Ma belle-sœur... 3/20 - histoire érotique

Ma belle-sœur... 3/20

Nous nous sommes souhaité bonne nuit comme ça.
Le lendemain, fut comme les autres jours, à ceci prêt que nous sortons de la chambre en même temps donc je l'attire dans ma chambre pour lui dire bonjour. Après de long baisé et carresse, je sort de ma chambre pour vérifier que personne ne c'est levé entre temps, puis nous allons dans la cuisine ou deux porte nous sépare du reste de la maison. Nous préparons notre petit déj de façon peut commune, sauf pour un jeune couple en pleine lune de miel, ce qui n'est pas notre cas.(la lune de miel) le moindre prétexte est bon pour se toucher, se carresser, s'embrasser. Je meurt d'envie de la prendre sur la table, mais elle est plus raisonnable que moi. Heureusement car son père vient de se lever, on l'entend se racler la gorge. Il arrive sur la terrasse, nous dit bonjour, regarde sa fille et lui dit :
- Ma pauvre fille, t'as les cheveux tout en basard, tu devrais te coiffer tu va faire fuir ton beau-frère avec une tête comme ça.
J'avais envie de lui dire "papy si tu savais que c'est moi qui lui ai mis les cheveux en basard et pas que les cheveux d'ailleurs" mais je ne peux rien dire. Et ma belle-sœur souri en me demandant pardon et espère que sa tête ne me fera pas fuir.
Dans la journée il fallait faire quelque course, le problème c'est que ma belle mère voulait venir et nous ça ne nous arranger pas. Ma belle-sœur lui trouva mauvaise mine et comme ma belle mère prend pour acquis tout ce qu'on lui dit, fut convaincu qu'elle couvait quelque chose et qu'il était préférable qu'elle reste à la maison pour ce reposer. Je n'ai jamais fait le trajet et les courses aussi rapidement, nous avions pris une glacière et acheter une poche de glaçons pour avoir du temps devant nous. Nous sommes retourné près du petit cour d'eau, avons remis la couverture et nous nous sommes allongé dans les bras l'un de l'autre. La il n'était pas question de sex, mais juste profiter du moment présent. Bon évidemment on avait aussi envie l'un de l'autre et le temps nous était compté. Nous avons fait l'amour à plusieurs reprise. Moi dessus, moi derrière, elle sur moi de face de dos en 69. C'était génial. N'ayant pas vu le temps passer, on se doutait qu'à notre retour on allait essuyer une salve de question. On a donc décidé de dire qu'on s'est baladé s'en voir le temps passer et que nous avons mangé en tête à tête à la cafétéria. Chose que nous n'avons jamais fait en vingt ans. C'est passé comme une lettre à la poste et le beau père nous a même dit qu'on avait eu raison d'en profiter. Si tu savais papy, si tu savais... Le reste de la journée fut cruelle, peut de moment seul et le soir les beaux parents ont voulu marcher avec nous. Il n'y a qu'une foi qu'ils se sont couchés que nous avons pu être un peu seul. Mais difficile de faire quoique ce soit sans savoir quand sa fille va rentrer. Nous avons quand même pu organiser une petite séance de masturbation sous un pled devant la télé. Ce qui nous aurait permis d' être discret si quelqu'un venait. Pendant mes carresses, je lui refit la remarque des quatre doigts. Elle me dit que ça lui faisait peur le fist, peur d'avoir mal ou pire d'avoir une déchirure, ce qui aurait été difficile à expliquer. Je lui dit qu'on le faisait de temps en temps avec sa sœur, que je prenais mon temps et que j'utilisais un gel pour ça. Elle me dit
- je sais, on verra quand on sera rentré.
