Lueur automnale

Récit érotique écrit par Maryaline 69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 7 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Maryaline 69 ont reçu un total de 24 490 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 3 516 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Lueur automnale
L’automne allume des lueurs dorées dans la forêt.
Je rêve dans l’obscurité naissante d'un soleil couchant. Un inconnu me regarde avec envie. Il me désire déjà. Il se demande où vont mes pensées et quelles sont mes fantasmes.
A 18ans, je suis déjà une experte en caresses. Souvent, quand je me sais seule, j'aime me faire du bien dans la nature.
Très jeune, j'avais découvert les plaisirs solitaires quand une drôle de pression secouait mon ventre. Ce devenait un vice qui a vite fait place à d’autres façons de faire quand, en me lavant un matin sous la douche, le jet a dérapé sur ma chatte. J'ouvris mes lèvres intimes pour mieux sentir le jet sur le bouton sensible. L’orgasme suivant me convainquait de recommencer souvent.
Cette fin d’après midi est faite pour la rencontre entre deux êtres portés vers le plaisir. Je sais que seule une queue dans mon ventre me rendra pleinement heureuse. Lui se voit déjà entrain de me besogner et sait que s’il éjacule en moi en me faisant jouir, il se sentira délivré.
Sans un mot, Alain s'approche et me fait un signe. Surprise, je me tends un instant, mais en fait je n'attends que ça. J'ouvre alors lentement les jambes. M'exhiber fait parti de mes préférences. Je passe ostensiblement une main entre mes cuisses pour lui montrer mon sexe humide de désir. Provocatrice, je visite mon vagin humide avec mes doigts. Je fais ce que j'aime, même si cette fois c'est devant un inconnu. Qu’importe si je joue la salope et sois vue si je prends du plaisir. J'écarte mes lèvres intimes avec deux doigts et fais sortir le clitoris du capuchon. L'inconnu reste à distance et me mate sans un mot. Le doigt sur mon bouton, je sais que je vais m’envoler. J’accélère le mouvement en regardant le garçon droit dans les yeux.
Je n'ai qu'une seule envie, qu’il intervienne pour me branler ou lui sucer la queue. Comme réponse, Alain ouvre sa braguette, sort sa queue et see branle aussi en regardant ma main me faire du bien. J'aime voir ce garçon se donner du plaisir grâce à moi. Il s'approche et maintenant sa queue est à portée de mes lèvres. J'ouvre la bouche et il ne se fait pas prier pour y pénétrer. Je me ses de lui pour prendre un autre plaisir. Cette nouvelle caresse me donne des frison alors que j'aspire sa tige avec gourmandise.
Mais, trop excitée, je veux le sentir dans mon ventre.Je me met à quatre pattes et lui présente mes fesses comme une offrande. Aussitôt il plonge dans mon coquillage détrempé et commence de divins vas et vient. Je remue mon bassin pour mieux le sentir.
Je me laisse bercer par l’orgasme qui arrive.
Il n’en faut pas beaucoup plus pour que le sperme sorte en bouillon du méat et qu'il gicle dans mon ventre.
Je veux le goûter et je me précipite sur sa tige pour soigneusement nettoyés cette tige qui m'a donné tant de plaisir. Alain s’en veut d’avoir joui si vite. Je le comprend quand je lui léche la queue. Je tente de le faire rebander à nouveau. J'y arrive et c'est comme une victoire pour moi.
Une main va se perdre entre mes fesses. Je le laisse faire. Un doigt trouve le passage vers mon anus où il s’enfonce en entier. Mon cul se referme un peu, et il continue sa recherche. Alain bande encore plus. Je lui présente un peu plus mes fesses. Il y a un trop long moment que je ne me suis pas faite sodomiser. La queue que ja convoite me plaît assez. En levrette, lui juste derrière ùoi, je sens sa queue juste entre mes fesses. Je la prends dans la main et la dirige vers mon œillet palpitant. Je alors qu'il pousse doucement pour me pénétrer. En m'ouvrant les fesses, je lui facilite le passage étroit.
Alain a rarement vu une fille se donner ainsi. La plus part du temps, les filles refusent de se faire mettre par le petit trou.
Je sens la queue m'élargir doucement le petit trou et envahir mon ventre. Il entame de long vas et vient, et miracle de cette sodomie amoureuse, nous jouissons ensemble. Il m'asperge le dos de longs jets de sperme, alors que je suis prise de spasmes de plaisir.
Je rêve dans l’obscurité naissante d'un soleil couchant. Un inconnu me regarde avec envie. Il me désire déjà. Il se demande où vont mes pensées et quelles sont mes fantasmes.
