Ma belle J.

- Par l'auteur HDS Ludi34 -
Récit érotique écrit par Ludi34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma belle J. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Ma belle J.
Hello,
Après avoir hésité un petit moment, je voudrais vous faire partager une aventure qui m’est arrivée l’été dernier (2019). C’est autant pour mon propre plaisir de me remémorer cet agréable épisode de ma vie que pour vous en faire profiter. Il s’agit de ma première et pour le moment seule et unique expérience avec une autre femme.
Je précise que tout cela est vrai, mais que, ma mémoire étant ce qu’elle est, certains dialogues ou détails ne sont peut-être pas tout fait exactement comme ils le furent en réalité. Mais ce souvenir est si unique et précieux que l’essentiel restera à jamais dans mon esprit.

Je m’appelle Ludivine, j’ai 23 ans et je suis métisse bretonne par mon père et cambodgienne par ma mère. Je mesure 1m60, cheveux mi-longs et bruns (évidemment). Je pense plaire à beaucoup d’hommes, en tout cas on me dit assez souvent que je suis jolie, j’ai la vanité de croire que ce n’est pas uniquement pour me faire plaisir, même si j’ai quelques légères rondeurs. Et je fais du 85D pour tout vous dire, je trouve ma poitrine un peu trop grosse. Pour vous faire une idée, je ressemble un peu à l’actrice Pom Klementieff, pour ceux qui connaissent, les cheveux plus longs et noirs, et je suis moins fine tout de même. Je suis actuellement étudiante en pharmacie à Nantes, patrie d’origine de mon père, même si j’ai grandi essentiellement dans l’Hérault.

C’est d’ailleurs là que m’est arrivée cette drôle d’aventure.
Mes parents habitent un petit village aux pieds des Cévennes, à environs 50km à l’Ouest de Montpellier. En 2018, à la recherche d’un petit boulot pour le mois de juillet (chez nous juillet est consacré au travail d’été et août on reçoit la famille et les amis), je tombe dans la boulangerie sur une petite annonce : « recherche étudiant(e) pour soutien scolaire collégien 6e/5e, 2ème quinzaine de juillet » suivi d’un numéro de téléphone. Voilà qui tombait à pic car j’ai toujours aimé transmettre le peu que je sais, et je suis généralement patiente avec les enfants. J’appelle donc le numéro et tombe sur une dame qui m’explique qu’elle garde son petit-fils pendant les vacances et qu’à la demande de ses parents, elle doit lui donner des cours 2h par jour le matin. N’ayant ni les capacités ni forcément l’envie de le faire elle-même, elle a donc posté cette annonce. Or, renseignements pris, il se trouve que cette dame habite au bout de la rue de mes parents. Je pense connaitre vaguement cette personne, mais ayant quitté le village depuis presque 4 ans, je n’en suis pas totalement sûr, et surtout je suis incapable de mettre un visage sur son nom.

Bref, après avoir accepté avec enthousiasme ce petit boulot, je me présente le jour J devant la maison. Et c’est lorsque la porte s’ouvre que je reconnais enfin Joëlle, la tante d’un ami d’enfance chez qui je suis allée plusieurs fois lorsque j’étais petite. Je n’avais pas fait le rapprochement avec le simple patronyme, mais tout d’un coup des tas de souvenirs me reviennent. Elle m’accueille avec un grand sourire et nous papotons quelques minutes sur notre vie d’aujourd’hui, le temps que le garçon s’installe dans la salle à manger avec ses livres. J’apprends ainsi qu’elle est veuve depuis quelques années et qu’elle a un fils unique d’une 40aine d’années qui vit à Paris. Il envoie chaque été son fils en vacances pendant 15 jours chez sa mère qui est ravie. Il faut dire que, les jours passant, je dois admettre que le petit A. est adorable. Poli, gentil, volontaire et amusant, j’éprouve un réel plaisir à venir 4 fois par semaine chez Joëlle. Elle aussi est adorable, en plus d’être une infirmière à la retraite avec qui j’ai évidemment de nombreuses discussions médicales, je lui trouve un charme indéniable. Grande, bien faite, avec des lèvres fines qui dessinent un joli sourire pincé et de beaux yeux noirs profonds, je me dis régulièrement que ce devait être une superbe femme du temps de sa jeunesse (car elle reste toujours une très belle femme). Et pour couronner le tout, je trouve qu’elle porte très bien ces 62 ans, et que j’aimerais avoir autant de charme et de magnétisme qu’elle.

