Lucille, Vice et Rock et Roll - 1
Récit érotique écrit par Gabriel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lucille, Vice et Rock et Roll - 1
Les méandres d'internet m'avait amené, un jour d’ennui, à Lucille. Me baladant de profils en profils, à la recherche de filles intéressantes et stimulantes, j'étais tombé sur cette gamine de dix huit ans, aux goûts musicaux particulièrement originaux. Elle était capable de citer Buddy Holly et Blondie, une perle rare ! La conversation fut vite engagée, nous partagions, malgré nos dix ans d'écarts, de nombreuses références. Elle était assez jolie, follement pulpeuse, discrètement sensuelle, une moue adorable, je me suis pas mal branlé en pensant à elle... La distance cependant freina toute possibilité de se rencontrer, c'était mieux ainsi, j'étais définitivement un peu trop lubrique pour l'entraîner dans une spirale infernale de stupre...
Deux ans s'écoulèrent, je traînais encore sur ce maudit site, un passe-temps un peu addictif qui me prenait occasionnellement les soirées de déprime passagère. Par curiosité l'envie me pris de consulter sa page, qu'elle ne fut pas ma surprise en apercevant que la gamine était devenue une créature plantureuse, épris de jeunesse certes mais ô combien bandante ! Je repris contact avec elle et le courant passa tout de suite très bien, nous devisions sur la musique (elle était toujours aussi passionné, pratiquait trois instruments !), mais aussi la politique et le sexe. Je pu apprendre ainsi au détour d'une discussion qu'elle était libre et n'avais pas en tête de se passer la corde autour du coup, je lui avouais mon petit faible pour elle à l'époque. Je fus surpris d'apprendre que nos discussions l'avaient également marquée, je poussais la donzelle à m'en dire plus. C'était réciproque ! Je tentais le tout pour le tout: rattrapons le temps perdu et rencontrons nous ! Cela n'engageait à rien après tout. Mon cœur se mit à battra à la chamade, j'attendais frénétiquement sa réponse, elle tapait sur son clavier... Le temps me sembla infiniment long mais je n'étais pas angoissé, tout au contraire, je bandais déjà furieusement ! Finalement la réponse arriva et me rassura, le vide de l'écran fut interrompu d'un timide "oui pourquoi pas, ça peut être chouette".
Elle vivait du coté de Montpellier et moi à Paris, cela n'arrangeait pas les choses, cependant mon travail me permettant de me déplacer de temps en temps, une occasion se présenta le mois suivant et nous convînmes de nous voir à un concert de rock. Le groupe était passablement mauvais, on en rigolait, elle était encore plus jolie en vrai que sur les photos que j'avais pu entrevoir, sa robe noire, sage mais pas trop, mettait en valeur ses courbes appuyées. Son sourire transperçait ma carapace , ses gros seins attiraient mon regard comme le miel une mouche. Elle en était consciente mais n'en semblait pas inquiète, ses regards étaient il faut le dire assez marqués aussi ! Nous bûmes quelques verres, suffisamment pour que nos mains soient plus baladeuses, à quelques centimètres de nos entrejambes. Nous étions émoustillés à l'idée que quelqu'un puisse surprendre notre petit manège érotique...
Pendant le changement de backline entre les deux groupes de la soirée, l'envie fut trop pressante, nos regards se défièrent à qui dégainerait le premier, d'un mouvement de tête je lui indiquais les toilettes, elle sourit. L'espace était exigu mais plutôt propre à ma surprise (les bars rock & roll ont souvent des lieux d'aisance miteux et glauques). Je m'assis sur la lunette et elle me rejoignit, ma bite bandait dure contre le tissu. Mes mains exploraient ses dessous, tentant fébrilement de trouver l'accès au précieux sésame. Elles ne mirent pas longtemps à dégager la voie... Je doigtais Lucille brutalement, sa chatte était douce , mon doigt et s'enfonçait toujours un peu plus loin dans sa chair chaude. Elle se rasait régulièrement, sa peau était lisse et accueillante, elle mouillait abondamment. Mon annuaire se fraya un passage et agit de concert avec l'index déjà bien accueilli.Elle aimait la bite, elle la voulait et c'était précisément mes intentions. Pendant que ma première main explorait les tréfonds du refuge de son âme de petite allumeuse, je me saisissais d'un de ses énormes seins que je sortis de sa robe bien trop étroite pour une telle merveille. Ils étaient moelleux et tressaillaient au moindre passage de mes doigts vicieux contre leur peau émoustillé par tant d'égard. Je sentais les contractions dans le souffle de Lucille, elle respirait fort, haletait comme une bête en chaleur voulant se retenir de feuler. Mes deux doigts étaient abondamment trempées de son jus poisseux et odorant, la sensation était aussi enivrante qu'excitante, j'étais possédé et je continuais à la doigter frénétiquement en malaxant ses mamelles, je les griffais, lui pinçait les tétons. Elle ponctuait mes interventions de petits cris stridents étouffés, faignant d'être offusquée elle me réclamait cette douce violence de tout son corps, il vibrait à l'unisson du mien, je bandais dur. J'étais sur le point d'éjaculer dans mon jean, cependant un éclat de voix dans le couloir nous fit revenir brusquement à la réalité... Elle se retourna contre moi, décoiffée et en sueur, le visage rouge, les yeux vifs.
