Lune Rousse
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2005 dans la catégorie Pour la première fois
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Lune Rousse
A 14 ans je me faisais, comme toutes adolescentes de mon âge, une idée très romencée de l’amour. Je rêvais au prince charmant...De ce fait, je me livrais très peu aux flirts, et encore moins aux aventures, comme toutes les jeunes filles de mon âge, m’étant fait une idée fixe de garder ma pureté pour le garçon que j’aimerais d’un amour sincère, et non pas l’un de ces jeunes ados boutonneux. Ce qui me rendait d’ailleurs froide aux yeux de tous, et qui me value une réputation de “coincée”...
A 18 ans, toujours aucunes histoires...Et une idée bien différente de l’amour...
Fini le prince charmant, je ne voyais en l’amour que souffrance, et je m’étais bien jurée de ne jamais aimer, et encore moins de me livrer aux plaisirs charnels...Sans aucunes histoires me direz-vous, comment juger de la cruauté de ce sentiment? Par l’observation...Car si je paraissais “froide et coincée”, j’étais malgrés tout devenu la confidente de ces demoiselles qui me livraient leurs desespoirs amoureux. D’un naturel sensible, la haine de l’amour fini par naître en moi, tout comme la haîne de la gente masculine, et je prennais un malin plaisir cependant à séduire, pour ensuite me refuser aux désirs de ces messieurs. Terribles frustrations que je leur faisaient subir...Vengeance personnelle de cette désillusion qui m’avait été infligée...
Vacances d’été. Comme d’habitudes, cela rimait pour moi avec ennuie...Pour d’autres avec histoire d’amour...Je sortais peu.
Nos voisins avaient décidé de louer leur maison à des vacanciers venant du nord, eux-même partant pour un voyage à l’étranger...
C’est là que je fit la connaissance de Thomas...Grand, brun, les yeux gris,bien batit, il était affreusement beaux et séduisant...Et il le savait...
Mais il incarnait tout ce que je detestais : d’un machisme affolant, il se plaisait à collectionner les filles, les rendant par la suite malheureuse (et en y pensant , à quelques différences près, n’etait-ce pas un peu au même jeu de séduction que nous nous livrions tout deux...).
Je l’avait de suite jugé comme “un beau salop”, il me dégoutait...Et pourtant il m’attirait terriblement, malgrés les efforts que je faisais pour me le cacher, cette évidence s’imposa.
Comble de tout, je lui plaisait aussi beaucoup, mais je me refusais à lui. Il en était venu à en faire une fixation. Il ne partirait pas de la région tant que je ne me serais pas offerte. Plus il me le répétait, plus je me refusais, lutant contre moi-même et contre ses assauts.
Un beau soir, la lune étant rousse, ma maison endormit je décidais d’aller profiter de la douceur du soir dans mon jardin. Je l’apperçu alors de l’autre côté du grillage. Il avait visiblement eu la même idée...Le spéctacle de son corps musclé et bronzé au clair de lune s’offrit alors à moi, réveillant mon désir : non, non, je ne devait pas y penser.
Il était assis sur sa terrasse, et il me vit. Il me sourit malicieusement, et s’approcha du grillage. J’étais bien consciente qu’il préparait une autre tentative, et que ma tenu allait en plus l’y encourager. Une nuisette légère qui m’arrivait mi-cuisse, et dont les bretelles glissaient sans cesse le long de mes épaules...
Il m’invita à m’approcher aussi. Je refusais violemment. Il n’abandonna pas pour autant. Quelle perséverance... :
-“Approche donc, que veux-tu que je te fasse tu es derriere la grille?”
-”Ne me prends pas pour une idiote. Retourne t’asseoir et fiche moi la paix!”
-”Avec toi en fasse de moi comment veux tu que je retourne m’asseoir?”
-”Oublie moi! Je ne suis pas là...”
J’aurais dû m’en retourner dans mon lit, mais le voir ainsi emplit de désir à mon égard me plaisait terriblement.
