Lucile découvre l'amour entre femmes.
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lucile découvre l'amour entre femmes.
Lucile découvre l'amour entre femmes.
Après la journée magistrale que mon homme Franck m'a permis de vivre avec Enzo. Notre couple connaît des jours de bonheur et d'épanouissement sexuel accru. (Lire le fantasme d'Élodie)
Un soir, pendant un dîner, je reçois un coup de téléphone de mon amie Élodie.
Elle me demande si vendredi, je suis toujours d'accord pour notre repas mensuel au restaurant.
Élodie me prévient que les deux autres filles du groupe ne seront pas disponibles de manière exceptionnelle.
Elles ont une réunion de dernières minutes au sein de la même entreprise.
Je lui réponds que je suis partante et Élodie me propose de venir directement chez elle prendre un apéritif dînatoire, car son compagnon est absent pendant une semaine dans le cadre d'une formation professionnelle. Il part une semaine par mois durant un trimestre.
On sera plus libre pour parler, me dit-elle.
Je lui dis. J'emmène une pizza et une bouteille de champagne.
Moi, je prépare des petits fours me dit elle.
À vendredi. J'ai hâte de découvrir ton aventure.
Élodie est une femme de mon âge, soit 35 ans.
C’est une très jolie rousse.
C'est le genre de femme qui ressemble un peu à Mylène Farmer.
Elle vit en couple depuis 13 ans avec Anthony, que je ne connais pas beaucoup.
Ils n'ont pas d'enfants.
Le vendredi soir suivant, j'arrive chez ma copine. Il fait encore chaud.
C’est le début du mois de septembre.
Je sonne, elle m'ouvre la porte et je la découvre en robe virevoltante, assez courte et avec un joli décolleté.
Eh bien, lui dis-je, quand le chat n'est pas là, les souris dansent, ou plutôt la souris danse.
Après un large sourire partagé, bonsoir Lucile, tu vas bien ?
Rentre, installe-toi sur le divan. J'ai installé l'apéro sur la petite table, c'est plus confortable et à la bonne hauteur.
On s'assoit côte à côte et l'on commence à discuter des copines qui ne peuvent pas venir.
Très rapidement, Élodie me supplie de lui raconter mon aventure d'une journée avec Enzo.
La conversation a duré au moins une heure, car elle me demande des détails supplémentaires sur ma relation amoureuse avec ce jeune homme.
Je lui ai parlé de tout, notamment de la grande douceur d'Enzo, de son savoir-faire concernant la pénétration de son pénis dans mon petit trou, sa faculté de me faire couler comme une fontaine ainsi que de mon orgasme profond, presque bestial au bout de la deuxième pénétration.
Au fur et à mesure de mon histoire, je constate que ma voisine croise et décroise de plus en plus ses belles jambes.
L'alcool aidant, je sens une certaine excitation chez Élodie au fur et mesure de mon récit.
« Et Franck était là ? » Me dit-elle.
Je lui réponds, bien sûr.
La deuxième fois qu'Enzo m'a prise, Franck n'était pas dans la même pièce pour nous laisser le champ libre.
Il a tout vu, mais il n'a pas voulu participer à nos cabrioles.
Tu sais, tu as vraiment de la chance d'avoir un compagnon comme Franck.
Le mien est complètement l'inverse.
Il est jaloux de tout. En plus, question douceur, ce n'est pas sa tasse de thé.
Figure-toi qu’il n'apprécie pas nos repas au restaurant que l'on fait toutes les quatre.
Et toi, Élodie, as-tu des envies de faire l'amour avec un autre homme ou une femme ?
Tu avais eu une aventure avec une fille, il y a une dizaine d'années.
Oui, me dit-elle, j'étais jeune à cette époque, mais je m'en souviens très bien.
Rien que d'y penser, j'ai encore des papillons dans le ventre.
Et dans ton couple, sexuellement, cela se passe comment ?
Ce n'est pas terrible, une fois par mois, pas plus et toujours à la missionnaire pendant dix minutes, un baiser. Il se retourne et dodo, et toujours avec la délicatesse d’un bourrin.
Alors, pourquoi tu ne vas pas voir ailleurs ?
Essaye de draguer une fille ou un homme, pourquoi pas ?
J'ai eu cette idée à plusieurs reprises.
J'aime les deux, me dit-elle. L'unique expérience que j'ai eue avec cette femme plus âgée que moi, m'a laissée sur ma faim.
