ma belle soeur
Récit érotique écrit par Mainsdouces1974 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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ma belle soeur
Je me prénomme Martial, j'ai 35 ans et j'ai trois enfants. Ma femme, Joséphine dite "Josée" est infirmière de bloc dans une clinique. C'est une jolie femme d'1m70, petite poitrine (mais sensible). C'est une épouse modèle mais qui a un défaut, elle n'est pas portée sur le sexe.
Un week-end de juillet, elle m'annonce qu'elle a invité sa sœur, Nathalie, chez nous. Sachant que je ne l'apprécie pas trop, parce qu'elle est plutôt hautaine avec nous, ma femme a attendu le vendredi soir pour me le dire. En plus, elle m'explique qu'elle emmène les enfants chez mes parents pour être tranquille avec elle. Je sentais que se week-end allait être très dur à passer. Après une dispute en règle, pour ne pas avoir été prévenu plus tôt, nous allons nous coucher.
Au petit matin le téléphone sonne. Première réaction : "Chouette, elle téléphone qu'elle ne vient pas".
Et bien non, c'est la clinique qui appelle ma femme pour intervenir sur une urgence. Quand elle m'annonce ça, je suis complètement dépité. Mais que faire !
Elle me fait ses dernières recommandations avant de partir. de la faire manger avec moi, et surtout de ne pas la chambrer (comme à mon habitude). Je lui promets de bien me tenir si elle fait vite. Puis elle part.
Vers 9h, ma chère belle-sœur arrive. Je la reçois en la prévenant du contretemps de "Josée".
Nous allons au salon et je lui offre un café pour passer le temps. Puis viens midi. Je l'invite à se diriger vers la cuisine pour aller manger. Et là je ne sais pas ce qui s'est passé. Mais je me suis mis à découvrir ma belle-sœur. Elle était devant moi dans l'entrée de la cuisine et le soleil lui faisait face. Je découvris son corps au travers de ses vêtements, et je restais ébahi. Mon sexe se mit à bander à en faire péter la fermeture de mon pantalon.
Elle se retourna et, stupéfaite, me dit :
- Que t'arrive t'il ?
Médusé, je me suis mis à bredouiller des mots incohérents.
Elle m'a dit :
- Vas-y, parle, tu me fais peur là.
J'ai repris un semblant de conscience et je me suis entendu lui dire :
- C'est la première fois que je te vois vraiment.
- Explique-toi, je comprends pas.
- Et bien au risque de te choquer, je viens de découvrir ton corps.
- Quoi ! Qu'est ce que tu veux dire ?
- Bon, je vais tout te dire. Pendant que tu me tournais le dos j'ai pu voir ton joli petit cul à travers ton pantalon blanc.
- Arrête tes conneries.
- Je peux te dire que tu portes un tanga blanc en dentelle.
Gênée, elle me répond :
- Oui et alors, tu n'en as jamais vu.
- Et maintenant que tu es face à moi je vois...
- Vas-y, qu'est ce que tu vois ?
Je décide de me jeter à l'eau :
- Et bien je vois que tu n'as pas mis de soutien-gorge, et que tu as les mêmes seins que ta soeur. De taille moyenne avec des mamelons bruns. et aussi que ton sexe est recouvert d'une toison noire.
Je la sens gênée, et puis :
- Comment tu le sais ?
- Tu es à contre-jour et le soleil dévoile ton tanga qui est transparent.
Elle baisse la tête et me dit :
- Ah oui, c'est vrai. Mais qu'est ce qui te dit que mes poils sont noirs.
- Simplement ce que je vois. Si tu veux je te parie l'apéro qu'ils le sont ?
Elle, d'un air amusé :
- Ok, comment on fait pour que je te le prouve !
Je réfléchis et lui dit :
- Tu n'as qu'à aller aux toilettes, retirer ton tanga et revenir.
Elle me regarde avec un sourire coquin, puis elle se dirige vers les toilettes.