Mais ces 2 semaines passent très vite et bientôt je dois laisser mon jeune élève repartir à Paris (mon Dieu que je le plains à ce moment-là). Pour me remercier, Joëlle m’invite à déjeuner et, les heures passants et la discussion se prolongeant avec plaisir, nous nous quittons que tard dans l’après-midi, non sans s’être promis de se revoir.
Mais les jours allant, les allers-venues chez mes parents, entre amis, cousins, oncles etc … me font passer à autre chose. Mais je repense à elle régulièrement, souvent en passant devant sa porte lorsque je me balade, mais aussi parfois le soir en me couchant, lorsque le sommeil tarde à me prendre. Je revois son doux sourire, ces yeux si intenses et j’entends encore sa voix. Bref, je me dis à chaque fois que je ne repartirai pas à Nantes sans lui dire au revoir.

Et l’occasion se présente le premier week-end de septembre, 2 semaines avant de remonter en Bretagne pour ma rentrée.
Ce samedi-là en effet, mes parents sont partis tôt avec mon frère cadet passer ces 2 prochains jours à Barcelone, qui n’est qu’à 3h de route. Je n’ai pas souhaité être avec eux car j’avais d’autres projets pour ce week-end, et en plus ils devaient loger chez des amis catalans qui ont 2 horribles petits Yorkshires. Si j’adore nos amis, je ne peux pas supporter leurs bestioles. Ca m’a donc fait une excuse toute trouvée pour ne pas accompagner ma famille là-bas.

Je me lève donc assez tard ce samedi matin, et me retrouve seule dans la maison. Après une rapide toilette, je décide d’aller à la boulangerie, sur la place du village à environs 300m de la maison, pour y prendre mon petit-déjeuner en espérant bien y être rapidement rejointe par des amies. Mais en passant devant chez Joëlle, je tombe nez-à-nez avec elle, qui sortait exactement dans le même but (en plus d’autres petites emplettes). Avec rires et amusements devant cette parfaite coïncidence, nous décidons d’aller prendre notre café ensemble.
Et avec la joie de nous retrouver, nous nous lançons dans des papotages comme seules des copines savent faire, et nous ne voyons pas le temps passer. Arrive ainsi l’heure du déjeuner (vers 14h chez nous …) et Joëlle me propose un alléchant programme : prendre 2 ou 3 crudités et fruits à l’épicerie et filer chez elle, où nous mangerons devant sa piscine, avant de profiter d’un bain de soleil et/ou d’un bain tout court après. J’accepte avec joie, l’idée de voir mon planning de la journée déjà rempli par un programme aussi fatigant m’enchante. J’en oublie mes autres projets et je suis, toute guillerette, ma douce Joëlle.