En cinq minutes nous essayâmes de nous rhabiller et de sortir discrètement. Un vieux rockeur d'une quarantaine d'années nous fit un sourire complice. Le second groupe avait commencé à jouer, c'était presque aussi mauvais que le premier, il était évident que nous devions aller ailleurs, chez elle ou à mon hôtel. Il fut finalement décidé de rejoindre son deux pièces, situé à cinq minutes de bus.
Deux ans s'écoulèrent, je traînais encore sur ce maudit site, un passe-temps un peu addictif qui me prenait occasionnellement les soirées de déprime passagère. Par curiosité l'envie me pris de consulter sa page, qu'elle ne fut pas ma surprise en apercevant que la gamine était devenue une créature plantureuse, épris de jeunesse certes mais ô combien bandante ! Je repris contact avec elle et le courant passa tout de suite très bien, nous devisions sur la musique (elle était toujours aussi passionné, pratiquait trois instruments !), mais aussi la politique et le sexe. Je pu apprendre ainsi au détour d'une discussion qu'elle était libre et n'avais pas en tête de se passer la corde autour du coup, je lui avouais mon petit faible pour elle à l'époque. Je fus surpris d'apprendre que nos discussions l'avaient également marquée, je poussais la donzelle à m'en dire plus. C'était réciproque ! Je tentais le tout pour le tout: rattrapons le temps perdu et rencontrons nous ! Cela n'engageait à rien après tout. Mon cœur se mit à battra à la chamade, j'attendais frénétiquement sa réponse, elle tapait sur son clavier... Le temps me sembla infiniment long mais je n'étais pas angoissé, tout au contraire, je bandais déjà furieusement ! Finalement la réponse arriva et me rassura, le vide de l'écran fut interrompu d'un timide "oui pourquoi pas, ça peut être chouette".
Elle vivait du coté de Montpellier et moi à Paris, cela n'arrangeait pas les choses, cependant mon travail me permettant de me déplacer de temps en temps, une occasion se présenta le mois suivant et nous convînmes de nous voir à un concert de rock. Le groupe était passablement mauvais, on en rigolait, elle était encore plus jolie en vrai que sur les photos que j'avais pu entrevoir, sa robe noire, sage mais pas trop, mettait en valeur ses courbes appuyées. Son sourire transperçait ma carapace , ses gros seins attiraient mon regard comme le miel une mouche. Elle en était consciente mais n'en semblait pas inquiète, ses regards étaient il faut le dire assez marqués aussi ! Nous bûmes quelques verres, suffisamment pour que nos mains soient plus baladeuses, à quelques centimètres de nos entrejambes. Nous étions émoustillés à l'idée que quelqu'un puisse surprendre notre petit manège érotique...
Pendant le changement de backline entre les deux groupes de la soirée, l'envie fut trop pressante, nos regards se défièrent à qui dégainerait le premier, d'un mouvement de tête je lui indiquais les toilettes, elle sourit. L'espace était exigu mais plutôt propre à ma surprise (les bars rock & roll ont souvent des lieux d'aisance miteux et glauques). Je m'assis sur la lunette et elle me rejoignit, ma bite bandait dure contre le tissu. Mes mains exploraient ses dessous, tentant fébrilement de trouver l'accès au précieux sésame. Elles ne mirent pas longtemps à dégager la voie... Je doigtais Lucille brutalement, sa chatte était douce , mon doigt et s'enfonçait toujours un peu plus loin dans sa chair chaude. Elle se rasait régulièrement, sa peau était lisse et accueillante, elle mouillait abondamment. Mon annuaire se fraya un passage et agit de concert avec l'index déjà bien accueilli.Elle aimait la bite, elle la voulait et c'était précisément mes intentions. Pendant que ma première main explorait les tréfonds du refuge de son âme de petite allumeuse, je me saisissais d'un de ses énormes seins que je sortis de sa robe bien trop étroite pour une telle merveille. Ils étaient moelleux et tressaillaient au moindre passage de mes doigts vicieux contre leur peau émoustillé par tant d'égard. Je sentais les contractions dans le souffle de Lucille, elle respirait fort, haletait comme une bête en chaleur voulant se retenir de feuler. Mes deux doigts étaient abondamment trempées de son jus poisseux et odorant, la sensation était aussi enivrante qu'excitante, j'étais possédé et je continuais à la doigter frénétiquement en malaxant ses mamelles, je les griffais, lui pinçait les tétons. Elle ponctuait mes interventions de petits cris stridents étouffés, faignant d'être offusquée elle me réclamait cette douce violence de tout son corps, il vibrait à l'unisson du mien, je bandais dur. J'étais sur le point d'éjaculer dans mon jean, cependant un éclat de voix dans le couloir nous fit revenir brusquement à la réalité... Elle se retourna contre moi, décoiffée et en sueur, le visage rouge, les yeux vifs.
En cinq minutes nous essayâmes de nous rhabiller et de sortir discrètement. Un vieux rockeur d'une quarantaine d'années nous fit un sourire complice. Le second groupe avait commencé à jouer, c'était presque aussi mauvais que le premier, il était évident que nous devions aller ailleurs, chez elle ou à mon hôtel. Il fut finalement décidé de rejoindre son deux pièces, situé à cinq minutes de bus.
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