Lucie, obéis. (épisode 1)
Récit érotique écrit par Unexpected_master [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lucie, obéis. (épisode 1)
Elle s'appelait Lucie.
Elle habitait dans un appartement d'une cinquantaine de m² en ville, dans un immeuble vieux de plusieurs siècles, au cœur d'un quartier jalonné d'immeubles comme le sien.
Lucie était en couple depuis 18 mois avec Tom, un jeune homme qu'elle aimait, avec qui elle envisageait le meilleur.
Lucie et Tom n'habitait pas encore ensemble, mais cela ne les empêchaient pas d'avoir des projets, et notamment celui d’emménager dans une maison à la campagne avec un chien, puis un enfant, puis un tracteur tondeuse pour qu'au printemps ça sente bon l'herbe fraîchement coupée.
Au lit, Tom et Lucie s'entendaient bien. Ils se respectaient, s'apportaient de la tendresse, de la passion aussi, de la passion oui. Mais pas assez. Lucie prenait souvent l'initiative. Elle adorait ça, mais elle pensait souvent à ce que Tom pourrait faire s'il osait. Elle pourrait alors se confier à ses soins et ressentir la félicité que l'un des amants vit lorsqu'il s'abandonne.
Tom était d'un naturel jaloux et craintif en amour. Il possédait une force incroyable et un optimisme à toute épreuve mais son âme de romantique faisait de lui un homme trop « prude » pour Lucie, qui, du haut de ses 22 ans, pétillait de découvrir la vie et ses aventures. Cela ne l'empêchait pas d'être fidèle, bien au contraire ; elle se contentait simplement d'imaginer que sa vie sexuelle évoluerait avec le temps vers un monde plein d'audace et de mystère.
Elle ne se trompait pas.
Lucie était socialement épanouie, de par son travail tout d'abord, puisqu'elle travaillait dans une grande société où des dizaines de collègues prenaient la peine de la saluer tous les matins, mais aussi par ses loisirs et ses sorties qui avaient tissé au fil des années de solides amitiés.
Sam était de celles-ci.
Sam était métisse, très jolie, bien sûr avec sa taille fine, sa cambrure naturelle, ses seins pointus et ses fesses hautes et rondes. Elle n'avait pas de mal à trouver d'amants, même si finalement, elle passait le plus clair de son temps célibataire.
Lucie était plutôt du genre délurée, elle avait un tatouage dans le dos et un autre sur le bas du ventre. Un de ces tétons était percé, ce qui lui valut d'ailleurs sa première expérience lesbienne.
Le mois de novembre s'étirait doucement vers l'hiver, les passants sortaient moins, les jours coulaient vite, dans la torpeur ambiante. Lucie et Sam s'était retrouvées chez Lucie un dimanche vaporeux, suite d'un samedi soir un peu trop mouvementé. Elles avaient passé une partie de l'après-midi à papillonner doucement d'un film pour ados à un déballage de fringue, puis d'une séance de magazine jusqu'à un petit tour sur le web et son shopping virtuel.
Jusqu'à ce que Sam fasse remarquer à Lucie qu'à travers son haut blanc elle pouvait discerner son téton percé. Elle lui demanda ensuite si cela ne la gênait pas d'en parler.
« Non » avait répondu Lucie le plus naturellement du monde, ça ne la gênait pas. Ça ne l’embarrassait pas non plus de le montrer. Et Sam avait dû cacher son émoi lorsque Lucie avait levé simplement son haut et dévoilé ses seins, dont celui au téton percé.
Sam s'était approché, suivant l'invitation de Lucie, puis avait observé avec attention le petit bout de métal qui traversait de part en part le téton épais de son amie.
Lucie ne disait rien, elle souriait avec simplicité, et proposa même à Sam de toucher, chose que celle-ci refusa. Dans un premier temps.
Las de devoir maintenir son haut levé au dessus de ses seins, Lucie décida naturellement de se dévêtir. Sam masqua une fois de plus son émoi, mais ne put s'empêcher d'observer les seins de Lucie, plus lourds et plus ronds que les siens.
Allez, touche, vas-y, l'enjoint Lucie en souriant, ne t'en fais pas, je ne vais pas te violer.
Sam sourit, embarrassée, puis effleura du bout des doigt le sein orné d'une petite tige. Lucie tressaillit, son amie sursauta.
Tu as la main froide !
Excuse moi, répondit Sam en riant de soulagement avant de reculer de quelques centimètres.
A toi maintenant.
Le visage de Sam se fendit d'un sourire, plus par surprise ou gêne que par gaieté.
Tu as vu mes seins, fais moi voir les tiens Sam.
Pardon ? Evita la jeune métisse, arrête Lucie ! Tu es une vraie obsédée !
Les deux jeunes femmes rirent, puis Lucie jeta un regard troublant à son amie. Ce faisant, elle s'approcha et saisit la main droite de Sam, qu'elle déposa sur son sein. Celle-ci s'apprêtait à réagir, mais Lucie plaqua sa main sur la sienne, et adressa un bref sourire.
Le regard qui suivit était nettement plus déterminé, nettement plus clair. Sa respiration accélérait, son énergie transcendait l'air ambiant, l'énergie de l'interdit.