Cette journée passe comme dans un rêve. Malgré notre différence d’âge, nous nous trouvons énormément d’atomes crochus, de nos gouts vestimentaires à ceux plus « virils » des hommes qui nous font tomber, et même un amour pour le même style de musique (du bon vieux rock old school, Clapton, Lynyrd Skynyrd, Aerosmith, Stones, Dire Strait etc … pas très féminin tout ça, mais j’ai grandi au milieu de 3 frères et 1 père, tous fans de rock, ceci explique cela). Plusieurs fois cependant Joëlle me fait des compliments sur mon physique qui me touchent beaucoup plus que je ne veux l’admettre. Il faut dire que je suis habillée d’une petite robe bleu pâle à bretelle, toute simple, mais légère et joliment taillée, parfaite pour les belles journées de septembre. Et comme il fait encore chaud je n’ai pas mis de soutien-gorge. Je ne suis pas trop fan d’habitude, car je trouve mes seins un peu trop ronds et lâches lorsque qu’ils sont « libres ». Pour dire simplement, je trouve qu’ils font trop « roploplo ». Mais lorsqu’il fait 30 ou plus, impossible de mettre un soutif, surtout avec une robe à bretelle, quoique que je fasse il se voit trop.
Donc, l’ensemble de cette robe et l’absence de soutien-gorge semble être appréciés de mon hôte.
Après un joyeux repas, arrosé d’une bonne bouteille de rosé, nous finissons par nous décider à plonger une tête dans l’eau, la piscine étant de belle taille et parfaitement placée, avec une moitié à l’ombre de la maison et l’autre plein soleil.
N’ayant pas pris de maillot, car évidemment je n’avais pas prévu de passer ma journée ici, je propose à Joëlle de passer rapidement chez mes parents pour un prendre un.
« Pas besoin » me répond-elle, « tu n’as qu’à te baigner nue, le jardin est parfaitement coupé de la vue de tous nos voisins, tu n’as rien à craindre. »Cette proposition me prend totalement au dépourvu. Certes je ne suis pas spécialement pudique, la vie étudiante, surtout en pharma, ne favorise pas la pudibonderie ou la timidité (c’est un doux euphémisme …), et j’ai déjà plusieurs fois gouté au plaisir de me baigner seins nus dans la piscine de mes parents, et une fois même totalement nue chez une amie. Mais là, venant de la part d’une femme bien plus âgée que moi, je ne sais pas pourquoi, mais je suis surprise. Pas choquée, encore moins scandalisée. Mais surprise …
Elle doit d’ailleurs voir que je suis bouche-bée, ne sachant que répondre, car elle me lance aussitôt : « eh bien alors, tu ne crois tout de même pas que je ne l’ai jamais fait moi-même ? A quoi ça sert d’avoir une belle piscine si on ne peut pas en profiter pleinement ? ». Et pour me le prouver, elle commence à enlever son haut. La voilà rapidement juste habillée de sa culotte, une simple lingerie blanche sans effets ni froufrous. Ses seins sont encore magnifiques, pas très gros mais d’une forme parfaite et ils se tiennent encore superbement bien, les pointes bien dressées vers l’avant. Je ne peux m’empêcher de la complimenter en admettant que j’aimerais bien que ma poitrine soit aussi jolie, surtout les années avançant. Je le dis un peu en bafouillant, ne voulant pas vexer mon amie à propos de son âge, mais Joëlle éclate de rire en m’avouant qu’elle n’avait pas du tout de problème avec ça, et qu’en toute modestie elle reconnaissait qu’elle avait de la chance, et que pour le moment son corps résistait plutôt bien aux assauts du temps.
Rapidement elle me donna son secret : un peu de sport, une alimentation équilibrée, des séances de spa régulières et quelques excès mesurés pour le moral.
Je la questionna : « - quel sport tu pratiques ?
- de la boxe (je pouffais de rire, et Joëlle me confia avec un clin d’œil que c’était une excellente discipline, pratique pour repousser les hommes un peu trop entreprenants), un peu de pilate, et du yoga.
- ah ? Le pilate, je ne connais que de nom …- c’est excellent pour les articulations et la souplesse, parfait complément pour la boxe, qui me fait plus travailler les muscles. D’ailleurs je pense que ça m’aide à garder les seins bien fiers et droits. Ca fait bien travailler les dorsaux et les claviculaires.
- tu crois que ça joue vraiment à ce niveau ?
- bien sûr, j’ai des muscles ferment qui maintiennent bien le reste. Viens voir. »
Curieuse, je me lève de ma chaise et m’approche d’elle. Je me pose au bord de son transat et Joëlle me saisit la main droite pour la poser sous son aisselle. Je sens effectivement que ses muscles sont fermes, mais ce que je ressens surtout, c’est la paume de ma main appuyée contre son sein.
« Ah oui en effet, c’est ferme » lui dis-je, en essayant de cacher mon trouble. Je ne sais pas si Joëlle le devina malgré tout, mais elle en profite pour me prendre la main et la mettre directement sur son sein : « tu vois, du coup ils se tiennent bien ». Son regard malicieux, peut-être aidé par les quelques verres de rosé bus précédemment, me désinhibe complètement, et je me surprends à jouer quelques secondes avec son sein, passant ma main sous le galbe parfait et mon pouce autours. Je reprends très vite mes esprits et j’enlève ma main un peu brusquement, me retrouvant toute penaude, rougissante devant elle.
Elle a dû saisir mon trouble car pour briser ma gêne, elle lance d’un ton joyeux :« Allons, à l’eau, ça va nous faire nous bien.
- Ouiiiii ! répondis-je avec peut-être un peu plus d’enthousiasme que je l’aurais voulu.
- Allez hop, c’est le moment de se mettre à nue » et Joëlle enlève d’un geste vif sa culotte. La voilà nue, devant moi, à gambader vers la piscine.
- Ouah, en fait tu es parfaite de haut en bas. Tes fesses aussi sont belles. Si seulement j’avais un cul aussi ferme, mais je n’arrive pas à perdre à cet endroit.
- Mais non ma grande, je suis sûre que tes fesses sont parfaites. Vas-y montre-les moi. »Me voilà au pied du mur, et de toute façon, l’ambiance, la chaleur, notre conversation, l’alcool, tout cela a définitivement fait tomber les barrières. Je m’exécute juste, et, en glissant un petit « pou pou pidou » d’un air mutin, je fais glisser ma robe et mon tanga et me retrouve dans le plus simple appareil devant mon amie.
« Mon Dieu que tu es magnifique. Mais pourquoi es-tu complexée par tes seins et tes fesses. Tu es juste extraordinairement belle, ne sois jamais, jamais, jamais convaincu du contraire ma Lulu » (oui Lulu est le surnom, tout naturel, que me donne la majorité de mes proches).
Je rougis un peu devant une telle déclaration, et me contente d’un « mouais » avec un sourire en coin, et je vais pour me glisser dans l’eau.

