Ma belle mère
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma belle mère
Mon père s'est remarié il y a 5 ans avec une jeune femme de mon age. Sans doute pour être mieux loti sexuellement parlant. J'ai 25 ans et à force de voir cette fille faire des manière de chatte, je me demandais ce qu'elle avait dans le ventre, a mon avis du feu. Mon père ne pouvait pas physiquement s'occuper de satisfaire les besoins de sa femme. Un jour à 60 ans passé, mon père a du être hospitalisé en urgence pour une affaire cardiaque assez importante. Nous nous faisions tous du mauvais sang jusqu'à ce qu'il sorte de réanimation. Son état était très sérieux et il devait se reposer en maison spécialisée pendant de longs mois.
Ma belle mère s'est donc retrouvée seule avec moi à la maison.
Son appétit sexuel restait important surtout que les semaines s'était écoulée sans qu'elle ait pu avoir de rapport.
Un soir en allant me coucher elle avait laissé la porte de sa chambre ouvrerte, je n'ai jamais su si c'était volontaire. La lampe de chevet était allumée et je l'ai vu , nue, se masturber. Je restais interdit mais de voir cette jolie femme se branler m'a fait bander. Mais je n'intervenait pas: c'était l'épouse de mon père.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, elle me demandait si je n'avait rien vu hier au soir qui aurait du m'intriguer. J'ai fait l'imbécile et répondit que la veille au soir j'étais beaucop dans les nuages. Elle me regardait d'un air étonné. Le soir après le repas elle me dit que sa solitude involontaire lui pesait beaucoup. Nous avons regardé un film à la télé et elle s'est assise près de moi, le jambes écartées; penchée en avant. Brusquement elle se mit une main sous la robe et du coin de l'oeuil je la voyait faire; sa main était sur son sexe et s'agitait: elle se branlait à coté de moi sans pudeur.
Je bandais et osais le lui dire: tu est en train de ma faire bander. A son tour, jouant l'idiote elle me dit, c'est pas vrai, il faut que je vois ça. Je me suis mis debout devant elle et j'ai sorti ma bite. Elle me regardait, inspectait mon sexe et comme elle était penchée, ma pine se trouvait à quelques centimètres de sa bouche. Elle se penchait un peu plus et avec une habileté diabolique s'est mise à me sucer. Je commençais à aller vers un bel orgasme et elle s'en rendait compte en arrêtant sa fellaton. Elle se levait pour qu'on échange un baiser qui fut incendiaire. Nous nous sommes mis nus.
La partie de jambes en l'air commençait. Je ne savait pas trop comment faire pour baiser la femme de mon père. Elle avait jeté tous ses principes en l'air: Elle m'avouait qu'avec mon père les relations sexuelles étaient rares. Elle se masturbait souvent pour pallier le manque de baise. Elle désirait depuis longtemps que je lui fasse l'amour, mais qu'elle n'avait pas oser me le demander. Je la repoussait sur le divan où elle restait assise les jambes écartées.J'en profitais pour mettre ma tête entre ses cuisses à la recherche de son trésor que je trouvais facilement. Je la suçais pendant plusieurs de ses jouissances. Mais après avoir gouté son con je voulais la baiser. Elle n'a pas voulu: elle voulait finir de me sucer, parce qu'elle aimait le sperme.
J'ai jouis dans sa bouche et je voyait une partie de mon sperme s'écouler au bord de ses lèvres: elle le lèchait entièrement.
Pour me faire arquer à nouveau elle se branlait encore une fois, prenait ma bite dans la bouche en me mettant deux doigts dans le cul. Je bandais sec à nouveau. Je lui demandait ce qu'elle aimerait maintenant: dans le cul, c'était la seule réponse qu'elle me donnait: dans le cul.Pourquoi pas, j'aimais bien enculer une fille alors pourquoi pas ma belle mère.
Elle se mettait à genoux le torse allongé sur le divant et écartait ses fesses avec ses mains. C'était érotique au possible. Je posait le gland sur son joli petit trou et très lentement j'y pênètrais. Je lui caressais les seins en l'enculant. Je ma régalais, et elle me disait vas-y enfonce moi ta bite à fond, que je sente tes couilles sur les fesses. Nous avions eu un orgasme terrrible.
Nous baisions plusieurs fois par jour. Elle avait pris l'habitude de restée nue 24 heures sur 24.. Pour elle s'était la meilleur façon de rester à la disposition de ma bite ou de ses masturbatons. Pour moi s'était commode: je n'avait pas à chercher bien loin un sexe féminin. Je la baisait souvent; son con était agréable pout recevoir mon foutre.
