Lyon chapitre 3
Récit érotique écrit par EK43 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lyon chapitre 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
chapitre 3 Erik, s'était saisi du beurre et l'avait disposée, épaules à terre devant la cheminée, fesses en l'air. Il lui fourrait un morceau bien mou dans le cul . Elle savait ce qui allait se passer, surtout ne pas crier. Trois doigts brutalement enfoncés, qui commençaient à la caresser, à s'agiter. Elle était fouillée, un mélange de souffrance, de chaleur, de bonheur. Vite, une autre doigt, elle en avait envie mais l'homme retirait sa main, la laissant frustrée et ne pouvant s'empêcher d'exprimer son désespoir, d'un grognement dépité. Elle ne pouvait voir ce qu' Erik préparait car il était derrière elle, est pourtant elle en aurait été heureuse. Erik s'enduisait les deux mains de beurre. La droite pour le cul, la gauche.... Elle sentit qu'on frôlait ses orifices. Puis d'un coup brutal et simultané, les deux mains s'enfoncèrent en elle. Elle hurla, des larmes montaient aux yeux, mais cela ne faisait qu'inciter l'homme à pousser. Les doigts étaient maintenant mis jusqu'à la racine. Elle se sentait dilatée, explosée, humiliée.
Mais un plaisir incompréhensible, incontrôlé montait.
Une nouvelle poussée, encore plus brutale. Son cri ne fut pas de douleur, mais de plaisir, le plaisir d'être l'objet d'un homme. Les deux mains étaient solidement en elle, jusqu'aux poignets. Et elle, jouissait en sentant ces mains, la fouiller. Elle jouissait fort, Erik la sentait trembler, vibrer, sous l'effet de ses doigts. Ses doigts, qui bougeaient, caressait son col, défonçait ses reins sans ménagement. Une jouissance totale pour elle, répétée. Une jouissance mentale pour son maître, de la voir si belle, une beauté que seule le mélange du mal et du bien peut obtenir.
Quelques instants de répit et un nouveau jeu. Voilà Flore, obligée d'enlever la feuille métallisée du goulot de la bouteille de champagne, puis de le beurrer abondamment .
Là voilà qui reçoit l'ordre de s'asseoir dessus. Le maître tient la bouteille, et elle se laisse tomber dessus, loupant le trou au premier coup, se rattrapant promptement.. Elle avait, envie de cette bouteille, pas pour l'objet en soi, mais pour montrer à son nouveau maître, l'amour qu'elle lui portait. Il était à la fois si dur, et si doux. Elle fondait, mouillait devant son regard, sous ses caresses..
Le voilà face à elle, qui posait ses mains ses épaules, et pesait de tout son poids. La chienne jappait de plaisir. Han, il poussa encore. Elle pleurait, mais serrait les dents. Son fion était dilaté au maximum, au bord de la rupture. Malgré la douleur, elle essayait de sourire pour plaire à son maître. Celui-ci prit du recul, pour admirer son ouvre. Le tiers de la bouteille avait disparu entre les reins de sa chienne. Il la fit mettre à quatre pattes, histoire de mieux reluquer. Elle était la beauté pure. Une beauté pure, qui souriait, pleurait, le fion défoncé. Une beauté pure, faite pour servir et sucer. Sucer, c'est d'ailleurs ce qu'elle allait faire. Déjà elle avait la langue pendante et s'approchait de son maître qui venait de s'asseoir une cigarette à la main. Comme par hasard, la cendre tomba sur ça langue, puis le bout rougeoyant s'écrasa sur sa langue humide, lui arrachant un cri bestial. Mais elle avala quand même le mégot.
Maintenant, elle suçait son mâle, avec encore plus d'avidité, plus il la maltraitait, plus elle voulait son jus de couilles, véritable vampire buveuse de sperme, c'est à peine si elle sentait les coups de ceinturon s'abattre sur son dos. Une seule chose comptait, boire le jus de son amour. Elle fut comblée d'une lourde giclée dont elle se délecta avant de s'effondrer, épuisée. Elle avait jouit, la brûlure, les coups, la bouteille, le goût du foutre. Prendre du plaisir sans avoir à se caresser !C'est immobilisée par de solides liens, qu'elle se réveilla.