Comment veux-tu que je m'y prenne ?
Ce n'est pas facile, ni avec un homme et encore moins avec une femme.
Il faut sortir pour ça et comme il est toujours avec moi, ce n'est pas possible.
Et si tu trouvais un couple qui accepte le partage, tu pourrais te satisfaire de l'un et de l'autre.
C'est ça, me dit-elle, et on me retrouvera morte, violée dans un coin.
Non, j'ai trop peur.
Je m'approche d'Élodie et lui prends les deux mains dans les miennes et la regarde droit dans les yeux.
Je pense avoir trouvé une solution.
Je connais un couple de confiance capable de remplir cette convoitise avec délicatesse et discrétion.
Lui s'appelle Franck et la fille se nomme Lucile.
Elle me regarde sidérer, mais ce n’est pas possible.
On se connaît trop.
Et puis avec Franck ! Cela n'est pas envisageable.
Pourquoi, on se connaît intimement, je pense que c'est plus facile. Et puis-je ne te l'ai jamais dit, mais tu ne me laisses pas indifférente.
Tu es très belle et souvent, j'ai eu très envie de te proposer de faire un câlin, mais je me suis retenue.
Tu as des fesses magnifiques et elles me donnent envie de te les croquer.
Lève-toi et arrive ici, devant moi.
Ne dis rien et laisse-toi faire.
Ferme les yeux.
Élodie se positionne devant moi les yeux fermés.
Je reste assise sur le divan.
En prenant mon temps, je positionne mes mains de chaque côté de ses jambes au niveau des chevilles.
Comme Élodie ne se rebiffe pas, mes mains remontent progressivement, très lentement, sous sa jupe et se posent sur ses fesses, par-dessus sa culotte.
Je lui pétris langoureusement ses deux magnifiques globes que j'écarte et referme en cadence. Je remarque que la bouche de mon amie s'entrouvre.
Je retire mes mains et les pose à nouveau sur ses chevilles, mais cette fois-ci sur une seule jambe.
Je recommence mon scénario.
Mes mains remontent doucement le long de la jambe et cette fois-ci, Élodie resserre les cuisses au fur et à mesure que mes doigts se rapprochent de son petit puits, que je présume onctueux et humide.
« Ne résiste pas, laisse-toi aller. Tu en meurs d'envie et moi aussi, » lui dis-je.
Je commence à sentir ses cuisses s'entrouvrir, je continue ma lente progression.
Le tranchant supérieur de ma main qui effleure l'intérieur de ses cuisses arrive au contact de la fine barrière de tissus qui le sépare de son objectif.
Je commence un petit mouvement de va-et-vient comme pour couper un fruit juteux avec un couteau. J'exerce une certaine pression sur le tissu, juste au-dessus de son sillon d'amour.
Le fond de sa culotte se déforme pour se calquer sur la forme de sa petite chatte.
Justement, en parlant de Minou, je commence à entendre des petits miaulements qui sortent de sa bouche.
Les jambes flageolantes, elle se sert de mes épaules pour se soutenir.
Je lui dis : « Regarde-moi, maintenant, tiens-tu vraiment à ce que j'arrête parce que l'on est les meilleures amies du monde ? »
Je ne sais pas, me répond-elle.
Déçue de cette réponse, je stoppe net mes attouchements.
Mais non, me dit Élodie, avec stupéfaction et surprise.
Alors, demande-le-moi, je veux l'entendre de ta propre bouche.
Très embarrassée, j'entends Élodie susurrer.
« Tu es une véritable sorcière, je veux que tu me caresses, continue, c'est trop bon. »
Eh bien, voilà, j'aime mieux ça. Lui répondis-je.
C'est le signal que j'espérais.
Je positionne mes mains de chaque côté de ses hanches et lui baisse sa jolie culotte en dentelle rouge et noire.
La lingerie tombe à ses pieds.
Tourne-toi.
Je me lève derrière elle et commence à lui enlever par le haut cette magnifique robe d'été.
Je lui dégrafe son soutien-gorge assorti et je l'envoie virevolter dans la pièce.
Élodie se retrouve intégralement nue, de dos devant moi.
Je la détaille et je remarque qu'elle a un corps sublime, avec des fesses rebondies, mais fermes.
Elle est plus petite que moi, plus fine et a une longue chevelure rousse.
