Lucie....
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Lucie....
J'ai suivi mes parents pour partir dans la région parisienne. J'avais donc 15 ans, je laissais sur place, dans m a petite banlieue du sud mes amis, mes copains. J'ai du recommençé à avoir de nouvelles relations. Un peu plus tard, mes hormones me poussaient à avoir des relations sexuelles, malheureusement trop vite faites, sans grande affection. J'étais presque toujours absent, moralement, quand je baisais. Plus tard, après mes examens brillants, je passais un concours administratif : j'étais admis parmi les premiers, donc j'avais le choix de mon affectation. Mon choix était vite fait : je retournais chez moi, celui que je n'avais jamais oublié.
Mes copains avaient presque tous disparus. Je n'avais pas trop le temps de les chercher. Un jour, dans le train qui me menait chez moi je rencontre Lucie, la sœur d'un bon copain. Je jouais avec elle au papa et le maman, et même une seule fois au docteur. Ce n'est plus la gamine de l'époque où elle avait 12 ans. A 25 ans, elle est éblouissante de grâce et de beauté. Une chrysalide avait éclos d'une belle fille sexy. Elle travaille pas très loin de mon bureau. C'est ainsi que pratiquement tous les jours, nous rentrons ensemble. Lucie me fait envie, un jour comme ça, sans que rien ne prévienne, je pose mes lèvres sur les siennes.
Nos langues ont entamé la danse de l'amour. Je n'ose pas aller plus loin, sauf qu'un après midi, avant de revenir au village, je l'emmène dans un jardin public, juste en face de la gare pour l'embrasser encore et surtout commencer à la caresser. J'arrive à passer ma main sous sa robe, je caresse un genou avant d'aller vers son sexe, directement. Elle résiste un peu quand je suis sur la chatte. Elle a vite capitulé.
-Attention, je suis vierge.
Je ne vais pas te faire de mal, au contraire.
Je l'ai masturbé. J'ai arrêté souvent, recommencé à chaque fois. Je la sens fébrile alors je vais au bout jusqu'à ce qu'elle jouisse. C'est elle qui pose sa bouche sur la mienne :
Tu sais tu es le premier à m'avoir donné tant de plaisir.
Je recommencerais quand tu voudras.
Alors maintenant.
Ma chérie, je commence à l'aimer, a des envie plus forte que les autres. Je recommence ce que j'ai déjà fait. Cette fois elle gémit au point que certains croient que je la maltraite.
Lucie part encore dans un bel orgasme. Enfin, seule, elle prend l'initiative de poser ma main sur ma bite. Elle essaie sans trop de succès de sortir ma queue. Je l'aide, j'ai envie qu'elle me masturbe aussi. Sa main fait le tour de mon membre : elle ne sait pas caresser une pine. Je lui montre le mode d'emploi. Plus ou moins régulièrement sa main fait des va-et-vient. J'ai pris la précaution de sortir un kleenex. Quand je jouis, elle regarde, curieuse le jus qui sort.
Merci de m'avoir fait jouir.
Nous ne disons plus rien jusqu'à chez elle où je l'accompagne. J'habite à deux pas c'est facile.
Je passe une nuit affreuse en m'interrogeant sur la suite à donner. J'ai envie d'elle, je veux baiser Lucie. Je veux, je ne sais trop quoi. C'est seulement quand la revoyant le lendemain que j'ai ma solution :
Lucie, je t'aime, veux tu m'épouser.
Bien sur je t'aime aussi.
Nous jouons encore une fois à touche pipi. J'en ai assez de ces jeux à la con.
J'ai envie de toi, te te baiser.
Moi aussi je te veux.
Tu peux sortir ce soir (ses parents sont stricts).
Je partirai un peu tard, je viendrais passer la nuit chez toi. A moins que tu me demande en mariage ce soir à mes parents.