Je m’installais dans l’herbe fraiche, l’une de mes bretelles tomba, mais je ne la remontai pas, me sachant observée...Une légère brise souffla alors, faisant virevoleter mes cheveux, et soulevant quelque peu la petite jupe de mon pyjama. Je n’osais pas jeter un coup d’oeil sur le coté pour voir qu’elle effet le spectacle provoquait sur mon jeune voisin...Et pourtant je m’y hasarda. Il m’admirait sans rien dire...Quel dommage que le mur ait été trop haut pour constater la protubérance que devait se former sous son boxer...
-”Tu es encore là?!”
-”Tu es vraiment très belle...sous cette lune au dirait une vraie nymphe...”
-”Laisse moi tranquille Thomas...”
-”Non laisse moi te rejoindre.”
-“Jamais!”
-”Promis je resterais sage, je ne ferai rien. Sois gentille...”
-”Je sais très bien que tu ments!”
-”Non...Non pas cette fois...Je te vois différemment sous cette lune, si belle, se délicate, si sensuelle...Je n’oserai pas te toucher, j’aurais trop honte...”
Je le jaugeai de mon regard sombre, touchée par ces mots, mais sceptique...:
-”Je t’assure...”
-”D’accord viens...Mais au moindre faux pas tu dégage!”
Il s’empressa de sauter la seule barrière que me séparait de lui et s’assit doucement à mes cotés...Je n’osais pas hasarder une paroles...Je sentais son regard glisser le long de mes formes, pendant que je contemplais la beauté du firmament.Un coup de vent lui dévoila ma nuque et je cru perçevoir une accélération dans sa respiration...Je massais donc cette nuque qui avait provoquée telle réaction d’un geste sensuelle:
-”Tu es tendu? me demanda-t-il, attends je vais te masser...”
Il se positionna derrière moi et commença son travail. Comme il savait bien si prendre...Attention je ne devais pas baisser ma garde:
-”Tu aimes?”
-”Oui...Je ne savais pas que tu étais si bon masseur...”
-”Il y’a encore beaucoup de choses que tu ignores...”
Sur ces mots ses massages se firent carresses. Il fit glisser ses doigts le long de ma colonne vertébrale se qui provoqua en moins un frisson qui me parcouru toute entière.
D’un geste il repoussa mon épaisse chevelure brune et vint déposer un baiser au creux de mon cou. “Oh non pas ça“, me dis-je, sachant que cette zone précise était terriblement érogéne pour moi. Tout en continuant ses baisers il frola ma taille, et là je me senti faiblir. J’étais liquéfiée par ces sensations, je sentais qu’il prennait le dessus. Néanmois j’eu le caractère suffisemment fort pour le repousser. Je m’éloigna de lui en rampant rapidemment et me retourna, le foudroyant du regard :
-”Qu’est-ce-que tu essais de faire?”
-”Pourquoi luttes-tu contre toi -même?”
Cette réponse m’abasourdis, mes traits se figérent et je me sentis palir...Je tentais de retorquer mais ne parvint qu’à émettre des baffouillages révélateurs...
-”J’ai bien sentis que tu en as envie autant que moi, alors pourquoi résister plus longtemps?”
-”Tu racontes n’importe quoi!”
D’un seul coup il se jetta sur moi, me faisant basculer en arrière dans la pelouse humide. Il m’immobilisa en se plaquant contre moi, et en serrant mes poignets. Ne m’attendant pas à une telle réaction je ne su réagir. Son visage à quelques centimètres du mien, je pouvait sentir son souffle. Les battements de mon coeurs s’accélérèrent ainsi que ma respiration que trahissait les soubressauts de mon opulente poitrine, à présent compressée par le torse du garçon.
-”Et là ça ne te fais rien?”
-”N...Non...”
-”Menteuse...”
Un risctus se dessina au coin de ses lèvres. Je sentait son sexe incroyablement dur et dressé contre mon ventre, ce qui commença à m’exiter terriblement vu la position dans laquelle j’étais...
-”Cette nuit sera NOTRE nuit...Tu m’appartiens enfin...”
-”Non...Laisse moi...”
-”Arrête de te mentir à toi-même. Ne te refuse pas le plaisir...”
Completement tétaniser j’écoutais ces paroles. Il se pencha et deposa un baiser sur mes lévres, puis un autre...”Non, non, ne le laisse pas faire”. Mes yeux se fermèrent, ses baisers se firent plus longs et insistant, et je me rendit compte trop tard que nos langues avaient entamées une danse endiablée...Je recevais la premiére pelle de ma vie...
