Ludovic et Vincent.
Récit érotique écrit par Gay30a18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ludovic et Vincent.
Eté 2003. Alors que je revenais tout juste de Bordeaux et que je tentais de renouer des liens avec ma mère, je dois avouer que le quartier dans lequel elle s’était installée me plaisait beaucoup. Les après-midi et les soirs, nous étions une vingtaine de gamins du coin à se rassembler afin de discuter, rigoler, chahuter, boire, fumer. Bref, nous tuons le temps comme on pouvait et à force de traîner ensemble, il était clair que nous avions formé un groupe soudé. Dans cette bande, plusieurs garçons me tapaient dans l’œil et mon homosexualité était un secret pour personne. Aucun mec de cette bande ne cherchait à m’éviter et c’était une attention qui me touchait beaucoup.
J’étais vraiment accepté tel que j’étais et cette appréciation me changeait beaucoup de mes années de collège et de lycée où j’étais la risée de tous et les amitiés difficiles. Parmi ce groupe, plusieurs garçons retenaient mon attention : Ludovic, Vincent, Alexandre, Kévin, Nicolas, Joris, Eddie et Jeremy. Pour ceux et celles qui lisent mes histoires, vous voyez très bien de qui je parle lorsque j’évoque le prénom du dernier. Il m’arrivait parfois d’avouer ouvertement quels étaient les garçons qui avaient vraiment ma préférence et les copines étaient les premières à le savoir. A cette époque, je m’étais toujours dit que je voulais une histoire sérieuse avec Joris et juste du cul avec Jeremy.
Concernant le premier, je n’ai jamais pu me le faire à mon grand regret mais quand je le croise dans la rue de temps en temps, je ne regrette rien. Alors que je ne change pas trop physiquement, Joris s’était considérablement enlaidit et forcément, cela ne l’aidait pas à se faire des conquêtes. Par contre, pour Jeremy, notre amitié a évolué en histoire de cul puis, en histoire de couple. Là encore, aucun regret. Néanmoins, avant que notre histoire bifurque sur une voie plus sérieuse, nous formions un couple plutôt libéré et en attendant que monsieur se décide pour aller plus loin, j’étais bien décidé à charmer certains pour m’ébattre avec eux le temps d’un soir.
D’ailleurs, je fus très étonné d’apprendre par une amie que Ludovic était devenu bisexuel. Ce garçon, je le connaissais depuis un sacré moment puisque cela remonte au temps où nous étions collégiens.
J’étais en train de refaire ma cinquième lorsque mon cœur se mit à battre pour Cyril, un petit sixième que je trouvais fort mignon. Malgré mes nombreuses tentatives pour lui faire comprendre qu’il ne me laissait pas indifférent, mon audace ne trouva pas le résultat espéré. Au contraire, en agissant de cette façon, j’ai nuancé mon ciel collégial avec des teintes sombres.
Alors que j’ignorais encore cet horizon qui se profilait au loin, j’ai pu faire la connaissance de certains camarades de classes de Cyril et Ludovic figurait parmi ces derniers. Dès que mes lendemains de collégien changèrent négativement, le deuxième garçon fit parti de ceux qui s’amusaient à se moquer de moi. En l’espace de quelques mois, j’étais devenu le sale pédé qui fallait corriger sans être inquiété de la moindre remontrance venant d’un quelconque adulte. Au bout de quelques mois, je ne croisais plus Ludovic dans la cour du collège et comme il était devenu quasi-insignifiant à mes yeux, je ne m’en étais pas aperçu. A la fin de ma troisième, un changement de bahut était devenu la solution pour mettre un terme au calvaire que je subissais.
Le matin de mon arrivée dans ce nouveau collège, je fis mes premiers pas dans la cour de récréation lorsque je vis Ludovic à quelques mètres plus loin. De tous les bahuts qui se situaient dans ce département, il a fallu que mes pieds me portent ici. Très vite, j’étais persuadé que la mauvaise réputation faite par Ludovic auparavant allait recommencer et je ne m’étais pas trompé. Néanmoins, au lieu de subir comme la première fois, j’ai jugé qu’il était temps d’agir pour contrer les plans machiavéliques de ce petit con. Un début d’après-midi, alors que je le croise à l’entrée des toilettes, je l’entendis me traiter de sale pédé.
Très vite, je le pris par le bras, l’entraînant dans cet endroit puant l’urine et je me fis un petit plaisir en lui défonçant sa gueule avec une petite menace à la prime. Si jamais je devais l’entendre me nommer ainsi au détour d’un couloir, je n’hésiterai pas à recommencer. Une fois mon avertissement donné, je déserte les toilettes pour retourner à mes occupations habituelles. Durant les jours qui suivirent celui-ci, pas une seule rumeur d’homosexualité ou d’autres choses ne circula à mon propos. A cette constatation, j’étais convaincu de l’efficacité des épreuves de forces et même si je déteste me montrer violent, j’étais plutôt content de moi.
Apprendre qu’il était bisexuel alors que plusieurs années auparavant, il était le premier à pointer la différence des autres me paraissait trop beau pour être vrai. De plus, je ne le trouvais pas repoussant. Il était plus grand que moi, très maigre, avait des yeux marron et une chevelure rousse et courte tandis que son teint était extrêmement blanc. Non, Ludovic n’était pas un vilain garçon, bien au contraire. Maintenant, restait à savoir si j’allais pouvoir m’amuser sexuellement avec lui et d’ailleurs, le meilleur moyen de le savoir est de saisir l’occasion lorsqu’elle se présentera.
Et c’est ce qui se passa lors d’une soirée. Alexandre, Vincent, mon frère et moi étions installés sur la banquette de la caravane dans laquelle dormait Ludovic. Comme il habitait dans la ville à côté, il était plus pratique pour lui de dormir sur place en demandant à son père de lui confier sa caravane qui fut installée sur la propriété de sa grand-mère. Alors qu’on fumait joint sur joint, mon cadet avait l’idée d’en rouler un mais avec un filtre de menthol. Comme je fumais des royal à cette époque, je lui tendis une clope bien volontiers et quelques secondes plus tard, voilà que l’étrange cigarette tourna autour de la table.
