Lyon chapitre 2

- Par l'auteur HDS EK43 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Lyon chapitre 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lyon chapitre 2
Chapitre 2  • -         « Allez debout ! Il est 9 heures, feignasse, je t'attends en bas dans deux minutes, j'attends mon petit dej », entendit-elle, tout en recevant un coup de pied.
• -          La nuit avait été longue mais pas très confortable, elle sentait encore de douloureuses courbatures. Elle s'empressa néanmoins de descendre.
Erik avait déjà pris, place à table à coté d'un sachet de croissant et du journal « Libération » . Flore , le salua dans les règles de l'art, passant sous la table pour lui embrasser la braguette. Erik, lui signala, que pour lui, ce serait un grand bol de lait chocolat, et pour elle, ce qu'elle voulait. Flore s'empressa de filer à la cuisine, la laisse balançant entre les seins, et de revenir avec deux bols fumants, dont un de thé, qu'elle posa au pied de la table, à la droite de son maître. Avec envie ,elle ne pouvait s'empêcher, de jeter un coup d' œil, sur les croissants que s'apprêtait à dévorer son maître. Peut être lui en jetterait-il des bouts ? Interception loupée, malgré un coup de gueule réflexe, le morceau se trouvait à même le carrelage, et bien sur elle se précipita dessus. De cette façon, tout en buvant son thé, elle mangea bien deux croissants.
 Erik lui dit qu'elle était une bonne chienne, et que maintenant, elle allait le sucer. Déjà, promptement, Flore, s'était glissée sous la table, et elle attaquait la braguette comme son maître aimait avec les dents. Déjà elle tirait le pantalon et le slip.
 Elle avait envie de sucer, sans les mains, déjà elle léchait le gland violacé, puis donnait quelques coups sur la hampe, avant de plonger, gueule ouverte, sur le sexe qu'elle n'avait pas mis une minute à faire raidir, plongeait, relâchait, furetait. Une langue, des lèvres, démoniaques, faites pour la jouissance des hommes, et ils étaient nombreux à avoir profité de cette bouche docile et assoiffée de sperme.
 Erik appuya d'un coup sec sur la nuque de Flore, pour que celle-ci ait la gorge empalée, sur cette grosse queue juteuse. Elle sentait le gland gonflé, au borde de l'explosion. Crache, dans ma gorge de pute, se dit-elle, et un flot lourd, visqueux, vint l'inondée. Une liqueur, chaude, coulait dans sa trachée, allait remplir son estomac . Flore ressemblait à une chatte repue, qui se délectait des dernières gouttes en nettoyant le nœud de son maître, en l'embrassant une fois sa tache finie.
 Elle le rhabilla, de nouvelles taches l'attendaient.
D'abord sa toilette, ensuite, remettre le plug anal, puis sa laisse et équiper ses seins de poids. Des vieux poids de balance, de 500 grammes chacun.
Ensuite, nettoyer son pipi dans la voiture, puis la vaisselle, le lit à faire, balayer, passer la serpillière, nettoyer ses vêtements d'hier salis, des activités de bonne, mais dans une posture et une tenue de chienne. Voilà ce qu'elle était, une bonne et une chienne. Une bonne chienne en résumé.
 Erik, avait mis une K7, et déjà la Mano Negra, remplissait la pièce, un live piraté au Transbo, il y a déjà longtemps. Il matait sa chienne, qui s'appliquait, veillant autant à ses activités domestiques, qu'à se déplacer à quatre pattes, en creusant bien les reins, veillant à être toujours bandante. Il la voyait, s'acharner, transpirer. Dehors il faisait beau, et il alla s'asseoir sur le perron histoire de griller une clope. Heureusement, il y avait internet, sinon comment aurait-il connu cette superbe chienne blonde et mince, avec ses seins en poire que de gros poids étiraient. Plusieurs mois d'échanges, de mails, de messages, et puis un jour le déclic, elle avait dit oui. Elle avait accepté le week-end, pour voir, et puis peut être plus. Un week-end complet en chienne.
