Lucie et l'amant de sa mère
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lucie et l'amant de sa mère
Félix était l'amant de Maud depuis plusieurs mois et leur relation se trouvait au beau fixe. Cette belle quadragénaire aux cheveux fins et blonds, aux yeux clairs, à la silhouette mince, divorcée et mère d'une fille de dix-huit ans prénommée Lucie, avait entre autres qualités un tempérament fougueux au lit qui procurait énormément de plaisir à Félix. Et c'était réciproque, à en juger par les exclamations d'extase de Maud, ses propos crus, le véritable culte qu'elle vouait à la queue de Felix, il est vrai d'une taille au-dessus de la moyenne en érection, qu'il rechargeait rapidement par la grâce de ses trente ans.
Brun de peau et de poil, le corps massif, un physique à la Sergi Lopez, l'acteur espagnol, quand il était jeune, il dégageait une virilité qui plaisait aux femmes sensuelles et effrayait les autres. Maud appartenait à la première catégorie et passait sur le fait qu'elle était loin d'être la première à profiter de la bite de Félix. Elle faisait juste en sorte qu'il n'aille pas l'enfoncer ailleurs, du moins pas trop tôt, et c'est pourquoi elle n'était pas avare de ses coups de reins avec son amant.
Et pourtant, celui-ci reçut un jour une proposition telle qu'il dut s'asseoir pour la digérer.
Pour comprendre, il faut s'attarder sur Lucie, la fille de Maud. Un vrai canon qui avait récupéré les cheveux, les yeux, une bonne partie du visage de sa mère et un sourire craquant en plus d'un corps à tomber à la renverse, digne d'une actrice italienne, seins lourds et bien accrochés, croupe tendue, jambes nerveuses, bref tout pour rendre les mâles dingues de désir.
Or, Lucie avait pour petit ami une espèce d'intello blafard et chevelu aux jambes et aux bras maigres, doctorant en sociologie dont le bagout fascinait la fille de Maud. Celle-ci le détestait mais devait "faire avec" pour ne pas perdre sa fille, toujours hébergée chez elle. Le gars prénommé Gustave ("comme Flaubert", répétait il niaisement) avait dépucelé Lucie un an plus tôt, ce qui avait mis Maud en rage, on va voir plus loin pourquoi. Au moins était elle a priori protégée car Maud la fournissait en préservatifs. Mais elle constata que la boîte se vidait au compte gouttes si on peut dire. Et c'est ainsi que Félix entra en jeu.
" Il faut que tu baises ma fille pour qu'elle sache ce qu''est un vrai mec".
Telle fut la réflexion de Maud qui sidéra Félix. D'ordinaire, c'étaient plutôt des hommes qui s'adressaient à leur maîtresse pour déniaiser leur fils pubère. C'était donc l'inverse, ce qui en disait long dur l'évolution des moeurs, d'autant que Lucie n'était même plus pucelle.
- En fait, tu veux que j'initie ta fille au vrai sexe, c'est ça ? finit-il par exprimer.
- Exactement. Je veux qu'elle sache ce que veut dire "prendre son pied" parce que ça ne risque pas d'arriver avec son godelureau, bien incapable de lui offrir un orgasme. Il suffit de le regarder et de l'écouter. C'est important pour Lucie, pour sa vie sexuelle future, de ne pas être déçue ou rebutée.
- Bon, si tu le dis. Mais n'empêche qu'elle s'est attachée à ce Gustave et je vois pas comment je pourrais l'en défaire pour la sauter.
- Tu te sous-estimes. Ton charme est puissant et elle t'aime bien.
- Peut-être parce que sa mère est heureuse en ma compagnie, ce qui valorise notre union à ses yeux. Tu crois vraiment qu'elle voudrait rompre ça ?
- C'est mon affaire. Laisse-moi un peu de temps.
La conversation en resta provisoirement là. Il est un fait que Lucie plaisait à Félix, comment aurait-il pu en être autrement, mais il préférait les vraies femmes comme Maud, libérées et sans tabous, aux jeunes filles à peine sorties de l'adolescence. Il se demandait même si Lucie était vraiment intéressée par la bite. Elle semblait plus préoccupée par les jeux intellectuels que par les différentes manières de se faire prendre. Il se fit à l'idée que l'initiative de Maud resterait sans lendemain.
******
Pourtant, Maud n'était pas restée inactive. Elle avait engagé plusieurs conversations intimes avec sa fille sur les relations sexuelles. Elle avait eu la confirmation que Lucie n'avait jamais connu l'orgasme avec Gustave et elle s'empressa de préciser qu'avec Félix, "un amant exceptionnel", elle pouvait en connaitre plusieurs dans le même rapport. Lucie en avait rougi, jugeant que sa mère tenait des propos déplacés.
- Et pourquoi donc ? C'est mal pour toi d'aimer faire l'amour ? De jouir du corps de l'homme ? Avec Félix, le sexe est une drogue dure, sauf que cette drogue fait du bien, beaucoup de bien et c'est bon pour la santé contrairement à la drogue. Tant que tu ne l'auras pas essayée, tu ne pourras pas comprendre, avait dit Maud dans un de ces entretiens.