Cependant, alors que les garçons se vantaient de la curiosité du goût auparavant, le joint ne restait pas très longtemps dans leur main. Du coup, il arriva très vite dans la mienne et je me suis fit un petit plaisir de le fumer entièrement puisque personne ne voulait retenter l’expérience. Forcément, une fois que le carton reposait dans le cendrier, je n’étais plus vraiment dans mon état normal et peu à peu, la caravane devient plus calme puisque Alexandre et mon frère nous quitta. Désormais, j’étais seul avec le joli Vincent et notre hôte. Pour profiter pleinement du moment présent et continuer à me détendre au maximum, j’écoutai de la musique grâce à mon baladeur cd que j’avais emmené avec moi.
Me voyant faire, le plus jeune des deux garçons me demanda ce que j’écoutais et aussitôt la réponse connue, il voulait savoir s’il y avait moyen que je lui prête. Comme je le trouvais très mignon, je ne voyais pas pourquoi j’allais refuser et c’est gentiment que je lui passe mon baladeur. Du haut de son mètre quatre-vingt, Vincent s’allonge sur la banquette et enfonça les écouteurs dans ses oreilles. Tout d’abord, il faut croire que les garçons de sa famille sont tous beaux.
Si je dis ça, c’est parce que Vincent est le cousin d’Alexandre, le grand frère de l’un de mes derniers partenaires : Mickaël. Toutefois, les garçons ne se ressemblent pas vraiment puisque le premier est le seul à avoir les cheveux clairs. Certes, Il a un teint un peu bronzé mais sa peau reste plutôt claire par rapport aux deux autres membres de sa famille. Ses yeux sont verts et je dois avouer que c’est un garçon particulièrement sympa. Alors que Vincent continue d’écouter la musique, voilà que Ludovic se lance dans une certaine conversation.
- J’imagine que tu as su concernant ma sexualité ?
- Si tu veux parler de ta bisexualité, ma réponse est oui.
Pourquoi me disait-il ça ? Sa préférence sexuelle ne suffisait pas à en faire tout un sujet de conversation à moins que monsieur avait une idée derrière la tête. Ensuite, la curiosité sur son habitation plutôt originale s’éveilla et je ne me privai pas pour lui en parler.
- Comment se fait-il que tu dormes dans cette caravane alors que ta grand-mère aurait pu te confier une chambre ?
- Pour être libre de recevoir qui je veux. D’ailleurs, je dois regarder un truc.
Peu après, Ludovic se lève de sa banquette et va se poster devant un petit meuble qui se situe près de son siège. Très vite, il ouvre la porte, prend un carton coloré et lorsqu’il retrouve sa place, je me rends compte que l’objet qu’il tient dans ses mains n’est autre qu’un calendrier. En face de certaines dates, des prénoms sont inscrits ainsi que des symboles que je peine à distinguer clairement de là où je suis. Pendant ce temps, le propriétaire de la caravane regarde sa surface et fait une réflexion à voix haute.
- Justement, cela fait un moment que je n’ai rien fait.
- Sur quel plan ?
- Ben sexuel.
- D’accord et tu dis ça parce que je suis là ?
- Non, pourquoi ?
- Parce que j’ai cru sur le coup que tu voulais que je te donne un petit coup de mains de ce côté-là.
- Sincèrement, je ne dirais pas non si tu devais me le proposer.
- Tu es sérieux ?
- Ouais.
Je tourne mon visage vers Vincent pour être sûr que celui-ci n’écoute pas notre conversation. Sincèrement, je n’ai jamais songé à coucher avec Ludovic mais comme je ne suis pas vraiment maître de mon être à cause de ce que j’ai fumé, il est fort possible que je dise oui à la moindre proposition. De plus, avoir un mec supplémentaire à mon tableau de chasse pourrait probablement m’amuser beaucoup plus qu’autre chose. Je décide alors d’aller sur le terrain de Ludovic pour savoir ce qu’il souhaite vraiment. Alors que j’étais en train de réfléchir, le voilà qui me devance.
- Cela te dit qu’on couche ensemble ?
- Si tu veux. Quand ?
- Ben ce soir et tu pourras rester dormir avec moi si tu es d’accord.
- Entendu.
Normalement, je devais rentrer chez ma mère mais bon, pour une fois que je me montre désobéissant, je ne vois pas pourquoi elle me ferait une scène dès le lendemain. De toute façon, j’étais majeur et vacciné donc, je fais un peu ce que je veux. Tout à coup, Ludovic et moi entendons quelque chose vibrer. Très vite, nous tournons notre tête vers Vincent qui plonge sa main dans la poche droite de son pantalon et en sort son téléphone portable. Sans s’inquiéter, le jeune homme consulte le message avant de ranger son mobile.
Ensuite, il retire les écouteurs de ses oreilles, se lève de la banquette et me tend le baladeur.
- Je dois passer vite fait chez moi à cause de ma mère.
Vincent passe devant moi et forcément, j’en ai profité pour mater son joli petit cul et une fois parti de la caravane, Ludovic me demande si on pouvait commencer. Avec mon accord, nous nous levons tous les deux de nos sièges respectifs pour nous rendre dans sa petite chambre qui était séparée du reste par un panneau. Tranquillement, l’homme éteint la lumière et s’allonge sur son lit, me guidant par sa voix. Dès que ma tête se retrouve au-dessus de son entrejambe, j’attrape l’élastique de son pantalon, tire dessus et répète les gestes avec son sous-vêtement. Dès que j’avais sa queue dans ma main, je n’ai pas pu m’empêcher de lancer un « Waouh ».
Une chose est sûre, c’est que je ne m’attendais pas à ce que Ludovic soit aussi bien monté. Sa queue devait faire environ vingt centimètres et elle était suffisamment large pour que je la sente passer si jamais le monsieur avait l’idée de me visiter de l’arrière. En tout cas, je ne me fis pas prier pour le masturber doucement en guise d’hors-d’œuvre avant de glisser son gland entre mes lèvres. Pendant plusieurs secondes, je suis là à le sucer tandis que lui ne fait pas un seul bruit, ni me fait savoir si ce que je lui fais lui procure du plaisir. Je n’aime pas les mecs silencieux.
On ne sait jamais avec eux si on se débrouille bien ou pas. Lorsqu’on a l’audace de leur poser la question, ils répondent mais d’une telle façon qu’on aurait presque l’impression qu’on les dérange. Alors que je me régale de sa queue, voilà qu’on frappe contre la porte d’entrée de la caravane. Inquiet, Ludovic me demande d’arrêter et d’aller ouvrir afin de lui rendre service. Etant un garçon serviable, je n’oppose aucune difficulté et m’éloigne de mon amant dans le but de me rendre face à l’entrée de son petit chez lui monté sur roulette.