Mon père a guerrit. Mais ils ne pouvait plus baiser. Ma belle mère a préféré divorcer, plutôt que de rester avec sous le même toit un mari incabable de lui faire l'amour et un garçon qui la baisait.
Ma belle mère s'est donc retrouvée seule avec moi à la maison.
Son appétit sexuel restait important surtout que les semaines s'était écoulée sans qu'elle ait pu avoir de rapport.
Un soir en allant me coucher elle avait laissé la porte de sa chambre ouvrerte, je n'ai jamais su si c'était volontaire. La lampe de chevet était allumée et je l'ai vu , nue, se masturber. Je restais interdit mais de voir cette jolie femme se branler m'a fait bander. Mais je n'intervenait pas: c'était l'épouse de mon père.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, elle me demandait si je n'avait rien vu hier au soir qui aurait du m'intriguer. J'ai fait l'imbécile et répondit que la veille au soir j'étais beaucop dans les nuages. Elle me regardait d'un air étonné. Le soir après le repas elle me dit que sa solitude involontaire lui pesait beaucoup. Nous avons regardé un film à la télé et elle s'est assise près de moi, le jambes écartées; penchée en avant. Brusquement elle se mit une main sous la robe et du coin de l'oeuil je la voyait faire; sa main était sur son sexe et s'agitait: elle se branlait à coté de moi sans pudeur.
Je bandais et osais le lui dire: tu est en train de ma faire bander. A son tour, jouant l'idiote elle me dit, c'est pas vrai, il faut que je vois ça. Je me suis mis debout devant elle et j'ai sorti ma bite. Elle me regardait, inspectait mon sexe et comme elle était penchée, ma pine se trouvait à quelques centimètres de sa bouche. Elle se penchait un peu plus et avec une habileté diabolique s'est mise à me sucer. Je commençais à aller vers un bel orgasme et elle s'en rendait compte en arrêtant sa fellaton. Elle se levait pour qu'on échange un baiser qui fut incendiaire. Nous nous sommes mis nus.
La partie de jambes en l'air commençait. Je ne savait pas trop comment faire pour baiser la femme de mon père. Elle avait jeté tous ses principes en l'air: Elle m'avouait qu'avec mon père les relations sexuelles étaient rares. Elle se masturbait souvent pour pallier le manque de baise. Elle désirait depuis longtemps que je lui fasse l'amour, mais qu'elle n'avait pas oser me le demander. Je la repoussait sur le divan où elle restait assise les jambes écartées.J'en profitais pour mettre ma tête entre ses cuisses à la recherche de son trésor que je trouvais facilement. Je la suçais pendant plusieurs de ses jouissances. Mais après avoir gouté son con je voulais la baiser. Elle n'a pas voulu: elle voulait finir de me sucer, parce qu'elle aimait le sperme.
J'ai jouis dans sa bouche et je voyait une partie de mon sperme s'écouler au bord de ses lèvres: elle le lèchait entièrement.
Pour me faire arquer à nouveau elle se branlait encore une fois, prenait ma bite dans la bouche en me mettant deux doigts dans le cul. Je bandais sec à nouveau. Je lui demandait ce qu'elle aimerait maintenant: dans le cul, c'était la seule réponse qu'elle me donnait: dans le cul.Pourquoi pas, j'aimais bien enculer une fille alors pourquoi pas ma belle mère.
Elle se mettait à genoux le torse allongé sur le divant et écartait ses fesses avec ses mains. C'était érotique au possible. Je posait le gland sur son joli petit trou et très lentement j'y pênètrais. Je lui caressais les seins en l'enculant. Je ma régalais, et elle me disait vas-y enfonce moi ta bite à fond, que je sente tes couilles sur les fesses. Nous avions eu un orgasme terrrible.
Nous baisions plusieurs fois par jour. Elle avait pris l'habitude de restée nue 24 heures sur 24.. Pour elle s'était la meilleur façon de rester à la disposition de ma bite ou de ses masturbatons. Pour moi s'était commode: je n'avait pas à chercher bien loin un sexe féminin. Je la baisait souvent; son con était agréable pout recevoir mon foutre.
Mon père a guerrit. Mais ils ne pouvait plus baiser. Ma belle mère a préféré divorcer, plutôt que de rester avec sous le même toit un mari incabable de lui faire l'amour et un garçon qui la baisait.
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