 Elle aussi, elle y pensait, dans sa posture humiliante, avec ce plug qui la déchirait, avec ses poids douloureux. Deux heures à briquer, laver, sous le regard d'un homme, et à jouir mentalement de cela. Tout cela, pour une caresse sur la croupe ou sur la nuque, un baiser que son maître déposait. Vers 11heures30 , elle s'agenouilla devant lui taches finies, épuisée. Après avoir vérifié la bonne exécution du travail, il s'assit sur la banquette, et en tirant sur la laisse, lui indiqua de venir le rejoindre.
 - « Couche-toi, ventre sur mes genoux », lui indiqua Erik.
Et là, il se mit à la caresser longtemps, délicatement, avec douceur, du cul à la nuque, de la nuque au cul, appuyant du pouce sur la colonne, caressant sa chevelure blonde. Puis il, la retourna, lui décrocha, les poids et continua sa tache avec le regard remplit de tendresse. Elle profitait, yeux mis clos de ce moment de béatitude.
 - « Allez, va me faire à manger, pour moi il y a des steaks, du poisson, des conserves de légumes, des pâtes. Pour toi tu as le choix entre boîte et croquettes . Je mets les assiettes, lança-t-il en la forçant à se lever.
 15 minutes après, il s'asseyait, devant un steak, des pâtes, et un yaourt. Pour elle Flore, avait pris des croquettes, et elle les dégustait à quatre pattes.
 - « C'est bon ? » lui demanda Erik.
- « Oui, maître, répondit-elle, dans, un large sourire, mais moins que votre queue ce matin ».
 Ce qui lui valut, une petite caresse sur la nuque. Déjà, elle avait finit son écuelle et la tendait à son maître pour qu'il la remplisse d'eau, qu'elle lapa en deux temps trois mouvements. Puis il lui tendit, un éclair au chocolat, qu'il avait acheté ce matin. Sa gueule, se referma dans le vide ! D'un geste vif Erik avait retiré l'objet.
 - « Lèche-le comme si c'était une queue, ordonna-t-il. Après tu pourras croquer ».
 Ce qu'elle fit lentement avec délectation. Après, elle fit du café, et son maître l'invita, à venir boire sa tasse, en travers de ses genoux.
Il lui dit , qu'il avait plein de choses de prévues pour elle c'est après midi et ce soir, et qu'il fallait qu'elle fasse une petite sieste.
 Voilà comment elle s'était retrouvée, solidement attachée en croix sur le lit avec de bonnes vieilles cordes, bâillonnée, bouche écartelée par un gros gode, tétines et lèvres du sexe mordues par des petites pinces crocodiles. Elle s'était endormie, rassurée, par la présence de son maître. Vers 16h, un coup de martinet, la tira de son sommeil. Qu'avait fait son maître durant ce temps ? Elle n'en sut rien. Toujours est il qu'un quart d'heure plus tard, elle se trouvait, plug dans les reins, poids aux seins à jouer à la balle dans la cour.
Son maître, lançait, et elle à quatre pattes, comme un chienne, courait, rampait dans la boue, rattrapait avec sa gueule, la balle de tennis, et rapportait en échange d'une bonne caresse. Puis attendait un nouveau lancer, à genoux langue sortie. Et ainsi de suite. Elle avait même dut aller chercher dans les buissons ont elle sentait encore les griffures. Ses seins martyrisés par les poids, elles ne les sentaient, même plus, quand aux genoux, ils étaient en sang et boueux. Épuisée, elle avait perdu la notion du temps. En plus, elle sentait la pisse, celle que son maître, venait de déverser sur son visage à longs jets.
 Après une rapide douche, un nouveau jeu l'attendait. Quand elle arriva, dans la pièce elle eu la surprise de voir une feuille et des crayons sur la table. Un cours, une heure de cours ! De l'histoire médiévale, un cours sur la construction des châteaux. Ici des règles lui furent expliquée, car après l'heure de cours , vingt questions lui seraient posées. Pour chaque mauvaise réponse une claque sur les fesses, et si elle répondait bien à au moins seize reprises, le droit de sucer le professeur.
 Confondre Versailles avec un château fort ! Dire qu'il y avait des oubliettes, alors que le professeur venait de dire, que ce que l'on a appelé « oubliettes », n'était pas une prison, mais à l'époque un simple garde-manger. Quatre bonne réponses ! Honte à Flore qui se retrouvait, en travers des genoux de son maître sévèrement fessée et obligée de compter les coups. Je suis sur qu'elle l'a fait exprès, pensa-t-il, mais quel cul délicieux, si doux. Il se sentait durcir, durcir.