Alors que la lumière fait son apparition sous la volonté et les actions de mon partenaire, j’ouvre la porte sur le joli Vincent qui me fait un sourire lorsqu’il me voit.
- Je vous dérange ? Me demande-t-il.
- Non, pourquoi ?
- Je suis sûr que tu étais en train de sucer Ludovic ?
- Ouais et tu me dis ça parce que tu es jaloux ? Tu sais très bien que je serais super content de pouvoir te sucer un jour.
- Je le sais mais j’aurais trop peur que tu me touches le cul.
- C’est ta queue qui m’intéresse Vincent, pas ce qui se trouve de l’autre côté. Si jamais tu m’autorises à te pomper, je te fais la promesse de m’occuper que de ta bite.
- Je ne suis pas très convaincu.
- Ok ben écoute, si tu te décides dans le cours de la nuit, tu sais où me trouver.
Vincent monte dans la caravane et s’installe sur la banquette. Là, il attrape la couverture pliée qui reposait à l’extrémité du siège long et s’allonge avant d’étendre le drap sur lui. Alors qu’il se prépare à dormir, je prends soin de bien fermer le panneau qui sépare les deux parties distinctes de la caravane avant de rejoindre Ludovic dans son lit. Une fois que la lumière s’éteint, je retourne à l’entrejambe de mon amant que je m’empresse de glisser à l’intérieur de ma bouche. Vu la taille de son engin, je m’applique du mieux que je le peux afin de lui faire honneur.
Au fur et à mesure que la fellation se poursuit, je garde la présence de Vincent qui est allongé à quelques mètres de nous, dans un coin de ma tête. De temps en temps, Ludovic me parle à voix basse pour savoir quelles sont les pratiques sexuelles qu’il peut tenter avec mon accord. Il me fait part ainsi de son inexpérience dans la sodomie, aussi bien en tant qu’actif que passif. Vu l’énorme queue que l’homme possède entre les jambes et qui joue beaucoup sur mon excitation, il est clair que je suis prêt à tenter n’importe quoi avec lui. Après une conversation sur le sujet, mon amant a mon autorisation pour me pénétrer avec son beau membre.
Aussitôt, je libère sa verge et m’allonge correctement tout en écartant les jambes. Là, le rouquin se positionne derrière moi et commence à promener son gland le long de ma raie. Vu comment la situation m’excite, je n’ai pas besoin de me passer quelques doigts mouillés autour et dans mon trou afin de faciliter l’intromission. Malgré son sexe aux mensurations extraordinaires, l’homme parvient à se frayer un chemin timidement avec son gland. Lorsque celui-ci est dans mes chairs, je demande à Ludovic d’y aller doucement au tout début.
En effet, il est très rare que la plupart de mes partenaires sexuels soient aussi bien dotés et du coup, j’ai besoin d’un petit temps d’adaptation pour savoir si je suis apte à me prendre un tel truc sans broncher. Alors que mon amant avait reçu la consigne d’y aller lentement, il se montre égoïste et me l’enfonce d’un coup. Forcément, en recevant une telle verge, je ne pouvais pas me montrer discret et ce n’est pas un cri de douleur qui sort de ma bouche mais un râle de contentement. Bien sûr, Ludovic me dit d’être plus discret, ce à quoi je rétorque qu’il aurait dû respecter ma faveur. Si lui avait peur que Vincent devine nos actions nocturnes, je ne désirais qu’une seule chose de mon côté : Que ce garçon vienne nous rejoindre pour que je lui bouffe la queue.
Tandis que Ludovic me lime tout en douceur cette fois, j’écarte un peu plus les jambes pour mieux sentir les caresses que me prodiguent sa tige. De temps en temps, j’exprime ma satisfaction par des gémissements que je tente d’étouffer à l’aide d’un coussin sur mon visage mais j’étais persuadé que Vincent devait tout entendre. Au bout de plusieurs minutes, Ludovic m’interroge sur la possibilité de changer de position, ce à quoi je réponds oui. Désormais, me voilà le ventre contre le matelas tandis que mes jambes étaient davantage écartées l’une de l’autre. Ensuite, mon hébergeur s’allonge sur mon moi et ne perd pas de temps pour me remettre son organe reproducteur dans le cul.
La pénétration repart comme si aucun changement ne s’était opéré ainsi que mes expressions vocales. Alors que le traitement se poursuit à un rythme raisonnable, mes oreilles perçoivent des bruits venant de l’autre côté de la cloison. Peu de temps après, le panneau s’ouvre et Ludovic s’immobilise très vite en cas si la lumière devait refaire son apparition à l’intérieur de la caravane. Fort heureusement pour lui, rien ne se déroula comme il le craignait mais la voix de Vincent se fit entendre.
- Ca va ? Vous allez l’air de bien vous amusez tous les deux depuis tout à l’heure.
- Tu t’es enfin décidé à nous rejoindre ? Lui dis-je.
- Ouais et puis comme ça, tu n’auras plus besoin de te montrer discret pendant que Ludovic t’encule.
Heureux d’entendre que Vincent est désormais motivé pour nous rejoindre, je demande à Ludovic de se reculer un peu afin qu’on puisse laisser de la place à notre ami. Sans sortir sa queue de mon arrière-toi, le garçon s’exécute et c’est tout naturellement que je copie ses gestes. Dès que nous estimons avoir rejoint un peu plus le centre de son lit, on s’arrête et je le fais savoir à mon futur amant. Celui-ci monte sur le lit et je le soupçonne d’avoir déjà retiré son pantalon et son sous-vêtement à cause de sa facilité de déplacement.
- Jay, t’es où ?
- Ici.
Au son de ma voix, Vincent déplace sa main pour me toucher et ses doigts m’effleurent mon visage. Je la prends rapidement dans la mienne et ensuite, le garçon m’attrape le poignet pour l’approcher vers son entrejambe. Dès que mes phalanges s’enroulent autour de son chibre, je manque de défaillir tellement l’attente était au rendez-vous. Certes, la queue de Vincent était beaucoup plus menue que celle de Ludovic mais elle restait respectable. Malgré le fait que nous étions dans le noir le plus complet, je pris la décision d’estimer sa longueur en l’enfonçant entièrement dans ma bouche.