Quelques instants après, elle revient, avec son tanga à la main et le pose sur la table.
- Voilà, et maintenant !
Je la regarde et je la dispose face à la fenêtre. Le soleil laisse apparaître une toison en forme de ticket de métro. Je la regarde et lui dit :
- Tu as une superbe petite chatte à ce que je vois.
- Arrête tu ne vois rien.
- Oh si, ton corsaire est tellement serré que tu as la couture qui en travers de la chatte et cela fait ressortir tes lèvres vaginales.
Tout en lui disant cela, je glisse un doigt le long de la couture, elle frémit mais ne rejette pas ma caresse.
Elle me regarde et me dit :
- Et qu'est ce que tu me ferais si tu n'étais pas marié ?
Moi, excité :
- Et bien je te caresserais d'abord les seins.
Je la sentais fondre doucement :
- Et puis ?
J'ai pris cela pour une acceptation à découvrir de nouveaux plaisirs.
- Et bien je te prendrais le bout des tétons et les pinceraient doucement pour t'exciter, comme cela.
Tout en le lui disant j'ai pris ses tétons entre mon pouce et mon index et je les fait rouler.
- Et je dégraferais ton chemisier, comme ça.
Je lui avais dégrafé le chemisier libérant sa poitrine. Ses tétons étaient déjà bien érigés, preuve qu'elle y prenait du plaisir.
- Et puis je descendrais mon visage à hauteur de sa poitrine… Après je te les lècherais comme ça.
J'ai commencé à lui lécher et lui sucer les tétons.
Ne bougeant toujours pas, je me suis dit qu'elle était consentante. Et j'ai continué mes caresses.
Je me suis mis à genoux devant elle et j'ai déboutonné son corsaire. J'ai commencé à le descendre tout en lui déposant de tendres baisers sur le ventre. Arrivé à hauteur des poils de son pubis, j'ai relevé la tête pour la regarder. Comme si j'attendais un refus de sa part. Mais rien, alors j'ai continué.
J'ai descendu son corsaire tout en glissant mes mains le long de ses fesses, jusqu'à hauteur de ses cuisses découvrant sa petite chatte qui sentait bon. Je déposais des baisers sur sa minette, tout en descendant complètement son vêtement. Je pris soin de lui lever une jambe après l'autre pour lui retirer définitivement ce dernier rempart à mes envies.
Mon sexe me faisait mal tellement il était bandé, dû aussi à l'étroitesse dans mon boxer.
Je me relevai et lui demandai de venir avec moi dans le salon. Elle me suivit et prit place sur le canapé, prenant une position très excitante. En tailleur, les jambes écartées, ce qui ouvrait très largement sa magnifique petite chatte. Je la regardais fixement.
Elle me demanda :
- Qu'est ce qui t'arrive ?
- Je pensais à quelque chose !
- Ah bon et à quoi ?
- Je pensais à te raser complètement la chatte.
- Pourquoi pas, si tu veux.
Je me levai et allai chercher tout le nécessaire dans la salle de bain, et je revins.
Elle s'était allongée les jambes bien ouvertes, me dévoilant aussi bien sa chatte que son joli petit anus brun.
Je commençais par lui mettre de la mousse, et je lui rasais tout de la chatte à l'anus. Je la nettoyais en faisant pénétrer mes doigts dans sa petite chatte. Ses yeux pétillaient de bonheur.
Je me levai pour tout ranger et je revins avec de la crème adoucissante. Je lui en ai mis sur les seins pour la caresser et sur la chatte. Elle se cambrait pour s'offrir à mes caresses.
Puis je lui demandai de se retourner. Elle se retourna et m'offrit un superbe spectacle : SON CUL.
Je lui mis de la crème sur le dos et commençais à la masser.
Elle me dit :
- Que ça fait du bien, continue.