A 18ans, je suis déjà une experte en caresses. Souvent, quand je me sais seule, j'aime me faire du bien dans la nature.
Très jeune, j'avais découvert les plaisirs solitaires quand une drôle de pression secouait mon ventre. Ce devenait un vice qui a vite fait place à d’autres façons de faire quand, en me lavant un matin sous la douche, le jet a dérapé sur ma chatte. J'ouvris mes lèvres intimes pour mieux sentir le jet sur le bouton sensible. L’orgasme suivant me convainquait de recommencer souvent.
Cette fin d’après midi est faite pour la rencontre entre deux êtres portés vers le plaisir. Je sais que seule une queue dans mon ventre me rendra pleinement heureuse. Lui se voit déjà entrain de me besogner et sait que s’il éjacule en moi en me faisant jouir, il se sentira délivré.
Sans un mot, Alain s'approche et me fait un signe. Surprise, je me tends un instant, mais en fait je n'attends que ça. J'ouvre alors lentement les jambes. M'exhiber fait parti de mes préférences. Je passe ostensiblement une main entre mes cuisses pour lui montrer mon sexe humide de désir. Provocatrice, je visite mon vagin humide avec mes doigts. Je fais ce que j'aime, même si cette fois c'est devant un inconnu. Qu’importe si je joue la salope et sois vue si je prends du plaisir. J'écarte mes lèvres intimes avec deux doigts et fais sortir le clitoris du capuchon. L'inconnu reste à distance et me mate sans un mot. Le doigt sur mon bouton, je sais que je vais m’envoler. J’accélère le mouvement en regardant le garçon droit dans les yeux.
Je n'ai qu'une seule envie, qu’il intervienne pour me branler ou lui sucer la queue. Comme réponse, Alain ouvre sa braguette, sort sa queue et see branle aussi en regardant ma main me faire du bien. J'aime voir ce garçon se donner du plaisir grâce à moi. Il s'approche et maintenant sa queue est à portée de mes lèvres. J'ouvre la bouche et il ne se fait pas prier pour y pénétrer. Je me ses de lui pour prendre un autre plaisir. Cette nouvelle caresse me donne des frison alors que j'aspire sa tige avec gourmandise.
Mais, trop excitée, je veux le sentir dans mon ventre.Je me met à quatre pattes et lui présente mes fesses comme une offrande. Aussitôt il plonge dans mon coquillage détrempé et commence de divins vas et vient. Je remue mon bassin pour mieux le sentir.
Je me laisse bercer par l’orgasme qui arrive.
Il n’en faut pas beaucoup plus pour que le sperme sorte en bouillon du méat et qu'il gicle dans mon ventre.
Je veux le goûter et je me précipite sur sa tige pour soigneusement nettoyés cette tige qui m'a donné tant de plaisir. Alain s’en veut d’avoir joui si vite. Je le comprend quand je lui léche la queue. Je tente de le faire rebander à nouveau. J'y arrive et c'est comme une victoire pour moi.
Une main va se perdre entre mes fesses. Je le laisse faire. Un doigt trouve le passage vers mon anus où il s’enfonce en entier. Mon cul se referme un peu, et il continue sa recherche. Alain bande encore plus. Je lui présente un peu plus mes fesses. Il y a un trop long moment que je ne me suis pas faite sodomiser. La queue que ja convoite me plaît assez. En levrette, lui juste derrière ùoi, je sens sa queue juste entre mes fesses. Je la prends dans la main et la dirige vers mon œillet palpitant. Je alors qu'il pousse doucement pour me pénétrer. En m'ouvrant les fesses, je lui facilite le passage étroit.
Alain a rarement vu une fille se donner ainsi. La plus part du temps, les filles refusent de se faire mettre par le petit trou.
Je sens la queue m'élargir doucement le petit trou et envahir mon ventre. Il entame de long vas et vient, et miracle de cette sodomie amoureuse, nous jouissons ensemble. Il m'asperge le dos de longs jets de sperme, alors que je suis prise de spasmes de plaisir.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Maryaline 69
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour ma libido, l'arrivée du prénom "Alain" dans le récit, atténue son érotisme qui trouve sa richesse dans le fait que la relation se fait avec un inconnu. Toutefois j'aime beaucoup ces textes féminins.
Histoire très excitante et très bien ecrite !
J'adore ! Et que dire de ce magnifique sourire sur la photo de profil !
A très vite pour une prochaine lecture...
J'adore ! Et que dire de ce magnifique sourire sur la photo de profil !
A très vite pour une prochaine lecture...
Histoire rapide courte complète sur le plan erotique manque de précision et de détails mais ce n’est qu’un fantasme

