Lui
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lui
Nous devons partir quelques jours en voyage d’agrément (d’amoureux pour dire la vérité). C‘étais notre première escapade depuis longtemps. Nous en avions besoin avec Lui, mon chéri. Je ne l’ai jamais trompé, lui l’a fait une fois avec sa première petite amie. Il me l’a avoué aussitôt. J’ai oublié quand il m’a fait l’amour divinement bien.
Nous avons choisi un trou pour être réellement seuls. L’hôtel sans étoiles, mais d’un confort remarquable nous convenait parfaitement. Surtout le personnel. A table, dès que nous finissions un verre, la serveuse venait le remplir à nouveau.
Dès la première nuit j’ai eu envie de me faire baiser. Il était fatigué de la journée de conduite. Il m’a expédiée, juste le temps de bander, de me la mettre par devant, jouir et s’endormir. Il m’a fallut aller dans la salle de bain, ouvrir les robinets du bidet. C’était la première fois que j’avais vu un tel accessoire dans uns salle de bain. Outre le fait de se laver les fesses et les pieds, il permet également de faire jaillir un jet vertical destiné à le recevoir, pour les femmes, dans les endroits sensibles, pour se laver après l’amour.
Assisse sur ce jet j’avais des sensations formidables sur la chatte. J’ai pu me branler ainsi le clitoris, l’entrée du puits, puis le cul. Bien évidemment je n’en parlais pas à mon époux qui dormait du sommeil du juste. J’ai gardé la plénitude des orgasmes un bon moment avant de m’endormir aussi.
Le lendemain matin Lui, se levait plus tôt que moi. Quand je me suis réveillée il m’a parlé du bidet. Il s’était aperçu de la présence du jet. Il l’a pris sur son cul. Ca lui a tellement plu qu’il s’est branlé dessus.
Puis, la journée commençant, nous avons fait ce que nous devions faire la veille. J’étais nue, lui aussi. Il m’a simplement touché le minou. J’étais déjà toute mouillée. Je pensais qu’il allait me baiser. Il m’a sucée longuement. De moi-même j’ai mis mes jambes autour de ta tête. J’ai aimé sa langue baladeuse. Il m’a léché le clitoris longuement pour que je jouisse deux fois, puis il l’a fait dans le puits. Enfin pour finir il a simplement posé sur l’anus. C’est une de ses inventions. Pour la première fois j’ai sa langue dans le cul. Qu’elle bonne surprise quand il me fait jouir ainsi.
Enfin il s’occupe de Lui en mettant sa pine dans mon con. Je sais qu’il baise bien avec sa queue bien à ma taille. Aujourd’hui il me semble que c’est moi qui m’adapte à sa pine. J’en ai le bas ventre plein de sa sève.
Il sort faire un tour pour acheter un journal. Je reste nue sur le lit découvert quand sans frapper une femme de chambre aux cheveux blancs, entre, pour faire la chambre et me parler. J’ai à peine le temps de me couvrir, même si elle m’a vu nue comme Eve.
- Je vous ai menti. Je ne venais pas faire la chambre. J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise est que votre mari a eu un accident et la bonne qu’il est à l’hôpital où vous pouvez aller le voir.
Elle n’est pas partie que je suis débout, toujours nue. Elle me regarde intéressée. Moi je m’en fiche, je m’habille rapidement pour aller à l’hôpital. J’en oublie de mettre une culotte, je suis affolée. Un taxi m’emmène rapidement à l’hosto distant d’une quarantaine de kilomètres.
Mon mari a été opéré quand j’arrive. Je vois le chirurgien qui me dit de ne pas m’en faire. Il pourra sortir d’ici une quinzaine de jours. Il se réveille à peine. Je l’embrasse comme une folle. Dire que notre voyage d’amoureux se termine ainsi. Selon ses instructions je retourne à l’hôtel pour ne revenir que le surlendemain.