Je lui dis : « Aujourd'hui, c'est moi qui câline. » Tu pourras te rattraper une autre fois, lorsque Franck sera présent avec nous car j’y tiens.
Je profite de cette position pour l'embrasser dans le cou. Je lui glisse dans le creux de l'oreille combien je la trouve belle et désirable. Je prends ses seins dans mes mains pour les cajoler tout en pinçant très légèrement les petits tétons qui se gonflent par le plaisir.
Je reprends ma place assise sur le canapé.
Allez, viens, allonge-toi sur le ventre et en travers de mes genoux.
Je vais m'occuper de ta jolie fleur.
Élodie s'installe confortablement et me traite de femme lubrique et vicieuse.
Quelle vue magnifique. J'ai devant moi une paire de fesses aux formes parfaites, légèrement ouvertes ainsi qu'un sillon que je perçois profond qui suinte comme une source.
Je ne pouvais pas imaginer que l'amour entre femmes pouvait être aussi existant et fort.
Avec ma main gauche, j'octroie de tendres caresses sur son postérieur.
Ma main droite se dirige vers son entre-jambe intégralement épilé et débusque son sexe humide.
Je lui demande d'écarter ses jambes pour faciliter le glissement de mon doigt dans sa brèche.
La respiration d'Élodie s'accélère de plus en plus. Dorénavant, ce sont deux de mes doigts qui la masturbent en écartant ses grandes lèvres en prenant soin de ne pas toucher à son bouton d'amour. Ses fesses se lèvent et répondent ainsi à mes caresses.
C'est ce moment d'excitation que je choisis pour effleurer son petit cratère fermé avec l'index de mon autre main.
Très étonné de ne pas avoir de réaction négative de sa part car je sais que mon amie est absolument contre la sodomie. Je continue mon attouchement.
Là, je lui demande, « As-tu envie de découvrir ce que m'a fait Enzo ? »
Oui, je veux bien, dit-elle, tout embarrassée.
Sans lui laisser le temps de changer d'avis, je commence à débusquer son clitoris et le masse indirectement en tournant autour.
Ensuite, je mouille mon index de ma main gauche avec ma salive et le dirige vers son petit trou encore vierge.
J'accélère la masturbation directement de son clitoris et en même temps, je pénètre son petit cul d'une phalange.
Toujours sans réaction de son côté, les trois phalanges s'engloutissent lentement plus profondément.
Élodie halète et gémit. Des sons rauques sortent de sa bouche.
J'ai même entendu salope qui m'était directement destinée.
Je coordonne mes va-et-vient dans son anus avec la masturbation appuyée de son bouton.
Rapidement, de petites contractions involontaires se manifestent sur mon doigt.
Le plaisir de ma belle atteint son apogée.
C'est alors que ma chère amoureuse se tétanise, submergée par un orgasme intense et splendide, accompagné d'un cri déchirant mélancolique.
Élodie s'écroule ensuite sur mes genoux comme une poupée désarticulée.
Je regarde mon amie avec affection et désir.
Je suis moi-même très bouleversée.
Je lui laisse le temps de reprendre ses esprits et je lui administre une petite claque sur ses jolies fesses.
Allez, levons-nous, dis-je, tout ceci m'a donné soif et faim.
Élodie se lève, se retourne et me donne un baiser fougueux en enfonçant sa langue dans ma bouche. Les deux langues s'entremêlent et font connaissance. « Je t'aime, Lucile. »
Je retombe sur le canapé, complètement submergé par mes émotions et le bas ventre en feu.
Elle me dit : « À mon tour, maintenant, laisse-moi te donner du plaisir. »
Je me relève avec difficulté et je refuse son offre bien difficilement.
Non, non et non, mon poussin.
Si tu veux parcourir mon corps et lui faire subir ce qu'il te plaira, il faudra venir à la maison et le partager avec Franck.
C'est la condition.
Alors ! Je veux une réponse
Après une longue attente et une toute petite voix, elle me répond qu'elle est d'accord, mais qu'elle a honte et très peur.
Sans attendre, je lui propose de venir chez nous dans un mois, lorsque son mari Anthony sera de nouveau en formation pour une semaine. « Tu pourras passer la nuit entre nous deux. »
On s'installe confortablement et l'on commence la deuxième mi-temps en ouvrant une autre bouteille de champagne et en faisant réchauffer des petits fours.