- Et comment veux-tu que j'essaye ? Que je te prenne ton amant ?
- Tu ne me le prendras pas, non, mais que tu couches avec lui au moins une fois, juste pour voir.
Ce fut au tour de Lucie d'être stupéfaite. Elle croyait déstabiliser sa mère et c'est elle qui était déstabilisée. Sa réaction fut cinglante :
- Même pas en rêve. Ta proposition est franchement dégueulasse, pour moi comme pour Gustave et même Félix.
- Alors, tant pis pour toi, tu ne sauras jamais ce qui est bon.
Les échanges furent dès lors plus rares, comme une bouderie. Mais Maud ne renonçait pas. Il arriva qu'elle dut quitter le domicile, où Félix s'était installé, pour un stage éloigné. Lucie devait donc partager l'appartement avec l'amant de sa mère. Celui-ci avait parfaitement compris la stratégie de sa maîtresse mais se garda de toute initiative malencontreuse.
Néanmoins, difficile de cohabiter sans se trouver parfois dans des situations intimes. C'est ainsi que Lucie découvrit le corps nu de Félix en entrant dans la salle de bains non verrouillée et qu'elle croyait vide. Son torse puissant et velu, sa queue pendante et ses fesses dures et bombées ne pouvaient que lui tomber sous les yeux et entrainer une comparaison avec le corps asexué de son boy friend.
- Oh pardon, excuse-moi, souffla-t-elle, les joues écarlates.
- Pas grave, lui répondit Félix, tout sourire.
Mais le trouble de Lucie ne lui avait pas échappé. Il s'attacha dès lors à exposer sa masculinité, n'hésitant pas à se déplacer nu de la salle de bains à la chambre et parfois même à la cuisine. Il frôla même Lucie dans cet appareil, savourant in petto sa confusion manifeste, mais il nota qu'elle ne protestait pas à propos de son comportement. A table au dîner, qu'il préparait lui-même, il se présentait vêtu d'un simple peignoir très ouvert sur son torse velu. Et quand il se levait, Lucie ne pouvait pas ne pas voir ses copieuses parties génitales brièvement exposées.
Félix nota alors dans l'attitude de la jeune fille un changement de comportement à son égard. A l'amabilité de circonstance succédait peu à peu des chatteries, des minauderies, des redressements de buste, des cambrures accusées et même un soir des allusions à ses succès féminins antérieurs à sa vie de couple actuelle. Félix ne cachait pas qu'il "aimait les femmes" et qu'elles le lui rendaient bien, en général, à commencer par sa mère.
- En fait, tu es un vrai clébard ! grinça-t-elle.
- Si être clébard, comme tu le dis, c'est aimer le sexe, aimer jouir et faire jouir, alors oui, je suis un clébard. Et toi, tu n'es pas chienne ?
- Ah non ! Pour moi, l'amour, c'est autre chose que du sexe. C'est du sentiment, de l'admiration.
- Normal, tu es encore jeune. Tu n'as jamais vraiment baisé. Mais tu sais, on peut à la fois faire l'amour et baiser, ça dépend des circonstances.
- Tu baises ma mère ou tu lui fais l'amour ?
- Cela dépend des jours. Parfois on a envie de baiser et parfois de faire l'amour.
- Et ça veut dire quoi, "baiser" ?
- Cela veut dire laisser parler la bête qui est en nous et que tu le veuilles ou non, elle existe aussi chez toi mais tu la refoules. Un jour ou l'autre, elle ressurgira et tu verras, c'est génial.
Lucie resta coite. Cette discussion avait remué ses entrailles. Elle se coucha la tête en feu, se masturba au lit en pensant à la bite pendante de Félix et tenta le lendemain de pousser son copain Gustave, qu'elle visitait chez lui, à la "baiser". Fiasco total. Il banda mou, la traita de "salope" et ils se fâchèrent.
Devant Félix le soir, elle se présentait désormais dans des tenues beaucoup plus suggestives. Sa magnifique poitrine saillait libre sous tes tops légers et sa croupe splendide tendait des mini shorts. Elle écoutait Félix parler le regard trouble et la bouche humide. Il l'avait vue feuilleter "la vie sexuelle de Catherine M", de Catherine Millet, piochée dans la bibliothèque de Maud, et elle en était manifestement émoustillée. Il se demanda néanmoins quel jeu elle jouait. Son expérience lui avait appris à se méfier des jeunes allumeuses et il commençait à se dire que Maud lui avait tendu un piège pour l'éprouver. Il pensait à tous les types dézingués par les féministes ultras. Le problème, c'est qu'il bandait de plus en plus à la voir évoluer au point d'en avoir mal aux couilles. Et quand Maud lui téléphona pour lui demander où il en était avec sa fille, devant son aveu de passivité, elle répondit :
- Dépêche toi, merde ! Je rentre après demain, je te le rappelle.