Comme à chaque fois que je dois rentrer dans une piscine, j’y vais avec une pointe de retenue, de peur de me trouver devant un bain glacé. Mais là, aucune difficulté pour entrer, l’eau est vraiment bonne. Je m’y glisse avec délice en descendant les quelques marches qui borde le bassin et nous nous retrouvons à barboter au pied de l’escalier en papotant.
Il faut peu de temps pour que Joëlle ma fasse la remarque :« Alors, c’est tout de même un vrai plaisir la baignade nue ?
- Oui c’est pas mal. Ce n’est pas le truc le plus sensationnel de la Terre, mais c’est agréable.
- J’adore cette sensation de l’eau qui glisse sur tout le corps. Je me sens libérée, de corps et d’esprit. »La voyant avec un sourire béat sur les lèvres, je ne peux m’empêcher de rire.
Je rajoute, malicieusement (et sans doute, inconsciemment, avec quelques arrière-pensées) :« J’avoue, c’est quand même unique de sentir l’eau circuler librement partout sur le corps, même entre les jambes et les fesses.
- Et encore, niveau sensation, tu n’as encore rien vu ma chérie. Approche-toi, viens te là. »Curieuse devant le ton quelque peu « sensuel » de mon amie, je me rapproche d’elle, me demandant secrètement ce qu’elle voulait.
« Pose toi là, les bras sur le rebord et colle toi au plus près du liner ».
Je m’exécute, et ce faisant je ne peux réprimer un petit cri de surprise : me voici positionnée juste devant l’une des buses de la filtration qui crache un puissant jet d’eau. Et celui-ci est on ne peut mieux placé, juste à hauteur de mon sexe. L’effet, quoiqu’un peu fort, est radical.
Joëlle, je le vois bien, est aux anges, ravie de son effet :« Alors, question sensation, il y a de quoi faire comme ça ».
Assez perturbée par la situation, je bredouille une réponse :« C’est clair, je n’avais jamais eu l’idée d’essayer ça chez mes parents ».
Mais, sans m’en rendre compte, je restais bien en place. Le flux de la filtration commençait à agir sur moi, et une douce chaleur m’envahissait subtilement.
Je finis par poser ma tête sur mes bras et, fermant les yeux, je me laissais porter par l’agréable sensation. Au bout de quelques secondes, rouvrant les yeux, je me rends compte que ma Joëlle est installée exactement comme moi, à quelques mètres. Une autre buse de filtration semble lui procurer le même bien-être. Pendant plusieurs secondes, nous nous regardons droit dans les yeux, sachant parfaitement ce que l’autre ressent. Le regard de Joëlle exprime une sensualité, un désir et aussi un amour tellement intense que je me sens fondre.
Mais un scooter, passant en trombe dans la rue de l’autre côté de la maison, casse cet instant magique et me tire de ma rêverie. Je me décolle du bord de la piscine, plonge la tête dans l’eau et en ressort les cheveux plaqués sur le visage. Joëlle éclate de rire et, s’approchant de moi, me rejette une mèche sur le côté.
« Déjà finis ?
- Non, c’était très agréable, mais pour être honnête, je ne pense pas pouvoir aller « au bout » de cette façon.
- Ah bon ? Tu n’as pas l’habitude de te faire du bien toute seule ?
- Si bien sûr, ça m’arrive de temps en temps. Mais dans l’eau comme ça, je ne pense pas pouvoir jouir. »J’utilisais ce dernier mot avec encore un peu de timidité, toujours un peu sur la réserve pour parler de ces choses-là, mais je commençais déjà à me douter, au fond de moi, comment tout cela allait finir. Et une petite boule se formait dans mon estomac …« Alors qu’est-ce qui te fait jouir ma chérie ? », me questionna Joëlle avant un grand sourire coquin.
Je ne sus trop quoi répondre, et devant mon air niais, elle me prit la main et m’emmena m’allonger sur l’un des transat.
« En dehors de l’eau, ça sera sans doute mieux. Et avec un peu d’aide aussi. »
A cet instant, elle posa une main sur ma cuisse droite, et se penchant au-dessus de moi, me déposa un baiser sur mes lèvres.

