ma belle-fille
Récit érotique écrit par Alban [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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ma belle-fille
voici quelques temps, mon fils nous a annoncé son mariage. Ma belle-fille est charmante, elle a surtout un bcbsbg (beau cue baux seins belle geule) enfin bref elle était trés excitante je dois dire.
Au début nos rapport étaient stricts puis petit à petit on se frolait, on s'enbrassait plus longtemp que la normale.
Puis un jour, en l'absence de mon fils, je me suis décidé à l'embrasser sur la bouche, baiser auquel elle a répondu.
Trés vite nos rapport ont évolué, on s'embrassait tout le temp puis un jour en allant au ciné, je me suis mis à la peloter, mon fils était trop passionné par le film qu'il s'en apperçu même pas. Le soir même au diner, elle avait mis une mini-jupe et moi un short et tout en mangeant nous nous somme masturbés mutuellement avec nos pieds. Je lui ai giclé sur le pied.
Puis un jour elle me glissa un mot disant de venir la rejoindre dans la salle de bain du haut de notre maison.
Une fois la porte refermée, nous nous sommes enfermés, elle m'a abaissé mon pantalon tandis que de la main, penché vers l’avant, sur le lavabo, je lui mis de la crème solaire entre les fesses. Je la pris par les hanches, j'entrais dans son anus, je la sodomisais aussitôt, tantôt penché sur elle, mes bras lui enserrant le ventre, tantôt relevant, mes mains tenant ses hanches ou le haut de ses cuisses. Mais c’est dans la première position que j'ai éjaculé en elle, mon sexe enfoncé très profondément dans son sphincter. Je me suis essuyé et nous nous sommes rajustés. Nous sommes ensuite redescendus. Je l'ai précédée dans le salon. Tandis qu'elle faisait semblant de téléphoner à sa mère.
Un jour elle voulu essayer le lit conjugal, aussitôt dit aussitôt fait.
Je la couchais sur le lit, tombant sur elle, la couvrant de baisers. Elle commença à haleter, gémissant à chacun de mes assauts. Ma veste, ma cravate tombèrent. Je la déculottai fébrilement, pour découvrir son pubis aux poils fins dont elle avait parfaitement dégagé les abords de sa vulve, laissée nue aux regards. J'avançai la main et caressai le jeune abricot qui s'offrait à moi. Son bassin ondulant et les gémissements indécents qu'elle émettait en disaient long sur ses dispositions. En effet, lorsque mes doigts s'enfoncèrent entre ses lèvres tendres, une humidité abondante les accueillit qui facilita le doigtage de son intimité. De la main, elle dégrafa ma braguette et y plongea pour en sortir ma virilité, toute raidie par ces préliminaires et la perspective de posséder cette adorable blonde de plus de 25 ans ma cadette. La vue de ses doigts fins se refermant sur ma verge tendue provoqua un spasme de plaisir dans mes reins.
Je basculai entre ses jambes qu'elle tint relevées et écartées, offrant impudiquement libre accès à sa féminité. Je guidai mon dur outil de plaisir, frottai mon gland dans sa chair tendre et rose, luisante de désir et poussai sur l'entrée de sa grotte, brisant l'interdit dont notre relation était empreinte. Elle poussa un long râle lorsque ma verge progressa dans son fourreau humide. Je la tenais aux hanches et je lui imposai un lent va-et-vient, arrachant de sa bouche ouverte des gémissements qu'elle ne cherchait nullement à étouffer. Je sentais le contact de ses cuisses gainées de blanc sur mes flancs comme je limais en profondeur le jeune sexe que je n'aurais jamais imaginé posséder. La vue de son visage d'ange torturé par le plaisir, de ses seins menus balançant au rythme de mes intromissions puissantes, me remplit peu à peu de la passion presque animale que ressent le mâle dominant qui soumet à sa loi la jeune femelle qui s'est offerte à lui.
Accélérant les mouvements de mes hanches, je la vis lentement partir en se mordant les lèvres. Elle n'était plus que gémissements et petits cris, son vocabulaire se limitant à des : "Aaah, Ahhh" ou des : "Ooohhh ouiiii ouiiii". Elle aimait ça la petite cochonne, elle aimait ma bite bien dure en elle. Ça devait l'exciter de se faire baiser par le père de son copain ! La garce ! Ahhh, comme ce fut bon de se répandre en elle ! De voir son petit corps se tendre en recevant mes jets tendus de semence brûlante ! Nous sommes restés quelques instants dans cette position où je l'avais prise. Baisant mutuellement nos lèvres. Elle me remercia en m'avouant que son orgasme avait été génial. La candeur et l'innocence avec laquelle elle parlait des ébats lubriques auxquels nous nous étions livrés, ravivait ma flamme et me la rendait encore plus précieuse
Un jour elle me dit que le jour de son mariage mon fils ne sera pas le seul à consumer la mariée
Au début nos rapport étaient stricts puis petit à petit on se frolait, on s'enbrassait plus longtemp que la normale.