Une corvée qu'il faut que je fasse. Je m'en passerais bien. Mais je la veux comme maîtresse et femme. Au lieu d'aller chez moi, je la suis chez elle. Je connais ses parents de quand j'étais un gosse. Ma demande est vite faite. Les parents souriants sont d'accords. Elle me suis chez moi, sans rien dire à ses parents qui, pas cons savent bien ce que nous allons faire.
Je la déshabille en parti, le reste c'est elle qui l'enlève, pressée par le désir. Elle s'allonge seule sur le lit. Je la regarde en détail tellement je ne sais où regarder ses merveilles. Je vais l'embrasser encore profondément. Elle aussi veux baiser. Elle prend ma bite pour me guider sur sa chatte mouillée. J'aurais voulu la caresser avant. Non elle désire que je la baise. Alors je fais ce qu'il faut . J'entre dans son con doucement, très doucement jusqu'à son hymen. J'arrête là. J'ai peur de lui faire mal qu'elle ne veuille plus de moi. J'hésite trop. C'est Lucie qui donne le coup de rein fatal. Je suis au fond de son sexe. Nous restons ainsi immobiles l'un et l'autre. Nos lèvres s'embrassent longuement. Nos langues se connaissent trop pour ne pas reprendre leur ballet. Je ne me rend compte qu'à ce moment de la raideur de ses seins.
Je commence à la limer : elle pousse des petit grognements de plaisir. Je vais de plus en plus vite. Je suis surpris quand je sens les crispation de son vagin autour de ma queue : elle jouit dès les premiers coup de pine. Je suis tombé sur le bon numéro.
Tu me fais du bien comme jamais, j'aime baiser avec toi. Tu me la mettra aussi au cul ?
Bien sur je t'enculerais quand tu le voudras.
Alors maintenant.
Elle n'attend même pas la réponse, elle se met en levrette, pas folle elle met sa cyprine sur l'anus. Je suis juste derrière elle, contre ses fesses. En passant ma queue dans la raie, je sens au passage l'entrée de son cul. Je passe sur le périnée, entre encore dans la vagin, simplement pour mouiller encore un peu plus ma bite.
Je suis enfin sur l'anus. J'entre à peine un centimètre de gland, le ressort pour le remettre encore un peu plus. Lucie gémit toujours.
Encules moi bien, entre la toute.
Je vais te faire mal.
Comme tu devais me faire mal en me dépucelant. Enfonces.
Elle l'aura voulu. J'entre comme si elle était ouverte depuis longtemps. Elle pousse un petit cri de souris attrapée par le chat. Je suis au fond, mes poils touchent ses fesses écartées. Je lui demande de se branler pendant que je lime son cul. Non, il faut que ce soit moi qui la branle. Mes doigts sont à peine sur son clitoris qu'elle jouit. Ce nouveau plaisir lui plaît au moins autant que de l'avoir devant. Je ne tiens plus, il faut que je décharge là où je suis. C'est son cul qui prend tout. Sentir mon jus aller dans ses boyaux la fait encore jouir. Je débande en elle. Lucie me fait sortir, elle aurait voulu jouir avec ma queue une autre fois.
J'ai un autre outil pour lui donner du plaisir : ma bouche. Elle est sur le dos, les jambes bien ouvertes, avec un peu de sperme qui en sort. Je ne regarde pas ça : ma langue lèche son clitoris. Elle en passe ses cuisse autour de ma tête. Elle recommence à gémir plus fort. Cette caresse inédite la mène là où vont les plaisirs : au ciel des amants. Je la lèche longtemps. J'attends qu'elle me demande d'arrêter. Elle est prise par les tourments des orgasmes consécutifs.
Lucie est une maîtresse parfaite. Elle aime, elle adore baiser. Elle se masturbe souvent, au début en cachette, ensuite devant moi qui en fait autant. Nous attendons le mariage : nous ne sommes plus pressés. Sauf que ses parents s'impatientent un peu. Nous nous marions simplement.