Cela voulais donc dire que ce n'était pas juste ici, j'étais ravi de l'apprendre et elle me fit comprendre qu elle aussi était ravie car elle disparu sous le pled pour me sucer. Elle qui était si raisonnable ce matin, si quelqu'un entrait dans le salon, on était mort tout les deux. L'excitation mélangé à la peur de nous faire prendre me fit décharger d'une tel violence qu'elle manqua de s'étouffer. Elle ressorti sa tête toute fière d'elle, m'embrassa en me souhaitant de passer une agréable nuit. Je restais pensif un instant sur le canapé, quand ma nièce est rentré.
- Ca va tonton, t'es tout rouge.
Un peu que ça va, y pas deux minutes ta mère était sous le pled en train de me sucer, mais ça je pouvais pas lui dire. Je ne pouvais même pas me lever, sa mère n'avait pas remis mon sex dans mon boxer, il m'a fallu attendre que ma nièce parte se coucher pour me réajuster. Le lendemain, j'ai attendu que ma belle-sœur se lève, je l'ai faite entré dans ma chambre et je l'ai prise sans même prendre le temps de lui dire bonjour. Ça, c'est pour hier soir, ta fille est rentré deux minutes après que tu m'ai laissé. Je lui ai inondé la chatte en lui interdisant de s'essuyer, juste pour la punir de m'avoir laissé la bite à l'air sous le pled. "oh merde, désolée" fut sa seul réponse avec un grand sourire. Dans la cuisine, mon sperme commençait à couler sur ses cuisses. Elle me dit qu'elle avait compris la leçon et qu'elle était désolée et me demanda le sopalin pour s'essuyer. Je refusais de lui donner et le pris avec moi sur la terrasse. Lorsque son père se leva, elle me supplia du regard. Ne voulant pas d'histoire je lui donna et lui dit faire vite. Elle s'essuya et me tendi les feuilles de sopalin qu'elle venait d'utiliser en me disant devant son père,
- tiens le beau-frère une serviette.
Elle était plus garce que moi et tout ça avec aplomb en me regardant droit dans les yeux, d'un air de dire c'est qui le plus gêné maintenant. Je ne savais pas encore quand ni comment, mais elle allait me le payer. Toute la matinée elle l'a passée à me provoquer, en présence de ses parents ou de sa fille bien entendu, comme ça je ne pouvais rien faire. En début d'après midi le beau père me demande si je peux les raccompagner pour leurs affaires, ce que j'accepte évidemment. Ma belle-sœur demande si elle peut venir car elle doit acheter des trucs de filles pour ma nièce. Je vais ouvrir la voiture et je reçois un message de ma chère et tendre belle-soeur.
- je ne porte rien sous ma robe, accompagné d'une photo.
Effectivement elle ne porte rien, elle va me rendre fou. Une foi les beaux parents déposer, ils nous disent que ça va être plus long que l'autre jours et qu'ils nous appellerons quand ce sera fini et on se retrouvera en ville. Ma belle-sœur chaude comme la braise, me demande de faire d'abord la petite course pour sa fille, comme ça on sera tranquille. Je l'attend dans la voiture et elle revient quelque minutes plus tard avec un petit sac. Nous retournons à notre endroit fétiche. Je lui demande à quelle petits jeux elle a joué depuis le matin. Elle me répond qu'elle a fait tout ça, pour se faire pardonner d'une bien belle manière. Et la, elle sort le petit sac du supermarché, me le donne en me disant pardon et m'embrasse à pleine bouche. J'ouvre le sac et je découvre un gel intime pour relation anal. OK c'est clair. Elle voulait goûter à la sodomie. Je lui demande si elle est sûr, si elle en a vraiment envie, si elle me dit non je ne le prendrai pas mal et respecterai son choix. Elle me dis qu'elle en a envie et qu'elle c'est fait un lavement à l'eau tiède savonneuse des qu'elle a su le matin qu'on reviendrait en ville. Je suis évidemment content du cadeau qu'elle me fait et évidemment elle est toute pardonnée. Nos préliminaire on était plus doux que d'habitude...

A suivre...