Lutineuse et ses envies libertineuses chapitre 1
Récit érotique écrit par Lutineuse81 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lutineuse et ses envies libertineuses chapitre 1
*** COUP DE COEUR HDS ***
Me voila enfin devant une page blanche pour partager avec des inconnus avertis des aventures piquantes, parfois sensuelles et excitantes , parfois naïves ou burlesques , mais toujours sincères.
Je me présente donc : Maelys, ni très jolie, ni très jeune, une presque "quinqua" plantureuse et charmeuse qui aime le sexe et toutes ses joies. De fil en aiguille, de lectures en lectures j'ai une envie grandissante de découvrir de nouvelles pratiques amoureuses. Je veux connaître la philosophie libertine et tous ses préceptes.
Je suis de nature bonne élève et c'est toujours avec application que je me lance dans de nouvelles aventures. C'est donc avec ravissement et plaisir non dissimulé que par site de rencontre interposé j'ai trouvé ma perle rare qui se prénomme Jeff. Il est mon sex -friend comme l'on dit maintenant, un libertin coquin qui à pas de loup m'initie à son art . Je dois avouer que malgré mes envies, mon éducation et les principes du judéochristianisme ont laissé certaines séquelles.
Nous ne nous voyons que rarement car la distance est un handicap mais nos rencontres sont intenses et délicieuses, et pour moi souvent très instructives. Je découvre, il était temps, les joies du sexe libre.
Jeff a un corps divin, tout en muscles et en douceur , une peau dorée par le soleil, il est épilé (sauf le torse) pour ne pas irriter et un parfum qui me chamboule. Il me suffit de voir les étoiles dans ses yeux pour chavirer et fondre de désir , heureusement qu'il ne sait qu'avec lui je n'ai plus le sens des réalités . Ce n'est pas moi qui vais le lui révéler.
Le plus merveilleux c'est le sexe de mon coquin, il est doux, il est chaud, il est bon, ni trop gros , ni trop fin, ni trop long ni trop court..un chibre parfait et magique qui me fait me pâmer dés que je le vois, dés que je l'effleure, dés que je lui rends hommage.. C'est vrai j'ai omis de vous dire que j'adore la fellation et ses plaisirs associés, sans doute parce-que je suis une insatiable gourmande .
Les hommes qui me lisent ne me contrediront pas une caresse buccale peut apporter , quand le plaisir est partagé, des sensations terriblement excitantes voire douloureuses. J'aime de la pointe de ma langue piquer le méat de mon doudou , virevolter du bout de mes doigts autour du collier placé a la racine de sa verge, plaquer mes lèvres autour de son gland, l'aspirer doucement puis de plus en plus fort, glisser le long de son vit gonflé et palpitant.
Souvent je prends des petits glaçons parfumés fruits des bois que je place dans ma bouche, le froid de cet appareil le fait frissonner de plaisir. J'en profite pour prendre une gorgée d'infusion chaude et ce chaud et froid le rendent fou, fou d'excitation et de désir....un peu d'huile sèche le long de cette magnifique dague pour éviter échauffement et permettre des va et viens doux et langoureux ...c'est comme un sucre d'orge, un bâton de réglisse, une baguette magique, c'est un truc mignon espiègle et diablotin....il varie entre mes mains, mes lèvres ou mes seins, ses palpitations m'en disent longs sur ses ardentes dispositions, je ne veux pas le lâcher, le libérer au grand dam de mon partenaire qui aimerait explorer d'autres horizons.
J'ai même eu l'idée saugrenue de prendre un yaourt grec dont je terrai la marque et d'user du gland qui m'était offert comme cornet pour mon produit laitier. Je vous assure mesdames qu'un yaourt ainsi dégusté à une saveur inégalée! Mon Jeff est un galant qui aime m'honorer avant de se laisser aller à son propre plaisir. Mais ainsi caressé, avalé, sucé, effleuré, titillé, pompé il ne peut que laisser jaillir son sirop de « vergeat » que je m'empresse de recueillir : pareille semence aux vertus reconnues ne peut être gaspillée.
Mon amant heureux et repu me promet une friandise divine que je réclame aussitôt. Je ne suis guère patiente, c' est vrai, mais pourquoi attendre pour savourer les attentions de mon bel étalon.
