituée.
Nos visages faces proches, nos yeux qui scrutent le désir de l'autre, désigne la suite inévitable. Je suis son esclave consentante. Elle le sait et en abuse comme un chat avec la souris. Sauf que là la souris est déjà conquise.
Comme sans le vouloir une main, est sur mon sein. A travers le corsage je ne la sens pas encore bien, sauf qu'elle commence à appuyer. J'ai envie qu'elle délivre la sensualité que je sens au fond de moi. D'un seul coup je acception que ma chatte se mouille. Je commence à couler entre les fesses : le grand chambardement sexuel est proche pour moi en tout cas, elle doit savoir me faire jouir, j'attends simplement la suite qui tarde.
A nouveau une main sur le dos, cette fois je la sens essayer et réussir à défaire attache du soutien gorge. Mes seins sont libres. Je suis immobile, je n'ose rien faire de peur de rompre le charme. Lucette défait les boutons du corsage un à un, lentement en commençant pas le haut. Il ne tient plus que par les épaules. Elle me délivre enfin toujours lentement, en se faisant câline.
Elle doit attendre ça depuis le début : elle m'embrasse dans le cou, puis ses lèvres se déplacent lentement sur mes aréoles. Je sens mes tétons gonfler. Si sa bouche reste sur mes seins, ses mains descendent largement vers la taille avant de venir sur mes genoux. Je la laisse faire, j'aide même en écartant doucement les jambes.
Je dois lui paraître une fille facile. Tant pis au point où j'en suis. Je ne regrette pas quand sa main monte sur ma peau fragile. Elle n'hésite pas quand elle écarte mon slip. Je sens un index passer juste sur l'aine rabattre mes poils puis venir s'insinuer dans la fente.
En restant tête en arrière, jambes ouvertes, offerte à cette fille, je suis prête à aller loin, jusqu'à l'orgasme que je sens bouillir en moi. Elle sait bien comment faire pour retarder l'inévitable puisqu'elle sort sa main pour maintenant me faire lever.
Elle me tient contre elle pendant qu'elle se déshabille. Son corps est très chaud contre le mien. Ses seins durs caressent la poitrine, sa main est venue enlever le slip. Si elle l'avait voulu j'aurais aimé qu'elle pose son pubis contre le mien. Elle préfère non plus me caresser le clitoris. Son seul but immédiat est d'entrer deux doigts dans la vagin.
J'aime me doigter, le fait souvent. Avec Lucette c'est divin. Je ne savais pas qu'une fille sache autant faire de bien. Je me laisse aller au premier orgasme. Je sens toujours ses doigts en moi pendant que je jouis. Mon bas ventre est tendu malgré moi contre le sien.
Viens dans la chambreOui. Aimes moi.
C'est tout ce que je trouve à dire quand le principal est fait : mon accord.
Elle est encore contre moi, je caresse sa chevelure contre son dos : je n'avais pas fais attention à crinière magnifique.Puis, doucement elle s'accroupit devant moi pour adorer mon abricot. Ou le goûter, je ne sais plus. Je sens sa langue chercher mon sexe. J'ouvre encore les jambes surtout quand je sens qu'elle est sur mon petit haricot. Elle va de bas en haut revient pour recommencer, puis toute la langue le serre contre le sexe. Elle peut faire ce qu'elle veut, je suis d'accord quand sa langue entre dans le vagin.
Cette fois allongées nous nous embrassons encore : je sens mon jus sur sa langue. Elle m'a encore faire jouir. Je sais que si j'étais avec un homme il aurait déjà déclarer forfait, alors qu'entre femmes, nous sommes illimitées en jouissance.
J'ose enfin la masturber. Je trouve qu'elle est fragile, je la ménage alors qu'elle en veut plus, plus fort.J'arrive à trouvr la caresse ultime qui la fait jouir : deux doigts dans le con et deux autre dans le cul. Ses gémissement montrent qu'elle apprécieElle se tourne pour me donner sa chatte dans ma bouche. Je n'hésite pas, je plonge là où elle aime. Ainsi nous nous trouvons en 69. je redoutais cet instant, cette position. Pourtant je pratique ce que je n'ai jamais fais qu'avec un homme et son sperme final dans la bouche. Sa cyprine est parfaite. Nous arrivons par le plus grandes hasard à jouir ensemble avant de nous endormir jusqu'au lendemain.
C'est sa bouche qui me réveille.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
beau texte comme on en aime...Merci
J'ai adoré
Lucette est extra elle connait bien les caresses a faire a une femme
je lui offrirai bien mon clito a sa douce langue.Très excitant, mes
doigts ne quitte pas mon abricot .Huguette je mouille pour toi!
je lui offrirai bien mon clito a sa douce langue.Très excitant, mes
doigts ne quitte pas mon abricot .Huguette je mouille pour toi!
Très exitant. Des textes courts mais plein d'érotisme...