Je n’oublierais jamais ce moment, ce baiser et l’incroyable frisson qui me parcouru. Je pense que dès le premier jour où l’on s’était revu, inconsciemment, je l’attendais.
Je répondis à son baiser en passant ma main sur sa nuque. Le message était on ne peut plus clair, et très vite nos bouches se sont ouvertes, offrant nos langues l’une à l’autre, dans un ballet chaud et sensuel.
J’ai toujours été hyper sensible au « french kiss ». Ça déclenche chez moi un feu qui devient vite incontrôlable. Bref, si un mec (ou une femme dorénavant) sait m’embrasser comme il faut, il ou elle pourra faire ce qu’il/elle veut de moi !

Mais ses lèvres ne me suffisent plus et, tout en restant langue contre langue, je me redresse et lui prend les mains, la poussant à s’assoir à califourchon sur le transat.
« Laisse-toi faire ma chérie » me dit-elle, et passant ses mains sur mes épaules, elle commence à m’embrasser dans le cou, les oreilles, le dessus des seins. Mes soupirs d’aise lui font comprendre que je ne résisterai pas, qu’au contraire je suis toute à elle, et que mon corps est dorénavant son terrain de jeu.

Sa bouche descend enfin sur mes seins, ses mains m’agrippent les hanches, et elle s’amuse avec moi. Sa langue titille mes pointes, tourne autours, passe sous ma poitrine et remonte entre mes deux globes. Elle suçote mes tétons et se permet même de les mordiller délicatement (ça aussi, si c’est fait doucement, ça me fait un effet … terrible !).
Après quelques minutes de ce traitement, je suis déjà au bord de l’orgasme. Oui je suis très sensible des seins, il m’est déjà arrivé de me faire jouir juste en me caressant la poitrine (vous allez tout savoir de moi à force  ).

Sentant que je suis au bord de l’extase, Joëlle me glisse une main entre mes jambes, plaquant sa paume sur mon sexe bien humide. Juste par de petites pressions, et tout en continuant à s’occuper de mes seins, elle finit par me faire jouir. Je pousse de longs soupirs en me cambrant, offrant encore plus mon corps à ses assauts.
Et je retombe sur le transat, les yeux clos, la respiration haletante.

Ma chérie me laisse doucement reprendre mes esprits, en me caressant délicatement les bras les cuisses, tout en déposant de doux baisers sur mon front et mes cheveux (qui doivent pourtant sentir … la chienne mouillée, sans mauvais jeu de mots).