***
Très vite, d’une main il se mit à carresser ma cuisse, ma hanche, ma taille, mon sein dont le teton était devenu dur, et qu’il faisait rouler entre ces doigts agiles. Je le laissais faire, envahit par toutes ces nouvelles sensations. Il releva ma nuisette au dessus de mes seins, dévoilant mon corps tremblotant rendu mate par le soleil, et entama de me suçer les seins avec délicatesse. Le regard trouble, fixée sur cette lune rousse, je sentais monter en moi un désir attroce, presque diabolique...Thomas se déléctait de mes deux collines, depuis le temps qu’il en rêvait, il prenait tout son temps, prommenant sa langue experte d’un sein à l’autre, pressant mes tétons gourmand de ces lévres...:
-”Allons chez moi, me dit-il alors...”
J’avais du mal à me relever tellement mes sens se troublaient, se qui fit sourire Thomas...
-”Et encore tu n’as rien vu, attends de voir ce que je te réserve, tu ne vas pas être déçus...”
-”Mais Thomas...je n’ai jamais...”
-”Non?...”
-”Non...”
-”Alors je vais te faire goûter aux joies du sexe...”
Nous rentrâmes sans bruit dans la maison, à pas de loup jusqu’à sa chambre. Pour un garçon Thomas était soigneux. Je m’avançais dans la pièce obscure, traversée par les pales rayons de la lune. Thomas referma la porte, et s’approcha de moi par derrière. Il lécha doucement mon cou, l’embrassa, et souleva ma nuisette. Je me retrouvai ainsi en petite culotte au beau milieu de sa chambre. Pour me faire sentir dans quel état d’exitation je le mettais, il colla son dard contre mes fesses, et s’y frotta légèrement. Ma petite culotte au tissu légerement transparent lui laisser entrevoir l’ombre de ma raie, et c’est à cette endroit précis qu’il se plut à se frotter. De mon coté je sentais que mon vagin s’humidifiait de plus en plus. Ses mains se prommenaient le long de mon corps, tatonnant le bout de mes seins, les malaxant... Thomas entama une descente vers mon fessier, en effleurant du bout des lèvres tout le lond de ma colonne vertébrale. Accroupit, il fit glisser lentement le tissu qui cachait encore à sa vue mes zones pudiques, et je le laissait faire. Il passa sa langue entre mes fesses plusieurs fois. Puis il ne fit plus rien. Je restais là sans bouger, n’osant me retourner, mais je décelais les bruits révalateurs : Thomas se dénudait... Le contact de son pénis dressé au creux de mes reins vint me le confirmer. Il me fit faire un demi-tour sur moi-même et m’embrassa fougueusement. Je l’encerrais, j’étais bien, ses doigts titillaient mes fesses et enfin, s’approchèrent de ma petite grotte d’amour. Il carressa doucement l’interieur de mon sexe. Puis pour que cela me soit plus agréable, il me mena jusqu’à son lit, où il me fit écarter les jambe et se lança dans un cunnilingus endiablé. Que c’était bon... Sa langue donnait de petits coups sec tout autour de mon clitho, puis descendit vers mes lèvres pour s’abrevoir de mon nectar intime, s’engouffra doucement dans mes profondeurs, m’arrachant des soupirs ettouffaient que je tentais en vain de retenir. Deux doigts s’enfonçérent, allant et venant. Voyant mon petit bouton sortir timidement de son écrin, Thomas s’en emparra du bout des lèvres et commenca à le sucer, le lécher, jusqu’à ce qu’un violent orgasme vienne me secouer toute entière, traduit par de réels soupirs d’extase...Je n’osais pas laisser libre cours à mes gémissements de plaisirs, de peur de réveiller la maisonnée, mais Thomas me rassura :
-”Tu peux y aller n’ais pas peur...Mes parents ont un sommeil de plomb. J’ai eu plusieurs occasions de m’en apperçevoir”
-”Tu es sur? Je ne voudrais pas...”
