m'aurait il violée ??
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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m'aurait il violée ??
Ce soir d’été nous fêtions les dix-sept ans de ma belle fille Ovidia, je suis en
couple avec sa mère depuis trois ans, j’ai assisté a la transformation de cette gamine
devenue femme fatale, sa mère est plutôt jolie, je suis bien avec elle, elle m’aime
bien malgré mon physique qui n’est pas extraordinaire, plutôt petit, râblé, poilu, je
pense que c’est ma virilité qui a séduit isabelle, a moins qu’elle ne simule des
orgasmes ce qui m’étonnerais vus la modification de sa chatte pendant nos rapports
ainsi que les râles étouffés pour ne pas choquer sa fille dont la chambre est a
proximité, tout comme ses membres littéralement accrochés a moi comme des lianes pour
m’empêcher de me retirer …..
Ce soir là il faisait chaud nous étions sur la terrasse pour fêter mon anniversaire,
nous fêtions ça en famille je venais de larguer mon copain qui m’avait trompée, Didier
le copain de ma mère avait beaucoup bu, enfin plus que maman et moi ! Vers minuit je
somnolais sur la balancelle, j’ai entendu maman dire qu’elle allait se coucher
- Je suis crevée et à moitié pompette ! je monte me coucher, laisse dormir
Ovidia elle a un peu bu aussi, il fait bon elle n’aura pas froid
- OK je me sers un dernier verre et je te rejoins
- Encore un ? Ne fait pas de bruit en montant, bonne nuit
Effectivement j’ai entendu les glaçons tinter au fond du verre puis le silence, c’est
à ce moment là que j’ai pris conscience de ma position, sur le coté, la tête sur un
accoudoir une jambe repliée, pouvait- il voir mon entre cuisse ? Je le soupçonnais
depuis quelques temps d’essayer d’apercevoir mes formes à la moindre occasion, quelle
expérience pour une ados de se sentir désirée par un homme viril, pourtant ce n’est
pas son physique qui m’attire, mais son corps exprime une puissance phénoménale avec
un cou de taureau et des cuisses musclées, je l’imagine pousser sa queue dans le
ventre de ma mère
Le sentiment de voyeurisme et d’exhibition de ma part a fait monter en moi une chaleur
inconnue, je percevais son souffle autant en bruit qu’en chaleur sur ma jambe
- Tu dors Ovidia ?
Je me garde de répondre, la fraicheur de la nuit gagne ma cuisse, ma robe ne peux pas
remonter seule …ma gorge se serre tandis que ma chatte brulante se met à suinter de
plaisir, soudain un faisceau lumineux éclaire mon corps, il vient d’allumer une lampe
de poche pour mater le fond de mon slip, il devient de plus en plus difficile pour moi
de contrôler ma respiration, cet homme qui fait jouir ma mère comme une hystérique me
convoite et ça me plais
Des doigts effleurent l’intérieur de ma cuisse, je ne peux réprimer un mouvement,
précipitamment les doigts se retirent, j’en profite pour soupirer et changer de
position, chose normale pendant un sommeil, cette fois je me mets sur le dos une jambe
allongée l’autre repliée et ouverte, ma robe retombe sur mon ventre, ma vulve est
pleinement visible sous mon mini slip, le souffle chaud revient, un ongle gratte le
bombé de ma chatte
- Tu dors Ovidia ?
Toujours pas de réponse, il va bien s’apercevoir que ma mouille traverse le tissu pour
un mâle expérimenté ma ruse ne va pas tenir longtemps …le bout du doigt se fait plus
précis, il essaie de crocheter le bord de ma culotte, heureusement le tissu assez
relâché ne résiste pas, mes lèvres à peine ourlées de poils sont découvertes, un
soupir de satisfaction accompagne la découverte
Le doigt enhardi se fraie un passage entre les lèvres gonflées de désir et plonge dans
mon vagin détrempé, cette fois je ne peux plus simuler le sommeil il sait que ma
chatte est consentante, je resserre les cuisses sur sa main en me redressant
- DIDIER ? que fais-tu ?????
- Chuuuuuut ne réveille pas ta mère, je voulais simplement admirer ton corps
- Tu es fou ? profiter de mon sommeil pour violer mon intimité ? c’est
dégueulasse !