Ravie d'être à la merci de mon homme, je me laisse aller à ses caresses impertinentes et excitantes. Mon compagnon me susurre des insanités à mon oreille qui ont un écho fulgurant sur ma libido. Comment puis je apprécier d'être affublée du titre de salope libidineuse , moi qui me targue d'user de vocabulaire académique. A croire que ce que l'on dit et ce que l'on veut diffèrent quelque peu. En attendant, mon chevalier bandant, me bande les yeux afin, dit il , de sublimer ses attouchements audacieux. Il me faudra donc deviner et non voir, ressentir et non regarder. Grand avantage pour moi, il dégage ma responsabilité puisque je ne sais pas ce qu'il fait. Je peux donc accepter ses outrages sans aucun sentiment de culpabilité, qu'il est donc malin mon coquin.
Ses doigts indiscrets se promènent sur mon corps incendié, et ces effleurements désordonnés attisent soigneusement l'envie de me faire pénétrer. Il dépose des baisers humides et salés sur ma bouche, sa langue force mes lèvres et nos salives se mélangent. Ce dard impétueux me fouille profondément et multiplie encore mon désir d'être prise. Ces mains continuent leur pèlerinage voluptueux , malaxent ma poitrine aux aréoles rosées et aux tétons érigés. J'aime qu'il s'attarde ainsi sur mes seins tendus. Il quitte ma bouche et vient lécher mes nibards impatients. Il mordille comme un nouveau né mes mamelles gonflées, les aspire, les pince et les tète. Ce jeu luxurieux décuple mon appétit débordant. Je voudrais crier mon appétence , je suis chienne en chaleur, mais ma bienséance malsaine m'empêche de verbaliser mon envie de sexe et je bougonne des mots sans consistance. Heureusement que mon prétendant est « sexoglotte » et qu'il sait déchiffrer les onomatopées des filles coincées. Le voici qui investi mon abricot mouillé de son appendice buccal. Je trésaille de sentir ce minuscule mais néanmoins vaillant braquemart dans mon intimité. Qu'il est bon d'être ainsi fouillé minutieusement . Nulle parcelle n'est oubliée et ainsi généreusement lubrifiée. Je suis aux anges. Je suis investi par moult aiguillons agiles et fougueux. Je sent couler sur mon sexe glabre un liquide tiède, jeff m'indique qu'il officie avec de l'huile sèche. Il apprécie que je me sois épilée entièrement, pour lui rien de plus attirant qu'un minou imberbe. Il glisse un doigt dans ma chatte en furie et je gémis de plaisir. Convié à plus de témérité je devine une deuxième extrémité dans mon intimité. Je fantasme alors sur un troisième appendice et voire plus.
Consciencieusement, mon partenaire me lime, d'avant en arrière, de haut en bas, effeuillant au passage mon bouton. Les caresses clitoridiennes déclenchent des tremblements dans tout mon corps. Mes pensées inconvenantes de pénétration extrêmes n'arrangent rien. Soudain le majeur de sa main libre s'aventure prés de ma fleur de Sodome. A mon grand étonnement mon œillet quémande une visite guidée . Et à mon corps défendant (sourire), de petits coups de reins anodins empalent le curieux freluquet.
Je couine de satisfaction. Mon amoureux en profite pour entrer un troisième puis un quatrième doigt dans mon antre chaude et capiteuse. Une première onde de jouissance me surprend et un jaillissement incontrôlé inonde la main qui me sonde. Jeff aime boire à ma fontaine et il m'affirme que cet éjaculât conséquent est précieux et agréable. Il me rassure et m'encourage à me laisser aller à l'extase. Il continue à déflorer ma pastille ce qui me plonge dans un état semi comateux. Soudain il entre entièrement son poing huilé dans mon vagin affamé et milles bulles d'ébaudissement pétillent dans mon corps . Un orgasme gigantesque m'emporte dans un délire divin, je gicle ma jouissance encore et encore sous les va et vient de ce poing guerrier. Je suis comblée, totalement remplie et pleinement pénétrée. Je ne veux pas que cela s'arrête et supplie mon doux de continuer son investigation manuelle. Quel amant talentueux! Je viens de découvrir les joies et les plaisirs du fist-fucking, quel délicieux apprentissage......