Élodie n'a même pas pris le temps de se rhabiller, elle est toujours intégralement nue. Je lui propose de se couvrir et elle revient avec une chemisette de toute beauté.
Élodie me dit, « Cela fait presque quinze ans que l'on se connaît et j'étais loin d'imaginer que tu étais aussi libre sexuellement, voire vicieuse. »
Tu caches bien ton jeu, ma petite Lucile.
Élodie continue sa conversation.
Mais je suis radieuse, je pense que c'est le meilleur orgasme de toute ma vie, j'ai joui comme une folle. Cela m'a rappelé mes premiers orgasmes de mon adolescence.
Et toi, lui dis-je, tu as toujours été contre la sodomie et là, surprise, tu te laisses pénétrer sans retenue.
Oui, mais ce n'est pas la même chose, m'affirme Élodie.
Tu as agi avec une grande douceur, et ensuite, ton doigt est plus fin que la verge d'Anthony.
Il a essayé plusieurs fois, mais j'ai eu très mal.
En plus, il s'y prend mal.
Maintenant, je lui refuse catégoriquement.
J'en profite pour me rapprocher et je l'embrasse goulûment en prenant sa tête entre mes mains.
Après cette remise en bouche, je dis à Élodie qu'il faut que j'appelle Franck, sinon, il risque de s'inquiéter, vu l'heure tardive.
« Allô Franck, c'est moi. » Je vais rentrer plus tard, ne t'inquiète pas, je suis toujours chez Élodie et tout va bien. J'ai encore une petite chose à faire bien agréable et je rentre.
Tu peux te coucher, mais il faut que tu sois en forme à mon arrivée, car j'ai très envie de toi. Et tu me manques.
Franck prend la parole. « Tu fais quoi chez ton amie, au juste ? » « Tu m'as l'air en superforme. »
Je te raconterai tout à mon arrivée.
Je t'aime fort. À tout à l'heure.
Je regarde Élodie et lui dis.
Maintenant, que tu as repris des forces, à nous deux, ma belle.
Malgré ces petits fours et ce merveilleux champagne, j'ai encore terriblement faim et soif.
Ainsi, tu vas devenir mon désert, je vais te boulotter et me désaltérer sur ta petite figue jusqu'à ce qu'elle se livre totalement.
Élodie me regarde d'un air apeuré et surpris. Mais tu es une véritable furie du sexe.
Sans en tenir compte, je me lève, prends un cousin du canapé pour le positionner sous mes genoux et je m'installe entre les cuisses de la belle qui ne se fait plus prier.
Je suis à genoux sur le cousin et j'attire Élodie qui se laisse glisser, les jambes écartées, les fesses dans le vide.
Sans attendre, j'approche ma bouche de ce fruit défendu, écarte ses lèvres et colle ma bouche vorace pour en extirper tout le jus qui en ruisselle.
Je le suce, je le mordille, ma langue tourne autour de son clitoris qui sort de sa petite gaine protectrice. Il se dresse, impudique.
Mes mains ne restent pas inactives, elles pétrissent les deux seins avec délice.
La pièce se remplit des sons merveilleux de l'amour.
Gémissements, plaintes, cris stridents, mon amoureuse donne de la voix.
Je regarde mon amante avec compassion, elle n'en peut plus.
Son ventre se creuse par convulsion.
Je décide de lui donner le coup de grâce.
Ma bouche se positionne sur son clitoris et je l'aspire de toutes mes forces. Ma langue le bouscule dans tous les sens.
Deux de mes doigts pénètrent et ressortent de sa cavité profonde et onctueuse sur un rythme effréné.
Soudain, tout le corps de ma débauchée se dresse et se couvre de tremblements qui n’en finissent plus.
Sa bouche est grande ouverte.
Les traits de son visage changent comme pour exprimer une grande détresse.
Mes doigts subissent de terribles contractions.
Des larmes coulent sur ses joues.
Après ce moment merveilleux, nous restons toutes les deux enlacées. Nos bouches se cherchent et se trouvent.
Nos langues se mélangent.
De longues minutes passent et j'abandonne sa bouche avec regret.
Je dis à Élodie, « Il est temps pour moi de partir. » Il est tard.
On se retrouve dans un petit mois pendant la formation d'Anthony.
Le temps va nous paraître très long.
Moi, je n'ai qu'une hâte, c'est de rejoindre Franck dans notre lit.
Je compte sur lui pour apaiser le feu qui couve dans mon ventre.