Il se demandait comment débloquer cette étrange situation quand le soir même, après le dîner où Lucie, pour une raison obscure, lui avait fait la gueule à table, il la perdit de vue, estimant qu'elle était aller bouder dans sa chambre.
Or, elle l'appela de celle de sa mère où Félix couchait aussi. Quand il entra, il fut cloué sur place. Elle était allongée nue sur le lit et se caressait le sexe.
- S'il te plait, Félix, ne me fait plus languir. Je sais que tu as envie de moi, alors baise-moi.
- Mais... ta mère...
- Arrête avec ma mère. Elle veut que tu me baises, non ?
- Mais toi ? Tu en as vraiment envie ?
- Je veux que tu me fasse connaitre l'orgasme. S'il te plait, viens...
La proposition était déroutante. Félix balança un moment. Où cela allait-il le mener ? Mais ce corps splendide si généreusement offert aurait damné un saint. Elle tendit un pied vers sa braguette et pressa.
- Tu bandes. Déshabille-toi, vite.
Il se mit nu et exposa son érection qu'elle taquina encore du pied, un sourire aux lèvres. Elle n'offrait pas vraiment l'image de la contrainte. Elle avait bel et bien envie de baiser. Une boite de préservatifs trônait sur la table de nuit mais il l'ignora. Il fallait la préparer, lui faire connaitre le sexe de A à Z puisque, après tout, tel était son désir, et elle était majeure et vaccinée, la petite Lucie. Sur le lit, il se pencha vers elle et glissa son visage entre ses cuisses ouvertes. Il entreprit un délicieux cunni qui la fit roucouler, sa main sur sa nuque en signe d'adhésion. Ses hanches bougeaient sous l'effet de sa langue et il reçut sur son mufle une abondance de cyprine. Il s'attarda longuement sur son clitoris durci et soudain, elle se raidit et couina. Ce fut son premier orgasme. Il se releva et la dévisagea. Elle lui adressa un regard étonné et un large sourire.
- C'était délicieux. Je crois que j'ai joui.
- Oui, il me semble bien. Mais ça ne fait que commencer. Tu es prête à être pénétrée ?
- Oh oui, je suis en feu. Viens ! Viens !
Sans se presser, il posa une capote sur son gland déjà bien gonflé. Elle était étroite mais il n'aurait pas besoin de gel tant elle était bien lubrifiée. Posée sur les coudes, pointes de seins dressées, elle l'attendait, fébrile. Il entra en elle bras tendus, avec précaution, guettant sur son visage une éventuelle douleur. Elle ouvrit grand la bouche au moment où son mandrin entreprit ses aller-retours. Très vite, il put s'engager totalement et les sexes clapotèrent. Ses jambes verrouillèrent ses reins en action et un rictus déforma son joli visage. Il la ramona longuement, profondément et plus il la ramonait, plus elle bougeait sous lui. Elle lui renvoya même la balle en posant les pieds sur le matelas. Elle relevait parfois la tête pour observer la jonction de leurs sexes, comme pour vérifier la source de son plaisir. Il retrouva une attitude de Maud qui, elle aussi, décollait les fesses du lit pour ne pas paraitre inerte et passive. Lucie baisait, incontestablement. Lorsqu'il la plia en deux, ses jambes au creux de ses bras et allant très loin en elle, elle poussa son premier cri d'extase, un vrai cri de femme baisée. Il la pilonna jusqu'à s'assurer qu'elle avait eu son deuxième orgasme. Il se retira ensuite en se comprimant la queue pour ne pas éjaculer, quelques gouttes de sperme ayant apparu sur son gland. Elle avait bien failli le faire gicler prématurément.
Haletante, bras et jambes écartés sur le lit, elle récupérait de son extase. Puis elle le regarda et l'embrassa sur la bouche, une première, regardant avec ravissement l'érection intacte.
- Tu as toujours envie de moi ! C'est super !
- Suce-moi maintenant.
Elle ne se fit pas prier. Rejetant ses cheveux derrière l'oreille, elle engloutit le gland avec une délectation évidente, joues gonflées, langue agile.
- Tu suces bien. Tu le fais aussi à Gustave ?
-Mmmmhhhh oui mais mmmhhh c'est pas aussi bon.
- Lèche-moi aussi les couilles. Ouille, doucement, ces fragiles ces petites bêtes.
Mais il dut l'arrêter car il sentait son sperme monter à nouveau. Il se savait plus endurant couché et il avait envie de la voir en train de le chevaucher. Mater ses seins, son ventre puis son cul.
Elle s'empala aisément tant elle était humide et se mit à faire rouler sa croupe avec frénésie, les nichons agités, le nombril mouvant, la tête rejetée en arrière. Elle galopait tout droit vers un nouvel orgasme et il le déclencha en décollant les fesses, tel un marteau piqueur à l'envers, alors qu'elle s'était retournée, penchée en avant pour lui montrer son cul en action. Elle poussa un cri rauque en faisant trembler ses fesses. Le fait qu'il ait mis son pouce dans son anus bien ouvert n'était sans doute pas étranger à cette troisième jouissance. Sensible du petit trou, Lucie ? Encore un point commun avec sa mère...
