M'exhiber me donne parfois l'occasion de ...

- Par l'auteur HDS Le prêteur -
Auteur couple.
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Récit libertin : M'exhiber me donne parfois l'occasion de ... Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2020 dans la catégorie Plus on est
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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M'exhiber me donne parfois l'occasion de ...
Parfois, seule ou avec mon homme, j'aime m'exhiber quelque peu. En été c'est de temps en temps avec un chemisier ultra transparent et/ou des jupes très courtes. A une terrasse, sur un banc au parc, tout endroit est bon pour attirer les regards d'hommes curieux. En hiver c'est un peu plus difficile, je suis frileuse et toujours avec de grosses vestes rembourrées. Il n'empêche que mes jupes et robes restent toujours courtes.
Lorsque je suis ainsi vêtue je pars "allumer" les coquins. L'idée n'est pas toujours de trouver un partenaire de jeux car il faut encore "LE" trouver. Je n'aime que les vieux messieurs, si possible obèses et vicieux, et oui je suis difficile (hi hi). Mon homme (quand il est avec) me suit à une quinzaine de mètres et s'amuse à regarder les voyeurs. Comment je procède ? Souvent je porte un collant transparent 15 deniers dans lequel je coince une partie arrière de ma jupe. L'absence de petite culotte ajoute à la vision dont ces messieurs bénéficient.
Grâce à cette merveilleuse invention qu'est le GSM, mon homme me prévient lorsqu'un spécimen semblant me convenir me suit rue après rue. Après, je m'arrange pour entrer en conversation avec le vieux cochon. Mon taux de réussite est de 3/5. Laissez-moi vous raconter l'aventure d'il y a 10 jours.
J'étais ainsi habillée: Souliers rouges à talons 9 cm, collant transparent, jupe noire en jersey longueur 36 cm, pull gris moulant, doudoune rouge. Pas de lingerie, je peux me permettre de laisser ma poitrine libre.
Nous sommes arrivés au parc vers 15h, nous savons qu'à cette heure il y a toujours des hommes âgés qui s'y promènent.
Sortie de la voiture mon homme m'a aidée à peaufiner ma tenue, c'est à dire qu'il a fait en sorte qu'une de mes fesses soit bien visible tout en donnant l'apparence du "involontaire". Je suis entrée au parc, mon mec me suivant à distance.
Malheureusement il n'y avait pas grand monde, il faisait froid et peu avait eu le courage de se mettre en chemin.
Il y a eu un qui m'a suivit un certain temps, mais mon homme m'a téléphoné pour me prévenir qu'il y avait un intéressé, mais qui paraissait avoir seulement dans les 30 ans. D'ailleurs au bout de quelques dizaines de mètres il a pris un autre chemin. Il y avait presque 20 minutes que je marchais ainsi et je me sentais découragée, je pensais même à arrêter. LORSQUE !
Lorsque je vis mon bonheur assis sur un banc ! Je dis "mon bonheur" car il s'agissait d'un papy tout à fait dans mes goûts.
Facilement la septantaine, +_ 170/90, un bon petit gros en quelque sorte. Je suis passée devant lui en marchant tout doucement, j'ai fait demi-tour et suis revenue à sa hauteur. A ce moment 2 à 3 mètres nous séparaient. Je lui ai tourné le dos et parlais