Fin :
Suite : Élodie se partage entre Franck et Lucile.
Après la journée magistrale que mon homme Franck m'a permis de vivre avec Enzo. Notre couple connaît des jours de bonheur et d'épanouissement sexuel accru. (Lire le fantasme d'Élodie)
Un soir, pendant un dîner, je reçois un coup de téléphone de mon amie Élodie.
Elle me demande si vendredi, je suis toujours d'accord pour notre repas mensuel au restaurant.
Élodie me prévient que les deux autres filles du groupe ne seront pas disponibles de manière exceptionnelle.
Elles ont une réunion de dernières minutes au sein de la même entreprise.
Je lui réponds que je suis partante et Élodie me propose de venir directement chez elle prendre un apéritif dînatoire, car son compagnon est absent pendant une semaine dans le cadre d'une formation professionnelle. Il part une semaine par mois durant un trimestre.
On sera plus libre pour parler, me dit-elle.
Je lui dis. J'emmène une pizza et une bouteille de champagne.
Moi, je prépare des petits fours me dit elle.
À vendredi. J'ai hâte de découvrir ton aventure.
Élodie est une femme de mon âge, soit 35 ans.
C’est une très jolie rousse.
C'est le genre de femme qui ressemble un peu à Mylène Farmer.
Elle vit en couple depuis 13 ans avec Anthony, que je ne connais pas beaucoup.
Ils n'ont pas d'enfants.
Le vendredi soir suivant, j'arrive chez ma copine. Il fait encore chaud.
C’est le début du mois de septembre.
Je sonne, elle m'ouvre la porte et je la découvre en robe virevoltante, assez courte et avec un joli décolleté.
Eh bien, lui dis-je, quand le chat n'est pas là, les souris dansent, ou plutôt la souris danse.
Après un large sourire partagé, bonsoir Lucile, tu vas bien ?
Rentre, installe-toi sur le divan. J'ai installé l'apéro sur la petite table, c'est plus confortable et à la bonne hauteur.
On s'assoit côte à côte et l'on commence à discuter des copines qui ne peuvent pas venir.
Très rapidement, Élodie me supplie de lui raconter mon aventure d'une journée avec Enzo.
La conversation a duré au moins une heure, car elle me demande des détails supplémentaires sur ma relation amoureuse avec ce jeune homme.
Je lui ai parlé de tout, notamment de la grande douceur d'Enzo, de son savoir-faire concernant la pénétration de son pénis dans mon petit trou, sa faculté de me faire couler comme une fontaine ainsi que de mon orgasme profond, presque bestial au bout de la deuxième pénétration.
Au fur et à mesure de mon histoire, je constate que ma voisine croise et décroise de plus en plus ses belles jambes.
L'alcool aidant, je sens une certaine excitation chez Élodie au fur et mesure de mon récit.
« Et Franck était là ? » Me dit-elle.
Je lui réponds, bien sûr.
La deuxième fois qu'Enzo m'a prise, Franck n'était pas dans la même pièce pour nous laisser le champ libre.
Il a tout vu, mais il n'a pas voulu participer à nos cabrioles.
Tu sais, tu as vraiment de la chance d'avoir un compagnon comme Franck.
Le mien est complètement l'inverse.
Il est jaloux de tout. En plus, question douceur, ce n'est pas sa tasse de thé.
Figure-toi qu’il n'apprécie pas nos repas au restaurant que l'on fait toutes les quatre.
Et toi, Élodie, as-tu des envies de faire l'amour avec un autre homme ou une femme ?
Tu avais eu une aventure avec une fille, il y a une dizaine d'années.
Oui, me dit-elle, j'étais jeune à cette époque, mais je m'en souviens très bien.
Rien que d'y penser, j'ai encore des papillons dans le ventre.
Et dans ton couple, sexuellement, cela se passe comment ?
Ce n'est pas terrible, une fois par mois, pas plus et toujours à la missionnaire pendant dix minutes, un baiser. Il se retourne et dodo, et toujours avec la délicatesse d’un bourrin.
Alors, pourquoi tu ne vas pas voir ailleurs ?
Essaye de draguer une fille ou un homme, pourquoi pas ?
J'ai eu cette idée à plusieurs reprises.
J'aime les deux, me dit-elle. L'unique expérience que j'ai eue avec cette femme plus âgée que moi, m'a laissée sur ma faim.
Comment veux-tu que je m'y prenne ?