Ils éprouvèrent alors le besoin d'une petite pause. Mais elle poussa un soupir d'admiration en le voyant toujours raide. Son Gustave aurait ramolli depuis longtemps. Ils parlèrent de sexe, elle décrivit ses sensations, la chaleur de son corps, son exaltation, son besoin insatiable de pénétration et elle célébra aussi sa bite en la caressant amoureusement, ce qui le flatta.
- Tu vas encore me la mettre, hein ? J'ai toujours envie.
- Tu la veux comment ?
- N'importe comment pourvu que tu me baises.
- Par derrière alors, on ne l'a pas encore fait.
Lucie s'exécuta, croupe haute, tantôt bras tendus, tantôt aplatis. Félix la positionna de telle manière qu'elle put se voir dans le miroir mural que Maud avait fait poser pour pimenter leurs ébats.
- Regarde-toi baiser. Regarde ma queue comme elle entre et sort, bien dure. Tu la sens bien ?
Lucie ne s'était évidemment jamais vue en train de faire l'amour et n'avait jamais vu la réalité de l'acte, ce pénis qui la fouillait et lui produisait tant de sensations. Son visage tantôt grimaçant, tantôt souriant, l'étonna. Elle imagina brièvement sa mère dans la même situation, en train de se faire pilonner par derrière et se regarder baiser. Mais au lieu de l'inhiber, cette pensée l'exalta. Félix eut la satisfaction de la sentir venir à la rencontre de sa queue. Sa croupe splendide le rendait encore plus dur et chaque coup de queue la faisait couiner. Il osa à nouveau lui mettre le pouce dans son anus bien ouvert, pour voir, tout en limant et sans qu'elle réagisse. Puis il eut une forte envie de fendre ce cul de sa queue, histoire de compléter son éducation érotique.
- J'ai envie de t'enculer, souffla-t-il. Tu es d'accord ou pas ?
- Ok mais ne me fais pas mal, hein ?
Il n'avait pas de gel à disposition. Il la lécha longuement, humecta son anneau rose de salive, prépara du doigt l'introduction et elle l'attendit, cambrée, curieuse et disponible. Il entra lentement et prudemment car il s'agissait de dépuceler ce petit trou. Mais une fois qu'il fut engagé, long et tonique, Lucie réagit comme sa mère, en piaillant et en roulant des hanches, tournant la tête vers lui via le miroir pour lui crier "allez allez encore encore c'est bon c'est bon !" Il n'en attendait pas tant de cet abandon de virginité anale et après qu'elle eut joui une dernière fois, pronostiqua pour les amants futurs de Lucie des visites fondamentales particulièrement satisfaisantes. Au moins, il leur avait bien préparé le terrain. Au bout du bout, il se retira, ôta sa capote et présenta sa queue à la bouche de la jeune fille. Il devait éjaculer dans sa gorge pour atteindre le point ultime et qu'elle avale son sperme. Quand il gicla après qu'elle eut pompé avec ardeur, elle toussa, cracha une partie de la semence mais en avala une bonne quantité et rit de bon coeur en s'essuyant les lèvres.
- Je crois qu'on a fait le tour de la question, non ? questionna-t-elle, mutine.
- Tu as été géniale. Tu seras une partenaire exceptionnelle. Tes amoureux auront bien de la chance.
Elle l'embrassa avant de courir aux toilettes se soulager puis à la douche, le laissant repu et apaisé. Il pourrait rendre compte à Maud de cette expérience avec le sentiment du devoir accompli. Mais il devait, d'ores et déjà, rétablir des distances afin de ne pas mettre son couple en péril. Et donc inciter Lucie à partir en chasse ailleurs.
Quand Maud rentra, elle trouva sa fille changée. Elle était plus détendue, une petite moue satisfaite aux lèvres, une manière de déambuler plus lascive. Elles s'embrassèrent chaleureusement et Lucie lui dit à l'oreille : "merci". Maud avait compris. Sa fille avait vu le loup, le vrai loup, pas le louveteau.
Félix fut plus discret mais il rassura sa maitresse. Si l'initiation, de son point de vue au moins, avait été "réussie", elle serait "sans lendemain". D'ailleurs, il serait moins présent dans son appartement, tant que Lucie y serait hébergée, afin d'éviter toute tentation et toute ambiguïté. Maud apprécia la démarche et lui dit :
- Il faut maintenant espérer qu'elle va larguer ce sociologue à la noix. Et chercher des hommes, des vrais.
- Je vais lui présenter des potes et dans le lot, il y en aura bien un qui lui plaira, répondit Félix.
Quelque temps plus tard, Lucie s'annonça au domicile de sa mère avec un quadragénaire aux cheveux prématurément gris, que Maud connaissait comme client. Que ce type ait son âge la gêna aux entournures mais Lucie semblait très amoureuse, alors... Après tout, c'est ce qu'elle avait voulu. Lucie quitta le cocon maternel pour vivre avec ce divorcé que Félix rencontra. Les deux hommes échangèrent. Manuel, c'était le nom de l'amant de Lucie, n'était pas peu fier de sa conquête, "un canon fantastique au plumard", assurait-il. Félix approuva sans commentaire. Il avait bien travaillé.