Puis un jour, en l'absence de mon fils, je me suis décidé à l'embrasser sur la bouche, baiser auquel elle a répondu.
Trés vite nos rapport ont évolué, on s'embrassait tout le temp puis un jour en allant au ciné, je me suis mis à la peloter, mon fils était trop passionné par le film qu'il s'en apperçu même pas. Le soir même au diner, elle avait mis une mini-jupe et moi un short et tout en mangeant nous nous somme masturbés mutuellement avec nos pieds. Je lui ai giclé sur le pied.
Puis un jour elle me glissa un mot disant de venir la rejoindre dans la salle de bain du haut de notre maison.
Une fois la porte refermée, nous nous sommes enfermés, elle m'a abaissé mon pantalon tandis que de la main, penché vers l’avant, sur le lavabo, je lui mis de la crème solaire entre les fesses. Je la pris par les hanches, j'entrais dans son anus, je la sodomisais aussitôt, tantôt penché sur elle, mes bras lui enserrant le ventre, tantôt relevant, mes mains tenant ses hanches ou le haut de ses cuisses. Mais c’est dans la première position que j'ai éjaculé en elle, mon sexe enfoncé très profondément dans son sphincter. Je me suis essuyé et nous nous sommes rajustés. Nous sommes ensuite redescendus. Je l'ai précédée dans le salon. Tandis qu'elle faisait semblant de téléphoner à sa mère.
Un jour elle voulu essayer le lit conjugal, aussitôt dit aussitôt fait.
Je la couchais sur le lit, tombant sur elle, la couvrant de baisers. Elle commença à haleter, gémissant à chacun de mes assauts. Ma veste, ma cravate tombèrent. Je la déculottai fébrilement, pour découvrir son pubis aux poils fins dont elle avait parfaitement dégagé les abords de sa vulve, laissée nue aux regards. J'avançai la main et caressai le jeune abricot qui s'offrait à moi. Son bassin ondulant et les gémissements indécents qu'elle émettait en disaient long sur ses dispositions. En effet, lorsque mes doigts s'enfoncèrent entre ses lèvres tendres, une humidité abondante les accueillit qui facilita le doigtage de son intimité. De la main, elle dégrafa ma braguette et y plongea pour en sortir ma virilité, toute raidie par ces préliminaires et la perspective de posséder cette adorable blonde de plus de 25 ans ma cadette. La vue de ses doigts fins se refermant sur ma verge tendue provoqua un spasme de plaisir dans mes reins.
Je basculai entre ses jambes qu'elle tint relevées et écartées, offrant impudiquement libre accès à sa féminité. Je guidai mon dur outil de plaisir, frottai mon gland dans sa chair tendre et rose, luisante de désir et poussai sur l'entrée de sa grotte, brisant l'interdit dont notre relation était empreinte. Elle poussa un long râle lorsque ma verge progressa dans son fourreau humide. Je la tenais aux hanches et je lui imposai un lent va-et-vient, arrachant de sa bouche ouverte des gémissements qu'elle ne cherchait nullement à étouffer. Je sentais le contact de ses cuisses gainées de blanc sur mes flancs comme je limais en profondeur le jeune sexe que je n'aurais jamais imaginé posséder. La vue de son visage d'ange torturé par le plaisir, de ses seins menus balançant au rythme de mes intromissions puissantes, me remplit peu à peu de la passion presque animale que ressent le mâle dominant qui soumet à sa loi la jeune femelle qui s'est offerte à lui.
Accélérant les mouvements de mes hanches, je la vis lentement partir en se mordant les lèvres. Elle n'était plus que gémissements et petits cris, son vocabulaire se limitant à des : "Aaah, Ahhh" ou des : "Ooohhh ouiiii ouiiii". Elle aimait ça la petite cochonne, elle aimait ma bite bien dure en elle. Ça devait l'exciter de se faire baiser par le père de son copain ! La garce ! Ahhh, comme ce fut bon de se répandre en elle ! De voir son petit corps se tendre en recevant mes jets tendus de semence brûlante ! Nous sommes restés quelques instants dans cette position où je l'avais prise. Baisant mutuellement nos lèvres. Elle me remercia en m'avouant que son orgasme avait été génial. La candeur et l'innocence avec laquelle elle parlait des ébats lubriques auxquels nous nous étions livrés, ravivait ma flamme et me la rendait encore plus précieuse
Un jour elle me dit que le jour de son mariage mon fils ne sera pas le seul à consumer la mariée
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