Je finis par sortir de mon demi-coma et lui lance un grand sourire :« Ah oui, comme ça, c’est bien mieux !
- Tu ne m’en veux pas ?
- Pas du tout, c’était … merveilleux. Tu embrasses come une déesse.
- Vraiment ?
- Oh oui. Tu as déjà fait ça avec une autre femme ?
- Il y a quelques années, mais c’était dans des circonstances différentes, en vacances avec Martial (son mari décédé) et des amies.
- Ah oui ? demandais-je l’air malicieux.
- Je te le raconterai peut-être un jour, me répondit-elle avec un clin d’œil. Et toi ?
- Non, enfin j’ai bien embrassé des copines à la fac, juste pour le délire, au cours de soirées entre nanas. Et avec ma coloc de 1ere Année il nous est arrivé de nous masturber côte-à-côte. Mais pas plus loin. Et je te le raconterai après ta propre confidence.
Je ponctuais ma phrase d’un grand sourire qui la fit éclater de rire.
Elle m’embrassa de nouveau et je répondis à son baiser fougueusement.
« J’ai dans l’idée que tu as aimé cette première fois ?
- Oh que oui !
- Alors si tu le veux, ce n’est que le début, me glissa-t’elle à l’oreille. »
Je lui susurrai alors à l’oreille ces mots volontairement provoquants « j’espère bien, tu peux tout me faire … ».
Elle me regarda profondément dans les yeux, et pour la première fois je sus que je l’avais surprise et désarmée.

Nous reprîmes nos baisers passionnés et ses mains s’amusèrent tout le long de mon corps, parcourant mes bras, ma poitrine, mon ventre, mes jambes et mon sexe. Elle entra plusieurs fois le bout de ses doigts, ce qui me fit pousser des cris étouffés à chaque fois. Je commençais vraiment à perdre le contrôle et lorsque qu’elle commença à glisser sa bouche entre mes cuisses, je l’accompagnais avec mes mains et des « oui, oui, oui » très explicites.

Sa langue à la commissure de mon sexe et de mes cuisses, ses lèvres qui couraient sur ma fente et mon bouton, tout cela me fait perdre et mes moyens, et voilà que je plaque littéralement le visage de mon amante sur mon sexe. Elle le prend à pleine bouche, frottant ses lèvres sur mon clitoris, pendant que sa langue me pénètre fougueusement.
Je me cambre de plus en plus, je pousse des soupirs de plus en plus fort, et voilà que, profitant qu’une nouvelle onde de plaisir me fasse soulever les fesses, elle profite pour glisser sa main droite entre mes fesses et commence à caresser mon petit trou secret.
C’en est trop pour moi, et, tout en plaquant son visage d’une main, je pousse de l’autre ses doigts pour la forcer à renter son index. L’effet de sa langue dans mon sexe, ses lèvres contre mon clitoris et son doigt dans mon petit trou me fait littéralement exploser de plaisir. J’ai rarement eu un orgasme aussi puissant, et je crois avoir dit des choses que, en temps normal, je n’aurais jamais osé (il me semble bien lui avoir demandé de me « baiser comme une chienne ». Je n’en suis plus très sûre, mais je sais que j’étais complétement hors de contrôle. Et ça me plait et m’excite de penser que j’ai pu lui dire tout ça … ).

Il m’a fallu plusieurs minutes pour reprendre mes esprits, et Joëlle m’abandonna en me glissant : « Que tu es belle quand tu jouis, que tu es magnifique quand tu t’offres, que j’aime ton goût et ton odeur. Je vais nous chercher un rafraichissement, repose-toi ma chérie ».
Je n’eus pas la force de lui répondre, juste lui sourire tendrement, un sourire qui voulait dire « Je t’aime ! ».



Voilà pour le moment, il faudra, si ma petite confession vous a plus, que je vous raconte la suite, car j’ai pris autant de plaisir à renverser les rôles et envoyer moi aussi ma chère amante au Paradis.
D’ici là, j’espère ne pas avoir fait une trop grande tartine. Tout est à peu près fidèle à mon souvenir mais quoi qu’il en soit, ce moment sera pour toujours dans ma mémoire.
Et peut-être qu’un jour je vous raconterai nos retrouvaille cet été avec ma Joëlle chérie, qui est devenue plus que mon amante.
PS : je m’excuse par avance des éventuelles fautes d’orthographes qui seraient restées malgré mes relectures.

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Texte coquin : Ma belle J.
Histoire sexe : Une rose rouge
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