 - « Allez, mauvaise élève ! Debout penchée sur la table ! , ordonna-t-il sèchement, et écarte les jambes ».
 Et vite, une queue dure qui s'enfilait dans sa chatte, puis se retirait trempée, pour s'appuyer contre son petit trou.
– « Enculez moi », s'entendit-elle supplier.
- « Tu es une pute qu'on encule !», répondit-il, en joignant le geste à la parole, mains calées sur ses hanches.
Les cris de plaisirs de Flore se mêlaient, aux insultes d'Éric. Des coups de boutoirs, et Flore qui répétait, encore, encore. Un relâchement, Erik qui s'écroulait sur elle, l'écrasant, jouissant dans les reins de sa pute. Comme ça, ils soufflèrent quelques instants, puis il s'assit, entraînant Flore à ses pieds. Celle-ci, heureuse lécha délicatement, la queue, pour la nettoyer. Sa merde, c'était sa merde, qui avait laissé des traces si odorantes, et elle en était fière.
 L'heure du repas approchait, Flore demanda si son maître voulait un apéritif, mais il répondit que la seule chose qu'il voulait , c'était qu'elle se rase le sexe . Il lui tendit un rasoir, du savon à barbe, un blaireau.
 - « Passe le blaireau sous l'eau chaude, et après frotte le contre savon , indiqua-t-il, puis assieds toi en face de moi ».
 Maintenant, elle se tenait cuisses ouvertes, puis sur les indications de l'homme, elle passa la mousse blanche avec le blaireau sur son sexe. Elle l'étendit, largement et soigneusement. Puis, à l'ordre elle se saisit du vieux rasoir mécanique et lentement, elle nettoya son sexe des derniers poils blonds par de lents mouvements latéraux, puis verticaux avec précaution. Elle se sentait encore plus nue. Après avoir rincer son sexe, elle vint présenter son sexe aux yeux de son mentor, comme celui-ci lui avait demandé, debout cuisses écartées, mains sur la tête. La main d'Éric commença une inspection minutieuse, câlinant son sexe de pucelle, frôlant son clitoris, la laissant frustrée au bord de la jouissance.
 - « J'ai faim ! , s'écria Erik, dans le frigo, tu trouveras du foie gras, du beurre, du poulet froid et des pâtisseries. Il y aussi des toast briochés. Tu prépares un plateau et tu reviens au pied du canapé faire les toasts. Prends aussi le champagne et la flûte ».
 Erik, lui allumait la cheminée, avec quelques morceaux de papier, et du bois. Rapidement, des flammes s'élevèrent. Ca y est Flore revenait, et commençaient par ouvrir la bouteille et servir le champagne à son Maître. Du « Piper-Hiedsieck », rosé qu'elle lui tendit humblement, avant de toasté le foie gras. Une bonne vingtaine de toasts, et Erik commença à se servir. Elle, n'eut droit qu'a lécher la boite, et à lécher quelques miettes de foie tombé à terre.
Par contre, arrivé au poulet, il lui tendit une cuisse qu'elle dévora, puis il jeta l'os à terre, et elle le rongea comme une chienne affamée. Une fois sa ta tache terminée, elle lécha consciencieusement la main nourricière, puis resservit à boire à son maître.
 - « Ce soir, je vais tester ta capacité à souffrir, et si tu tiens le choc, tu m'appartiendras totalement et je ferais ce que je veux de toi. Tu ne seras plus qu'une bête à plaisir, à obéir et à souffrir. Tu seras marquée au fer, auras le sexe cadenassé. Peut être aussi, utiliserai-je tes capacités reproductrices. Et quand, j'en aurais marre de toi, que te me feras plus bander, je t'enverrai dans un bordel, en Afrique, ou dans des clubs SM en Allemagne ou tu continueras à bosser pour mon compte comme pute ».
  Sans se toucher, elle avait faillit jouir. L'esprit tournoyait en elle, elle était confuse, mais heureuse, amoureuse. Tout allait se décidé se soir, à elle de montrer ce qu'elle valait.
 

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