Ce n'est pas facile, ni avec un homme et encore moins avec une femme.
Il faut sortir pour ça et comme il est toujours avec moi, ce n'est pas possible.
Et si tu trouvais un couple qui accepte le partage, tu pourrais te satisfaire de l'un et de l'autre.
C'est ça, me dit-elle, et on me retrouvera morte, violée dans un coin.
Non, j'ai trop peur.
Je m'approche d'Élodie et lui prends les deux mains dans les miennes et la regarde droit dans les yeux.
Je pense avoir trouvé une solution.
Je connais un couple de confiance capable de remplir cette convoitise avec délicatesse et discrétion.
Lui s'appelle Franck et la fille se nomme Lucile.
Elle me regarde sidérer, mais ce n’est pas possible.
On se connaît trop.
Et puis avec Franck ! Cela n'est pas envisageable.
Pourquoi, on se connaît intimement, je pense que c'est plus facile. Et puis-je ne te l'ai jamais dit, mais tu ne me laisses pas indifférente.
Tu es très belle et souvent, j'ai eu très envie de te proposer de faire un câlin, mais je me suis retenue.
Tu as des fesses magnifiques et elles me donnent envie de te les croquer.
Lève-toi et arrive ici, devant moi.
Ne dis rien et laisse-toi faire.
Ferme les yeux.
Élodie se positionne devant moi les yeux fermés.
Je reste assise sur le divan.
En prenant mon temps, je positionne mes mains de chaque côté de ses jambes au niveau des chevilles.
Comme Élodie ne se rebiffe pas, mes mains remontent progressivement, très lentement, sous sa jupe et se posent sur ses fesses, par-dessus sa culotte.
Je lui pétris langoureusement ses deux magnifiques globes que j'écarte et referme en cadence. Je remarque que la bouche de mon amie s'entrouvre.
Je retire mes mains et les pose à nouveau sur ses chevilles, mais cette fois-ci sur une seule jambe.
Je recommence mon scénario.
Mes mains remontent doucement le long de la jambe et cette fois-ci, Élodie resserre les cuisses au fur et à mesure que mes doigts se rapprochent de son petit puits, que je présume onctueux et humide.
« Ne résiste pas, laisse-toi aller. Tu en meurs d'envie et moi aussi, » lui dis-je.
Je commence à sentir ses cuisses s'entrouvrir, je continue ma lente progression.
Le tranchant supérieur de ma main qui effleure l'intérieur de ses cuisses arrive au contact de la fine barrière de tissus qui le sépare de son objectif.
Je commence un petit mouvement de va-et-vient comme pour couper un fruit juteux avec un couteau. J'exerce une certaine pression sur le tissu, juste au-dessus de son sillon d'amour.
Le fond de sa culotte se déforme pour se calquer sur la forme de sa petite chatte.
Justement, en parlant de Minou, je commence à entendre des petits miaulements qui sortent de sa bouche.
Les jambes flageolantes, elle se sert de mes épaules pour se soutenir.
Je lui dis : « Regarde-moi, maintenant, tiens-tu vraiment à ce que j'arrête parce que l'on est les meilleures amies du monde ? »
Je ne sais pas, me répond-elle.
Déçue de cette réponse, je stoppe net mes attouchements.
Mais non, me dit Élodie, avec stupéfaction et surprise.
Alors, demande-le-moi, je veux l'entendre de ta propre bouche.
Très embarrassée, j'entends Élodie susurrer.
« Tu es une véritable sorcière, je veux que tu me caresses, continue, c'est trop bon. »
Eh bien, voilà, j'aime mieux ça. Lui répondis-je.
C'est le signal que j'espérais.
Je positionne mes mains de chaque côté de ses hanches et lui baisse sa jolie culotte en dentelle rouge et noire.
La lingerie tombe à ses pieds.
Tourne-toi.
Je me lève derrière elle et commence à lui enlever par le haut cette magnifique robe d'été.
Je lui dégrafe son soutien-gorge assorti et je l'envoie virevolter dans la pièce.
Élodie se retrouve intégralement nue, de dos devant moi.
Je la détaille et je remarque qu'elle a un corps sublime, avec des fesses rebondies, mais fermes.
Elle est plus petite que moi, plus fine et a une longue chevelure rousse.
Je lui dis : « Aujourd'hui, c'est moi qui câline. » Tu pourras te rattraper une autre fois, lorsque Franck sera présent avec nous car j’y tiens.
