Lucie, salope à domicile - Ep. 3
Récit érotique écrit par Chienne assumée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lucie, salope à domicile - Ep. 3
Sur le dernier ordre de mon maître, je me dirigeai donc vers la salle de bain, toujours à quatre pattes. Une fois la porte refermée, je me levais et m'observais dans le miroir. J'étais une vraie traînée, c'était indéniable... Mais quel plaisir, finalement !
Je me douchais donc rapidement, laissant couler l'eau sur mon corps encore tremblant de plaisir.
Ensuite, j'épongeais légèrement mes jambes et mon ventre, mais après avoir remis mon chemisier et ma jupe, mon corps était visible presque aussi bien que si je ne portais rien... Mais tels étaient les ordres. Je remettais mes talons puis me remaquillais. Il avait pensé à tout. Jusqu'où avait-il prévu la chose ? J'étais anxieuse... Derniers arrangements dans mes cheveux et je partais avec l'argent qu'il avait laissé sur le lavabo. J'avais presque oublié ce qu'ils m'avaient demandé tellement l'idée de sortir dans la rue dans cet état m'horrifiait... Heureusement, je ne risquais pas de me perdre, je n'ose imaginer demander mon chemin dans un tel accoutrement...
Je me suis présentée de nouveau à mes maîtres. Arnaud me demanda d'approcher d'un geste vif de la main. Il me dit que je ne méritais même pas un plug tellement j'étais une salope. Je ne me ferai "choper" comme il disait que par leurs engins. Il me donna un petit coup sur les fesses et m'indiqua la porte. L'immeuble était désert, mais la rue en revanche était bondée... J'arrivai rapidement devant la boutique en question, et en ressortais aussi vite avec ce que je devais y prendre, sous le regard pervers de tous les hommes de la boutique. Lorsque je repartis, j'entendis plus d'une mère en train de détourner le regard curieux de leurs enfants, mais je sentis aussi une main inopportune sur mes fesses. Je tournais la tête, surprise, et me retrouvai nez à nez avec un homme d'une trentaine d'années. Je m'étais arrêtée soudainement. Il m'embrassa d'un coup, sans prévenir.
Instinctivement, je lui rendis le baiser. Puis, il repartit, comme si rien ne s'était passé. J'étais troublée. Complètement déboussolée... Mais je n'avais pas le temps, mes maîtres attendaient.
Je toquais à la porte de ceux-ci, encore perturbée par cette escapade pour le moins inattendue. Ce fut Arnaud qui m'ouvrit. "Tu as oublié les règles, sale chienne ? A quatre pattes. Et donne moi ça." me dit-il d'une voix on ne peut plus méprisante. Je retournais donc voir nos invités, à quatre pattes mais toujours habillée. Ils me regardèrent longuement alors que je gardais les yeux rivés sur le sol, car une soumise ne soutient pas le regard de ses maîtres. Ainsi, j'attendais les ordres.
Arnaud revint dans la pièce et me lança un paquet au sol. Je devais enfiler ce qu'il y avait dedans, ça ne faisait aucun doute. Qu'est-ce qui était à l'intérieur ? C'était des oreilles de chat et un ensemble de lingerie noire. Je l'enfilais rapidement et observais le résultat, en profitant pour m'arranger au mieux. Je retournais donc dans le salon dans la tenue exigée, exhibant mon 95 C à ces messieurs et le reste de mes formes.
Arnaud se leva et retira directement son bermuda en disant : "Voilà qui est mieux. Maintenant, miaule pour nous, petite chatte. Montre nous que tu as envie de foutre.". Pendant que les deux autres se levaient, je miaulais en me promenant dans la pièce, tentant parfois d'atteindre le sexe d'Arnaud du bout de la langue, qui m'en empêchait en se décalant quand cela était nécessaire. L'un des deux autres m'ordonna de m'arrêter et de ne plus bouger jusqu'à nouvel ordre. Ils s'approchèrent tous les trois, le sexe à l'air, bien dur. Je compris alors le jeu. Je devais montrer à quel point j'avais envie de ces bites en les léchant dés que c'était possible. Le jeu dura longtemps, je passais ma langue sur le bout de leurs glands sans jamais pouvoir les sucer entièrement. J'aimais cette sensation, mais j'en voulais plus. J'avançais vers eux, sans en avoir reçu l'ordre pour pouvoir accomplir mon devoir de chienne. Aucune sanction, j'en jugeais que l'initiative était appréciée. J'y mettais tout ce que je pouvais, je suçais comme jamais je ne l'avais fait, un sexe après l'autre, sans perdre une seconde, reprenant à peine ma respiration, laissant la bave couler le long de mon corps chaud. J'insistais sur Arnaud. Ma langue passait sur l'intégralité de son sexe, une fois, deux fois, trois fois... puis je recommençais à aspirer sa bite comme une forcenée. Il se laissait aller, j'avais l'affaire bien en main. Pendant ce temps, les deux autres attendaient mais se faisaient de plus en plus demandeurs... Il était temps de changer de personne. J'allais rattraper le temps qu'ils avaient attendus. Ils m'entrainèrent sur le sofa. Je m'y allongeais sur le dos, et serrai mes seins sur le sexe du premier, pendant que l'autre utilisait, car il n'y a pas d'autre mot, ma bouche. Je sentais les accoues entre mes seins, sa main sur mon clito qui passait maintenant à mon trou détrempé. J'avais la bouche remplie, et pourtant j'avais envie d'hurler tant le plaisir était grand. Ils se dégagèrent, je me remis à quatre patte et recommençait à sucer Arnaud. Pas un instant de répit. Pas dix secondes avant de sentir un sexe dans mes deux trous, l'un après l'autre.
