Ma belle-sœur... 2/20 - histoire érotique

Ma belle-sœur... 2/20

Nous n'avons pas traîner pour reprendre la voiture et trouver un coin tranquille en pleine campagne le long d'un cour d'eau, ne pouvant ni elle ni moi prendre un hotel qui pourrait apparaître sur les relevés de comptes. Ayant toujours une couverture dans la voiture, nous nous sommes installés et avons commencé à nous embrasser longuement et langoureusement. J'en ai profité pour carresser ses seins, ses cuisses, ses fesses ainsi que son sex. Je voulais que le temps s' arrête. Elle de son côté ne restait pas inerte. Elle se frottait à moi, ondulait et me carressait les fesses. Nos habits finissent rapidement à nos pieds et je pu descendre en embrassant ses seins dont les tétons c'était dresser comme des valves, je n'en revenait pas qu'ils puissent prendre une tel taille. En continuant à descendre j'entendis sa respiration ce faire de plus en plus haletante. Elle m'arrêta au niveau de son nombril et me demanda si j'étais sûre de vouloir allé plus loin, car elle n'avez pas pu ce faire le maillot comme il se doit, étant donné que tout ce-ci n'était pas prévu. Je lui sourit et continua ma descente, guider par l'odeur de ses sécrétions intime. Elle mouillait beaucoup et j'adore ça. Je la léchais, je lui suçais le clito qui gonfla presque autant que ses tetons et enfonca ma langue le plus profondément dans son antre. Elle gémissait et me demanda de changer de position pour me rendre la politesse. Je me suis donc placé au dessus d'elle et nous avons pratiqué un 69 des plus endiablé. Je soulevais ses fesses comme pour manger encore plus son fruit. J'adore cette sensation. Elle appuyait sur mon bassin pour m'avoir au fond de sa gorge. C'était divin. J'en profitais pour lui carresser son œillet d'un doigt inquisiteur, mais elle ne voulait pas prétextant ne pas aimer ça. Je n'ai pas insisté et je ne lui ai donc pas demandé de me faire pareil. (j'aime ça et sa sœur aussi d'ailleurs) Mon visage était plein de sa mouille et je ne pu me retenir plus longtemps. Je l'ai prévenu en voulant me retirer, mais elle avança sa tête pour me garder en elle, et ainsi recevoir mon jus et tout avaler. Nous nous sommes repositionné côte à côte, embrassé de nouveau et mélangé nos salive pleine de mouille et de sperme. On se serrait dans les bras en effectuant des mouvements de bassin pour se frotter l'un l'autre. Elle en profita pour me dire qu'elle n'était pas fan ni de la sodomie ni des fist. Je compris que nos ebats à ma femme et moi n'avait pas de secret pour sa sœur. Je la rassurait en lui disant que rien n'était obligatoire. L'excitation revenant, je me suis senti comme happé par son sex gonflé. Je lui ai demandé si je pouvais la prendre en levrette, position que j'affectionne car je peux attraper les hanches, les tirer vers moi tout en poussant au fond avec de grand coup de rein. Vu son sourire, ça aussi elle le savait bien. C'est vrai que ses hanches son plus large que celles de ma femme, mais vu qu'elle est plus grande ça lui va bien. Je me délectais de la vue de son cul charnu, elle a du le sentir car elle c'est retournée en me disant
- qu'est ce que je t'ai dit.
Elle m'a plaqué dos au sol et c'est assise sur mon sex, en m'enfoncent sa langue dans ma bouche. Elle bougeait tellement que j'avais l'impression de danser un rock acrobatique. Je déchargea de nouveau en agrippant son bassin. Elle s' écrasa sur moi. Nous étions plein de sueur. On aurait voulu prolonger ce moment mais il nous fallait récupérer ses parents. Nous nous sommes débarbouillé avec une bouteille d'eau trop chaude pour être bu. En repartant, j'ai réussi à négocier qu'elle ne remette pas sa culotte. Elle me l'a donné en me disant :
- T'aime bien ce genre de situation.