Brun de peau et de poil, le corps massif, un physique à la Sergi Lopez, l'acteur espagnol, quand il était jeune, il dégageait une virilité qui plaisait aux femmes sensuelles et effrayait les autres. Maud appartenait à la première catégorie et passait sur le fait qu'elle était loin d'être la première à profiter de la bite de Félix. Elle faisait juste en sorte qu'il n'aille pas l'enfoncer ailleurs, du moins pas trop tôt, et c'est pourquoi elle n'était pas avare de ses coups de reins avec son amant.
Et pourtant, celui-ci reçut un jour une proposition telle qu'il dut s'asseoir pour la digérer.
Pour comprendre, il faut s'attarder sur Lucie, la fille de Maud. Un vrai canon qui avait récupéré les cheveux, les yeux, une bonne partie du visage de sa mère et un sourire craquant en plus d'un corps à tomber à la renverse, digne d'une actrice italienne, seins lourds et bien accrochés, croupe tendue, jambes nerveuses, bref tout pour rendre les mâles dingues de désir.
Or, Lucie avait pour petit ami une espèce d'intello blafard et chevelu aux jambes et aux bras maigres, doctorant en sociologie dont le bagout fascinait la fille de Maud. Celle-ci le détestait mais devait "faire avec" pour ne pas perdre sa fille, toujours hébergée chez elle. Le gars prénommé Gustave ("comme Flaubert", répétait il niaisement) avait dépucelé Lucie un an plus tôt, ce qui avait mis Maud en rage, on va voir plus loin pourquoi. Au moins était elle a priori protégée car Maud la fournissait en préservatifs. Mais elle constata que la boîte se vidait au compte gouttes si on peut dire. Et c'est ainsi que Félix entra en jeu.
" Il faut que tu baises ma fille pour qu'elle sache ce qu''est un vrai mec".
Telle fut la réflexion de Maud qui sidéra Félix. D'ordinaire, c'étaient plutôt des hommes qui s'adressaient à leur maîtresse pour déniaiser leur fils pubère. C'était donc l'inverse, ce qui en disait long dur l'évolution des moeurs, d'autant que Lucie n'était même plus pucelle.
- En fait, tu veux que j'initie ta fille au vrai sexe, c'est ça ? finit-il par exprimer.
- Exactement. Je veux qu'elle sache ce que veut dire "prendre son pied" parce que ça ne risque pas d'arriver avec son godelureau, bien incapable de lui offrir un orgasme. Il suffit de le regarder et de l'écouter. C'est important pour Lucie, pour sa vie sexuelle future, de ne pas être déçue ou rebutée.
- Bon, si tu le dis. Mais n'empêche qu'elle s'est attachée à ce Gustave et je vois pas comment je pourrais l'en défaire pour la sauter.
- Tu te sous-estimes. Ton charme est puissant et elle t'aime bien.
- Peut-être parce que sa mère est heureuse en ma compagnie, ce qui valorise notre union à ses yeux. Tu crois vraiment qu'elle voudrait rompre ça ?
- C'est mon affaire. Laisse-moi un peu de temps.
La conversation en resta provisoirement là. Il est un fait que Lucie plaisait à Félix, comment aurait-il pu en être autrement, mais il préférait les vraies femmes comme Maud, libérées et sans tabous, aux jeunes filles à peine sorties de l'adolescence. Il se demandait même si Lucie était vraiment intéressée par la bite. Elle semblait plus préoccupée par les jeux intellectuels que par les différentes manières de se faire prendre. Il se fit à l'idée que l'initiative de Maud resterait sans lendemain.
******
Pourtant, Maud n'était pas restée inactive. Elle avait engagé plusieurs conversations intimes avec sa fille sur les relations sexuelles. Elle avait eu la confirmation que Lucie n'avait jamais connu l'orgasme avec Gustave et elle s'empressa de préciser qu'avec Félix, "un amant exceptionnel", elle pouvait en connaitre plusieurs dans le même rapport. Lucie en avait rougi, jugeant que sa mère tenait des propos déplacés.
- Et pourquoi donc ? C'est mal pour toi d'aimer faire l'amour ? De jouir du corps de l'homme ? Avec Félix, le sexe est une drogue dure, sauf que cette drogue fait du bien, beaucoup de bien et c'est bon pour la santé contrairement à la drogue. Tant que tu ne l'auras pas essayée, tu ne pourras pas comprendre, avait dit Maud dans un de ces entretiens.
- Et comment veux-tu que j'essaye ? Que je te prenne ton amant ?
- Tu ne me le prendras pas, non, mais que tu couches avec lui au moins une fois, juste pour voir.
Ce fut au tour de Lucie d'être stupéfaite. Elle croyait déstabiliser sa mère et c'est elle qui était déstabilisée. Sa réaction fut cinglante :
- Même pas en rêve. Ta proposition est franchement dégueulasse, pour moi comme pour Gustave et même Félix.