Au tout début, je m’amuse juste à lui lécher le gland alors que son propriétaire exprima son impatience en empruntant un mouvement de va-et-vient plutôt doux. Ensuite, je descendis mes lèvres jusqu’à la base et là, je constate avec délice que je peux la contenir dans ma gorge sans la moindre difficulté. Rapidement, le verdict tomba dans un coin de mon esprit : sa verge faisait dans les dix-huit centimètres voir un peu plus. Heureux d’avoir un tel jouet dans la bouche, je pris l’audace d’enfermer ses couilles dans l’une de mes mains afin de les caresser tout en le suçant. Dès que ma peau entre en contact avec la sienne, le jeune homme se mit à trembler mais n’exprima aucun refus suite à cette idée.
Sincèrement, j’étais plutôt content de partager ma première partie de jambes en l’air avec ces deux garçons. Même si on se connaissait, nous ne ressentions aucune gêne à nous amuser de la sorte et très vite, on se lâcha véritablement. Alors que je suçais avec gourmandise la queue de Vincent, celle de Ludovic me labourait les entrailles tout en veillant à ne pas me faire du mal. Cependant, avoir ces deux beaux garçons pour moi tout seul augmenta mon excitation et aussitôt, je libère mes lèvres dans le but de pouvoir m’exprimer à l’attention de Ludovic.
- Tu peux y aller franchement maintenant que Vincent est avec nous.
- Tu n’as pas peur que je te fasse souffrir ?
- Du tout.
Et suite à ce petit échange amical, Ludovic redouble la vitesse de sa pénétration et voilà que mes gémissements se manifestèrent une nouvelle fois. Afin de ne pas avoir la bouche vide, la queue de Vincent y retourna et là, je savais enfin que je prenais mon pied. Malgré le fait que Ludovic soit derrière, je sentais mon cul s’humidifier et plus je recevais ses coups de reins et plus j’en voulais encore. J’étais encore dans l’ignorance lorsque je me pose la question de savoir si j’allais pouvoir me satisfaire de ces deux mecs. Si je me suis posé la question, c’est parce que je sentais mon appétit sexuel s’agrandir au fur et à mesure que les secondes passaient.
En tout cas, j’étais vraiment fier de pouvoir pomper la queue de Vincent car cela faisait déjà un moment que je nourrissais des fantasmes sur lui. Désormais, un autre souhait le concernant me traversa l’esprit : qu’il n’éjacule pas trop vite pour que je puisse en profiter pleinement. Alors que les couilles de Ludovic claquaient contre mon cul, notre ami commun ne mit pas très longtemps pour manifester le plaisir qu’il prenait à son tour. Peu de temps après, c’est le rouquin qui mêla ses expressions aux siennes lorsqu’il posa une question au jeune homme.
- Tu veux prendre ma place ? Tu vas voir, c’est trop bon.
- Ouais mais je ne l’ai jamais fait.
- Parce que tu crois que j’avais de l’expérience dans ce domaine ?
En attendant d’avoir la réponse de Vincent, Ludovic libéra mon anus que je sentais élargit tandis que l’homme retira son préservatif. A ce moment, j’étais convaincu sur le fait que mon deuxième amant pouvait s’y glisser sans la moindre difficulté et que mon premier amant de la soirée y soit passé le premier était une très bonne chose. Maintenant que mon cul était préparé à la sodomie par une très belle queue, celle du cousin de Mickaël ne pouvait me faire que du bien. Du coup, mes deux partenaires échangèrent leur place et tandis que la grosse queue de Ludo se tendit sous mon nez, Vincent prit place derrière moi et enfila un préservatif que lui donna notre pote. Toutefois, afin de varier un peu les plaisirs, je me mis à quatre pattes en veillant bien à tendre mon cul en arrière.
Comme je m’y attendais, la queue de mon plus jeune camarade s’y enfonça sans la moindre difficulté et de mon côté, je tentais d’achever le second avec une fellation. Malgré son sexe qui était bien plus petit que le premier, le cousin de Mickaël m’attrapa par la taille et me défonça à toute vitesse pour vérifier à quel point je pouvais apprécier ses assauts. Le souci est qu’il ne faut jamais me limer de cette façon car ce sont dans ces moments que j’obtiens plus facilement mes orgasmes. D’ailleurs, le premier ne tarda pas à se manifester mais au lieu de dire à mon enculeur de ralentir, je préfère garder le silence et me régaler avec la bite de Ludo. Au moment où l’orgasme se déclare, je m’adresse au jeune actif en lui suppliant de continuer à me défoncer comme il le fait actuellement, ce qui ne lui posa aucun souci.
Vincent s’appliqua à bien me défoncer l’anus tandis que celui-ci mouillait encore plus et que mes gémissements redoublèrent. Comme j’avais la queue du rouquin dans la bouche, ces derniers étaient beaucoup moins intenses dans leur expression et de ce fait, je pouvais continuer d’offrir à mon premier pilonneur, une fellation dont j’avais le secret. Au bout d’un moment, je sentis celui-ci trembler avant que les premières gouttes de son sperme achèvent leur course dans ma bouche. Je pris bien soin de tous les accueillir sur ma langue avant d’avaler la semence et de mettre un terme à ce que je lui faisais. De son côté, Vincent n’allait pas tarder à cracher à son tour.
Lorsque le moment arriva, il ne se priva pas pour l’indiquer.
- C’est bon les gars, je vais tout balancer là.
Je sentis son membre se libérer dans mon postérieur et même si je suis du genre très prudent avec mes partenaires, j’étais un peu prit de remord à cause de l’imposition de la capote. Vincent me rendait tellement dingue que j’aurais voulu accueillir son sperme à l’intérieur de moi sans le moindre morceau de plastique. Dès que les deux garçons furent calmés avec leur tension sexuelle réciproque, ils me demandèrent de m’allonger sur le dos tandis que ses derniers prirent chacun position à mes côtés. Sous leurs caresses et le désir de m’entendre cracher à mon tour, je m’exécute dans une dernière masturbation afin de satisfaire leur souhait. Une fois que mes bourses étaient vides de leur liquide blanc, Ludovic bondit hors de son lit, alluma la lumière et s’empara d’un rouleau de sopalin qui reposait sur le meuble de la caravane.
Après un petit brin de toilettes respectif, nous prîmes la décision de tous dormir dans le même lit puisque celui de Ludo était suffisamment grand pour y recevoir quatre personnes en même temps voir plus. Durant la nuit, les deux garçons n’hésitèrent pas à solliciter mes services et forcément, je ne me fis pas prier.
Par la suite, nos chemins ont prit différentes voies pour que chacun d’entre eux puisse grandir et faire son propre apprentissage de la vie. Néanmoins, rien ne m’avait indiqué que je reverrai l’un d’entre eux, bien des années plus tard mais ça, c’est une autre histoire.