Un baiser mis fin à mes inquiétudes, et ce fut mon tour d’entrer en scéne. Je le compris lorsque Thomas sansit ma main et la dirigea vers son sexe. Inconsciemment je m’en apparait, et commença a le masturber doucement. Sa queue avait une bonne taille, gorgée de sang, elle ne demandait que mes caresses. Il s’allongea sur le dos, me donnant les commandes. Je me positionnai alors pour le sucer. Le fait d’être vierge ne m’avait pas empeché de me documenter, et je connaissais en partit les caresses appréciées des hommes. J’incistais donc sur son gland, rouge, chaud, et soupesait ses testicules d’un geste tendre. Je faisais tourner ma langue autour de son gourdin, l’avalait entièrement, lui prodiguait toutes sortes de soins. Humidifié son dard était plus facile a branler, et il ne tarda pas à exploser dans mes mains. A son grand étonnement, je goutais à sa semence, ce qui visiblement lui donnait grande joie...:
-”Pour une jeune vierge tu t’es pas mal débrouillée, je suis vidé”
-”Déjà?”
-“Ne t’en fais pas il doit bien m’en rester encore suffisemment pour m’emparer de ta virginité...”
Une scéance de caresses multiples reprit alors, chacun participant au plaisir de l’autre, jouant avec un sein, ou un sexe, embrassant ou léchant, mordillant, griffant...Et Thomas repris tout de suite de la vigueur. Il se leva, pris un préservatif dans l’un de ses tiroirs et le déroula sur son pénis en érection. Avant qu’il ne se couche, je tatonnais se sexe dressais, l’effleurant du bout des lévres et de la langue, et Thomas se positionna sur moi :
-”Si je te fais mal dis le moi”
Il passa un doigt dans mon vagin, comme pour s’assurer que mon désir n’avait pas disparu, puis je pris son dard et le guida vers l’entrée.
Il y entra comme dans du beurre, buta, força un peu...je grimaçais à ce moment là :
-”Tu veux que j’arrête?”
-”Non, non...Ca va aller. Continue...”
Il carressa tendrement mes cheveux, m’embrassa, et les va et viens débutèrent, doucement...puis de plus en plus vite...Mon désir était tel que je ne ressentis pratiquemment aucunes douleurs :
-”Ah...Tu as mal?...”
-”Non...mmmh...C’est bon...”
Je mordais mes lèvres, qu’est ce que j’aimais ça...et lui aussi. Il soupirait à mon oreille à plusieurs reprises, et j’en faisais autant à la sienne, pour lui dévoiler le bien qu’il me faisait.
Je le fit basculer pour me retrouver sur lui, et décider moi-même de la cadence...
-”Doucement...Laisse venir...Oui...Comme ça...C’est bon...”
J’avais le regard trouble, la tête rempli de désir. Il se redressa un peu pour embrasser mon cou, sachant que j’adorais ça, et sucer mes seins.
Il me pris ensuite pas derriere, bloquant tout mes mouvements. Il m’enfila avec force, et la seule chose qui m’était possible de faire à ce moment là, était de gémir de plaisir et de griffer les draps tellement c’était bon...Ces merveilleuses couilles velues claiquaient contre mes fesses rebondit, et j’entendait Thomas alletter, soupirer, prendre son pied quoi... Et lorsqu’enfin il deversa tout son contenu, dans de profondes rales de plaisir, il se retira...
Nous restâmes ensuite plusieurs minutes enlacés l’un contre l’autre, les yeux vers le plafond, nous remettant de nos émotions...Et Thomas troubla alors le silence :
-” Tu sais...J’ai attendu ce moment très longtemps...”
J’ouvrit la bouche, mais il bloqua ma parole en posant son doigts sur mes lèvres...
-”Je sais que tu me prends pour un Dom Juan, c’est vrai que j’aime les filles, et que je les collectionne...mais toi c’est différent...toi...”
Mon coeur commencait à battre plus fort...dit le Thomas, je t’en prie dit le...
-”Mais toi...tu n’es pas comme les autres, t’es pas le genre de fille avec qui on s’amuse...”
Oui c’est ça Thomas, tu peut y arriver, dit le moi...
-”Avec toi je suis bien...Tu m’obssede. Même dans les bras d’une autre je pensais au moyen de t’avoir enfin pour moi tout seul...Je...”