Me voila enfin devant une page blanche pour partager avec des inconnus avertis des aventures piquantes, parfois sensuelles et excitantes , parfois naïves ou burlesques , mais toujours sincères.
Je me présente donc : Maelys, ni très jolie, ni très jeune, une presque "quinqua" plantureuse et charmeuse qui aime le sexe et toutes ses joies. De fil en aiguille, de lectures en lectures j'ai une envie grandissante de découvrir de nouvelles pratiques amoureuses. Je veux connaître la philosophie libertine et tous ses préceptes.
Je suis de nature bonne élève et c'est toujours avec application que je me lance dans de nouvelles aventures. C'est donc avec ravissement et plaisir non dissimulé que par site de rencontre interposé j'ai trouvé ma perle rare qui se prénomme Jeff. Il est mon sex -friend comme l'on dit maintenant, un libertin coquin qui à pas de loup m'initie à son art . Je dois avouer que malgré mes envies, mon éducation et les principes du judéochristianisme ont laissé certaines séquelles.
Nous ne nous voyons que rarement car la distance est un handicap mais nos rencontres sont intenses et délicieuses, et pour moi souvent très instructives. Je découvre, il était temps, les joies du sexe libre.
Jeff a un corps divin, tout en muscles et en douceur , une peau dorée par le soleil, il est épilé (sauf le torse) pour ne pas irriter et un parfum qui me chamboule. Il me suffit de voir les étoiles dans ses yeux pour chavirer et fondre de désir , heureusement qu'il ne sait qu'avec lui je n'ai plus le sens des réalités . Ce n'est pas moi qui vais le lui révéler.
Le plus merveilleux c'est le sexe de mon coquin, il est doux, il est chaud, il est bon, ni trop gros , ni trop fin, ni trop long ni trop court..un chibre parfait et magique qui me fait me pâmer dés que je le vois, dés que je l'effleure, dés que je lui rends hommage.. C'est vrai j'ai omis de vous dire que j'adore la fellation et ses plaisirs associés, sans doute parce-que je suis une insatiable gourmande .
Les hommes qui me lisent ne me contrediront pas une caresse buccale peut apporter , quand le plaisir est partagé, des sensations terriblement excitantes voire douloureuses. J'aime de la pointe de ma langue piquer le méat de mon doudou , virevolter du bout de mes doigts autour du collier placé a la racine de sa verge, plaquer mes lèvres autour de son gland, l'aspirer doucement puis de plus en plus fort, glisser le long de son vit gonflé et palpitant.
Souvent je prends des petits glaçons parfumés fruits des bois que je place dans ma bouche, le froid de cet appareil le fait frissonner de plaisir. J'en profite pour prendre une gorgée d'infusion chaude et ce chaud et froid le rendent fou, fou d'excitation et de désir....un peu d'huile sèche le long de cette magnifique dague pour éviter échauffement et permettre des va et viens doux et langoureux ...c'est comme un sucre d'orge, un bâton de réglisse, une baguette magique, c'est un truc mignon espiègle et diablotin....il varie entre mes mains, mes lèvres ou mes seins, ses palpitations m'en disent longs sur ses ardentes dispositions, je ne veux pas le lâcher, le libérer au grand dam de mon partenaire qui aimerait explorer d'autres horizons.
J'ai même eu l'idée saugrenue de prendre un yaourt grec dont je terrai la marque et d'user du gland qui m'était offert comme cornet pour mon produit laitier. Je vous assure mesdames qu'un yaourt ainsi dégusté à une saveur inégalée! Mon Jeff est un galant qui aime m'honorer avant de se laisser aller à son propre plaisir. Mais ainsi caressé, avalé, sucé, effleuré, titillé, pompé il ne peut que laisser jaillir son sirop de « vergeat » que je m'empresse de recueillir : pareille semence aux vertus reconnues ne peut être gaspillée.
Mon amant heureux et repu me promet une friandise divine que je réclame aussitôt. Je ne suis guère patiente, c' est vrai, mais pourquoi attendre pour savourer les attentions de mon bel étalon.