J’étais vraiment accepté tel que j’étais et cette appréciation me changeait beaucoup de mes années de collège et de lycée où j’étais la risée de tous et les amitiés difficiles. Parmi ce groupe, plusieurs garçons retenaient mon attention : Ludovic, Vincent, Alexandre, Kévin, Nicolas, Joris, Eddie et Jeremy. Pour ceux et celles qui lisent mes histoires, vous voyez très bien de qui je parle lorsque j’évoque le prénom du dernier. Il m’arrivait parfois d’avouer ouvertement quels étaient les garçons qui avaient vraiment ma préférence et les copines étaient les premières à le savoir. A cette époque, je m’étais toujours dit que je voulais une histoire sérieuse avec Joris et juste du cul avec Jeremy.
Concernant le premier, je n’ai jamais pu me le faire à mon grand regret mais quand je le croise dans la rue de temps en temps, je ne regrette rien. Alors que je ne change pas trop physiquement, Joris s’était considérablement enlaidit et forcément, cela ne l’aidait pas à se faire des conquêtes. Par contre, pour Jeremy, notre amitié a évolué en histoire de cul puis, en histoire de couple. Là encore, aucun regret. Néanmoins, avant que notre histoire bifurque sur une voie plus sérieuse, nous formions un couple plutôt libéré et en attendant que monsieur se décide pour aller plus loin, j’étais bien décidé à charmer certains pour m’ébattre avec eux le temps d’un soir.
D’ailleurs, je fus très étonné d’apprendre par une amie que Ludovic était devenu bisexuel. Ce garçon, je le connaissais depuis un sacré moment puisque cela remonte au temps où nous étions collégiens.
J’étais en train de refaire ma cinquième lorsque mon cœur se mit à battre pour Cyril, un petit sixième que je trouvais fort mignon. Malgré mes nombreuses tentatives pour lui faire comprendre qu’il ne me laissait pas indifférent, mon audace ne trouva pas le résultat espéré. Au contraire, en agissant de cette façon, j’ai nuancé mon ciel collégial avec des teintes sombres.
Alors que j’ignorais encore cet horizon qui se profilait au loin, j’ai pu faire la connaissance de certains camarades de classes de Cyril et Ludovic figurait parmi ces derniers. Dès que mes lendemains de collégien changèrent négativement, le deuxième garçon fit parti de ceux qui s’amusaient à se moquer de moi. En l’espace de quelques mois, j’étais devenu le sale pédé qui fallait corriger sans être inquiété de la moindre remontrance venant d’un quelconque adulte. Au bout de quelques mois, je ne croisais plus Ludovic dans la cour du collège et comme il était devenu quasi-insignifiant à mes yeux, je ne m’en étais pas aperçu. A la fin de ma troisième, un changement de bahut était devenu la solution pour mettre un terme au calvaire que je subissais.
Le matin de mon arrivée dans ce nouveau collège, je fis mes premiers pas dans la cour de récréation lorsque je vis Ludovic à quelques mètres plus loin. De tous les bahuts qui se situaient dans ce département, il a fallu que mes pieds me portent ici. Très vite, j’étais persuadé que la mauvaise réputation faite par Ludovic auparavant allait recommencer et je ne m’étais pas trompé. Néanmoins, au lieu de subir comme la première fois, j’ai jugé qu’il était temps d’agir pour contrer les plans machiavéliques de ce petit con. Un début d’après-midi, alors que je le croise à l’entrée des toilettes, je l’entendis me traiter de sale pédé.
Très vite, je le pris par le bras, l’entraînant dans cet endroit puant l’urine et je me fis un petit plaisir en lui défonçant sa gueule avec une petite menace à la prime. Si jamais je devais l’entendre me nommer ainsi au détour d’un couloir, je n’hésiterai pas à recommencer. Une fois mon avertissement donné, je déserte les toilettes pour retourner à mes occupations habituelles. Durant les jours qui suivirent celui-ci, pas une seule rumeur d’homosexualité ou d’autres choses ne circula à mon propos. A cette constatation, j’étais convaincu de l’efficacité des épreuves de forces et même si je déteste me montrer violent, j’étais plutôt content de moi.
Apprendre qu’il était bisexuel alors que plusieurs années auparavant, il était le premier à pointer la différence des autres me paraissait trop beau pour être vrai. De plus, je ne le trouvais pas repoussant. Il était plus grand que moi, très maigre, avait des yeux marron et une chevelure rousse et courte tandis que son teint était extrêmement blanc. Non, Ludovic n’était pas un vilain garçon, bien au contraire. Maintenant, restait à savoir si j’allais pouvoir m’amuser sexuellement avec lui et d’ailleurs, le meilleur moyen de le savoir est de saisir l’occasion lorsqu’elle se présentera.
Et c’est ce qui se passa lors d’une soirée. Alexandre, Vincent, mon frère et moi étions installés sur la banquette de la caravane dans laquelle dormait Ludovic. Comme il habitait dans la ville à côté, il était plus pratique pour lui de dormir sur place en demandant à son père de lui confier sa caravane qui fut installée sur la propriété de sa grand-mère. Alors qu’on fumait joint sur joint, mon cadet avait l’idée d’en rouler un mais avec un filtre de menthol. Comme je fumais des royal à cette époque, je lui tendis une clope bien volontiers et quelques secondes plus tard, voilà que l’étrange cigarette tourna autour de la table.
Cependant, alors que les garçons se vantaient de la curiosité du goût auparavant, le joint ne restait pas très longtemps dans leur main. Du coup, il arriva très vite dans la mienne et je me suis fit un petit plaisir de le fumer entièrement puisque personne ne voulait retenter l’expérience. Forcément, une fois que le carton reposait dans le cendrier, je n’étais plus vraiment dans mon état normal et peu à peu, la caravane devient plus calme puisque Alexandre et mon frère nous quitta. Désormais, j’étais seul avec le joli Vincent et notre hôte. Pour profiter pleinement du moment présent et continuer à me détendre au maximum, j’écoutai de la musique grâce à mon baladeur cd que j’avais emmené avec moi.
Me voyant faire, le plus jeune des deux garçons me demanda ce que j’écoutais et aussitôt la réponse connue, il voulait savoir s’il y avait moyen que je lui prête. Comme je le trouvais très mignon, je ne voyais pas pourquoi j’allais refuser et c’est gentiment que je lui passe mon baladeur. Du haut de son mètre quatre-vingt, Vincent s’allonge sur la banquette et enfonça les écouteurs dans ses oreilles. Tout d’abord, il faut croire que les garçons de sa famille sont tous beaux.