Une seconde...Deux...Trois...Thomas...
-”Je t’aime...”
Il m’embrassa encore, comme j’aimais ses baisers...J’avais compris...Il ne voulais pas de réponse...
Alors nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre...amoureux...cette nuit de Lune Rousse...
A 18 ans, toujours aucunes histoires...Et une idée bien différente de l’amour...
Fini le prince charmant, je ne voyais en l’amour que souffrance, et je m’étais bien jurée de ne jamais aimer, et encore moins de me livrer aux plaisirs charnels...Sans aucunes histoires me direz-vous, comment juger de la cruauté de ce sentiment? Par l’observation...Car si je paraissais “froide et coincée”, j’étais malgrés tout devenu la confidente de ces demoiselles qui me livraient leurs desespoirs amoureux. D’un naturel sensible, la haine de l’amour fini par naître en moi, tout comme la haîne de la gente masculine, et je prennais un malin plaisir cependant à séduire, pour ensuite me refuser aux désirs de ces messieurs. Terribles frustrations que je leur faisaient subir...Vengeance personnelle de cette désillusion qui m’avait été infligée...
Vacances d’été. Comme d’habitudes, cela rimait pour moi avec ennuie...Pour d’autres avec histoire d’amour...Je sortais peu.
Nos voisins avaient décidé de louer leur maison à des vacanciers venant du nord, eux-même partant pour un voyage à l’étranger...
C’est là que je fit la connaissance de Thomas...Grand, brun, les yeux gris,bien batit, il était affreusement beaux et séduisant...Et il le savait...
Mais il incarnait tout ce que je detestais : d’un machisme affolant, il se plaisait à collectionner les filles, les rendant par la suite malheureuse (et en y pensant , à quelques différences près, n’etait-ce pas un peu au même jeu de séduction que nous nous livrions tout deux...).
Je l’avait de suite jugé comme “un beau salop”, il me dégoutait...Et pourtant il m’attirait terriblement, malgrés les efforts que je faisais pour me le cacher, cette évidence s’imposa.
Comble de tout, je lui plaisait aussi beaucoup, mais je me refusais à lui. Il en était venu à en faire une fixation. Il ne partirait pas de la région tant que je ne me serais pas offerte. Plus il me le répétait, plus je me refusais, lutant contre moi-même et contre ses assauts.
Un beau soir, la lune étant rousse, ma maison endormit je décidais d’aller profiter de la douceur du soir dans mon jardin. Je l’apperçu alors de l’autre côté du grillage. Il avait visiblement eu la même idée...Le spéctacle de son corps musclé et bronzé au clair de lune s’offrit alors à moi, réveillant mon désir : non, non, je ne devait pas y penser.
Il était assis sur sa terrasse, et il me vit. Il me sourit malicieusement, et s’approcha du grillage. J’étais bien consciente qu’il préparait une autre tentative, et que ma tenu allait en plus l’y encourager. Une nuisette légère qui m’arrivait mi-cuisse, et dont les bretelles glissaient sans cesse le long de mes épaules...
Il m’invita à m’approcher aussi. Je refusais violemment. Il n’abandonna pas pour autant. Quelle perséverance... :
-“Approche donc, que veux-tu que je te fasse tu es derriere la grille?”
-”Ne me prends pas pour une idiote. Retourne t’asseoir et fiche moi la paix!”
-”Avec toi en fasse de moi comment veux tu que je retourne m’asseoir?”
-”Oublie moi! Je ne suis pas là...”
J’aurais dû m’en retourner dans mon lit, mais le voir ainsi emplit de désir à mon égard me plaisait terriblement.
Je m’installais dans l’herbe fraiche, l’une de mes bretelles tomba, mais je ne la remontai pas, me sachant observée...Une légère brise souffla alors, faisant virevoleter mes cheveux, et soulevant quelque peu la petite jupe de mon pyjama. Je n’osais pas jeter un coup d’oeil sur le coté pour voir qu’elle effet le spectacle provoquait sur mon jeune voisin...Et pourtant je m’y hasarda. Il m’admirait sans rien dire...Quel dommage que le mur ait été trop haut pour constater la protubérance que devait se former sous son boxer...
