LUCY 1
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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LUCY 1
*** toute première fois racontée par une narratrice majeure ***
« Les garçons avaient fini par me jeter dans la piscine, toute habillée. Faut dire que je les avais “asticotés” tout l’après-midi. Personnellement, je trouvais Mike le plus mignon d’entre tous et c’est surtout lui que j’adorais taquiner. Mais voilà, il était presque toujours avec ses copains.
Ça ne fait rien, quand je suis sortie de l’eau, toute mouillée, j’ai bien vu qu’il m’a jeté un drôle de regard. Au fait, ses copains aussi d’ailleurs. J’en étais très satisfaite. J’avais mis mon short le plus collant, pour faire de l’effet chez les garçons.
Mes petits tétons pointaient sous mon t-shirt mouillé. Mike les avait regardés, j’en étais presque sûre. J’allais trouvé un endroit discret pour me déshabiller devant les garçons, puisque j’avais une bonne excuse, mais le directeur du centre nous a fichus dehors en criant et les garçons sont partis jouer au foot.
Je rentrais donc seule au bungalow. Les gens me regardaient. Mais les hommes me regardaient différemment. Je commençai par trouver cela étrange. C’était une découverte pour moi. Au bout d’un certain temps, cela commença à m’exciter bizarrement. Malgré moi, je marchai moins vite et en me déhanchant le plus possible.
Mais j’avais un problème : ma mère était absente pour tout l’après-midi, elle était partie faire les boutiques avec tante Sally . Elles ne rentreraient certainement que dans la soirée. Heureusement, sur le chemin, j’ai rencontré oncle Jo. Il m’a regardée sous toutes les coutures. Des coutures qui étaient prêtes à craquer dans le cas présent. Oncle Jo a paru très intéressé. Il m’a demandé de tourner plusieurs fois sur moi-même. « Dis donc ! » qu’il a fait et il m’a pincé les fesses. J’ai un peu sursauté et beaucoup rougi, mais ça m’a bien plu. Je lui ai raconté ma petite aventure à la piscine. Il a bien ri. « Viens avec moi, je vais te sécher, et puis nous attendrons que tante Sally rentre pour te reconduire chez toi. » Ça me plaisait beaucoup. J’étais folle amoureuse d’oncle Jo. Il n’avait jamais fait attention à moi alors que cette petite peste de Christine, ma cousine, prétendait qu’ils avaient fait des choses ensemble, mais ne disait jamais quoi. J’en étais terriblement jalouse. Je ne regrettais plus du tout d’avoir été jetée toute habillée dans la piscine. J’allais être bien gentille avec oncle Jo parce que cette occasion ne se représenterait peut-être jamais plus. Ce fut encore beaucoup mieux que tout ce dont j’avais jusque-là secrètement rêvé. Arrivés chez lui, nous étions seuls, tante Sally n’était pas encore rentrée.
Mon short était difficile à enlever. J’ai fait semblant que je n’y arrivais pas. Ça a marché. Oncle Jo m’a alors proposé de m’aider. Bien sûr, j’ai dit oui. C’était difficile. Ses mains traînaient autour de mes petites jambes. J’avais le sentiment qu’une histoire merveilleuse commençait pour moi. Je n’allais pas être déçue. J’étais toute nue. Oncle Jo m’a alors proposé de m’essuyer.
C’était trop bien. Il m’a fait écarter les jambes. « Un peu plus, mon trésor ! » il a dit. Il m’a essuyée partout, bien à son aise, surtout entre mes jambes. Puis il a jeté l’essuie et il a senti partout avec ses mains. J’ai frissonné. « Tu es chatouilleuse, trésor ? » il m’a demandé. « Oui, un peu, je crois » j’ai répondu. « On va essayer un peu, pour voir, tu veux bien, mon ange ? » il a fait. « Euh… oui, bien sûr ! » j’ai répondu spontanément, cachant difficilement ma curiosité et surtout mon envie de lui plaire à tout prix.
Il a commencé à me toucher partout, vraiment partout. Il a même commencé à toucher ma petite mimi. Je ne savais pas trop ce que je devais faire, je gloussais un peu, je me tortillais beaucoup et je finis par me presser fermement contre lui. Je pensais que c’était ce qu’il voulait pour continuer et aller plus loin. En tout cas, ses mains sont restées près de mon entre-jambes. « Tu sais que tu es vraiment toute mignonne, mon petit trésor d’amour ! » Son doigt a écarté légèrement les lèvres de ma petite prune. J’ai fermé les yeux et je me suis agrippée plus fermement à lui. Cela devait lui plaire, car il a commencé à m’embrasser partout. J’ai senti ses lèvres sur mon front, mes joues, le bout de mon nez, mes lèvres. C’était si bon. Cela devint encore meilleur. Il m’embrassa dans le cou. Puis ses lèvres parcoururent ma poitrine, taquinant le bout de mes seins, descendirent sur mon ventre. Il me souleva comme une plume pour me transporter sur le divan.
Là, après m’avoir écarté les jambes, il embrassa longuement ma mimi qui était toute grasse et se mit à la lécher longuement. Sa langue me chatouillait divinement. Je tenais sa tête entre mes mains. Que pouvais-je faire de plus pour lui faire comprendre que je voulais qu’il continue. Pendant qu’il me léchait la mimi avec sa langue, je sentis ses mains qui commençaient à me caresser mes fesses bien dodues. Un de ses doigts se présenta à l’entrée de mon petit cul. Ce fut une sensation absolument divine quand ce doigt força lentement le passage, puis, après avoir un peu progressé, commença un lent mouvement de va-et-vient. C’était le paradis.