Si je dis ça, c’est parce que Vincent est le cousin d’Alexandre, le grand frère de l’un de mes derniers partenaires : Mickaël. Toutefois, les garçons ne se ressemblent pas vraiment puisque le premier est le seul à avoir les cheveux clairs. Certes, Il a un teint un peu bronzé mais sa peau reste plutôt claire par rapport aux deux autres membres de sa famille. Ses yeux sont verts et je dois avouer que c’est un garçon particulièrement sympa. Alors que Vincent continue d’écouter la musique, voilà que Ludovic se lance dans une certaine conversation.
- J’imagine que tu as su concernant ma sexualité ?
- Si tu veux parler de ta bisexualité, ma réponse est oui.
Pourquoi me disait-il ça ? Sa préférence sexuelle ne suffisait pas à en faire tout un sujet de conversation à moins que monsieur avait une idée derrière la tête. Ensuite, la curiosité sur son habitation plutôt originale s’éveilla et je ne me privai pas pour lui en parler.
- Comment se fait-il que tu dormes dans cette caravane alors que ta grand-mère aurait pu te confier une chambre ?
- Pour être libre de recevoir qui je veux. D’ailleurs, je dois regarder un truc.
Peu après, Ludovic se lève de sa banquette et va se poster devant un petit meuble qui se situe près de son siège. Très vite, il ouvre la porte, prend un carton coloré et lorsqu’il retrouve sa place, je me rends compte que l’objet qu’il tient dans ses mains n’est autre qu’un calendrier. En face de certaines dates, des prénoms sont inscrits ainsi que des symboles que je peine à distinguer clairement de là où je suis. Pendant ce temps, le propriétaire de la caravane regarde sa surface et fait une réflexion à voix haute.
- Justement, cela fait un moment que je n’ai rien fait.
- Sur quel plan ?
- Ben sexuel.
- D’accord et tu dis ça parce que je suis là ?
- Non, pourquoi ?
- Parce que j’ai cru sur le coup que tu voulais que je te donne un petit coup de mains de ce côté-là.
- Sincèrement, je ne dirais pas non si tu devais me le proposer.
- Tu es sérieux ?
- Ouais.
Je tourne mon visage vers Vincent pour être sûr que celui-ci n’écoute pas notre conversation. Sincèrement, je n’ai jamais songé à coucher avec Ludovic mais comme je ne suis pas vraiment maître de mon être à cause de ce que j’ai fumé, il est fort possible que je dise oui à la moindre proposition. De plus, avoir un mec supplémentaire à mon tableau de chasse pourrait probablement m’amuser beaucoup plus qu’autre chose. Je décide alors d’aller sur le terrain de Ludovic pour savoir ce qu’il souhaite vraiment. Alors que j’étais en train de réfléchir, le voilà qui me devance.
- Cela te dit qu’on couche ensemble ?
- Si tu veux. Quand ?
- Ben ce soir et tu pourras rester dormir avec moi si tu es d’accord.
- Entendu.
Normalement, je devais rentrer chez ma mère mais bon, pour une fois que je me montre désobéissant, je ne vois pas pourquoi elle me ferait une scène dès le lendemain. De toute façon, j’étais majeur et vacciné donc, je fais un peu ce que je veux. Tout à coup, Ludovic et moi entendons quelque chose vibrer. Très vite, nous tournons notre tête vers Vincent qui plonge sa main dans la poche droite de son pantalon et en sort son téléphone portable. Sans s’inquiéter, le jeune homme consulte le message avant de ranger son mobile.
Ensuite, il retire les écouteurs de ses oreilles, se lève de la banquette et me tend le baladeur.
- Je dois passer vite fait chez moi à cause de ma mère.
Vincent passe devant moi et forcément, j’en ai profité pour mater son joli petit cul et une fois parti de la caravane, Ludovic me demande si on pouvait commencer. Avec mon accord, nous nous levons tous les deux de nos sièges respectifs pour nous rendre dans sa petite chambre qui était séparée du reste par un panneau. Tranquillement, l’homme éteint la lumière et s’allonge sur son lit, me guidant par sa voix. Dès que ma tête se retrouve au-dessus de son entrejambe, j’attrape l’élastique de son pantalon, tire dessus et répète les gestes avec son sous-vêtement. Dès que j’avais sa queue dans ma main, je n’ai pas pu m’empêcher de lancer un « Waouh ».
Une chose est sûre, c’est que je ne m’attendais pas à ce que Ludovic soit aussi bien monté. Sa queue devait faire environ vingt centimètres et elle était suffisamment large pour que je la sente passer si jamais le monsieur avait l’idée de me visiter de l’arrière. En tout cas, je ne me fis pas prier pour le masturber doucement en guise d’hors-d’œuvre avant de glisser son gland entre mes lèvres. Pendant plusieurs secondes, je suis là à le sucer tandis que lui ne fait pas un seul bruit, ni me fait savoir si ce que je lui fais lui procure du plaisir. Je n’aime pas les mecs silencieux.
On ne sait jamais avec eux si on se débrouille bien ou pas. Lorsqu’on a l’audace de leur poser la question, ils répondent mais d’une telle façon qu’on aurait presque l’impression qu’on les dérange. Alors que je me régale de sa queue, voilà qu’on frappe contre la porte d’entrée de la caravane. Inquiet, Ludovic me demande d’arrêter et d’aller ouvrir afin de lui rendre service. Etant un garçon serviable, je n’oppose aucune difficulté et m’éloigne de mon amant dans le but de me rendre face à l’entrée de son petit chez lui monté sur roulette.
Alors que la lumière fait son apparition sous la volonté et les actions de mon partenaire, j’ouvre la porte sur le joli Vincent qui me fait un sourire lorsqu’il me voit.
- Je vous dérange ? Me demande-t-il.
- Non, pourquoi ?
- Je suis sûr que tu étais en train de sucer Ludovic ?
- Ouais et tu me dis ça parce que tu es jaloux ? Tu sais très bien que je serais super content de pouvoir te sucer un jour.
- Je le sais mais j’aurais trop peur que tu me touches le cul.
- C’est ta queue qui m’intéresse Vincent, pas ce qui se trouve de l’autre côté. Si jamais tu m’autorises à te pomper, je te fais la promesse de m’occuper que de ta bite.