La nuit de noce a été plus épicée que les normales. Nous avions achetés des godes à sa convenance. Elle en a profité pour les mettre dans tous les trou de son corps. Elle a eu ce qu'elle voulait depuis un moment : ma bite dans son cul et un gode dans le con. C'est bon pour l'un et l'autre. D'elle même elle porte tous les jours des plugs dans le cul. Ils sont de plus en plus gros. Elle adore se branler avec. Elle les enlève pour se masturber le cul souvent, presque autant que la chatte.
Elle voudrait baiser en trio avec un autre homme. Elle insiste tant que je suis d'accord. Elle choisit elle même l'élu. C'est un type grand, bien monté, à peine un peu plus que moi. Nous sommes dans un hôtel bien étoilé. Quand il entre dans la chambre, elle lui tend déjà les bras :
-Viens me baiser.
- Ton mari regarde ?
- Oui, mais il me m'enculeras aussi.
- Je pourrais t'enculer aussi ?
- S'il te reste de la gnaque.
En effet il vient presque sur elle. J'assure le service caresses et baiser. Elle prend délicatement la queue, la branle un peu comme elle sait faire.
Ses jambes passent sur la taille de l'amant, elle pousse un peu pour qu'il la baise. Je regarde la queue entrer lentement là où je mets ma bite. Je bande comme un cerf. Je suis obligé de me branler.
Elle prend rapidement son plaisir. Elle regarde ma queue en état de fonctionnement : j'ai arrêter de me branler.
Viens m'enculer.
Je ne me le fais par répéter. J'entre assez facilement dans un cul largement ouvert. Je sens la pine de l'autre à travers sa fine membrane. Elle ne gémit plus, elle cri son plaisir.
Entre dans la chambre le room service. Une jeune femme qui semble ne pas nous voir. Tu parles, elle se met toute nue. Elle interrompt ce que nous faisions pour se consacrer au plaisir de Lucie qui accepte aussitôt la fille. C'est ma surprise. Elle baisse avec l'autre fille comme une normalité. Avec l'autre nous attendons la position qu'elle prendront obligatoirement. Elles arrivent à être en 69.
Nous nous arrangeons pour les enculer, moi la nouvelle, lui Lucie. Je me trouve bien dans ce cul nouveau, sexy, un peu plus serré que celui de Lucie. Bref je jouis dans ce nouveau cul, somme elles aussi jouissent.
J'avais eu une vierge au début, j'ai une libertine maintenant. Je ne m'en plains pas du tout.
Mes copains avaient presque tous disparus. Je n'avais pas trop le temps de les chercher. Un jour, dans le train qui me menait chez moi je rencontre Lucie, la sœur d'un bon copain. Je jouais avec elle au papa et le maman, et même une seule fois au docteur. Ce n'est plus la gamine de l'époque où elle avait 12 ans. A 25 ans, elle est éblouissante de grâce et de beauté. Une chrysalide avait éclos d'une belle fille sexy. Elle travaille pas très loin de mon bureau. C'est ainsi que pratiquement tous les jours, nous rentrons ensemble. Lucie me fait envie, un jour comme ça, sans que rien ne prévienne, je pose mes lèvres sur les siennes.
Nos langues ont entamé la danse de l'amour. Je n'ose pas aller plus loin, sauf qu'un après midi, avant de revenir au village, je l'emmène dans un jardin public, juste en face de la gare pour l'embrasser encore et surtout commencer à la caresser. J'arrive à passer ma main sous sa robe, je caresse un genou avant d'aller vers son sexe, directement. Elle résiste un peu quand je suis sur la chatte. Elle a vite capitulé.
-Attention, je suis vierge.
Je ne vais pas te faire de mal, au contraire.
Je l'ai masturbé. J'ai arrêté souvent, recommencé à chaque fois. Je la sens fébrile alors je vais au bout jusqu'à ce qu'elle jouisse. C'est elle qui pose sa bouche sur la mienne :
Tu sais tu es le premier à m'avoir donné tant de plaisir.
Je recommencerais quand tu voudras.
Alors maintenant.