- Alors, tant pis pour toi, tu ne sauras jamais ce qui est bon.
Les échanges furent dès lors plus rares, comme une bouderie. Mais Maud ne renonçait pas. Il arriva qu'elle dut quitter le domicile, où Félix s'était installé, pour un stage éloigné. Lucie devait donc partager l'appartement avec l'amant de sa mère. Celui-ci avait parfaitement compris la stratégie de sa maîtresse mais se garda de toute initiative malencontreuse.
Néanmoins, difficile de cohabiter sans se trouver parfois dans des situations intimes. C'est ainsi que Lucie découvrit le corps nu de Félix en entrant dans la salle de bains non verrouillée et qu'elle croyait vide. Son torse puissant et velu, sa queue pendante et ses fesses dures et bombées ne pouvaient que lui tomber sous les yeux et entrainer une comparaison avec le corps asexué de son boy friend.
- Oh pardon, excuse-moi, souffla-t-elle, les joues écarlates.
- Pas grave, lui répondit Félix, tout sourire.
Mais le trouble de Lucie ne lui avait pas échappé. Il s'attacha dès lors à exposer sa masculinité, n'hésitant pas à se déplacer nu de la salle de bains à la chambre et parfois même à la cuisine. Il frôla même Lucie dans cet appareil, savourant in petto sa confusion manifeste, mais il nota qu'elle ne protestait pas à propos de son comportement. A table au dîner, qu'il préparait lui-même, il se présentait vêtu d'un simple peignoir très ouvert sur son torse velu. Et quand il se levait, Lucie ne pouvait pas ne pas voir ses copieuses parties génitales brièvement exposées.
Félix nota alors dans l'attitude de la jeune fille un changement de comportement à son égard. A l'amabilité de circonstance succédait peu à peu des chatteries, des minauderies, des redressements de buste, des cambrures accusées et même un soir des allusions à ses succès féminins antérieurs à sa vie de couple actuelle. Félix ne cachait pas qu'il "aimait les femmes" et qu'elles le lui rendaient bien, en général, à commencer par sa mère.
- En fait, tu es un vrai clébard ! grinça-t-elle.
- Si être clébard, comme tu le dis, c'est aimer le sexe, aimer jouir et faire jouir, alors oui, je suis un clébard. Et toi, tu n'es pas chienne ?
- Ah non ! Pour moi, l'amour, c'est autre chose que du sexe. C'est du sentiment, de l'admiration.
- Normal, tu es encore jeune. Tu n'as jamais vraiment baisé. Mais tu sais, on peut à la fois faire l'amour et baiser, ça dépend des circonstances.
- Tu baises ma mère ou tu lui fais l'amour ?
- Cela dépend des jours. Parfois on a envie de baiser et parfois de faire l'amour.
- Et ça veut dire quoi, "baiser" ?
- Cela veut dire laisser parler la bête qui est en nous et que tu le veuilles ou non, elle existe aussi chez toi mais tu la refoules. Un jour ou l'autre, elle ressurgira et tu verras, c'est génial.
Lucie resta coite. Cette discussion avait remué ses entrailles. Elle se coucha la tête en feu, se masturba au lit en pensant à la bite pendante de Félix et tenta le lendemain de pousser son copain Gustave, qu'elle visitait chez lui, à la "baiser". Fiasco total. Il banda mou, la traita de "salope" et ils se fâchèrent.
Devant Félix le soir, elle se présentait désormais dans des tenues beaucoup plus suggestives. Sa magnifique poitrine saillait libre sous tes tops légers et sa croupe splendide tendait des mini shorts. Elle écoutait Félix parler le regard trouble et la bouche humide. Il l'avait vue feuilleter "la vie sexuelle de Catherine M", de Catherine Millet, piochée dans la bibliothèque de Maud, et elle en était manifestement émoustillée. Il se demanda néanmoins quel jeu elle jouait. Son expérience lui avait appris à se méfier des jeunes allumeuses et il commençait à se dire que Maud lui avait tendu un piège pour l'éprouver. Il pensait à tous les types dézingués par les féministes ultras. Le problème, c'est qu'il bandait de plus en plus à la voir évoluer au point d'en avoir mal aux couilles. Et quand Maud lui téléphona pour lui demander où il en était avec sa fille, devant son aveu de passivité, elle répondit :
- Dépêche toi, merde ! Je rentre après demain, je te le rappelle.
Il se demandait comment débloquer cette étrange situation quand le soir même, après le dîner où Lucie, pour une raison obscure, lui avait fait la gueule à table, il la perdit de vue, estimant qu'elle était aller bouder dans sa chambre.
Or, elle l'appela de celle de sa mère où Félix couchait aussi. Quand il entra, il fut cloué sur place. Elle était allongée nue sur le lit et se caressait le sexe.
- S'il te plait, Félix, ne me fait plus languir. Je sais que tu as envie de moi, alors baise-moi.
- Mais... ta mère...
- Arrête avec ma mère. Elle veut que tu me baises, non ?