- Je ne suis pas très convaincu.
- Ok ben écoute, si tu te décides dans le cours de la nuit, tu sais où me trouver.
Vincent monte dans la caravane et s’installe sur la banquette. Là, il attrape la couverture pliée qui reposait à l’extrémité du siège long et s’allonge avant d’étendre le drap sur lui. Alors qu’il se prépare à dormir, je prends soin de bien fermer le panneau qui sépare les deux parties distinctes de la caravane avant de rejoindre Ludovic dans son lit. Une fois que la lumière s’éteint, je retourne à l’entrejambe de mon amant que je m’empresse de glisser à l’intérieur de ma bouche. Vu la taille de son engin, je m’applique du mieux que je le peux afin de lui faire honneur.
Au fur et à mesure que la fellation se poursuit, je garde la présence de Vincent qui est allongé à quelques mètres de nous, dans un coin de ma tête. De temps en temps, Ludovic me parle à voix basse pour savoir quelles sont les pratiques sexuelles qu’il peut tenter avec mon accord. Il me fait part ainsi de son inexpérience dans la sodomie, aussi bien en tant qu’actif que passif. Vu l’énorme queue que l’homme possède entre les jambes et qui joue beaucoup sur mon excitation, il est clair que je suis prêt à tenter n’importe quoi avec lui. Après une conversation sur le sujet, mon amant a mon autorisation pour me pénétrer avec son beau membre.
Aussitôt, je libère sa verge et m’allonge correctement tout en écartant les jambes. Là, le rouquin se positionne derrière moi et commence à promener son gland le long de ma raie. Vu comment la situation m’excite, je n’ai pas besoin de me passer quelques doigts mouillés autour et dans mon trou afin de faciliter l’intromission. Malgré son sexe aux mensurations extraordinaires, l’homme parvient à se frayer un chemin timidement avec son gland. Lorsque celui-ci est dans mes chairs, je demande à Ludovic d’y aller doucement au tout début.
En effet, il est très rare que la plupart de mes partenaires sexuels soient aussi bien dotés et du coup, j’ai besoin d’un petit temps d’adaptation pour savoir si je suis apte à me prendre un tel truc sans broncher. Alors que mon amant avait reçu la consigne d’y aller lentement, il se montre égoïste et me l’enfonce d’un coup. Forcément, en recevant une telle verge, je ne pouvais pas me montrer discret et ce n’est pas un cri de douleur qui sort de ma bouche mais un râle de contentement. Bien sûr, Ludovic me dit d’être plus discret, ce à quoi je rétorque qu’il aurait dû respecter ma faveur. Si lui avait peur que Vincent devine nos actions nocturnes, je ne désirais qu’une seule chose de mon côté : Que ce garçon vienne nous rejoindre pour que je lui bouffe la queue.
Tandis que Ludovic me lime tout en douceur cette fois, j’écarte un peu plus les jambes pour mieux sentir les caresses que me prodiguent sa tige. De temps en temps, j’exprime ma satisfaction par des gémissements que je tente d’étouffer à l’aide d’un coussin sur mon visage mais j’étais persuadé que Vincent devait tout entendre. Au bout de plusieurs minutes, Ludovic m’interroge sur la possibilité de changer de position, ce à quoi je réponds oui. Désormais, me voilà le ventre contre le matelas tandis que mes jambes étaient davantage écartées l’une de l’autre. Ensuite, mon hébergeur s’allonge sur mon moi et ne perd pas de temps pour me remettre son organe reproducteur dans le cul.
La pénétration repart comme si aucun changement ne s’était opéré ainsi que mes expressions vocales. Alors que le traitement se poursuit à un rythme raisonnable, mes oreilles perçoivent des bruits venant de l’autre côté de la cloison. Peu de temps après, le panneau s’ouvre et Ludovic s’immobilise très vite en cas si la lumière devait refaire son apparition à l’intérieur de la caravane. Fort heureusement pour lui, rien ne se déroula comme il le craignait mais la voix de Vincent se fit entendre.
- Ca va ? Vous allez l’air de bien vous amusez tous les deux depuis tout à l’heure.
- Tu t’es enfin décidé à nous rejoindre ? Lui dis-je.
- Ouais et puis comme ça, tu n’auras plus besoin de te montrer discret pendant que Ludovic t’encule.
Heureux d’entendre que Vincent est désormais motivé pour nous rejoindre, je demande à Ludovic de se reculer un peu afin qu’on puisse laisser de la place à notre ami. Sans sortir sa queue de mon arrière-toi, le garçon s’exécute et c’est tout naturellement que je copie ses gestes. Dès que nous estimons avoir rejoint un peu plus le centre de son lit, on s’arrête et je le fais savoir à mon futur amant. Celui-ci monte sur le lit et je le soupçonne d’avoir déjà retiré son pantalon et son sous-vêtement à cause de sa facilité de déplacement.
- Jay, t’es où ?
- Ici.
Au son de ma voix, Vincent déplace sa main pour me toucher et ses doigts m’effleurent mon visage. Je la prends rapidement dans la mienne et ensuite, le garçon m’attrape le poignet pour l’approcher vers son entrejambe. Dès que mes phalanges s’enroulent autour de son chibre, je manque de défaillir tellement l’attente était au rendez-vous. Certes, la queue de Vincent était beaucoup plus menue que celle de Ludovic mais elle restait respectable. Malgré le fait que nous étions dans le noir le plus complet, je pris la décision d’estimer sa longueur en l’enfonçant entièrement dans ma bouche.
Au tout début, je m’amuse juste à lui lécher le gland alors que son propriétaire exprima son impatience en empruntant un mouvement de va-et-vient plutôt doux. Ensuite, je descendis mes lèvres jusqu’à la base et là, je constate avec délice que je peux la contenir dans ma gorge sans la moindre difficulté. Rapidement, le verdict tomba dans un coin de mon esprit : sa verge faisait dans les dix-huit centimètres voir un peu plus. Heureux d’avoir un tel jouet dans la bouche, je pris l’audace d’enfermer ses couilles dans l’une de mes mains afin de les caresser tout en le suçant. Dès que ma peau entre en contact avec la sienne, le jeune homme se mit à trembler mais n’exprima aucun refus suite à cette idée.