- Je sais que tu es réveillée depuis le début, ton intimité me dit qu’elle est
d’accord
Et sans autre forme de procès il agrippe ma culotte pour me la retirer, la salope qui
sommeille en moi s’allonge et soulève le bassin pour lui faciliter la besogne
- Tu es belle Ninon….
Les cuisses ouvertes je me laisse fouiller le minou avant qu’il ne me tourne vers lui
et que sa bouche vorace ne se colle à mon vagin, je me mords le poignet pour ne pas
hurler quand sa langue dévie et force ma rosette, je suis tétanisée par son audace,
mon petit trou réagis secoué de spasmes incontrôlables, mes sens ne m’appartiennent
plus, je murmure des ‘oui’ des ‘non’ des ‘encore’ et le pire…. un ‘défonce moi ‘
- Tu le veux vraiment ?
Il n’attend pas ma réponse pour quitter son pantalon, curieuse je regarde l’instant ou
ce sexe qui fait beugler ma mère va apparaitre que peut-il avoir de différent avec
celui de mon ex copain ? … il n’est pas plus long mais bien plus large et veineux
alors que celui qui me baisait était lisse, recourbé vers le haut, sa verge est bien
conforme à son apparence extérieure, un vrai bélier, elle me tente et me fait peur,
sans attendre qu’il ne me le demande je me cale dans la balancelle le cul au bord du
coussin, la robe remontée jusqu’aux reins les cuisses accueillantes
- Je vois que ce n’est pas ta première fois ! ne bouge plus la position est
bonne surtout retient toi de crier
A genoux devant moi il pose mes jambes sur ses épaules et dirige directement son gland
congestionné sur ma chatte, en deux coups de poignets il écarte mes lèvres avec son
gland et plonge sans ménagement dans mes entrailles juvéniles, le souffle me manque
sous l’impact, son ventre touche mon entre cuisses, en baiseur expérimenté sans aucun
mouvements de sa part il se sert du mouvement de la balancelle a laquelle il se tient
pour m’enfiler a son rythme
- Tu as la même morphologie intérieure que ta mère je vais te faire découvrir
ton poing G, d’ici peu tu vas décoller, ça te plait ? tu sens bien ma bitte ?
- … oui
- Je n’entends rien ?
- OUI ! ça me plais je sens bien ta queue fais moi gueuler comme maman
- A la bonne heure ! t’es une bonne chaudasse comme ta mère, mon défonce cul va
former ta chatte à ma mesure !
C’est mon poing G qui me titille ? A chaque passage de sa hampe recourbée c’est comme
si je me touchais le clito, des ondes électriques traversent ma moule, mes cuisses se
mettent à trembler, des spasmes ouvrent et ferment mon petit trou, une envie de hurler
monte, ma chate est ouverte comme jamais, ses poils en chatouille l’entrée, mes yeux
se révulsent
- OVIDIA ! u va jouir ? retient toi de crier bon-dieu ! mord ma main ….
°°°Les contractions de sa chatte sur ma queue ont raison de moi je lâche le foutre de
deux jours dans sa chatte à peine rodée
°°°J’ai faillis m’évanouir c’est la première fois que je sens du sperme gicler en moi,
c’est une sensation divine, mon ex se servait de préservatif, en bon amant Didier
attend collé a moi que son sexe évacue les dernières gouttes de sperme, qu’il
redevienne mou et glisse de lui même hors de ma chatte
- Met ta main sur ta fente j’attrape une serviette en papier sinon on va tacher
le coussin, ça va fillette ? ça t’a plu ?
- Oui très bien, je ne regrette rien mais je n’étais pas dans mon état normal,
par respect pour maman nous ne recommencerons pas
- Je te comprends et respecte ta décision, moi non plus je n’étais pas à jeun,
merci pour ta fraicheur Ovidia
Je me suis enfuie dans ma chambre, une fois nue et allongée j’ai ôtée la serviette de
papier qui protège ma moule pour me repaitre du foutre prélevé avec mes doigts encore
emmagasiné dans mon vagin et me masturber jusqu'à épuisement, apaisée je me suis
endormie les doigts dans la chatte
couple avec sa mère depuis trois ans, j’ai assisté a la transformation de cette gamine
devenue femme fatale, sa mère est plutôt jolie, je suis bien avec elle, elle m’aime
bien malgré mon physique qui n’est pas extraordinaire, plutôt petit, râblé, poilu, je
pense que c’est ma virilité qui a séduit isabelle, a moins qu’elle ne simule des
orgasmes ce qui m’étonnerais vus la modification de sa chatte pendant nos rapports
ainsi que les râles étouffés pour ne pas choquer sa fille dont la chambre est a
proximité, tout comme ses membres littéralement accrochés a moi comme des lianes pour
m’empêcher de me retirer …..