-”Tu es encore là?!”
-”Tu es vraiment très belle...sous cette lune au dirait une vraie nymphe...”
-”Laisse moi tranquille Thomas...”
-”Non laisse moi te rejoindre.”
-“Jamais!”
-”Promis je resterais sage, je ne ferai rien. Sois gentille...”
-”Je sais très bien que tu ments!”
-”Non...Non pas cette fois...Je te vois différemment sous cette lune, si belle, se délicate, si sensuelle...Je n’oserai pas te toucher, j’aurais trop honte...”
Je le jaugeai de mon regard sombre, touchée par ces mots, mais sceptique...:
-”Je t’assure...”
-”D’accord viens...Mais au moindre faux pas tu dégage!”
Il s’empressa de sauter la seule barrière que me séparait de lui et s’assit doucement à mes cotés...Je n’osais pas hasarder une paroles...Je sentais son regard glisser le long de mes formes, pendant que je contemplais la beauté du firmament.Un coup de vent lui dévoila ma nuque et je cru perçevoir une accélération dans sa respiration...Je massais donc cette nuque qui avait provoquée telle réaction d’un geste sensuelle:
-”Tu es tendu? me demanda-t-il, attends je vais te masser...”
Il se positionna derrière moi et commença son travail. Comme il savait bien si prendre...Attention je ne devais pas baisser ma garde:
-”Tu aimes?”
-”Oui...Je ne savais pas que tu étais si bon masseur...”
-”Il y’a encore beaucoup de choses que tu ignores...”
Sur ces mots ses massages se firent carresses. Il fit glisser ses doigts le long de ma colonne vertébrale se qui provoqua en moins un frisson qui me parcouru toute entière.
D’un geste il repoussa mon épaisse chevelure brune et vint déposer un baiser au creux de mon cou. “Oh non pas ça“, me dis-je, sachant que cette zone précise était terriblement érogéne pour moi. Tout en continuant ses baisers il frola ma taille, et là je me senti faiblir. J’étais liquéfiée par ces sensations, je sentais qu’il prennait le dessus. Néanmois j’eu le caractère suffisemment fort pour le repousser. Je m’éloigna de lui en rampant rapidemment et me retourna, le foudroyant du regard :
-”Qu’est-ce-que tu essais de faire?”
-”Pourquoi luttes-tu contre toi -même?”
Cette réponse m’abasourdis, mes traits se figérent et je me sentis palir...Je tentais de retorquer mais ne parvint qu’à émettre des baffouillages révélateurs...
-”J’ai bien sentis que tu en as envie autant que moi, alors pourquoi résister plus longtemps?”
-”Tu racontes n’importe quoi!”
D’un seul coup il se jetta sur moi, me faisant basculer en arrière dans la pelouse humide. Il m’immobilisa en se plaquant contre moi, et en serrant mes poignets. Ne m’attendant pas à une telle réaction je ne su réagir. Son visage à quelques centimètres du mien, je pouvait sentir son souffle. Les battements de mon coeurs s’accélérèrent ainsi que ma respiration que trahissait les soubressauts de mon opulente poitrine, à présent compressée par le torse du garçon.
-”Et là ça ne te fais rien?”
-”N...Non...”
-”Menteuse...”
Un risctus se dessina au coin de ses lèvres. Je sentait son sexe incroyablement dur et dressé contre mon ventre, ce qui commença à m’exiter terriblement vu la position dans laquelle j’étais...
-”Cette nuit sera NOTRE nuit...Tu m’appartiens enfin...”
-”Non...Laisse moi...”
-”Arrête de te mentir à toi-même. Ne te refuse pas le plaisir...”
Completement tétaniser j’écoutais ces paroles. Il se pencha et deposa un baiser sur mes lévres, puis un autre...”Non, non, ne le laisse pas faire”. Mes yeux se fermèrent, ses baisers se firent plus longs et insistant, et je me rendit compte trop tard que nos langues avaient entamées une danse endiablée...Je recevais la premiére pelle de ma vie...