Lucie guida la main de Sam sur son sein, l'invita à le palper, le masser, à en pincer le téton, mouvement auquel elle réagit en plissant les yeux et en libérant un râle de plaisir.
Sam gardait son air pétrifié, mais sa main se mit lentement à bouger librement, comme si le rythme que Lucie lui avait imprimé s'était emparé d'elle.
A toi maintenant, répéta Lucie, montre moi tes petits seins pointus.
Sam hésitait, mais son corps, lui, avait déjà prit une décision. Il se tendait, lui transmettait de brefs appels, sourds, le long de sa colonne, dans ses tétons et son bas ventre. Suffisamment pour qu'elle s'abandonne à son envie d'être vue, d'être nue, là, au milieu de cet appartement qui n'était pas le sien, en face de ces immeubles qu'elle ne connaissait pas.
Les seins de la métisse furent libérés de leur prison lorsque le soutien gorge se dégrafa. Lucie sourit, observa un moment, puis se pencha vers l'avant – elle était à genoux – pour saisir entre ses lèvres un des tétons bruns qui la narguait si haut perché sur cette poitrine à la fraîcheur juvénile...
Novembre passa à décembre, la vie continuait dans les rails du quotidien. Jusqu'à ce samedi matin où Lucie découvrit cette enveloppe. Elle remontait les escaliers en s'interrogeant sur l'origine du pli, qui ne comportait ni destinataire, ni expéditeur.
Il n'y avait rien dedans, si ce n'était un plan curieux.
Le plan représentait une vingtaine de rectangles alignés par 5 ou 6, au cœur d'un vaste rectangle surmonté d'un triangle. En dessous on pouvait lire 4X3.
Lucie ne comprenait pas ce que cela désignait, et encore moins d'où cela pouvait venir. Savoir que la lettre avait été déposée là était déjà bien assez effrayant pour qu'en plus on y trouve un plan complètement fou.
Bon sang ! Qu'est-ce que cela pouvait bien être ?!
Lucie tourna dans son appartement, leva les yeux au ciel, comme pour mieux penser. Refusa la plupart des hypothèses qui traversaient son esprit, blague de Tom ? Erreur de la poste ? Publicité pour une secte ? Collègue mal intentionné ?
Et puis la vérité apparut sous ses yeux, violemment, avec la force d'une gifle.
Dans l'immeuble d'en face, au quatrième étage, appartement du milieu, une grande télé diffusait un film amateur dans lequel Lucie se reconnut immédiatement. Son corps se figea, son cœur paniqua... c'était elle, ce jour avec Sam.
Elle habitait dans un appartement d'une cinquantaine de m² en ville, dans un immeuble vieux de plusieurs siècles, au cœur d'un quartier jalonné d'immeubles comme le sien.
Lucie était en couple depuis 18 mois avec Tom, un jeune homme qu'elle aimait, avec qui elle envisageait le meilleur.
Lucie et Tom n'habitait pas encore ensemble, mais cela ne les empêchaient pas d'avoir des projets, et notamment celui d’emménager dans une maison à la campagne avec un chien, puis un enfant, puis un tracteur tondeuse pour qu'au printemps ça sente bon l'herbe fraîchement coupée.
Au lit, Tom et Lucie s'entendaient bien. Ils se respectaient, s'apportaient de la tendresse, de la passion aussi, de la passion oui. Mais pas assez. Lucie prenait souvent l'initiative. Elle adorait ça, mais elle pensait souvent à ce que Tom pourrait faire s'il osait. Elle pourrait alors se confier à ses soins et ressentir la félicité que l'un des amants vit lorsqu'il s'abandonne.
Tom était d'un naturel jaloux et craintif en amour. Il possédait une force incroyable et un optimisme à toute épreuve mais son âme de romantique faisait de lui un homme trop « prude » pour Lucie, qui, du haut de ses 22 ans, pétillait de découvrir la vie et ses aventures. Cela ne l'empêchait pas d'être fidèle, bien au contraire ; elle se contentait simplement d'imaginer que sa vie sexuelle évoluerait avec le temps vers un monde plein d'audace et de mystère.
Elle ne se trompait pas.
Lucie était socialement épanouie, de par son travail tout d'abord, puisqu'elle travaillait dans une grande société où des dizaines de collègues prenaient la peine de la saluer tous les matins, mais aussi par ses loisirs et ses sorties qui avaient tissé au fil des années de solides amitiés.
Sam était de celles-ci.
Sam était métisse, très jolie, bien sûr avec sa taille fine, sa cambrure naturelle, ses seins pointus et ses fesses hautes et rondes. Elle n'avait pas de mal à trouver d'amants, même si finalement, elle passait le plus clair de son temps célibataire.
Lucie était plutôt du genre délurée, elle avait un tatouage dans le dos et un autre sur le bas du ventre. Un de ces tétons était percé, ce qui lui valut d'ailleurs sa première expérience lesbienne.