Ce soir là il faisait chaud nous étions sur la terrasse pour fêter mon anniversaire,
nous fêtions ça en famille je venais de larguer mon copain qui m’avait trompée, Didier
le copain de ma mère avait beaucoup bu, enfin plus que maman et moi ! Vers minuit je
somnolais sur la balancelle, j’ai entendu maman dire qu’elle allait se coucher
- Je suis crevée et à moitié pompette ! je monte me coucher, laisse dormir
Ovidia elle a un peu bu aussi, il fait bon elle n’aura pas froid
- OK je me sers un dernier verre et je te rejoins
- Encore un ? Ne fait pas de bruit en montant, bonne nuit
Effectivement j’ai entendu les glaçons tinter au fond du verre puis le silence, c’est
à ce moment là que j’ai pris conscience de ma position, sur le coté, la tête sur un
accoudoir une jambe repliée, pouvait- il voir mon entre cuisse ? Je le soupçonnais
depuis quelques temps d’essayer d’apercevoir mes formes à la moindre occasion, quelle
expérience pour une ados de se sentir désirée par un homme viril, pourtant ce n’est
pas son physique qui m’attire, mais son corps exprime une puissance phénoménale avec
un cou de taureau et des cuisses musclées, je l’imagine pousser sa queue dans le
ventre de ma mère
Le sentiment de voyeurisme et d’exhibition de ma part a fait monter en moi une chaleur
inconnue, je percevais son souffle autant en bruit qu’en chaleur sur ma jambe
- Tu dors Ovidia ?
Je me garde de répondre, la fraicheur de la nuit gagne ma cuisse, ma robe ne peux pas
remonter seule …ma gorge se serre tandis que ma chatte brulante se met à suinter de
plaisir, soudain un faisceau lumineux éclaire mon corps, il vient d’allumer une lampe
de poche pour mater le fond de mon slip, il devient de plus en plus difficile pour moi
de contrôler ma respiration, cet homme qui fait jouir ma mère comme une hystérique me
convoite et ça me plais
Des doigts effleurent l’intérieur de ma cuisse, je ne peux réprimer un mouvement,
précipitamment les doigts se retirent, j’en profite pour soupirer et changer de
position, chose normale pendant un sommeil, cette fois je me mets sur le dos une jambe
allongée l’autre repliée et ouverte, ma robe retombe sur mon ventre, ma vulve est
pleinement visible sous mon mini slip, le souffle chaud revient, un ongle gratte le
bombé de ma chatte
- Tu dors Ovidia ?
Toujours pas de réponse, il va bien s’apercevoir que ma mouille traverse le tissu pour
un mâle expérimenté ma ruse ne va pas tenir longtemps …le bout du doigt se fait plus
précis, il essaie de crocheter le bord de ma culotte, heureusement le tissu assez
relâché ne résiste pas, mes lèvres à peine ourlées de poils sont découvertes, un
soupir de satisfaction accompagne la découverte
Le doigt enhardi se fraie un passage entre les lèvres gonflées de désir et plonge dans
mon vagin détrempé, cette fois je ne peux plus simuler le sommeil il sait que ma
chatte est consentante, je resserre les cuisses sur sa main en me redressant
- DIDIER ? que fais-tu ?????
- Chuuuuuut ne réveille pas ta mère, je voulais simplement admirer ton corps
- Tu es fou ? profiter de mon sommeil pour violer mon intimité ? c’est
dégueulasse !
- Je sais que tu es réveillée depuis le début, ton intimité me dit qu’elle est
d’accord
Et sans autre forme de procès il agrippe ma culotte pour me la retirer, la salope qui
sommeille en moi s’allonge et soulève le bassin pour lui faciliter la besogne
- Tu es belle Ninon….
Les cuisses ouvertes je me laisse fouiller le minou avant qu’il ne me tourne vers lui
et que sa bouche vorace ne se colle à mon vagin, je me mords le poignet pour ne pas
hurler quand sa langue dévie et force ma rosette, je suis tétanisée par son audace,
mon petit trou réagis secoué de spasmes incontrôlables, mes sens ne m’appartiennent
plus, je murmure des ‘oui’ des ‘non’ des ‘encore’ et le pire…. un ‘défonce moi ‘
- Tu le veux vraiment ?