Me voilà revenu au point de départ. La femme de chambre me demande des nouvelles. Elle m’en demande souvent au point que je m’interroge sur ses intentions. J’en ai la confirmation le soir même. Je vais dans ma chambre dès le repas fini. J’ai envie de me satisfaire au fameux bidet. Je me mets nue, j’ouvre les robinets sans faire attention à ce qui se passe autour de moi. Je commence à bien sentir mon plaisir monter quand je sens des mains sur mes seins. Prise dans mon désir de jouissance, je me laisse faire.
Evidemment c’est la femme de chambre qui vient me caresser.
- J’aime trop les femmes.
Moi, je ne les connais pas du tout.
- Lâchez-moi.
- J’ai envie de toi, de te faire jouir avec ma langue et mes mains partout où tu aimes. Jouis maintenant ;
Ses paroles m’excitent tant que je commence à jouir. Je sens ses mains caresser plus fort mes seins, venir sur ma chatte se substituer au jet d’eau. Elle me branle gentiment. Je jouis encore une fois. Elle me fait lever pour essuyer mon entre jambes avec une grosse serviette qui a le don de m’exciter encore plus.
Je la croyais vielle à cause de la blancheur de ses cheveux. Quand elle est nue, je vois un corps jeune, aux seins bien durs, avec son pubis rasé. Bref une fille qui doit avoir une trentaine d’années. Elle me fait coucher, vient sur moi, comme un homme. Je sens son corps léger sur le mien. Ses seins sur les miens, son pubis écrasé contre mon bas ventre. Je mouille toujours pour la première fois à cause d’une fille. J’ignore tout des relations entre femmes sinon qu’elles se servent beaucoup de leur langue. En plus qu’est-ce que je peux lui faire ? La branler, je pourrais.
Sa bouche vient sur la mienne. Par habitude je laisse sa langue venir sur la mienne. Ce premier baiser est très agréable, Je sens une main venir sur ma chatte. Elle se lève un peu, reste à genoux à mes cotés, regarde bien ma minette, y passe sa main, entre trois doigt dans le puits pour me branler. Elle me fait un bien fou. Mon ventre se creuse, je mouille toujours. Je vais jouir, je me retiens comme je peux, mal sans doute : je jouis longuement en lâchant pour la première fois des jets de cyprine loin devant moi. Me voilà devenue une femme fontaine. Comme pour ne pas perdre le liquide mon initiatrice met sa bouche pour avaler tout ce qui sort de ma chatte. J ‘ai du lâcher je ne sais combien de liquide. Ca dure plusieurs minutes. Elle en profite jusqu’au tarissement de ma source.
Que c’était bon, qu’elle m’a bien faite jouir. Je pense à Lui. Je ne sais pas comment lui annoncer la nouvelle que j’aime me faire baiser par une femme.
Elle se tourne complètement pour me donner sa chatte en se mettant sur ma bouche. Elle prend également ma chatoune dans sa bouche en léchant partout. Si j’avais des craintes en commençant à la sucer, je n’en ai plus après disons 30 secondes. J’imite tout ce qu’elle fait et en plus je prends gout à son con. J’imagine me sucer. Pourtant c’est une autre femme que je suce pour la faire jouir. Je ferme les yeux au début comme si j’avais honte de voir son sexe.
Je commence à m’habituer à la lécher, je me régale même de l’avoir dans ma bouche. J’invente des choses que j‘aimerais qu’elle me fasse. Je monte ma langue bien au-delà de son con. Je vise son cul. Je trouve un autre gout sur l’anus. C’est bon, je continue. J’enfonce ma langue là dans son trou du cul. Il s’ouvre seul, je pénètre le plus profond possible. Je le sens avoir des spasmes quand elle jouit. C’est pareil pour moi. Nous nous enculons volontairement sans bite.
J’ai envie qu’elle passe sur le bidet. Elle le fait, je la mets de telle façon qu’elle reçoive le jet sur le cul. Je la branle sur le clitoris. Mon autre main est sur son sein que je fais encore grossir de désir.
- Baise-moi avec la serviette.
- Comment.
- Je vais te monter d’abord.