Ravie d'être à la merci de mon homme, je me laisse aller à ses caresses impertinentes et excitantes. Mon compagnon me susurre des insanités à mon oreille qui ont un écho fulgurant sur ma libido. Comment puis je apprécier d'être affublée du titre de salope libidineuse , moi qui me targue d'user de vocabulaire académique. A croire que ce que l'on dit et ce que l'on veut diffèrent quelque peu. En attendant, mon chevalier bandant, me bande les yeux afin, dit il , de sublimer ses attouchements audacieux. Il me faudra donc deviner et non voir, ressentir et non regarder. Grand avantage pour moi, il dégage ma responsabilité puisque je ne sais pas ce qu'il fait. Je peux donc accepter ses outrages sans aucun sentiment de culpabilité, qu'il est donc malin mon coquin.
Ses doigts indiscrets se promènent sur mon corps incendié, et ces effleurements désordonnés attisent soigneusement l'envie de me faire pénétrer. Il dépose des baisers humides et salés sur ma bouche, sa langue force mes lèvres et nos salives se mélangent. Ce dard impétueux me fouille profondément et multiplie encore mon désir d'être prise. Ces mains continuent leur pèlerinage voluptueux , malaxent ma poitrine aux aréoles rosées et aux tétons érigés. J'aime qu'il s'attarde ainsi sur mes seins tendus. Il quitte ma bouche et vient lécher mes nibards impatients. Il mordille comme un nouveau né mes mamelles gonflées, les aspire, les pince et les tète. Ce jeu luxurieux décuple mon appétit débordant. Je voudrais crier mon appétence , je suis chienne en chaleur, mais ma bienséance malsaine m'empêche de verbaliser mon envie de sexe et je bougonne des mots sans consistance. Heureusement que mon prétendant est « sexoglotte » et qu'il sait déchiffrer les onomatopées des filles coincées. Le voici qui investi mon abricot mouillé de son appendice buccal. Je trésaille de sentir ce minuscule mais néanmoins vaillant braquemart dans mon intimité. Qu'il est bon d'être ainsi fouillé minutieusement . Nulle parcelle n'est oubliée et ainsi généreusement lubrifiée. Je suis aux anges. Je suis investi par moult aiguillons agiles et fougueux. Je sent couler sur mon sexe glabre un liquide tiède, jeff m'indique qu'il officie avec de l'huile sèche. Il apprécie que je me sois épilée entièrement, pour lui rien de plus attirant qu'un minou imberbe. Il glisse un doigt dans ma chatte en furie et je gémis de plaisir. Convié à plus de témérité je devine une deuxième extrémité dans mon intimité. Je fantasme alors sur un troisième appendice et voire plus.
Consciencieusement, mon partenaire me lime, d'avant en arrière, de haut en bas, effeuillant au passage mon bouton. Les caresses clitoridiennes déclenchent des tremblements dans tout mon corps. Mes pensées inconvenantes de pénétration extrêmes n'arrangent rien. Soudain le majeur de sa main libre s'aventure prés de ma fleur de Sodome. A mon grand étonnement mon œillet quémande une visite guidée . Et à mon corps défendant (sourire), de petits coups de reins anodins empalent le curieux freluquet.
Je couine de satisfaction. Mon amoureux en profite pour entrer un troisième puis un quatrième doigt dans mon antre chaude et capiteuse. Une première onde de jouissance me surprend et un jaillissement incontrôlé inonde la main qui me sonde. Jeff aime boire à ma fontaine et il m'affirme que cet éjaculât conséquent est précieux et agréable. Il me rassure et m'encourage à me laisser aller à l'extase. Il continue à déflorer ma pastille ce qui me plonge dans un état semi comateux. Soudain il entre entièrement son poing huilé dans mon vagin affamé et milles bulles d'ébaudissement pétillent dans mon corps . Un orgasme gigantesque m'emporte dans un délire divin, je gicle ma jouissance encore et encore sous les va et vient de ce poing guerrier. Je suis comblée, totalement remplie et pleinement pénétrée. Je ne veux pas que cela s'arrête et supplie mon doux de continuer son investigation manuelle. Quel amant talentueux! Je viens de découvrir les joies et les plaisirs du fist-fucking, quel délicieux apprentissage......
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