Je descendis jusqu'à ses fesses et lui remis de la crème. Je lui massais les fesses l'une après l'autre. Et puis j'ai glissé ma main entre ses fesses. Mes doigts caressaient son anus. Elle eut un geste de la main pour me cacher son anus. Je lui enlevais en lui disant :
- N'aies pas peur, je ne veux pas te faire de mal. Ta sœur m'a dit d'être gentil avec toi. Alors j'écoute.
Je repris le tube de crème et je lui en mis une bonne dose entre les fesses à hauteur de son anus.
Puis j'ai commencé des gestes le long de son anus, à lui caresser. Et la sentant plus ouverte, j'ai glissé un doigt dans son cul. Elle n'a pas réagi. J'ai commencé à la masturber avec se doigt inquisiteur figé dans son anus. Je me rendis compte, par le manque de souplesse de son anneau, qu'elle était vierge de ce côté là. J'ai continué en activant mon doigt pour imprimer un va et vient plus soutenu. Elle commençait à pousser de petits cris de plaisir. Puis j'ai ressorti mon doigt et j'ai remis de la crème. Mais cette fois une bonne dose. et j'ai glissé deux doigts entre ses fesses.
- OH oui, Mmmmmmmmmmm.
Je les ai retiré et j'en ai glissé trois dedans son cul ouvert. Pas de réaction négative. Super, elle est prête.
- Ma petite Nathalie, tu vas écarter tes fesses avec tes mains.
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle écarta ses fesses à pleines mains.
Je regardais avec envie ce petit trou vierge.
Puis je pris la crème et m'en mis plein la main droite. Une fois ma main bien graissée, j'ai rejoins mes doigts en un point central, en forme de cône. Et je les ai disposés sur son anus. je commençai doucement l'introduction de mes doigts dans son cul. Elle tendait son cul vers mes doigts ce qui facilitait la progression. Ma main se retrouva à moitié enfilée dans son cul ouvert.
Je me penchai sur elle et lui glissai à l'oreille :
- Tu aimes ça petite salope ?
Elle releva un peu la tête et me répondit :
- Oh oui, c'est la première fois qu'on me touche à cet endroit là.
Je remis un peu de crème sur le haut de ma main et je lui dis :
- Je vais un peu forcer pour aller plus loin, alors détends-toi bien.
Je la sentis se détendre. Je repris des mouvements lents de va et vient, et petit à petit, je forçai doucement son rectum. Ma main commençait à disparaître de plus en plus entre ses fesses. Je lui dis que « maintenant c'est la partie la plus large de ma main qui reste à passer, et qu'il faut qu'elle soit détendue au maximum ».
Au contraire elle se cambra d'un coup et ma main fut comme aspirée par son cul. Je me retrouvais avec la main entière dans le cul de ma belle-sœur. J'ai commencé à lui masturber l'anus avec ma main lentement puis plus fort.
- Oui vas-y, je sens bien ta main dans mon cul. Continuuuuuuuuuuuuue.
Elle se contracta et je sentis que son plaisir montait.
Elle cria :
- Mmmmmmmmm, je jouissssssssss.
Puis elle s'affala sur le canapé. Je restai la main entre ses fesses pendant quelques instants. Puis je la retirai doucement. Ma main sortit, comme expulsée de son entre-fesses. Ma main était couverte de crème. Je lui ouvris les fesses et regardai son anus reprendre sa forme initiale.
Elle se retourna et m'embrassa goulûment.
Elle me dit :
- Merci, je n'avais jamais autant joui. Il est à toi mon cul et tu seras le seul à pouvoir t'en occuper.
- La prochaine fois, je te mettrai ma main dans la chatte.
- D'accord, je serais ta salope. Tu feras ce que tu veux de moi.
Elle alla prendre une douche et revint nue. Avant qu'elle ne s'habille, je la penchais en avant et lui léchai l'anus profondément une dernière fois.
Elle se rhabilla mais sans son tanga que je lui avais demandé de me donner.
Une heure après, mon épouse rentra et sortit avec sa sœur. Pendant ce temps, n'en pouvant plus, je me suis branlé.
La suite je vous la raconterais une autre fois.