- « La soirée, n'est pas finie, lança Erik, dans un doux sourire, il est à peine minuit ».
En croix, sur la table, impossible de bouger. La main gauche de son étalon personnel, furetait des seins, à son sexe, puis il lui banda les yeux.
Erik avait décidé de l'orner. D'abord les mini pinces crocodiles sur les petites lèvres et le clito. Et puis ses tétons. Traitement spécial ! Délicatement il avait retiré les boucles de ses piercings, puis il avait désinfecté ses tétines de chienne, et les instruments qui allaient servir.
D'abord de gros clous d'au moins cinq millimètres de large pour remplacer les boucles, agrandir les trop petits trous qu'elle avait sur les tétons. Et d'un ! Et de deux ! Deux coups vifs, les avaient déchirés. Du sang perlait, elle geignait. Les plaies vives, arrosées à l'alcool, la firent sursauter. Puis se fut à de multiples petites piqûres sur les nichons qu'elle dut ses tressaillements, de plaisir et de douleur. Les piqûres durèrent longtemps et son sexe se transformait aussi en pelote d'aiguilles.
Erik se recula, Flore faisait une belle pelote d'aiguilles, serrant les dents, les seins sanglants.
Une main se glissait en elle pour la récompenser de sa souffrance. Une main entière, des doigts délicats, qui caressait son col .
• - « Oh oui ! Oh oui ! criait -elle, encore, encore !
Dans cette posture troublante, elle jouissait encore et encore. Trois heures sonnèrent au clocher, elle suait de partout, et la main n'arrêtait toujours pas. Erik avait la main droite plongée dans cette chatte goulue, pendant que la gauche tirait sur les clous lui distendant les tétons. Elle était une machine à jouir, à jouir jusqu'au coma.
Elle n'avait pas sentit qu'on la détachait, la « déshabillait », la portait sur l'épaule, comme un sac à patates, la jetait sur le lit. Elle ne se réveilla qu'en levrette, chatte pilonnée par le dard de son mâle, et jouissant à nouveau. La nuit fut longue, un sommeil profond les réunis, tous deux tendrement enlacés, torse contre torse, amoureux.
chapitre 3 Erik, s'était saisi du beurre et l'avait disposée, épaules à terre devant la cheminée, fesses en l'air. Il lui fourrait un morceau bien mou dans le cul . Elle savait ce qui allait se passer, surtout ne pas crier. Trois doigts brutalement enfoncés, qui commençaient à la caresser, à s'agiter. Elle était fouillée, un mélange de souffrance, de chaleur, de bonheur. Vite, une autre doigt, elle en avait envie mais l'homme retirait sa main, la laissant frustrée et ne pouvant s'empêcher d'exprimer son désespoir, d'un grognement dépité. Elle ne pouvait voir ce qu' Erik préparait car il était derrière elle, est pourtant elle en aurait été heureuse. Erik s'enduisait les deux mains de beurre. La droite pour le cul, la gauche.... Elle sentit qu'on frôlait ses orifices. Puis d'un coup brutal et simultané, les deux mains s'enfoncèrent en elle. Elle hurla, des larmes montaient aux yeux, mais cela ne faisait qu'inciter l'homme à pousser. Les doigts étaient maintenant mis jusqu'à la racine. Elle se sentait dilatée, explosée, humiliée.
Mais un plaisir incompréhensible, incontrôlé montait.
Une nouvelle poussée, encore plus brutale. Son cri ne fut pas de douleur, mais de plaisir, le plaisir d'être l'objet d'un homme. Les deux mains étaient solidement en elle, jusqu'aux poignets. Et elle, jouissait en sentant ces mains, la fouiller. Elle jouissait fort, Erik la sentait trembler, vibrer, sous l'effet de ses doigts. Ses doigts, qui bougeaient, caressait son col, défonçait ses reins sans ménagement. Une jouissance totale pour elle, répétée. Une jouissance mentale pour son maître, de la voir si belle, une beauté que seule le mélange du mal et du bien peut obtenir.
Quelques instants de répit et un nouveau jeu. Voilà Flore, obligée d'enlever la feuille métallisée du goulot de la bouteille de champagne, puis de le beurrer abondamment .