Nous allons nous coucher à nouveau. Elle a la serviette en main. Elle en prend une partie de 25 centimètres environ, la plie une peu. Elle me fait ouvrir le con. Elle entre lentement la serviette, presque à moitié dans mon intimité. Je n’ai jamais été autant remplie. Quand elle regarde où elle en est, j’ai l’anus et le clitoris inclus dans le con. Là, elle commence à appuyer, relâcher en recommençant sans cesse. Je la laisse faire, ne pouvant plus réagir. C’est un autre plaisir, plus complet, aussi bon qu’une baise avec Lui. Je jouis plusieurs fois encore. Je regrette quand elle me libère.
Devant moi, repue, elle se le fait seule. Ce n’est pas difficile, je pourrais me le faire quand j’en aurais envie. Elle ne me demande qu’une seule chose :
- Embrasses moi sur les seins.
Elle fini sa masturbation particulière plus vite que moi. Quand elle fini, elle passe un peignoir presque transparent.
- A demain.
C’est ça à demain, vivement qu’elle revienne. Dès qu’il peut je vois Lui l’après midi une petite heure.
Le soir je suis très occupée. Arrive le moment du départ. Nous baisons pour la dernière fois. Elle me fait plein de machins inédits dont je ne me souviens que très peu : je pensais au retour chez moi.
Bien sur il était à peu près en forme, il a voulu me baiser. Pour une fois je n’ai pas jouis comme les autres fois. Il se demandait pourquoi.
- Voilà quand tu étais à l’hôpital une femme de chambre m‘a initié au lesbianisme. J’ai beaucoup aimé.
- Qu’est-ce vous avez fait ?
- Sucer, branler, pénétration avec une serviette. Plein de machins qu’elle connait et que j’aime.
- Tu veux retourner la voir ?
- Une ou deux fois, avec toi.
C’est-ce que nous avons fait. Elle était toujours aussi disponible. Quand Lui a voulu la baiser devant moi, elle a refusé pour accepter au cul. Ils ont joui presque ensemble, lui après elle. Heureusement qu’il me suçait mieux que les autres fois ;
C’était il doit y avoir 10 ans. Je n’ai jamais recommencé avec une autre. Par contre je me masturbe avec une serviette dédiée.
Nous avons choisi un trou pour être réellement seuls. L’hôtel sans étoiles, mais d’un confort remarquable nous convenait parfaitement. Surtout le personnel. A table, dès que nous finissions un verre, la serveuse venait le remplir à nouveau.
Dès la première nuit j’ai eu envie de me faire baiser. Il était fatigué de la journée de conduite. Il m’a expédiée, juste le temps de bander, de me la mettre par devant, jouir et s’endormir. Il m’a fallut aller dans la salle de bain, ouvrir les robinets du bidet. C’était la première fois que j’avais vu un tel accessoire dans uns salle de bain. Outre le fait de se laver les fesses et les pieds, il permet également de faire jaillir un jet vertical destiné à le recevoir, pour les femmes, dans les endroits sensibles, pour se laver après l’amour.
Assisse sur ce jet j’avais des sensations formidables sur la chatte. J’ai pu me branler ainsi le clitoris, l’entrée du puits, puis le cul. Bien évidemment je n’en parlais pas à mon époux qui dormait du sommeil du juste. J’ai gardé la plénitude des orgasmes un bon moment avant de m’endormir aussi.
Le lendemain matin Lui, se levait plus tôt que moi. Quand je me suis réveillée il m’a parlé du bidet. Il s’était aperçu de la présence du jet. Il l’a pris sur son cul. Ca lui a tellement plu qu’il s’est branlé dessus.
Puis, la journée commençant, nous avons fait ce que nous devions faire la veille. J’étais nue, lui aussi. Il m’a simplement touché le minou. J’étais déjà toute mouillée. Je pensais qu’il allait me baiser. Il m’a sucée longuement. De moi-même j’ai mis mes jambes autour de ta tête. J’ai aimé sa langue baladeuse. Il m’a léché le clitoris longuement pour que je jouisse deux fois, puis il l’a fait dans le puits. Enfin pour finir il a simplement posé sur l’anus. C’est une de ses inventions. Pour la première fois j’ai sa langue dans le cul. Qu’elle bonne surprise quand il me fait jouir ainsi.