« Les garçons avaient fini par me jeter dans la piscine, toute habillée. Faut dire que je les avais “asticotés” tout l’après-midi. Personnellement, je trouvais Mike le plus mignon d’entre tous et c’est surtout lui que j’adorais taquiner. Mais voilà, il était presque toujours avec ses copains.
Ça ne fait rien, quand je suis sortie de l’eau, toute mouillée, j’ai bien vu qu’il m’a jeté un drôle de regard. Au fait, ses copains aussi d’ailleurs. J’en étais très satisfaite. J’avais mis mon short le plus collant, pour faire de l’effet chez les garçons.
Mes petits tétons pointaient sous mon t-shirt mouillé. Mike les avait regardés, j’en étais presque sûre. J’allais trouvé un endroit discret pour me déshabiller devant les garçons, puisque j’avais une bonne excuse, mais le directeur du centre nous a fichus dehors en criant et les garçons sont partis jouer au foot.
Je rentrais donc seule au bungalow. Les gens me regardaient. Mais les hommes me regardaient différemment. Je commençai par trouver cela étrange. C’était une découverte pour moi. Au bout d’un certain temps, cela commença à m’exciter bizarrement. Malgré moi, je marchai moins vite et en me déhanchant le plus possible.
Mais j’avais un problème : ma mère était absente pour tout l’après-midi, elle était partie faire les boutiques avec tante Sally . Elles ne rentreraient certainement que dans la soirée. Heureusement, sur le chemin, j’ai rencontré oncle Jo. Il m’a regardée sous toutes les coutures. Des coutures qui étaient prêtes à craquer dans le cas présent. Oncle Jo a paru très intéressé. Il m’a demandé de tourner plusieurs fois sur moi-même. « Dis donc ! » qu’il a fait et il m’a pincé les fesses. J’ai un peu sursauté et beaucoup rougi, mais ça m’a bien plu. Je lui ai raconté ma petite aventure à la piscine. Il a bien ri. « Viens avec moi, je vais te sécher, et puis nous attendrons que tante Sally rentre pour te reconduire chez toi. » Ça me plaisait beaucoup. J’étais folle amoureuse d’oncle Jo. Il n’avait jamais fait attention à moi alors que cette petite peste de Christine, ma cousine, prétendait qu’ils avaient fait des choses ensemble, mais ne disait jamais quoi. J’en étais terriblement jalouse. Je ne regrettais plus du tout d’avoir été jetée toute habillée dans la piscine. J’allais être bien gentille avec oncle Jo parce que cette occasion ne se représenterait peut-être jamais plus. Ce fut encore beaucoup mieux que tout ce dont j’avais jusque-là secrètement rêvé. Arrivés chez lui, nous étions seuls, tante Sally n’était pas encore rentrée.
Mon short était difficile à enlever. J’ai fait semblant que je n’y arrivais pas. Ça a marché. Oncle Jo m’a alors proposé de m’aider. Bien sûr, j’ai dit oui. C’était difficile. Ses mains traînaient autour de mes petites jambes. J’avais le sentiment qu’une histoire merveilleuse commençait pour moi. Je n’allais pas être déçue. J’étais toute nue. Oncle Jo m’a alors proposé de m’essuyer.
C’était trop bien. Il m’a fait écarter les jambes. « Un peu plus, mon trésor ! » il a dit. Il m’a essuyée partout, bien à son aise, surtout entre mes jambes. Puis il a jeté l’essuie et il a senti partout avec ses mains. J’ai frissonné. « Tu es chatouilleuse, trésor ? » il m’a demandé. « Oui, un peu, je crois » j’ai répondu. « On va essayer un peu, pour voir, tu veux bien, mon ange ? » il a fait. « Euh… oui, bien sûr ! » j’ai répondu spontanément, cachant difficilement ma curiosité et surtout mon envie de lui plaire à tout prix.
Il a commencé à me toucher partout, vraiment partout. Il a même commencé à toucher ma petite mimi. Je ne savais pas trop ce que je devais faire, je gloussais un peu, je me tortillais beaucoup et je finis par me presser fermement contre lui. Je pensais que c’était ce qu’il voulait pour continuer et aller plus loin. En tout cas, ses mains sont restées près de mon entre-jambes. « Tu sais que tu es vraiment toute mignonne, mon petit trésor d’amour ! » Son doigt a écarté légèrement les lèvres de ma petite prune. J’ai fermé les yeux et je me suis agrippée plus fermement à lui. Cela devait lui plaire, car il a commencé à m’embrasser partout. J’ai senti ses lèvres sur mon front, mes joues, le bout de mon nez, mes lèvres. C’était si bon. Cela devint encore meilleur. Il m’embrassa dans le cou. Puis ses lèvres parcoururent ma poitrine, taquinant le bout de mes seins, descendirent sur mon ventre. Il me souleva comme une plume pour me transporter sur le divan.
Là, après m’avoir écarté les jambes, il embrassa longuement ma mimi qui était toute grasse et se mit à la lécher longuement. Sa langue me chatouillait divinement. Je tenais sa tête entre mes mains. Que pouvais-je faire de plus pour lui faire comprendre que je voulais qu’il continue. Pendant qu’il me léchait la mimi avec sa langue, je sentis ses mains qui commençaient à me caresser mes fesses bien dodues. Un de ses doigts se présenta à l’entrée de mon petit cul. Ce fut une sensation absolument divine quand ce doigt força lentement le passage, puis, après avoir un peu progressé, commença un lent mouvement de va-et-vient. C’était le paradis.
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