Il n’attend pas ma réponse pour quitter son pantalon, curieuse je regarde l’instant ou
ce sexe qui fait beugler ma mère va apparaitre que peut-il avoir de différent avec
celui de mon ex copain ? … il n’est pas plus long mais bien plus large et veineux
alors que celui qui me baisait était lisse, recourbé vers le haut, sa verge est bien
conforme à son apparence extérieure, un vrai bélier, elle me tente et me fait peur,
sans attendre qu’il ne me le demande je me cale dans la balancelle le cul au bord du
coussin, la robe remontée jusqu’aux reins les cuisses accueillantes
- Je vois que ce n’est pas ta première fois ! ne bouge plus la position est
bonne surtout retient toi de crier
A genoux devant moi il pose mes jambes sur ses épaules et dirige directement son gland
congestionné sur ma chatte, en deux coups de poignets il écarte mes lèvres avec son
gland et plonge sans ménagement dans mes entrailles juvéniles, le souffle me manque
sous l’impact, son ventre touche mon entre cuisses, en baiseur expérimenté sans aucun
mouvements de sa part il se sert du mouvement de la balancelle a laquelle il se tient
pour m’enfiler a son rythme
- Tu as la même morphologie intérieure que ta mère je vais te faire découvrir
ton poing G, d’ici peu tu vas décoller, ça te plait ? tu sens bien ma bitte ?
- … oui
- Je n’entends rien ?
- OUI ! ça me plais je sens bien ta queue fais moi gueuler comme maman
- A la bonne heure ! t’es une bonne chaudasse comme ta mère, mon défonce cul va
former ta chatte à ma mesure !
C’est mon poing G qui me titille ? A chaque passage de sa hampe recourbée c’est comme
si je me touchais le clito, des ondes électriques traversent ma moule, mes cuisses se
mettent à trembler, des spasmes ouvrent et ferment mon petit trou, une envie de hurler
monte, ma chate est ouverte comme jamais, ses poils en chatouille l’entrée, mes yeux
se révulsent
- OVIDIA ! u va jouir ? retient toi de crier bon-dieu ! mord ma main ….
°°°Les contractions de sa chatte sur ma queue ont raison de moi je lâche le foutre de
deux jours dans sa chatte à peine rodée
°°°J’ai faillis m’évanouir c’est la première fois que je sens du sperme gicler en moi,
c’est une sensation divine, mon ex se servait de préservatif, en bon amant Didier
attend collé a moi que son sexe évacue les dernières gouttes de sperme, qu’il
redevienne mou et glisse de lui même hors de ma chatte
- Met ta main sur ta fente j’attrape une serviette en papier sinon on va tacher
le coussin, ça va fillette ? ça t’a plu ?
- Oui très bien, je ne regrette rien mais je n’étais pas dans mon état normal,
par respect pour maman nous ne recommencerons pas
- Je te comprends et respecte ta décision, moi non plus je n’étais pas à jeun,
merci pour ta fraicheur Ovidia
Je me suis enfuie dans ma chambre, une fois nue et allongée j’ai ôtée la serviette de
papier qui protège ma moule pour me repaitre du foutre prélevé avec mes doigts encore
emmagasiné dans mon vagin et me masturber jusqu'à épuisement, apaisée je me suis
endormie les doigts dans la chatte
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
la transition déroute en effet. Mais l'idée de baiser avec ta belle fille, ou avec ton
beau père, on ne sait plus, me séduit. ça me rapelle mes orgies avec ma nièce. J'adore.
Bises à tous les deux
beau père, on ne sait plus, me séduit. ça me rapelle mes orgies avec ma nièce. J'adore.
Bises à tous les deux
A un moment tu as appelé la fille Ninon et puis la transition entre le texte vu du point
de vue du beau-père et celui selon le point de vue de la fille m'a un peu déconcerté. Le
texte aurait été plus agréable a lire s'il y avait eu une séparation entre chaque
transition.
de vue du beau-père et celui selon le point de vue de la fille m'a un peu déconcerté. Le
texte aurait été plus agréable a lire s'il y avait eu une séparation entre chaque
transition.