Ma chérie, je commence à l'aimer, a des envie plus forte que les autres. Je recommence ce que j'ai déjà fait. Cette fois elle gémit au point que certains croient que je la maltraite.
Lucie part encore dans un bel orgasme. Enfin, seule, elle prend l'initiative de poser ma main sur ma bite. Elle essaie sans trop de succès de sortir ma queue. Je l'aide, j'ai envie qu'elle me masturbe aussi. Sa main fait le tour de mon membre : elle ne sait pas caresser une pine. Je lui montre le mode d'emploi. Plus ou moins régulièrement sa main fait des va-et-vient. J'ai pris la précaution de sortir un kleenex. Quand je jouis, elle regarde, curieuse le jus qui sort.
Merci de m'avoir fait jouir.
Nous ne disons plus rien jusqu'à chez elle où je l'accompagne. J'habite à deux pas c'est facile.
Je passe une nuit affreuse en m'interrogeant sur la suite à donner. J'ai envie d'elle, je veux baiser Lucie. Je veux, je ne sais trop quoi. C'est seulement quand la revoyant le lendemain que j'ai ma solution :
Lucie, je t'aime, veux tu m'épouser.
Bien sur je t'aime aussi.
Nous jouons encore une fois à touche pipi. J'en ai assez de ces jeux à la con.
J'ai envie de toi, te te baiser.
Moi aussi je te veux.
Tu peux sortir ce soir (ses parents sont stricts).
Je partirai un peu tard, je viendrais passer la nuit chez toi. A moins que tu me demande en mariage ce soir à mes parents.
Une corvée qu'il faut que je fasse. Je m'en passerais bien. Mais je la veux comme maîtresse et femme. Au lieu d'aller chez moi, je la suis chez elle. Je connais ses parents de quand j'étais un gosse. Ma demande est vite faite. Les parents souriants sont d'accords. Elle me suis chez moi, sans rien dire à ses parents qui, pas cons savent bien ce que nous allons faire.
Je la déshabille en parti, le reste c'est elle qui l'enlève, pressée par le désir. Elle s'allonge seule sur le lit. Je la regarde en détail tellement je ne sais où regarder ses merveilles. Je vais l'embrasser encore profondément. Elle aussi veux baiser. Elle prend ma bite pour me guider sur sa chatte mouillée. J'aurais voulu la caresser avant. Non elle désire que je la baise. Alors je fais ce qu'il faut . J'entre dans son con doucement, très doucement jusqu'à son hymen. J'arrête là. J'ai peur de lui faire mal qu'elle ne veuille plus de moi. J'hésite trop. C'est Lucie qui donne le coup de rein fatal. Je suis au fond de son sexe. Nous restons ainsi immobiles l'un et l'autre. Nos lèvres s'embrassent longuement. Nos langues se connaissent trop pour ne pas reprendre leur ballet. Je ne me rend compte qu'à ce moment de la raideur de ses seins.
Je commence à la limer : elle pousse des petit grognements de plaisir. Je vais de plus en plus vite. Je suis surpris quand je sens les crispation de son vagin autour de ma queue : elle jouit dès les premiers coup de pine. Je suis tombé sur le bon numéro.
Tu me fais du bien comme jamais, j'aime baiser avec toi. Tu me la mettra aussi au cul ?
Bien sur je t'enculerais quand tu le voudras.
Alors maintenant.
Elle n'attend même pas la réponse, elle se met en levrette, pas folle elle met sa cyprine sur l'anus. Je suis juste derrière elle, contre ses fesses. En passant ma queue dans la raie, je sens au passage l'entrée de son cul. Je passe sur le périnée, entre encore dans la vagin, simplement pour mouiller encore un peu plus ma bite.
Je suis enfin sur l'anus. J'entre à peine un centimètre de gland, le ressort pour le remettre encore un peu plus. Lucie gémit toujours.
Encules moi bien, entre la toute.
Je vais te faire mal.
Comme tu devais me faire mal en me dépucelant. Enfonces.