Enfin il s’occupe de Lui en mettant sa pine dans mon con. Je sais qu’il baise bien avec sa queue bien à ma taille. Aujourd’hui il me semble que c’est moi qui m’adapte à sa pine. J’en ai le bas ventre plein de sa sève.
Il sort faire un tour pour acheter un journal. Je reste nue sur le lit découvert quand sans frapper une femme de chambre aux cheveux blancs, entre, pour faire la chambre et me parler. J’ai à peine le temps de me couvrir, même si elle m’a vu nue comme Eve.
- Je vous ai menti. Je ne venais pas faire la chambre. J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise est que votre mari a eu un accident et la bonne qu’il est à l’hôpital où vous pouvez aller le voir.
Elle n’est pas partie que je suis débout, toujours nue. Elle me regarde intéressée. Moi je m’en fiche, je m’habille rapidement pour aller à l’hôpital. J’en oublie de mettre une culotte, je suis affolée. Un taxi m’emmène rapidement à l’hosto distant d’une quarantaine de kilomètres.
Mon mari a été opéré quand j’arrive. Je vois le chirurgien qui me dit de ne pas m’en faire. Il pourra sortir d’ici une quinzaine de jours. Il se réveille à peine. Je l’embrasse comme une folle. Dire que notre voyage d’amoureux se termine ainsi. Selon ses instructions je retourne à l’hôtel pour ne revenir que le surlendemain.
Me voilà revenu au point de départ. La femme de chambre me demande des nouvelles. Elle m’en demande souvent au point que je m’interroge sur ses intentions. J’en ai la confirmation le soir même. Je vais dans ma chambre dès le repas fini. J’ai envie de me satisfaire au fameux bidet. Je me mets nue, j’ouvre les robinets sans faire attention à ce qui se passe autour de moi. Je commence à bien sentir mon plaisir monter quand je sens des mains sur mes seins. Prise dans mon désir de jouissance, je me laisse faire.
Evidemment c’est la femme de chambre qui vient me caresser.
- J’aime trop les femmes.
Moi, je ne les connais pas du tout.
- Lâchez-moi.
- J’ai envie de toi, de te faire jouir avec ma langue et mes mains partout où tu aimes. Jouis maintenant ;
Ses paroles m’excitent tant que je commence à jouir. Je sens ses mains caresser plus fort mes seins, venir sur ma chatte se substituer au jet d’eau. Elle me branle gentiment. Je jouis encore une fois. Elle me fait lever pour essuyer mon entre jambes avec une grosse serviette qui a le don de m’exciter encore plus.
Je la croyais vielle à cause de la blancheur de ses cheveux. Quand elle est nue, je vois un corps jeune, aux seins bien durs, avec son pubis rasé. Bref une fille qui doit avoir une trentaine d’années. Elle me fait coucher, vient sur moi, comme un homme. Je sens son corps léger sur le mien. Ses seins sur les miens, son pubis écrasé contre mon bas ventre. Je mouille toujours pour la première fois à cause d’une fille. J’ignore tout des relations entre femmes sinon qu’elles se servent beaucoup de leur langue. En plus qu’est-ce que je peux lui faire ? La branler, je pourrais.
Sa bouche vient sur la mienne. Par habitude je laisse sa langue venir sur la mienne. Ce premier baiser est très agréable, Je sens une main venir sur ma chatte. Elle se lève un peu, reste à genoux à mes cotés, regarde bien ma minette, y passe sa main, entre trois doigt dans le puits pour me branler. Elle me fait un bien fou. Mon ventre se creuse, je mouille toujours. Je vais jouir, je me retiens comme je peux, mal sans doute : je jouis longuement en lâchant pour la première fois des jets de cyprine loin devant moi. Me voilà devenue une femme fontaine. Comme pour ne pas perdre le liquide mon initiatrice met sa bouche pour avaler tout ce qui sort de ma chatte. J ‘ai du lâcher je ne sais combien de liquide. Ca dure plusieurs minutes. Elle en profite jusqu’au tarissement de ma source.