Là voilà qui reçoit l'ordre de s'asseoir dessus. Le maître tient la bouteille, et elle se laisse tomber dessus, loupant le trou au premier coup, se rattrapant promptement.. Elle avait, envie de cette bouteille, pas pour l'objet en soi, mais pour montrer à son nouveau maître, l'amour qu'elle lui portait. Il était à la fois si dur, et si doux. Elle fondait, mouillait devant son regard, sous ses caresses..
Le voilà face à elle, qui posait ses mains ses épaules, et pesait de tout son poids. La chienne jappait de plaisir. Han, il poussa encore. Elle pleurait, mais serrait les dents. Son fion était dilaté au maximum, au bord de la rupture. Malgré la douleur, elle essayait de sourire pour plaire à son maître. Celui-ci prit du recul, pour admirer son ouvre. Le tiers de la bouteille avait disparu entre les reins de sa chienne. Il la fit mettre à quatre pattes, histoire de mieux reluquer. Elle était la beauté pure. Une beauté pure, qui souriait, pleurait, le fion défoncé. Une beauté pure, faite pour servir et sucer. Sucer, c'est d'ailleurs ce qu'elle allait faire. Déjà elle avait la langue pendante et s'approchait de son maître qui venait de s'asseoir une cigarette à la main. Comme par hasard, la cendre tomba sur ça langue, puis le bout rougeoyant s'écrasa sur sa langue humide, lui arrachant un cri bestial. Mais elle avala quand même le mégot.
Maintenant, elle suçait son mâle, avec encore plus d'avidité, plus il la maltraitait, plus elle voulait son jus de couilles, véritable vampire buveuse de sperme, c'est à peine si elle sentait les coups de ceinturon s'abattre sur son dos. Une seule chose comptait, boire le jus de son amour. Elle fut comblée d'une lourde giclée dont elle se délecta avant de s'effondrer, épuisée. Elle avait jouit, la brûlure, les coups, la bouteille, le goût du foutre. Prendre du plaisir sans avoir à se caresser !C'est immobilisée par de solides liens, qu'elle se réveilla.
- « La soirée, n'est pas finie, lança Erik, dans un doux sourire, il est à peine minuit ».
En croix, sur la table, impossible de bouger. La main gauche de son étalon personnel, furetait des seins, à son sexe, puis il lui banda les yeux.
Erik avait décidé de l'orner. D'abord les mini pinces crocodiles sur les petites lèvres et le clito. Et puis ses tétons. Traitement spécial ! Délicatement il avait retiré les boucles de ses piercings, puis il avait désinfecté ses tétines de chienne, et les instruments qui allaient servir.
D'abord de gros clous d'au moins cinq millimètres de large pour remplacer les boucles, agrandir les trop petits trous qu'elle avait sur les tétons. Et d'un ! Et de deux ! Deux coups vifs, les avaient déchirés. Du sang perlait, elle geignait. Les plaies vives, arrosées à l'alcool, la firent sursauter. Puis se fut à de multiples petites piqûres sur les nichons qu'elle dut ses tressaillements, de plaisir et de douleur. Les piqûres durèrent longtemps et son sexe se transformait aussi en pelote d'aiguilles.
Erik se recula, Flore faisait une belle pelote d'aiguilles, serrant les dents, les seins sanglants.
Une main se glissait en elle pour la récompenser de sa souffrance. Une main entière, des doigts délicats, qui caressait son col .
• - « Oh oui ! Oh oui ! criait -elle, encore, encore !
Dans cette posture troublante, elle jouissait encore et encore. Trois heures sonnèrent au clocher, elle suait de partout, et la main n'arrêtait toujours pas. Erik avait la main droite plongée dans cette chatte goulue, pendant que la gauche tirait sur les clous lui distendant les tétons. Elle était une machine à jouir, à jouir jusqu'au coma.
Elle n'avait pas sentit qu'on la détachait, la « déshabillait », la portait sur l'épaule, comme un sac à patates, la jetait sur le lit. Elle ne se réveilla qu'en levrette, chatte pilonnée par le dard de son mâle, et jouissant à nouveau. La nuit fut longue, un sommeil profond les réunis, tous deux tendrement enlacés, torse contre torse, amoureux.
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