Elle l'aura voulu. J'entre comme si elle était ouverte depuis longtemps. Elle pousse un petit cri de souris attrapée par le chat. Je suis au fond, mes poils touchent ses fesses écartées. Je lui demande de se branler pendant que je lime son cul. Non, il faut que ce soit moi qui la branle. Mes doigts sont à peine sur son clitoris qu'elle jouit. Ce nouveau plaisir lui plaît au moins autant que de l'avoir devant. Je ne tiens plus, il faut que je décharge là où je suis. C'est son cul qui prend tout. Sentir mon jus aller dans ses boyaux la fait encore jouir. Je débande en elle. Lucie me fait sortir, elle aurait voulu jouir avec ma queue une autre fois.
J'ai un autre outil pour lui donner du plaisir : ma bouche. Elle est sur le dos, les jambes bien ouvertes, avec un peu de sperme qui en sort. Je ne regarde pas ça : ma langue lèche son clitoris. Elle en passe ses cuisse autour de ma tête. Elle recommence à gémir plus fort. Cette caresse inédite la mène là où vont les plaisirs : au ciel des amants. Je la lèche longtemps. J'attends qu'elle me demande d'arrêter. Elle est prise par les tourments des orgasmes consécutifs.
Lucie est une maîtresse parfaite. Elle aime, elle adore baiser. Elle se masturbe souvent, au début en cachette, ensuite devant moi qui en fait autant. Nous attendons le mariage : nous ne sommes plus pressés. Sauf que ses parents s'impatientent un peu. Nous nous marions simplement.
La nuit de noce a été plus épicée que les normales. Nous avions achetés des godes à sa convenance. Elle en a profité pour les mettre dans tous les trou de son corps. Elle a eu ce qu'elle voulait depuis un moment : ma bite dans son cul et un gode dans le con. C'est bon pour l'un et l'autre. D'elle même elle porte tous les jours des plugs dans le cul. Ils sont de plus en plus gros. Elle adore se branler avec. Elle les enlève pour se masturber le cul souvent, presque autant que la chatte.
Elle voudrait baiser en trio avec un autre homme. Elle insiste tant que je suis d'accord. Elle choisit elle même l'élu. C'est un type grand, bien monté, à peine un peu plus que moi. Nous sommes dans un hôtel bien étoilé. Quand il entre dans la chambre, elle lui tend déjà les bras :
-Viens me baiser.
- Ton mari regarde ?
- Oui, mais il me m'enculeras aussi.
- Je pourrais t'enculer aussi ?
- S'il te reste de la gnaque.
En effet il vient presque sur elle. J'assure le service caresses et baiser. Elle prend délicatement la queue, la branle un peu comme elle sait faire.
Ses jambes passent sur la taille de l'amant, elle pousse un peu pour qu'il la baise. Je regarde la queue entrer lentement là où je mets ma bite. Je bande comme un cerf. Je suis obligé de me branler.
Elle prend rapidement son plaisir. Elle regarde ma queue en état de fonctionnement : j'ai arrêter de me branler.
Viens m'enculer.
Je ne me le fais par répéter. J'entre assez facilement dans un cul largement ouvert. Je sens la pine de l'autre à travers sa fine membrane. Elle ne gémit plus, elle cri son plaisir.
Entre dans la chambre le room service. Une jeune femme qui semble ne pas nous voir. Tu parles, elle se met toute nue. Elle interrompt ce que nous faisions pour se consacrer au plaisir de Lucie qui accepte aussitôt la fille. C'est ma surprise. Elle baisse avec l'autre fille comme une normalité. Avec l'autre nous attendons la position qu'elle prendront obligatoirement. Elles arrivent à être en 69.
Nous nous arrangeons pour les enculer, moi la nouvelle, lui Lucie. Je me trouve bien dans ce cul nouveau, sexy, un peu plus serré que celui de Lucie. Bref je jouis dans ce nouveau cul, somme elles aussi jouissent.
J'avais eu une vierge au début, j'ai une libertine maintenant. Je ne m'en plains pas du tout.
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