Un week-end de juillet, elle m'annonce qu'elle a invité sa sœur, Nathalie, chez nous. Sachant que je ne l'apprécie pas trop, parce qu'elle est plutôt hautaine avec nous, ma femme a attendu le vendredi soir pour me le dire. En plus, elle m'explique qu'elle emmène les enfants chez mes parents pour être tranquille avec elle. Je sentais que se week-end allait être très dur à passer. Après une dispute en règle, pour ne pas avoir été prévenu plus tôt, nous allons nous coucher.
Au petit matin le téléphone sonne. Première réaction : "Chouette, elle téléphone qu'elle ne vient pas".
Et bien non, c'est la clinique qui appelle ma femme pour intervenir sur une urgence. Quand elle m'annonce ça, je suis complètement dépité. Mais que faire !
Elle me fait ses dernières recommandations avant de partir. de la faire manger avec moi, et surtout de ne pas la chambrer (comme à mon habitude). Je lui promets de bien me tenir si elle fait vite. Puis elle part.
Vers 9h, ma chère belle-sœur arrive. Je la reçois en la prévenant du contretemps de "Josée".
Nous allons au salon et je lui offre un café pour passer le temps. Puis viens midi. Je l'invite à se diriger vers la cuisine pour aller manger. Et là je ne sais pas ce qui s'est passé. Mais je me suis mis à découvrir ma belle-sœur. Elle était devant moi dans l'entrée de la cuisine et le soleil lui faisait face. Je découvris son corps au travers de ses vêtements, et je restais ébahi. Mon sexe se mit à bander à en faire péter la fermeture de mon pantalon.
Elle se retourna et, stupéfaite, me dit :
- Que t'arrive t'il ?
Médusé, je me suis mis à bredouiller des mots incohérents.
Elle m'a dit :
- Vas-y, parle, tu me fais peur là.
J'ai repris un semblant de conscience et je me suis entendu lui dire :
- C'est la première fois que je te vois vraiment.
- Explique-toi, je comprends pas.
- Et bien au risque de te choquer, je viens de découvrir ton corps.
- Quoi ! Qu'est ce que tu veux dire ?
- Bon, je vais tout te dire. Pendant que tu me tournais le dos j'ai pu voir ton joli petit cul à travers ton pantalon blanc.
- Arrête tes conneries.
- Je peux te dire que tu portes un tanga blanc en dentelle.
Gênée, elle me répond :
- Oui et alors, tu n'en as jamais vu.
- Et maintenant que tu es face à moi je vois...
- Vas-y, qu'est ce que tu vois ?
Je décide de me jeter à l'eau :
- Et bien je vois que tu n'as pas mis de soutien-gorge, et que tu as les mêmes seins que ta soeur. De taille moyenne avec des mamelons bruns. et aussi que ton sexe est recouvert d'une toison noire.
Je la sens gênée, et puis :
- Comment tu le sais ?
- Tu es à contre-jour et le soleil dévoile ton tanga qui est transparent.
Elle baisse la tête et me dit :
- Ah oui, c'est vrai. Mais qu'est ce qui te dit que mes poils sont noirs.
- Simplement ce que je vois. Si tu veux je te parie l'apéro qu'ils le sont ?
Elle, d'un air amusé :
- Ok, comment on fait pour que je te le prouve !
Je réfléchis et lui dit :
- Tu n'as qu'à aller aux toilettes, retirer ton tanga et revenir.
Elle me regarde avec un sourire coquin, puis elle se dirige vers les toilettes.
Quelques instants après, elle revient, avec son tanga à la main et le pose sur la table.
- Voilà, et maintenant !
Je la regarde et je la dispose face à la fenêtre. Le soleil laisse apparaître une toison en forme de ticket de métro. Je la regarde et lui dit :
- Tu as une superbe petite chatte à ce que je vois.
- Arrête tu ne vois rien.
- Oh si, ton corsaire est tellement serré que tu as la couture qui en travers de la chatte et cela fait ressortir tes lèvres vaginales.