Je profite de cette position pour l'embrasser dans le cou. Je lui glisse dans le creux de l'oreille combien je la trouve belle et désirable. Je prends ses seins dans mes mains pour les cajoler tout en pinçant très légèrement les petits tétons qui se gonflent par le plaisir.
Je reprends ma place assise sur le canapé.
Allez, viens, allonge-toi sur le ventre et en travers de mes genoux.
Je vais m'occuper de ta jolie fleur.
Élodie s'installe confortablement et me traite de femme lubrique et vicieuse.
Quelle vue magnifique. J'ai devant moi une paire de fesses aux formes parfaites, légèrement ouvertes ainsi qu'un sillon que je perçois profond qui suinte comme une source.
Je ne pouvais pas imaginer que l'amour entre femmes pouvait être aussi existant et fort.
Avec ma main gauche, j'octroie de tendres caresses sur son postérieur.
Ma main droite se dirige vers son entre-jambe intégralement épilé et débusque son sexe humide.
Je lui demande d'écarter ses jambes pour faciliter le glissement de mon doigt dans sa brèche.
La respiration d'Élodie s'accélère de plus en plus. Dorénavant, ce sont deux de mes doigts qui la masturbent en écartant ses grandes lèvres en prenant soin de ne pas toucher à son bouton d'amour. Ses fesses se lèvent et répondent ainsi à mes caresses.
C'est ce moment d'excitation que je choisis pour effleurer son petit cratère fermé avec l'index de mon autre main.
Très étonné de ne pas avoir de réaction négative de sa part car je sais que mon amie est absolument contre la sodomie. Je continue mon attouchement.
Là, je lui demande, « As-tu envie de découvrir ce que m'a fait Enzo ? »
Oui, je veux bien, dit-elle, tout embarrassée.
Sans lui laisser le temps de changer d'avis, je commence à débusquer son clitoris et le masse indirectement en tournant autour.
Ensuite, je mouille mon index de ma main gauche avec ma salive et le dirige vers son petit trou encore vierge.
J'accélère la masturbation directement de son clitoris et en même temps, je pénètre son petit cul d'une phalange.
Toujours sans réaction de son côté, les trois phalanges s'engloutissent lentement plus profondément.
Élodie halète et gémit. Des sons rauques sortent de sa bouche.
J'ai même entendu salope qui m'était directement destinée.
Je coordonne mes va-et-vient dans son anus avec la masturbation appuyée de son bouton.
Rapidement, de petites contractions involontaires se manifestent sur mon doigt.
Le plaisir de ma belle atteint son apogée.
C'est alors que ma chère amoureuse se tétanise, submergée par un orgasme intense et splendide, accompagné d'un cri déchirant mélancolique.
Élodie s'écroule ensuite sur mes genoux comme une poupée désarticulée.
Je regarde mon amie avec affection et désir.
Je suis moi-même très bouleversée.
Je lui laisse le temps de reprendre ses esprits et je lui administre une petite claque sur ses jolies fesses.
Allez, levons-nous, dis-je, tout ceci m'a donné soif et faim.
Élodie se lève, se retourne et me donne un baiser fougueux en enfonçant sa langue dans ma bouche. Les deux langues s'entremêlent et font connaissance. « Je t'aime, Lucile. »
Je retombe sur le canapé, complètement submergé par mes émotions et le bas ventre en feu.
Elle me dit : « À mon tour, maintenant, laisse-moi te donner du plaisir. »
Je me relève avec difficulté et je refuse son offre bien difficilement.
Non, non et non, mon poussin.
Si tu veux parcourir mon corps et lui faire subir ce qu'il te plaira, il faudra venir à la maison et le partager avec Franck.
C'est la condition.
Alors ! Je veux une réponse
Après une longue attente et une toute petite voix, elle me répond qu'elle est d'accord, mais qu'elle a honte et très peur.
Sans attendre, je lui propose de venir chez nous dans un mois, lorsque son mari Anthony sera de nouveau en formation pour une semaine. « Tu pourras passer la nuit entre nous deux. »
On s'installe confortablement et l'on commence la deuxième mi-temps en ouvrant une autre bouteille de champagne et en faisant réchauffer des petits fours.
Élodie n'a même pas pris le temps de se rhabiller, elle est toujours intégralement nue. Je lui propose de se couvrir et elle revient avec une chemisette de toute beauté.