***
Très vite, d’une main il se mit à carresser ma cuisse, ma hanche, ma taille, mon sein dont le teton était devenu dur, et qu’il faisait rouler entre ces doigts agiles. Je le laissais faire, envahit par toutes ces nouvelles sensations. Il releva ma nuisette au dessus de mes seins, dévoilant mon corps tremblotant rendu mate par le soleil, et entama de me suçer les seins avec délicatesse. Le regard trouble, fixée sur cette lune rousse, je sentais monter en moi un désir attroce, presque diabolique...Thomas se déléctait de mes deux collines, depuis le temps qu’il en rêvait, il prenait tout son temps, prommenant sa langue experte d’un sein à l’autre, pressant mes tétons gourmand de ces lévres...:
-”Allons chez moi, me dit-il alors...”
J’avais du mal à me relever tellement mes sens se troublaient, se qui fit sourire Thomas...
-”Et encore tu n’as rien vu, attends de voir ce que je te réserve, tu ne vas pas être déçus...”
-”Mais Thomas...je n’ai jamais...”
-”Non?...”
-”Non...”
-”Alors je vais te faire goûter aux joies du sexe...”
Nous rentrâmes sans bruit dans la maison, à pas de loup jusqu’à sa chambre. Pour un garçon Thomas était soigneux. Je m’avançais dans la pièce obscure, traversée par les pales rayons de la lune. Thomas referma la porte, et s’approcha de moi par derrière. Il lécha doucement mon cou, l’embrassa, et souleva ma nuisette. Je me retrouvai ainsi en petite culotte au beau milieu de sa chambre. Pour me faire sentir dans quel état d’exitation je le mettais, il colla son dard contre mes fesses, et s’y frotta légèrement. Ma petite culotte au tissu légerement transparent lui laisser entrevoir l’ombre de ma raie, et c’est à cette endroit précis qu’il se plut à se frotter. De mon coté je sentais que mon vagin s’humidifiait de plus en plus. Ses mains se prommenaient le long de mon corps, tatonnant le bout de mes seins, les malaxant... Thomas entama une descente vers mon fessier, en effleurant du bout des lèvres tout le lond de ma colonne vertébrale. Accroupit, il fit glisser lentement le tissu qui cachait encore à sa vue mes zones pudiques, et je le laissait faire. Il passa sa langue entre mes fesses plusieurs fois. Puis il ne fit plus rien. Je restais là sans bouger, n’osant me retourner, mais je décelais les bruits révalateurs : Thomas se dénudait... Le contact de son pénis dressé au creux de mes reins vint me le confirmer. Il me fit faire un demi-tour sur moi-même et m’embrassa fougueusement. Je l’encerrais, j’étais bien, ses doigts titillaient mes fesses et enfin, s’approchèrent de ma petite grotte d’amour. Il carressa doucement l’interieur de mon sexe. Puis pour que cela me soit plus agréable, il me mena jusqu’à son lit, où il me fit écarter les jambe et se lança dans un cunnilingus endiablé. Que c’était bon... Sa langue donnait de petits coups sec tout autour de mon clitho, puis descendit vers mes lèvres pour s’abrevoir de mon nectar intime, s’engouffra doucement dans mes profondeurs, m’arrachant des soupirs ettouffaient que je tentais en vain de retenir. Deux doigts s’enfonçérent, allant et venant. Voyant mon petit bouton sortir timidement de son écrin, Thomas s’en emparra du bout des lèvres et commenca à le sucer, le lécher, jusqu’à ce qu’un violent orgasme vienne me secouer toute entière, traduit par de réels soupirs d’extase...Je n’osais pas laisser libre cours à mes gémissements de plaisirs, de peur de réveiller la maisonnée, mais Thomas me rassura :
-”Tu peux y aller n’ais pas peur...Mes parents ont un sommeil de plomb. J’ai eu plusieurs occasions de m’en apperçevoir”
-”Tu es sur? Je ne voudrais pas...”