- Mais toi ? Tu en as vraiment envie ?
- Je veux que tu me fasse connaitre l'orgasme. S'il te plait, viens...
La proposition était déroutante. Félix balança un moment. Où cela allait-il le mener ? Mais ce corps splendide si généreusement offert aurait damné un saint. Elle tendit un pied vers sa braguette et pressa.
- Tu bandes. Déshabille-toi, vite.
Il se mit nu et exposa son érection qu'elle taquina encore du pied, un sourire aux lèvres. Elle n'offrait pas vraiment l'image de la contrainte. Elle avait bel et bien envie de baiser. Une boite de préservatifs trônait sur la table de nuit mais il l'ignora. Il fallait la préparer, lui faire connaitre le sexe de A à Z puisque, après tout, tel était son désir, et elle était majeure et vaccinée, la petite Lucie. Sur le lit, il se pencha vers elle et glissa son visage entre ses cuisses ouvertes. Il entreprit un délicieux cunni qui la fit roucouler, sa main sur sa nuque en signe d'adhésion. Ses hanches bougeaient sous l'effet de sa langue et il reçut sur son mufle une abondance de cyprine. Il s'attarda longuement sur son clitoris durci et soudain, elle se raidit et couina. Ce fut son premier orgasme. Il se releva et la dévisagea. Elle lui adressa un regard étonné et un large sourire.
- C'était délicieux. Je crois que j'ai joui.
- Oui, il me semble bien. Mais ça ne fait que commencer. Tu es prête à être pénétrée ?
- Oh oui, je suis en feu. Viens ! Viens !
Sans se presser, il posa une capote sur son gland déjà bien gonflé. Elle était étroite mais il n'aurait pas besoin de gel tant elle était bien lubrifiée. Posée sur les coudes, pointes de seins dressées, elle l'attendait, fébrile. Il entra en elle bras tendus, avec précaution, guettant sur son visage une éventuelle douleur. Elle ouvrit grand la bouche au moment où son mandrin entreprit ses aller-retours. Très vite, il put s'engager totalement et les sexes clapotèrent. Ses jambes verrouillèrent ses reins en action et un rictus déforma son joli visage. Il la ramona longuement, profondément et plus il la ramonait, plus elle bougeait sous lui. Elle lui renvoya même la balle en posant les pieds sur le matelas. Elle relevait parfois la tête pour observer la jonction de leurs sexes, comme pour vérifier la source de son plaisir. Il retrouva une attitude de Maud qui, elle aussi, décollait les fesses du lit pour ne pas paraitre inerte et passive. Lucie baisait, incontestablement. Lorsqu'il la plia en deux, ses jambes au creux de ses bras et allant très loin en elle, elle poussa son premier cri d'extase, un vrai cri de femme baisée. Il la pilonna jusqu'à s'assurer qu'elle avait eu son deuxième orgasme. Il se retira ensuite en se comprimant la queue pour ne pas éjaculer, quelques gouttes de sperme ayant apparu sur son gland. Elle avait bien failli le faire gicler prématurément.
Haletante, bras et jambes écartés sur le lit, elle récupérait de son extase. Puis elle le regarda et l'embrassa sur la bouche, une première, regardant avec ravissement l'érection intacte.
- Tu as toujours envie de moi ! C'est super !
- Suce-moi maintenant.
Elle ne se fit pas prier. Rejetant ses cheveux derrière l'oreille, elle engloutit le gland avec une délectation évidente, joues gonflées, langue agile.
- Tu suces bien. Tu le fais aussi à Gustave ?
-Mmmmhhhh oui mais mmmhhh c'est pas aussi bon.
- Lèche-moi aussi les couilles. Ouille, doucement, ces fragiles ces petites bêtes.
Mais il dut l'arrêter car il sentait son sperme monter à nouveau. Il se savait plus endurant couché et il avait envie de la voir en train de le chevaucher. Mater ses seins, son ventre puis son cul.
Elle s'empala aisément tant elle était humide et se mit à faire rouler sa croupe avec frénésie, les nichons agités, le nombril mouvant, la tête rejetée en arrière. Elle galopait tout droit vers un nouvel orgasme et il le déclencha en décollant les fesses, tel un marteau piqueur à l'envers, alors qu'elle s'était retournée, penchée en avant pour lui montrer son cul en action. Elle poussa un cri rauque en faisant trembler ses fesses. Le fait qu'il ait mis son pouce dans son anus bien ouvert n'était sans doute pas étranger à cette troisième jouissance. Sensible du petit trou, Lucie ? Encore un point commun avec sa mère...
Ils éprouvèrent alors le besoin d'une petite pause. Mais elle poussa un soupir d'admiration en le voyant toujours raide. Son Gustave aurait ramolli depuis longtemps. Ils parlèrent de sexe, elle décrivit ses sensations, la chaleur de son corps, son exaltation, son besoin insatiable de pénétration et elle célébra aussi sa bite en la caressant amoureusement, ce qui le flatta.
- Tu vas encore me la mettre, hein ? J'ai toujours envie.
