Lui attaché & son fantasme réalisé - histoire érotique

J’avais toujours eu envie de me faire dominer mais par manque de confiance envers les personnes, je n’ai jamais franchi le pas. Alors, je me suis dit que pour y arriver, je n’avais qu’à me glisser dans la peau du dominant ! Mon ex voulait à tout prix que l’on se voit avant de repartir vivre définitivement chez sa nouvelle petite amie alors je me suis dit qu’une petite surprise ne serait pas de trop ! Il m’a donc donné rendez-vous devant chez lui vers minuit. Entre temps, un petit coup de fil à ma meilleure amie afin de lui expliquer mon plan et le tour est joué ! Elle avait toujours voulu faire un plan à 3 & m’avait avoué un jour qu’elle aurait préféré le faire avec moi, puisque nous avions tant partagé ensemble. Nous nous sommes habillées ensemble, chacune, nous avons mis un push-up, un porte-jartelles, des bas et des talons haut, le tout enveloppé dans une robe noire moulante, très courte. Nous sommes partis à la rencontre de mon ex. Arrivées devant chez lui, mon amie reste dans la voiture pendant que je me dirige vers sa maison. Son voisin me dévisage et me souri d’un air provocateur. Je me sens rougir et avance le plus rapidement possible. Je me retourne afin de voir si ce voisin n’irait pas importuner mon ami. Ouf, ce n’est pas le cas !
Je sonne. Vêtue comme ça, le temps me paraît long. Après un long moment, il m’ouvre enfin. Il a l’air étonné que j’ai osé venir habillée comme ça mais en a l’air ravi. Il m’attrape par la taille mais je le repousse. Je lui dis :
- « J’ai une petite surprise pour toi, pour ton départ mais avant, il faut que je te bande les yeux ! »
Son sourire disparaît. Il n’a pas l’air sur de lui. Je viens poser mon souffle chaud au creux de son oreille & renchéris :
- « Détends-toi, c’est un de tes fantasmes, tu vas aimer ! »
Il se détend et souris de nouveau. Il me pose mille questions pour savoir ce que ça peut bien être. Je ne veux rien dire de peur qu’il devine ou que je fasse une gaffe. Je choisis le langage du corps pour m’exprimer, lui glisse mes doigts dans ses cheveux et l’embrasse violemment. Ensuite, je lui ordonne de se déshabiller mais de garder son boxer. Je suis fière de moi, j’ai réussi à prendre un ton autoritaire. Pas assez puisqu’il sourit mais se prend au jeu tout de même. Je lui bande les yeux et lui attache les mains dans le dos. Il est beau attaché ainsi, à ma merci. Je lui dis de se mettre à genoux, les jambes écartées et d’attendre les nouvelles directives. Il est un peu décontenancé mais obéit tout de même. J’en profite pour envoyer un message à mon amie, elle sera là d’une minute à l’autre. je le laisse languir, je touche un peu à tout ce qu’il y a chez lui pour qu’il essaye de comprendre ce qu’il va se passer. Il s’impatience et me se remet à me poser des questions. Je retire ma ceinture pour le faire taire et vise ses fesses. Le premier coup lui arrache un petit cri de surprise. Il me dit qu’il n’est pas d’accord. Je lui en remets un sans trop de force tout de même. Il décide de se taire. J’ouvre la porte. Il est tendu mais en entendant les talons sur le sol, son visage est radieux. Il lui demande qui elle est. Sans lui répondre, elle lui dit :
- « Je veux que tu fasses tout ce qu’on te dira, sinon tu seras sévèrement puni. Tu n’as le droit à la parole que lorsque nous te la donnerons. C’est compris ?? »
- « Oui. Compris. »
Elle lui claque les fesses quatre ou cinq fois sévèrement.
- « Je t’avais dit de ne pas parler tant que nous ne te l’avions pas dit. Continue et demain, tu ne pourras bientôt plutôt plus t’asseoir. As-tu compris cette fois-ci ? »
Nous le laissons pendant quelques minutes à son sort. Sa position commence à le déranger, il doit avoir mal aux genoux, il se dandine pour trouver la position qui ne le fera plus souffrir, sans grande réussite. Pendant ce temps là, nous, nous buvons en le prenant en photo. Après un bon quart d’heure, je m’approche de lui à quatre pattes et mon ami lui ordonne de s’asseoir. Elle le guide jusqu’au canapé. Je lui gobe son sexe à travers son boxer, ce qui a pour effet de l’exciter légèrement. Je lui caresse sa bite à travers le tissu, ma copine, en même temps, fait glisser sa langue sur son coup, ses oreilles, lui mordille ses lobes en lui pinçant les tétons, je lui demande de lever ses fesses pendant que je lui retire son boxer. Je lui ordonne de se mettre debout et nous nous positionnons a 4 pattes, une devant lui et une derrière. Je lui caresse la bite et ma copine les couilles. Je lui suçote le gland, elle, elle lui lèche les couilles et alterne en les caressant, et de temps en temps, elle fait glisser sa langue jusqu’à son petit trou. Je gobe son sexe entier dans ma bouche, j’aime le sentir se gonflé de plaisir. Je fais des vas et viens sur son membre bien dur, elle le branle au dessus de ma bouche pendant que je donne de petits coup de langue sur son gland. Ma bouche va de plus en plus vite autour de ta bite, j’essaye de la prendre un maximum pour atteindre la gorge profonde. Tu donne des coups de bassin pour que ton sexe vienne bute au fond de ma bouche. Et soudain, tout s’arrête.
- « Tu ne devais pas bouger sans notre accord. Tu vas être punie ! » dit-elle, d’un ton rieur.
Je retire le foulard noir que tu avais sur les yeux. Je t’embrasse pour y déposer ton liquide sur tes lèvres. Ma copine s’allonge sur le sol, en face de toi. Je me mets à 4 pattes entre ses jambes et commence à lui sucer le clitoris. Elle émet un son léger de plaisir, elle te fixe tout en se suçant les doigts, se les enfonce dans sa chatte et se les remet en bouche. Je lui lèche les lèvres, remonte sur son clito puis lui aspirer. Je viens déposer mes doigts à sa bouche, elle les lèche goulument. Tu as vu sur nos deux corps qui se chauffent. Je la pénètre de mes doigts dans sa chatte pour entamer de lents vas et viens, je continue de la lécher et mes mouvements se font plus rapide. Elle gémit. Ma langue descend sur son petit trou pour l’humidifier, je crache sur mon doigt pour l’introduire doucement à l’intérieur. Je sais que tu adore cette pratique. Elle est remplie par les deux trous et jouis dans un long soupir. Tu nous demande de te détacher. Nous te regardons en souriant et te détachons.
Tu n’attends pas longtemps, tu me colles contre le mur, me force à ouvrir la bouche et m’insère ton sexe à l’intérieur. Ma copine, pour ne pas rester inactive, viens derrière toi, te caresse les fesses et les couilles. Je ne peux pas me reculer. Tu me baises la bouche avec force en faisant cogner ma tête contre le mur. Tu ne mets pas longtemps à venir, tu me pinces le nez, tu sais que je n’aime pas avaler mais pourtant, tu éjacules de longs jets au fond de ma gorge. J’avale tout et tu m’ordonnes de te nettoyer la bite correctement pour me faire pardonner de l’attente. Ce que je fais non sans rancune.