avec mon homme afin qu'il puisse bien mater. Se produisit alors quelque chose d'inattendu, mais qui me facilita la tâche pour la suite. Le papy s'était levé et est venu m'avertir que ma jupe était coincée dans mon collant. J'ai coupé court à la conversation d'avec mon homme et ai penché la tête de côté afin de (soi-disant) m'assurer de ce que l'homme venait de me dire. Jouant mon jeu, mon téléphone dans une main et mon sac dans l'autre, j'ai demandé à ce qu'il m'aide à me réajuster tout en déclarant que "voilà donc la raison pour laquelle j'avais froid". Tout en me rhabillant il a ri et m'a répondu qu'effectivement il venait de sentir que mes fesses étaient glacées, "surtout celle qui était exposée au vent" ajouta-t-il. Dés cet instant j'ai compris que certaines choses seraient possibles, mais lesquelles ? Je l'ai remercié et, tout de go, lui ai dit: "pourtant mon copain dit toujours que j'ai le feu au cul, cette fois il pourrait constater que c'est faux". Nous en avons bien ri et, alors qu'il reprenait place sur le banc, je me suis assise à côté de lui. Mon homme est passé devant nous comme si il ne me connaissait pas, ne nous jetant même pas un regard.
En fait je n'étais pas assise à côté du papy, j'étais contre lui. J'ai continué la conversation en disant que j'étais frigorifiée, que je ne m'étais pas rendue compte qu'il faisait aussi froid lorsque je me suis habillée pour sortir. "D'autant que vous n'avez pas grand-chose sur vous, vos jambes sont vraiment découvertes" me dit-il. "Oui, j'ai l'impression qu'elles vont se briser et je n'ai même pas de quoi les protéger car j'ai également oublié mon écharpe" répondis-je. Je regardais à gauche, à droite, personne à l'horizon. Il fallait déclencher le truc, mais comment ? Euréka! J'ai pris une main de l'homme et (en mentant) lui ai dit: "Peut-être que vos mains pourraient me réchauffer un petit peu, elles sont plus chaudes que moi et me feraient du bien". Ma phrase comprenait un double-sens, allait-il le comprendre ? Il se les frotta énergiquement puis les posa sur moi, une sur chaque jambes. J'ai poussé un petit gémissement traduisant ma satisfaction et lui ai fait part du bien que cela me faisait. A u bout d'un instant je lui ai demandé si il pouvait remonter un peu, que mes cuisses aimeraient aussi profiter de la chaleur dont il me dispensait. Sans hésiter il remonta de quelques centimètres, s'arrêtant à la limite de ma jupe. Honnêtement, à ce moment-là j'avais déjà mouillé. Ses mains ne restaient pas vraiment immobiles, mais elles restaient trop sages à mon goûts. J'avais bien remarqué quelques passants qui jetaient des regards, mais trop excitée je n'en avais rien à faire (lui non plus d'ailleurs). Penchant la tête à hauteur de son oreille je lui ai susurré: "Montez vos mains plus haut, cachez-les sous ma jupe". Et tout en lui prononçant ces quelques mots j'ai posé une main sur lui, ou plus précisément sur la bosse qui grossissait son pantalon. Là il a été vif comme l'éclair, sûrement qu'il en avait envie depuis un certain temps mais n'osait pas. Sa main droite est allée me caresser au bon endroit, la finesse du nylon n'empêcha pas que je sente son doigt me gratouiller, j'étais au bord de l'explosion et de lui prouver mon surnom de "femme fontaine".
Malheureusement de plus en plus de monde commençait à aller et venir, j'ai vu dans le regards de certain(e)s une grande désapprobation. Je ne pouvais pourtant me contenter de si peu, impossible pour moi de partir ainsi et de faire comme si rien ne s'était passé ! Alors que faire ?
Discrètement j'ai fait un petit signe à mon copain qui nous a rejoint, le papy ne l'a même pas vu arriver tellement il était occupé (LOL). J'ai retiré les mains du vieux et lui ai présenté mon homme. A cet instant j'ai cru qu'il allait s'évanouir, il a réellement blanchi. Je l'ai rassuré en lui disant que mon mec n'éprouve aucune jalousie et prends même beaucoup de plaisir à me voir jouir avec d'autres hommes. Pour qu'il en soit bien persuadé je lui ai donné un doux baiser sur la bouche. Il me restait une crainte, que papy ne veuille pas ou ne puisse pas venir chez nous.