- Tu la veux comment ?
- N'importe comment pourvu que tu me baises.
- Par derrière alors, on ne l'a pas encore fait.
Lucie s'exécuta, croupe haute, tantôt bras tendus, tantôt aplatis. Félix la positionna de telle manière qu'elle put se voir dans le miroir mural que Maud avait fait poser pour pimenter leurs ébats.
- Regarde-toi baiser. Regarde ma queue comme elle entre et sort, bien dure. Tu la sens bien ?
Lucie ne s'était évidemment jamais vue en train de faire l'amour et n'avait jamais vu la réalité de l'acte, ce pénis qui la fouillait et lui produisait tant de sensations. Son visage tantôt grimaçant, tantôt souriant, l'étonna. Elle imagina brièvement sa mère dans la même situation, en train de se faire pilonner par derrière et se regarder baiser. Mais au lieu de l'inhiber, cette pensée l'exalta. Félix eut la satisfaction de la sentir venir à la rencontre de sa queue. Sa croupe splendide le rendait encore plus dur et chaque coup de queue la faisait couiner. Il osa à nouveau lui mettre le pouce dans son anus bien ouvert, pour voir, tout en limant et sans qu'elle réagisse. Puis il eut une forte envie de fendre ce cul de sa queue, histoire de compléter son éducation érotique.
- J'ai envie de t'enculer, souffla-t-il. Tu es d'accord ou pas ?
- Ok mais ne me fais pas mal, hein ?
Il n'avait pas de gel à disposition. Il la lécha longuement, humecta son anneau rose de salive, prépara du doigt l'introduction et elle l'attendit, cambrée, curieuse et disponible. Il entra lentement et prudemment car il s'agissait de dépuceler ce petit trou. Mais une fois qu'il fut engagé, long et tonique, Lucie réagit comme sa mère, en piaillant et en roulant des hanches, tournant la tête vers lui via le miroir pour lui crier "allez allez encore encore c'est bon c'est bon !" Il n'en attendait pas tant de cet abandon de virginité anale et après qu'elle eut joui une dernière fois, pronostiqua pour les amants futurs de Lucie des visites fondamentales particulièrement satisfaisantes. Au moins, il leur avait bien préparé le terrain. Au bout du bout, il se retira, ôta sa capote et présenta sa queue à la bouche de la jeune fille. Il devait éjaculer dans sa gorge pour atteindre le point ultime et qu'elle avale son sperme. Quand il gicla après qu'elle eut pompé avec ardeur, elle toussa, cracha une partie de la semence mais en avala une bonne quantité et rit de bon coeur en s'essuyant les lèvres.
- Je crois qu'on a fait le tour de la question, non ? questionna-t-elle, mutine.
- Tu as été géniale. Tu seras une partenaire exceptionnelle. Tes amoureux auront bien de la chance.
Elle l'embrassa avant de courir aux toilettes se soulager puis à la douche, le laissant repu et apaisé. Il pourrait rendre compte à Maud de cette expérience avec le sentiment du devoir accompli. Mais il devait, d'ores et déjà, rétablir des distances afin de ne pas mettre son couple en péril. Et donc inciter Lucie à partir en chasse ailleurs.
Quand Maud rentra, elle trouva sa fille changée. Elle était plus détendue, une petite moue satisfaite aux lèvres, une manière de déambuler plus lascive. Elles s'embrassèrent chaleureusement et Lucie lui dit à l'oreille : "merci". Maud avait compris. Sa fille avait vu le loup, le vrai loup, pas le louveteau.
Félix fut plus discret mais il rassura sa maitresse. Si l'initiation, de son point de vue au moins, avait été "réussie", elle serait "sans lendemain". D'ailleurs, il serait moins présent dans son appartement, tant que Lucie y serait hébergée, afin d'éviter toute tentation et toute ambiguïté. Maud apprécia la démarche et lui dit :
- Il faut maintenant espérer qu'elle va larguer ce sociologue à la noix. Et chercher des hommes, des vrais.
- Je vais lui présenter des potes et dans le lot, il y en aura bien un qui lui plaira, répondit Félix.
Quelque temps plus tard, Lucie s'annonça au domicile de sa mère avec un quadragénaire aux cheveux prématurément gris, que Maud connaissait comme client. Que ce type ait son âge la gêna aux entournures mais Lucie semblait très amoureuse, alors... Après tout, c'est ce qu'elle avait voulu. Lucie quitta le cocon maternel pour vivre avec ce divorcé que Félix rencontra. Les deux hommes échangèrent. Manuel, c'était le nom de l'amant de Lucie, n'était pas peu fier de sa conquête, "un canon fantastique au plumard", assurait-il. Félix approuva sans commentaire. Il avait bien travaillé.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Micky,
Merci pour ce nouveau texte torride à souhait dont seule vous, en avez le secret.
Didier
Merci pour ce nouveau texte torride à souhait dont seule vous, en avez le secret.
Didier
Une mère :-)
Excellent! Voilà une père soucieuse de l'éducation de sa fille et ça va jusqu'à la découverte du plaisir!