Je retirais le sexe de Arnaud pour hurler aussi si fort que mon plaisir était grand. Je laissais tomber ma tête sur le sol, gémissant encore et encore sur leurs accoues. Arnaud me tira par les cheveux et me présenta son sexe. Je le léchai comme je pouvais, à savoir assez mal.
Il me releva, pour la première fois. L'un des deux autres s'était assis sur le sofa. J'allais rapidement sur lui pour m'empaler sur ce sexe. Les va et vient furent intenses, mes seins virevoltaient à chaque accoues, jusqu'à ce que je cesse sur ordre d'Arnaud. Il m'embrassa longuement alors que je sentais deux puis trois doigts dans mon sexe. Arnaud passa ensuite sa main sur mes seins, pinçant mes tétons.
Je voyais la lingerie qu'il m'avait ordonné de porter au sol, déchirés. Je n'ai même pas fait attention au moment où ces messieurs me les ont enlevé... Mais pas le temps de réfléchir, mes maîtres allaient m'offrir ce sperme que j'attendais tant... Une seconde fois. J'attendais encore sagement, comme la première fois, avec le même appétit. Et comme la première fois, j'en étais couverte, et le dernier orgasme eut lieu dans ma bouche, directement. Ce liquide chaud m'était si agréable... Je n'en perdais pas une goutte, nettoyant même le sexe de chacun.
C'est ainsi que cette histoire s'achève.... J'en garde comme vous vous en doutez un très agréable souvenir, et j'espère que vous aurez apprécié ce récit. N'hésitez pas à me donner des conseils ou à me corriger !
Je me douchais donc rapidement, laissant couler l'eau sur mon corps encore tremblant de plaisir.
Ensuite, j'épongeais légèrement mes jambes et mon ventre, mais après avoir remis mon chemisier et ma jupe, mon corps était visible presque aussi bien que si je ne portais rien... Mais tels étaient les ordres. Je remettais mes talons puis me remaquillais. Il avait pensé à tout. Jusqu'où avait-il prévu la chose ? J'étais anxieuse... Derniers arrangements dans mes cheveux et je partais avec l'argent qu'il avait laissé sur le lavabo. J'avais presque oublié ce qu'ils m'avaient demandé tellement l'idée de sortir dans la rue dans cet état m'horrifiait... Heureusement, je ne risquais pas de me perdre, je n'ose imaginer demander mon chemin dans un tel accoutrement...
Je me suis présentée de nouveau à mes maîtres. Arnaud me demanda d'approcher d'un geste vif de la main. Il me dit que je ne méritais même pas un plug tellement j'étais une salope. Je ne me ferai "choper" comme il disait que par leurs engins. Il me donna un petit coup sur les fesses et m'indiqua la porte. L'immeuble était désert, mais la rue en revanche était bondée... J'arrivai rapidement devant la boutique en question, et en ressortais aussi vite avec ce que je devais y prendre, sous le regard pervers de tous les hommes de la boutique. Lorsque je repartis, j'entendis plus d'une mère en train de détourner le regard curieux de leurs enfants, mais je sentis aussi une main inopportune sur mes fesses. Je tournais la tête, surprise, et me retrouvai nez à nez avec un homme d'une trentaine d'années. Je m'étais arrêtée soudainement. Il m'embrassa d'un coup, sans prévenir.
Instinctivement, je lui rendis le baiser. Puis, il repartit, comme si rien ne s'était passé. J'étais troublée. Complètement déboussolée... Mais je n'avais pas le temps, mes maîtres attendaient.
Je toquais à la porte de ceux-ci, encore perturbée par cette escapade pour le moins inattendue. Ce fut Arnaud qui m'ouvrit. "Tu as oublié les règles, sale chienne ? A quatre pattes. Et donne moi ça." me dit-il d'une voix on ne peut plus méprisante. Je retournais donc voir nos invités, à quatre pattes mais toujours habillée. Ils me regardèrent longuement alors que je gardais les yeux rivés sur le sol, car une soumise ne soutient pas le regard de ses maîtres. Ainsi, j'attendais les ordres.