Ce qui s'avéra car il devait rentrer nourrir son chien grabataire (le pauvre ne savait quasiment plus quitter son panier). Mais il nous proposa de l'accompagner chez lui: "c'est à 200m d'ici et je vis seul avec lui" précisa-t-il. Moi j'étais prête à le suivre où il le voulait, serait-ce même derrière les arbres un peu plus loin du moment qu'il m'apaise. Arrivés chez lui il nous a proposé de nous mettre à notre aise pendant qu'il s'occupait de Popsye, son chien. Mon homme m'a retiré ma doudoune et m'a indiqué le canapé, tandis que lui prenait place dans un fauteuil. D'un geste des deux mains, et sans parler, il m'a fait signe de bien écarter les jambes nonchalamment. Papy est vite revenu vers nous et nous a demandé ce que nous désirions boire. J'ai choisi un Armagnac, mon mec un whisky. Quand il est revenu avec les verres il a semblé hésiter où s'asseoir, alors je l'ai encouragé à prendre place à côté de moi. Nous avons trinqué et j'en ai profité pour me coller tout contre lui tout en lui donnant un nouveau baiser. Un peu de bavardage pendant lequel nous lui avons expliqué notre vie sexuelle, la liberté que nous nous accordions à chacun. Tout en parlant j'ai dit que, contrairement à dehors, chez lui il faisait très chaud. Dans le même temps j'ai enlevé mon pull. Mes seins lui étaient offerts, tant à la vue qu'au toucher. Il m'a regardée, il a regardé mon homme qui lui a fait un clin d'oeil, et il s'est emparé de mes 2 globes. Ses caresses étaient très douces, trop peut-être car j'adore qu'on me pince les tétons ou me les mordille avec une certaine violence. Je me suis plaquée à lui et l'ai embrassé à pleine bouche. Je crois que ce fut l'instant qui lui retira toute timidité. Il partit sous ma jupe, pénétra mon collant et accéda à mon petit minou tellement humide qu'il put y pénétrer sans difficulté avec plusieurs doigts. Le geste avait été si violent que j'ai poussé un grand cri, mais c'était un cri de plaisir, de bonheur. Je me suis laissée glisser, m'allongeant et posant une jambe sur le dossier du canapé. Papy, encouragé par ma position, s'est mis à me masturber comme un fou. C'était divin, je jouissais, je gémissais, je criais, j'ai inondé le canapé et le pantalon de papy.
Nous avons ensuite quitté le salon pour nous rendre dans sa chambre. Il a fermé les tentures et a allumé la lumière. Je me suis déshabillée et lui également. Je me suis allongée sur le lit et mon mec me connaissant quand je suis dans cet état lui a dit de commencer en m'administrant une fessée. Il y est allé de tout son coeur, j'en ai gardé les fesses rouges pendant plus d'une journée ! Ca a pour effet de me calmer et m'exciter dans le même temps.
La soirée de sexe fut formidable, mon homme nous a rejoint au bout d'un certain temps. Tous les deux m'ont prise devant, derrière, dans la bouche. Je n'aurais pas imaginé quelques heures plus tôt qu'un petit vieux allait me rendre autant heureuse ce jour-là, même si j'en rencontre régulièrement. Et savez-vous quel fut le meilleur moment ? C'est quand il m'a sodomisée ! Difficile de vous décrire, mais ce furent des instants merveilleux. Pendant que son sexe allait et venait dans mon cul, j'avais mes doigts dans ma chatte et j'arrivais à sentir son gland. Il termina en me faisant un facial, mon homme se vida ensuite dans ma bouche. Exceptionnellement nous allons revoir papy entre la Noël et Nouvel an, d'habitude nous ne voyons jamais 2 fois le même amant.

Les avis des lecteurs

J'aurai aimé être ce voyeur providentiel.

Histoire Erotique
Très excitant ! vite, très vite une suite ! merci à l'auteur !

Histoire Erotique
Bonjour à vous, merci pour cette jolie histoire bien excitante. Je me retrouve en grande
partie dans la description de votre voyeur et aimerait beaucoup en apprendre plus sur vous.
FunX



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