Que c’était bon, qu’elle m’a bien faite jouir. Je pense à Lui. Je ne sais pas comment lui annoncer la nouvelle que j’aime me faire baiser par une femme.
Elle se tourne complètement pour me donner sa chatte en se mettant sur ma bouche. Elle prend également ma chatoune dans sa bouche en léchant partout. Si j’avais des craintes en commençant à la sucer, je n’en ai plus après disons 30 secondes. J’imite tout ce qu’elle fait et en plus je prends gout à son con. J’imagine me sucer. Pourtant c’est une autre femme que je suce pour la faire jouir. Je ferme les yeux au début comme si j’avais honte de voir son sexe.
Je commence à m’habituer à la lécher, je me régale même de l’avoir dans ma bouche. J’invente des choses que j‘aimerais qu’elle me fasse. Je monte ma langue bien au-delà de son con. Je vise son cul. Je trouve un autre gout sur l’anus. C’est bon, je continue. J’enfonce ma langue là dans son trou du cul. Il s’ouvre seul, je pénètre le plus profond possible. Je le sens avoir des spasmes quand elle jouit. C’est pareil pour moi. Nous nous enculons volontairement sans bite.
J’ai envie qu’elle passe sur le bidet. Elle le fait, je la mets de telle façon qu’elle reçoive le jet sur le cul. Je la branle sur le clitoris. Mon autre main est sur son sein que je fais encore grossir de désir.
- Baise-moi avec la serviette.
- Comment.
- Je vais te monter d’abord.
Nous allons nous coucher à nouveau. Elle a la serviette en main. Elle en prend une partie de 25 centimètres environ, la plie une peu. Elle me fait ouvrir le con. Elle entre lentement la serviette, presque à moitié dans mon intimité. Je n’ai jamais été autant remplie. Quand elle regarde où elle en est, j’ai l’anus et le clitoris inclus dans le con. Là, elle commence à appuyer, relâcher en recommençant sans cesse. Je la laisse faire, ne pouvant plus réagir. C’est un autre plaisir, plus complet, aussi bon qu’une baise avec Lui. Je jouis plusieurs fois encore. Je regrette quand elle me libère.
Devant moi, repue, elle se le fait seule. Ce n’est pas difficile, je pourrais me le faire quand j’en aurais envie. Elle ne me demande qu’une seule chose :
- Embrasses moi sur les seins.
Elle fini sa masturbation particulière plus vite que moi. Quand elle fini, elle passe un peignoir presque transparent.
- A demain.
C’est ça à demain, vivement qu’elle revienne. Dès qu’il peut je vois Lui l’après midi une petite heure.
Le soir je suis très occupée. Arrive le moment du départ. Nous baisons pour la dernière fois. Elle me fait plein de machins inédits dont je ne me souviens que très peu : je pensais au retour chez moi.
Bien sur il était à peu près en forme, il a voulu me baiser. Pour une fois je n’ai pas jouis comme les autres fois. Il se demandait pourquoi.
- Voilà quand tu étais à l’hôpital une femme de chambre m‘a initié au lesbianisme. J’ai beaucoup aimé.
- Qu’est-ce vous avez fait ?
- Sucer, branler, pénétration avec une serviette. Plein de machins qu’elle connait et que j’aime.
- Tu veux retourner la voir ?
- Une ou deux fois, avec toi.
C’est-ce que nous avons fait. Elle était toujours aussi disponible. Quand Lui a voulu la baiser devant moi, elle a refusé pour accepter au cul. Ils ont joui presque ensemble, lui après elle. Heureusement qu’il me suçait mieux que les autres fois ;
C’était il doit y avoir 10 ans. Je n’ai jamais recommencé avec une autre. Par contre je me masturbe avec une serviette dédiée.
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