Sincèrement, j’étais plutôt content de partager ma première partie de jambes en l’air avec ces deux garçons. Même si on se connaissait, nous ne ressentions aucune gêne à nous amuser de la sorte et très vite, on se lâcha véritablement. Alors que je suçais avec gourmandise la queue de Vincent, celle de Ludovic me labourait les entrailles tout en veillant à ne pas me faire du mal. Cependant, avoir ces deux beaux garçons pour moi tout seul augmenta mon excitation et aussitôt, je libère mes lèvres dans le but de pouvoir m’exprimer à l’attention de Ludovic.
- Tu peux y aller franchement maintenant que Vincent est avec nous.
- Tu n’as pas peur que je te fasse souffrir ?
- Du tout.
Et suite à ce petit échange amical, Ludovic redouble la vitesse de sa pénétration et voilà que mes gémissements se manifestèrent une nouvelle fois. Afin de ne pas avoir la bouche vide, la queue de Vincent y retourna et là, je savais enfin que je prenais mon pied. Malgré le fait que Ludovic soit derrière, je sentais mon cul s’humidifier et plus je recevais ses coups de reins et plus j’en voulais encore. J’étais encore dans l’ignorance lorsque je me pose la question de savoir si j’allais pouvoir me satisfaire de ces deux mecs. Si je me suis posé la question, c’est parce que je sentais mon appétit sexuel s’agrandir au fur et à mesure que les secondes passaient.
En tout cas, j’étais vraiment fier de pouvoir pomper la queue de Vincent car cela faisait déjà un moment que je nourrissais des fantasmes sur lui. Désormais, un autre souhait le concernant me traversa l’esprit : qu’il n’éjacule pas trop vite pour que je puisse en profiter pleinement. Alors que les couilles de Ludovic claquaient contre mon cul, notre ami commun ne mit pas très longtemps pour manifester le plaisir qu’il prenait à son tour. Peu de temps après, c’est le rouquin qui mêla ses expressions aux siennes lorsqu’il posa une question au jeune homme.
- Tu veux prendre ma place ? Tu vas voir, c’est trop bon.
- Ouais mais je ne l’ai jamais fait.
- Parce que tu crois que j’avais de l’expérience dans ce domaine ?
En attendant d’avoir la réponse de Vincent, Ludovic libéra mon anus que je sentais élargit tandis que l’homme retira son préservatif. A ce moment, j’étais convaincu sur le fait que mon deuxième amant pouvait s’y glisser sans la moindre difficulté et que mon premier amant de la soirée y soit passé le premier était une très bonne chose. Maintenant que mon cul était préparé à la sodomie par une très belle queue, celle du cousin de Mickaël ne pouvait me faire que du bien. Du coup, mes deux partenaires échangèrent leur place et tandis que la grosse queue de Ludo se tendit sous mon nez, Vincent prit place derrière moi et enfila un préservatif que lui donna notre pote. Toutefois, afin de varier un peu les plaisirs, je me mis à quatre pattes en veillant bien à tendre mon cul en arrière.
Comme je m’y attendais, la queue de mon plus jeune camarade s’y enfonça sans la moindre difficulté et de mon côté, je tentais d’achever le second avec une fellation. Malgré son sexe qui était bien plus petit que le premier, le cousin de Mickaël m’attrapa par la taille et me défonça à toute vitesse pour vérifier à quel point je pouvais apprécier ses assauts. Le souci est qu’il ne faut jamais me limer de cette façon car ce sont dans ces moments que j’obtiens plus facilement mes orgasmes. D’ailleurs, le premier ne tarda pas à se manifester mais au lieu de dire à mon enculeur de ralentir, je préfère garder le silence et me régaler avec la bite de Ludo. Au moment où l’orgasme se déclare, je m’adresse au jeune actif en lui suppliant de continuer à me défoncer comme il le fait actuellement, ce qui ne lui posa aucun souci.
Vincent s’appliqua à bien me défoncer l’anus tandis que celui-ci mouillait encore plus et que mes gémissements redoublèrent. Comme j’avais la queue du rouquin dans la bouche, ces derniers étaient beaucoup moins intenses dans leur expression et de ce fait, je pouvais continuer d’offrir à mon premier pilonneur, une fellation dont j’avais le secret. Au bout d’un moment, je sentis celui-ci trembler avant que les premières gouttes de son sperme achèvent leur course dans ma bouche. Je pris bien soin de tous les accueillir sur ma langue avant d’avaler la semence et de mettre un terme à ce que je lui faisais. De son côté, Vincent n’allait pas tarder à cracher à son tour.
Lorsque le moment arriva, il ne se priva pas pour l’indiquer.
- C’est bon les gars, je vais tout balancer là.
Je sentis son membre se libérer dans mon postérieur et même si je suis du genre très prudent avec mes partenaires, j’étais un peu prit de remord à cause de l’imposition de la capote. Vincent me rendait tellement dingue que j’aurais voulu accueillir son sperme à l’intérieur de moi sans le moindre morceau de plastique. Dès que les deux garçons furent calmés avec leur tension sexuelle réciproque, ils me demandèrent de m’allonger sur le dos tandis que ses derniers prirent chacun position à mes côtés. Sous leurs caresses et le désir de m’entendre cracher à mon tour, je m’exécute dans une dernière masturbation afin de satisfaire leur souhait. Une fois que mes bourses étaient vides de leur liquide blanc, Ludovic bondit hors de son lit, alluma la lumière et s’empara d’un rouleau de sopalin qui reposait sur le meuble de la caravane.
Après un petit brin de toilettes respectif, nous prîmes la décision de tous dormir dans le même lit puisque celui de Ludo était suffisamment grand pour y recevoir quatre personnes en même temps voir plus. Durant la nuit, les deux garçons n’hésitèrent pas à solliciter mes services et forcément, je ne me fis pas prier.
Par la suite, nos chemins ont prit différentes voies pour que chacun d’entre eux puisse grandir et faire son propre apprentissage de la vie. Néanmoins, rien ne m’avait indiqué que je reverrai l’un d’entre eux, bien des années plus tard mais ça, c’est une autre histoire.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce commentaire :)
Histoire très réussie, très excitante. Quelle chance as-tu eu dans ta vie d'être entouré d'autant amis et proches prêts à baiser avec toi !!!
Merci pour le commentaire et je suis en train de rédiger un nouveau chapitre concernant Jeremy.
Pas mal du tout cette partie à trois. Continuez à nous faire plaisir de cette manière
en nous livrant la suite de vos aventures avec les premiers garçons que vous avez aimés et désirés (je pense notamment à ce Jeremy).
en nous livrant la suite de vos aventures avec les premiers garçons que vous avez aimés et désirés (je pense notamment à ce Jeremy).