Élodie me dit, « Cela fait presque quinze ans que l'on se connaît et j'étais loin d'imaginer que tu étais aussi libre sexuellement, voire vicieuse. »
Tu caches bien ton jeu, ma petite Lucile.
Élodie continue sa conversation.
Mais je suis radieuse, je pense que c'est le meilleur orgasme de toute ma vie, j'ai joui comme une folle. Cela m'a rappelé mes premiers orgasmes de mon adolescence.
Et toi, lui dis-je, tu as toujours été contre la sodomie et là, surprise, tu te laisses pénétrer sans retenue.
Oui, mais ce n'est pas la même chose, m'affirme Élodie.
Tu as agi avec une grande douceur, et ensuite, ton doigt est plus fin que la verge d'Anthony.
Il a essayé plusieurs fois, mais j'ai eu très mal.
En plus, il s'y prend mal.
Maintenant, je lui refuse catégoriquement.
J'en profite pour me rapprocher et je l'embrasse goulûment en prenant sa tête entre mes mains.
Après cette remise en bouche, je dis à Élodie qu'il faut que j'appelle Franck, sinon, il risque de s'inquiéter, vu l'heure tardive.
« Allô Franck, c'est moi. » Je vais rentrer plus tard, ne t'inquiète pas, je suis toujours chez Élodie et tout va bien. J'ai encore une petite chose à faire bien agréable et je rentre.
Tu peux te coucher, mais il faut que tu sois en forme à mon arrivée, car j'ai très envie de toi. Et tu me manques.
Franck prend la parole. « Tu fais quoi chez ton amie, au juste ? » « Tu m'as l'air en superforme. »
Je te raconterai tout à mon arrivée.
Je t'aime fort. À tout à l'heure.
Je regarde Élodie et lui dis.
Maintenant, que tu as repris des forces, à nous deux, ma belle.
Malgré ces petits fours et ce merveilleux champagne, j'ai encore terriblement faim et soif.
Ainsi, tu vas devenir mon désert, je vais te boulotter et me désaltérer sur ta petite figue jusqu'à ce qu'elle se livre totalement.
Élodie me regarde d'un air apeuré et surpris. Mais tu es une véritable furie du sexe.
Sans en tenir compte, je me lève, prends un cousin du canapé pour le positionner sous mes genoux et je m'installe entre les cuisses de la belle qui ne se fait plus prier.
Je suis à genoux sur le cousin et j'attire Élodie qui se laisse glisser, les jambes écartées, les fesses dans le vide.
Sans attendre, j'approche ma bouche de ce fruit défendu, écarte ses lèvres et colle ma bouche vorace pour en extirper tout le jus qui en ruisselle.
Je le suce, je le mordille, ma langue tourne autour de son clitoris qui sort de sa petite gaine protectrice. Il se dresse, impudique.
Mes mains ne restent pas inactives, elles pétrissent les deux seins avec délice.
La pièce se remplit des sons merveilleux de l'amour.
Gémissements, plaintes, cris stridents, mon amoureuse donne de la voix.
Je regarde mon amante avec compassion, elle n'en peut plus.
Son ventre se creuse par convulsion.
Je décide de lui donner le coup de grâce.
Ma bouche se positionne sur son clitoris et je l'aspire de toutes mes forces. Ma langue le bouscule dans tous les sens.
Deux de mes doigts pénètrent et ressortent de sa cavité profonde et onctueuse sur un rythme effréné.
Soudain, tout le corps de ma débauchée se dresse et se couvre de tremblements qui n’en finissent plus.
Sa bouche est grande ouverte.
Les traits de son visage changent comme pour exprimer une grande détresse.
Mes doigts subissent de terribles contractions.
Des larmes coulent sur ses joues.
Après ce moment merveilleux, nous restons toutes les deux enlacées. Nos bouches se cherchent et se trouvent.
Nos langues se mélangent.
De longues minutes passent et j'abandonne sa bouche avec regret.
Je dis à Élodie, « Il est temps pour moi de partir. » Il est tard.
On se retrouve dans un petit mois pendant la formation d'Anthony.
Le temps va nous paraître très long.
Moi, je n'ai qu'une hâte, c'est de rejoindre Franck dans notre lit.
Je compte sur lui pour apaiser le feu qui couve dans mon ventre.
Fin :
Suite : Élodie se partage entre Franck et Lucile.
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