Arnaud revint dans la pièce et me lança un paquet au sol. Je devais enfiler ce qu'il y avait dedans, ça ne faisait aucun doute. Qu'est-ce qui était à l'intérieur ? C'était des oreilles de chat et un ensemble de lingerie noire. Je l'enfilais rapidement et observais le résultat, en profitant pour m'arranger au mieux. Je retournais donc dans le salon dans la tenue exigée, exhibant mon 95 C à ces messieurs et le reste de mes formes.
Arnaud se leva et retira directement son bermuda en disant : "Voilà qui est mieux. Maintenant, miaule pour nous, petite chatte. Montre nous que tu as envie de foutre.". Pendant que les deux autres se levaient, je miaulais en me promenant dans la pièce, tentant parfois d'atteindre le sexe d'Arnaud du bout de la langue, qui m'en empêchait en se décalant quand cela était nécessaire. L'un des deux autres m'ordonna de m'arrêter et de ne plus bouger jusqu'à nouvel ordre. Ils s'approchèrent tous les trois, le sexe à l'air, bien dur. Je compris alors le jeu. Je devais montrer à quel point j'avais envie de ces bites en les léchant dés que c'était possible. Le jeu dura longtemps, je passais ma langue sur le bout de leurs glands sans jamais pouvoir les sucer entièrement. J'aimais cette sensation, mais j'en voulais plus. J'avançais vers eux, sans en avoir reçu l'ordre pour pouvoir accomplir mon devoir de chienne. Aucune sanction, j'en jugeais que l'initiative était appréciée. J'y mettais tout ce que je pouvais, je suçais comme jamais je ne l'avais fait, un sexe après l'autre, sans perdre une seconde, reprenant à peine ma respiration, laissant la bave couler le long de mon corps chaud. J'insistais sur Arnaud. Ma langue passait sur l'intégralité de son sexe, une fois, deux fois, trois fois... puis je recommençais à aspirer sa bite comme une forcenée. Il se laissait aller, j'avais l'affaire bien en main. Pendant ce temps, les deux autres attendaient mais se faisaient de plus en plus demandeurs... Il était temps de changer de personne. J'allais rattraper le temps qu'ils avaient attendus. Ils m'entrainèrent sur le sofa. Je m'y allongeais sur le dos, et serrai mes seins sur le sexe du premier, pendant que l'autre utilisait, car il n'y a pas d'autre mot, ma bouche. Je sentais les accoues entre mes seins, sa main sur mon clito qui passait maintenant à mon trou détrempé. J'avais la bouche remplie, et pourtant j'avais envie d'hurler tant le plaisir était grand. Ils se dégagèrent, je me remis à quatre patte et recommençait à sucer Arnaud. Pas un instant de répit. Pas dix secondes avant de sentir un sexe dans mes deux trous, l'un après l'autre.
Je retirais le sexe de Arnaud pour hurler aussi si fort que mon plaisir était grand. Je laissais tomber ma tête sur le sol, gémissant encore et encore sur leurs accoues. Arnaud me tira par les cheveux et me présenta son sexe. Je le léchai comme je pouvais, à savoir assez mal.
Il me releva, pour la première fois. L'un des deux autres s'était assis sur le sofa. J'allais rapidement sur lui pour m'empaler sur ce sexe. Les va et vient furent intenses, mes seins virevoltaient à chaque accoues, jusqu'à ce que je cesse sur ordre d'Arnaud. Il m'embrassa longuement alors que je sentais deux puis trois doigts dans mon sexe. Arnaud passa ensuite sa main sur mes seins, pinçant mes tétons.
Je voyais la lingerie qu'il m'avait ordonné de porter au sol, déchirés. Je n'ai même pas fait attention au moment où ces messieurs me les ont enlevé... Mais pas le temps de réfléchir, mes maîtres allaient m'offrir ce sperme que j'attendais tant... Une seconde fois. J'attendais encore sagement, comme la première fois, avec le même appétit. Et comme la première fois, j'en étais couverte, et le dernier orgasme eut lieu dans ma bouche, directement. Ce liquide chaud m'était si agréable... Je n'en perdais pas une goutte, nettoyant même le sexe de chacun.
C'est ainsi que cette histoire s'achève.... J'en garde comme vous vous en doutez un très agréable souvenir, et j'espère que vous aurez apprécié ce récit. N'hésitez pas à me donner des conseils ou à me corriger !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bjr
tres jolie histoir,mes nous regrtons qu'il n'y est pas eu plus d'humiliation et de prise
de photos
baisser a toi coquine de LAURENCE et WILY
tres jolie histoir,mes nous regrtons qu'il n'y est pas eu plus d'humiliation et de prise
de photos
baisser a toi coquine de LAURENCE et WILY