Avec un grand sourire. Pendant les quelques minutes qui nous sépare de ses parents, j'en ai profité pour savoir tout ce que m'a femme lui racontait sur nous. Elle m' avoua avoir beaucoup questionnée ma femme, lorsqu'elle et mon beau-frère traversait une période on va dire tumultueuse. Tout ça en utilisant ma main comme un sex-toy sous sa robe. Nous avons récupéré ses parents qui ce sont excusés de la longueur de leur rendez-vous et nous ont dit qu'ils allaient devoir revenir en fin de semaine. Ma belle-sœur et moi les avons rassurer en leur disant que la ville était sympa à visiter. Nous étions évidemment ravi de la nouvelle.
A notre retour, le petit gendarme (ma nièce) n'était plus sur notre dos. En manque de réseau, elle avait sympathisé avec la fille des voisins, légèrement plus jeune qu'elle, mais qui avait la fibre chez elle, donc ses priorités n'était plus les mêmes. Sa mère et moi étions ravie de l'apprendre, la journée avait vraiment été magnifique "du sex et des bonnes nouvelles." Nous avons pris une bonne douche, malheureusement à tour de rôle, prétextant avoir eu chaud en ville.
Sitôt le repas fini, ma nièce fille chez la voisine, mon beau père se plante devant la télé et la belle mère fait du ménage et autre occupation. Ma belle-sœur et moi, décidons d'aller marcher à la fraîche pour digérer. Personnes ne voulu nous accompagner, mais pour ne pas éveillé de soupçon on été obligé de leur proposer. Pendant les premières minutes de la balade, ma belle-sœur et moi nous nous tenons à bonne distance. Mais une foi sortie du village on se jette l'un sur l'autre pour échanger un baiser fougueux. On marche main dans la main comme un couple lambda. Elle me dit qu'elle n'a toujours pas remis sa culotte, en me permettant de vérifier en guidant ma main sous sa robe. Évidemment mon sex gonfla, certainement pour vérifier lui aussi. On trouva un tronc d'arbre fraîchement abatu pour s'y installer. Je me suis empressé de me jeter sur son sex pour la lecher de nouveau. Son parfum intime est enivrant, je ne m'en lasse pas. Je la leche et suce tout en y mettant les doigts. Elle ne veut pas de fist, mais ne dit pas non à quatre doigts dans la chatte. Ce que je ne manque pas de lui faire remarquer. Elle ne dit rien sauf.
- t arrête pas.
Je ne vais pas plus loin mais ne perd pas espoir pour autant. Tout à coup, elle sert les cuisses, plante ses ongles dans mon crâne, se contracte et jouie. Elle vient de m'inonder le visage et mon tee-shirt. Elle n'avait jamais jouie de la sorte me confia t'elle, elle en tremble. Je l'embrassa pour qu'elle goute à son jus, elle me lécha presque le visage en s'excusant. Elle me dit de m'asseoir et que maintenant c'est à mon tour. Elle se mis à me sucer tout en me carressant tour à tour le sex, les boules, les fesses, les cuisses. C'était divin. Sa bouche était à la foi bouillante et terriblement humide. Elle salivait pour bien la faire glisser, j'avais envi de jouir, ce qu'elle senti, mais me demanda d'attendre car elle avait une surprise pour moi. Elle se redressa légèrement et dégagea sa poitrine qui n'était pas emprisonné dans un soutien gorge. Chose que je n'avais pas remarqué, mais ça je ne lui ai pas dit. Elle me gratifiait d'une branlette espagnol (pour une fille de portugais) en me disant.
- ça aussi je sais que tu aimes, alors lâche toi sur moi.
Elle reçu mon sperme sur ses seins, dans son coup, sur son visage et dans les cheveux. Je n'ai pas fait les choses à moitié. J'ai tout lecher pour lui mettre dans la bouche lors d'un baiser de remerciements. Nous sommes rentrés, ses parents étaient coucher et sa fille pas encore rentrée. Nous avons pris le risque de prendre notre douche ensemble. Nous nous sommes savonné mutuellement en insistant bien sur les zones du plaisir et pour qu'aucun son ne nous échappe on sait embrasser tout du long. Nous nous sommes souhaité bonne nuit comme ça.

A suivre...