Le mois de novembre s'étirait doucement vers l'hiver, les passants sortaient moins, les jours coulaient vite, dans la torpeur ambiante. Lucie et Sam s'était retrouvées chez Lucie un dimanche vaporeux, suite d'un samedi soir un peu trop mouvementé. Elles avaient passé une partie de l'après-midi à papillonner doucement d'un film pour ados à un déballage de fringue, puis d'une séance de magazine jusqu'à un petit tour sur le web et son shopping virtuel.
Jusqu'à ce que Sam fasse remarquer à Lucie qu'à travers son haut blanc elle pouvait discerner son téton percé. Elle lui demanda ensuite si cela ne la gênait pas d'en parler.
« Non » avait répondu Lucie le plus naturellement du monde, ça ne la gênait pas. Ça ne l’embarrassait pas non plus de le montrer. Et Sam avait dû cacher son émoi lorsque Lucie avait levé simplement son haut et dévoilé ses seins, dont celui au téton percé.
Sam s'était approché, suivant l'invitation de Lucie, puis avait observé avec attention le petit bout de métal qui traversait de part en part le téton épais de son amie.
Lucie ne disait rien, elle souriait avec simplicité, et proposa même à Sam de toucher, chose que celle-ci refusa. Dans un premier temps.
Las de devoir maintenir son haut levé au dessus de ses seins, Lucie décida naturellement de se dévêtir. Sam masqua une fois de plus son émoi, mais ne put s'empêcher d'observer les seins de Lucie, plus lourds et plus ronds que les siens.
Allez, touche, vas-y, l'enjoint Lucie en souriant, ne t'en fais pas, je ne vais pas te violer.
Sam sourit, embarrassée, puis effleura du bout des doigt le sein orné d'une petite tige. Lucie tressaillit, son amie sursauta.
Tu as la main froide !
Excuse moi, répondit Sam en riant de soulagement avant de reculer de quelques centimètres.
A toi maintenant.
Le visage de Sam se fendit d'un sourire, plus par surprise ou gêne que par gaieté.
Tu as vu mes seins, fais moi voir les tiens Sam.
Pardon ? Evita la jeune métisse, arrête Lucie ! Tu es une vraie obsédée !
Les deux jeunes femmes rirent, puis Lucie jeta un regard troublant à son amie. Ce faisant, elle s'approcha et saisit la main droite de Sam, qu'elle déposa sur son sein. Celle-ci s'apprêtait à réagir, mais Lucie plaqua sa main sur la sienne, et adressa un bref sourire.
Le regard qui suivit était nettement plus déterminé, nettement plus clair. Sa respiration accélérait, son énergie transcendait l'air ambiant, l'énergie de l'interdit.
Lucie guida la main de Sam sur son sein, l'invita à le palper, le masser, à en pincer le téton, mouvement auquel elle réagit en plissant les yeux et en libérant un râle de plaisir.
Sam gardait son air pétrifié, mais sa main se mit lentement à bouger librement, comme si le rythme que Lucie lui avait imprimé s'était emparé d'elle.
A toi maintenant, répéta Lucie, montre moi tes petits seins pointus.
Sam hésitait, mais son corps, lui, avait déjà prit une décision. Il se tendait, lui transmettait de brefs appels, sourds, le long de sa colonne, dans ses tétons et son bas ventre. Suffisamment pour qu'elle s'abandonne à son envie d'être vue, d'être nue, là, au milieu de cet appartement qui n'était pas le sien, en face de ces immeubles qu'elle ne connaissait pas.
Les seins de la métisse furent libérés de leur prison lorsque le soutien gorge se dégrafa. Lucie sourit, observa un moment, puis se pencha vers l'avant – elle était à genoux – pour saisir entre ses lèvres un des tétons bruns qui la narguait si haut perché sur cette poitrine à la fraîcheur juvénile...
Novembre passa à décembre, la vie continuait dans les rails du quotidien. Jusqu'à ce samedi matin où Lucie découvrit cette enveloppe. Elle remontait les escaliers en s'interrogeant sur l'origine du pli, qui ne comportait ni destinataire, ni expéditeur.
Il n'y avait rien dedans, si ce n'était un plan curieux.
Le plan représentait une vingtaine de rectangles alignés par 5 ou 6, au cœur d'un vaste rectangle surmonté d'un triangle. En dessous on pouvait lire 4X3.
Lucie ne comprenait pas ce que cela désignait, et encore moins d'où cela pouvait venir. Savoir que la lettre avait été déposée là était déjà bien assez effrayant pour qu'en plus on y trouve un plan complètement fou.
Bon sang ! Qu'est-ce que cela pouvait bien être ?!
Lucie tourna dans son appartement, leva les yeux au ciel, comme pour mieux penser. Refusa la plupart des hypothèses qui traversaient son esprit, blague de Tom ? Erreur de la poste ? Publicité pour une secte ? Collègue mal intentionné ?
Et puis la vérité apparut sous ses yeux, violemment, avec la force d'une gifle.
Dans l'immeuble d'en face, au quatrième étage, appartement du milieu, une grande télé diffusait un film amateur dans lequel Lucie se reconnut immédiatement. Son corps se figea, son cœur paniqua... c'était elle, ce jour avec Sam.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Humm, ça commence bien, je vais lire la suite