Tout en lui disant cela, je glisse un doigt le long de la couture, elle frémit mais ne rejette pas ma caresse.
Elle me regarde et me dit :
- Et qu'est ce que tu me ferais si tu n'étais pas marié ?
Moi, excité :
- Et bien je te caresserais d'abord les seins.
Je la sentais fondre doucement :
- Et puis ?
J'ai pris cela pour une acceptation à découvrir de nouveaux plaisirs.
- Et bien je te prendrais le bout des tétons et les pinceraient doucement pour t'exciter, comme cela.
Tout en le lui disant j'ai pris ses tétons entre mon pouce et mon index et je les fait rouler.
- Et je dégraferais ton chemisier, comme ça.
Je lui avais dégrafé le chemisier libérant sa poitrine. Ses tétons étaient déjà bien érigés, preuve qu'elle y prenait du plaisir.
- Et puis je descendrais mon visage à hauteur de sa poitrine… Après je te les lècherais comme ça.
J'ai commencé à lui lécher et lui sucer les tétons.
Ne bougeant toujours pas, je me suis dit qu'elle était consentante. Et j'ai continué mes caresses.
Je me suis mis à genoux devant elle et j'ai déboutonné son corsaire. J'ai commencé à le descendre tout en lui déposant de tendres baisers sur le ventre. Arrivé à hauteur des poils de son pubis, j'ai relevé la tête pour la regarder. Comme si j'attendais un refus de sa part. Mais rien, alors j'ai continué.
J'ai descendu son corsaire tout en glissant mes mains le long de ses fesses, jusqu'à hauteur de ses cuisses découvrant sa petite chatte qui sentait bon. Je déposais des baisers sur sa minette, tout en descendant complètement son vêtement. Je pris soin de lui lever une jambe après l'autre pour lui retirer définitivement ce dernier rempart à mes envies.
Mon sexe me faisait mal tellement il était bandé, dû aussi à l'étroitesse dans mon boxer.
Je me relevai et lui demandai de venir avec moi dans le salon. Elle me suivit et prit place sur le canapé, prenant une position très excitante. En tailleur, les jambes écartées, ce qui ouvrait très largement sa magnifique petite chatte. Je la regardais fixement.
Elle me demanda :
- Qu'est ce qui t'arrive ?
- Je pensais à quelque chose !
- Ah bon et à quoi ?
- Je pensais à te raser complètement la chatte.
- Pourquoi pas, si tu veux.
Je me levai et allai chercher tout le nécessaire dans la salle de bain, et je revins.
Elle s'était allongée les jambes bien ouvertes, me dévoilant aussi bien sa chatte que son joli petit anus brun.
Je commençais par lui mettre de la mousse, et je lui rasais tout de la chatte à l'anus. Je la nettoyais en faisant pénétrer mes doigts dans sa petite chatte. Ses yeux pétillaient de bonheur.
Je me levai pour tout ranger et je revins avec de la crème adoucissante. Je lui en ai mis sur les seins pour la caresser et sur la chatte. Elle se cambrait pour s'offrir à mes caresses.
Puis je lui demandai de se retourner. Elle se retourna et m'offrit un superbe spectacle : SON CUL.
Je lui mis de la crème sur le dos et commençais à la masser.
Elle me dit :
- Que ça fait du bien, continue.
Je descendis jusqu'à ses fesses et lui remis de la crème. Je lui massais les fesses l'une après l'autre. Et puis j'ai glissé ma main entre ses fesses. Mes doigts caressaient son anus. Elle eut un geste de la main pour me cacher son anus. Je lui enlevais en lui disant :
- N'aies pas peur, je ne veux pas te faire de mal. Ta sœur m'a dit d'être gentil avec toi. Alors j'écoute.
Je repris le tube de crème et je lui en mis une bonne dose entre les fesses à hauteur de son anus.