Un baiser mis fin à mes inquiétudes, et ce fut mon tour d’entrer en scéne. Je le compris lorsque Thomas sansit ma main et la dirigea vers son sexe. Inconsciemment je m’en apparait, et commença a le masturber doucement. Sa queue avait une bonne taille, gorgée de sang, elle ne demandait que mes caresses. Il s’allongea sur le dos, me donnant les commandes. Je me positionnai alors pour le sucer. Le fait d’être vierge ne m’avait pas empeché de me documenter, et je connaissais en partit les caresses appréciées des hommes. J’incistais donc sur son gland, rouge, chaud, et soupesait ses testicules d’un geste tendre. Je faisais tourner ma langue autour de son gourdin, l’avalait entièrement, lui prodiguait toutes sortes de soins. Humidifié son dard était plus facile a branler, et il ne tarda pas à exploser dans mes mains. A son grand étonnement, je goutais à sa semence, ce qui visiblement lui donnait grande joie...:
-”Pour une jeune vierge tu t’es pas mal débrouillée, je suis vidé”
-”Déjà?”
-“Ne t’en fais pas il doit bien m’en rester encore suffisemment pour m’emparer de ta virginité...”
Une scéance de caresses multiples reprit alors, chacun participant au plaisir de l’autre, jouant avec un sein, ou un sexe, embrassant ou léchant, mordillant, griffant...Et Thomas repris tout de suite de la vigueur. Il se leva, pris un préservatif dans l’un de ses tiroirs et le déroula sur son pénis en érection. Avant qu’il ne se couche, je tatonnais se sexe dressais, l’effleurant du bout des lévres et de la langue, et Thomas se positionna sur moi :
-”Si je te fais mal dis le moi”
Il passa un doigt dans mon vagin, comme pour s’assurer que mon désir n’avait pas disparu, puis je pris son dard et le guida vers l’entrée.
Il y entra comme dans du beurre, buta, força un peu...je grimaçais à ce moment là :
-”Tu veux que j’arrête?”
-”Non, non...Ca va aller. Continue...”
Il carressa tendrement mes cheveux, m’embrassa, et les va et viens débutèrent, doucement...puis de plus en plus vite...Mon désir était tel que je ne ressentis pratiquemment aucunes douleurs :
-”Ah...Tu as mal?...”
-”Non...mmmh...C’est bon...”
Je mordais mes lèvres, qu’est ce que j’aimais ça...et lui aussi. Il soupirait à mon oreille à plusieurs reprises, et j’en faisais autant à la sienne, pour lui dévoiler le bien qu’il me faisait.
Je le fit basculer pour me retrouver sur lui, et décider moi-même de la cadence...
-”Doucement...Laisse venir...Oui...Comme ça...C’est bon...”
J’avais le regard trouble, la tête rempli de désir. Il se redressa un peu pour embrasser mon cou, sachant que j’adorais ça, et sucer mes seins.
Il me pris ensuite pas derriere, bloquant tout mes mouvements. Il m’enfila avec force, et la seule chose qui m’était possible de faire à ce moment là, était de gémir de plaisir et de griffer les draps tellement c’était bon...Ces merveilleuses couilles velues claiquaient contre mes fesses rebondit, et j’entendait Thomas alletter, soupirer, prendre son pied quoi... Et lorsqu’enfin il deversa tout son contenu, dans de profondes rales de plaisir, il se retira...
Nous restâmes ensuite plusieurs minutes enlacés l’un contre l’autre, les yeux vers le plafond, nous remettant de nos émotions...Et Thomas troubla alors le silence :
-” Tu sais...J’ai attendu ce moment très longtemps...”
J’ouvrit la bouche, mais il bloqua ma parole en posant son doigts sur mes lèvres...
-”Je sais que tu me prends pour un Dom Juan, c’est vrai que j’aime les filles, et que je les collectionne...mais toi c’est différent...toi...”
Mon coeur commencait à battre plus fort...dit le Thomas, je t’en prie dit le...
-”Mais toi...tu n’es pas comme les autres, t’es pas le genre de fille avec qui on s’amuse...”
Oui c’est ça Thomas, tu peut y arriver, dit le moi...
-”Avec toi je suis bien...Tu m’obssede. Même dans les bras d’une autre je pensais au moyen de t’avoir enfin pour moi tout seul...Je...”
Une seconde...Deux...Trois...Thomas...
-”Je t’aime...”
Il m’embrassa encore, comme j’aimais ses baisers...J’avais compris...Il ne voulais pas de réponse...
Alors nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre...amoureux...cette nuit de Lune Rousse...
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