Puis j'ai commencé des gestes le long de son anus, à lui caresser. Et la sentant plus ouverte, j'ai glissé un doigt dans son cul. Elle n'a pas réagi. J'ai commencé à la masturber avec se doigt inquisiteur figé dans son anus. Je me rendis compte, par le manque de souplesse de son anneau, qu'elle était vierge de ce côté là. J'ai continué en activant mon doigt pour imprimer un va et vient plus soutenu. Elle commençait à pousser de petits cris de plaisir. Puis j'ai ressorti mon doigt et j'ai remis de la crème. Mais cette fois une bonne dose. et j'ai glissé deux doigts entre ses fesses.
- OH oui, Mmmmmmmmmmm.
Je les ai retiré et j'en ai glissé trois dedans son cul ouvert. Pas de réaction négative. Super, elle est prête.
- Ma petite Nathalie, tu vas écarter tes fesses avec tes mains.
Aussitôt dit, aussitôt fait, elle écarta ses fesses à pleines mains.
Je regardais avec envie ce petit trou vierge.
Puis je pris la crème et m'en mis plein la main droite. Une fois ma main bien graissée, j'ai rejoins mes doigts en un point central, en forme de cône. Et je les ai disposés sur son anus. je commençai doucement l'introduction de mes doigts dans son cul. Elle tendait son cul vers mes doigts ce qui facilitait la progression. Ma main se retrouva à moitié enfilée dans son cul ouvert.
Je me penchai sur elle et lui glissai à l'oreille :
- Tu aimes ça petite salope ?
Elle releva un peu la tête et me répondit :
- Oh oui, c'est la première fois qu'on me touche à cet endroit là.
Je remis un peu de crème sur le haut de ma main et je lui dis :
- Je vais un peu forcer pour aller plus loin, alors détends-toi bien.
Je la sentis se détendre. Je repris des mouvements lents de va et vient, et petit à petit, je forçai doucement son rectum. Ma main commençait à disparaître de plus en plus entre ses fesses. Je lui dis que « maintenant c'est la partie la plus large de ma main qui reste à passer, et qu'il faut qu'elle soit détendue au maximum ».
Au contraire elle se cambra d'un coup et ma main fut comme aspirée par son cul. Je me retrouvais avec la main entière dans le cul de ma belle-sœur. J'ai commencé à lui masturber l'anus avec ma main lentement puis plus fort.
- Oui vas-y, je sens bien ta main dans mon cul. Continuuuuuuuuuuuuue.
Elle se contracta et je sentis que son plaisir montait.
Elle cria :
- Mmmmmmmmm, je jouissssssssss.
Puis elle s'affala sur le canapé. Je restai la main entre ses fesses pendant quelques instants. Puis je la retirai doucement. Ma main sortit, comme expulsée de son entre-fesses. Ma main était couverte de crème. Je lui ouvris les fesses et regardai son anus reprendre sa forme initiale.
Elle se retourna et m'embrassa goulûment.
Elle me dit :
- Merci, je n'avais jamais autant joui. Il est à toi mon cul et tu seras le seul à pouvoir t'en occuper.
- La prochaine fois, je te mettrai ma main dans la chatte.
- D'accord, je serais ta salope. Tu feras ce que tu veux de moi.
Elle alla prendre une douche et revint nue. Avant qu'elle ne s'habille, je la penchais en avant et lui léchai l'anus profondément une dernière fois.
Elle se rhabilla mais sans son tanga que je lui avais demandé de me donner.
Une heure après, mon épouse rentra et sortit avec sa sœur. Pendant ce temps, n'en pouvant plus, je me suis branlé.
La suite je vous la raconterais une autre fois.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore ton histoire. Un fist anal mmh
vite la suite :)
je sais pas ce que ça deviendrait si vous vous entendez parfaitement bien auparavant. En tout une très belle réconciliation.
belle histoire vive hds
Bravo, tres bonne histoire, j'ai pris plaisir à la lire. J'attend la suite avec impatience.
tres bonne histoire la suite vite
oui cela serais bien merci