Ma belle-soeur au Pic d'Anie
Récit érotique écrit par Jocelin [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma belle-soeur au Pic d'Anie
Nous étions parti en excursion en montagne : Ma femme, sa soeur et son mari. Tous les ans nous louons une villa ou un chalet et nous passons nos vacances ensemble.
Ma belle soeur Colette, est une femme aussi jolie que ma femme mais énigmatique.
On ne sait jamais ce qu'elle pense réellement. Son mari très volubile et tchacheur avec son accent du midi raconte tout avec naïveté et franchise. Sympa il donnerait sa chemise, sa voiture...
Gaiement nous escaladâmes le Pic d'Anie, dans les Pyrénées, splendide mais raide à n'en plus finir. Devant moi, ma belle soeur, dont je pouvais admirer les fesses bien faites et bien ressorties dans l'effort de la montée. Elle avait l'allure sportive et son endurance et sa hardiesse à l'effort m'étonnait. Je commençais à cracher mes cigarettes, et mes jambes se faisaient lourdes. Je n'allais pas capituler devant Colette la superbe, biensur, et ne disais mot. Derrière moi le beau-frère qui souflait terriblement commençait à défaillir et menaçait de s'arrêter à tout moment. Nous finîmes par nous arrêter, et nous nous asseyons tous les quatre sur un énorme rocher.
-"Oh putain-con, je ne ferais pas un pas de plus" dit le beau-frère. Et moi non plus ajouta ma femme.
- Nous sommes à une heure du sommet, on ne va pas rater ça leur dis-je
- Fais ce que tu veux, mais nous... on ne va pas plus loin. répliqua t-il.
- Continuez, si vous voulez, mais moi je commence à redescendre, dit ma femme.
- Colette, tu me suis, ou tu redescends avec eux ?
- Chiche, je vais avec toi !
- Bon, à tout à l'heure ! dis je aux deux démissionnaires.
- A tout à l'heure nous répondirent en coeur, mon beau-frère et ma femme.
Et nous poursuivâmes notre ascension avec Colette, mais là, j'étais devant, et je lui fis mener un train soutenu, maintenant que j'étais ressourcé par notre halte. Elle suivait bien, mais envoyait de grand souffle pour prendre sa respiration. Finalement au bout d'une heure nous arrivâmes au sommet, en sueur, complètement ereintés.
En nour retournant, nous apercûmes beaucoup plus bas, le couple qui venait de nous abandonner et qui descendait hardiment. Nous admirions la vue magnifique qui s'offrait à nous.
Nous nous mîmes à l'abri d'un rocher, pour ne pas attraper froid. Le vent frais nous frappait le visage et les jambes, et nous nous affalâmes sur l'herbe rase.
- Il faut que nous meetions un pull Colette, sinon, on va attraper la crève ! lui dis-je
- Ok ! me répondit-elle.
Elle fouilla dans son sac à dos et s'esclaffa : "Merde, je l'ai oublié à la maison"
- Bon, je vais te donner le mien, prends-le ! lui dis-je.
- Et toi, alors, tu vas être malade ! Non, je refuse, tant pis pour moi...dit-elle en opinant de la tête.
- Tu mets mon pull et tu viens tout contre moi pour me tenir chaud, ok ?
- Ok ! dit-elle avec un petit sourire. et après avoir enfilé mon pull, elle vint se blottir tout contre moi.
Je la pris par les épaules, pour qu'elle se serre encore plus près et pour me donner plus de chaleur. Elle m'enserra la poitrine en m'étreigant très fort. Au bout de cinq minutes elle déclara :
- Dire, qu'il faut attendre une situation comme celle-ci, pendant des années, pour venir se blottir dans tes bras, alors que j'en rêve depuis très longtemps.
Nos visages étaient tout près l'un de l'autre et en me tourant vers elle, je lui donne un bisou sur la bouche, puis un deuxième, un troisième...
Nos bouches s'entrouvrèrent et nos langues se mêlèrent. Notre fièvre monta et nos mains se déplacèrent sur notre corps. Avec précipitation, je glissais mes mains sur sa poitrine, relevant le soutien gorge qui me gênait, et caressant ses seins gonflés aux bouts tendus. Elle gémissait de plaisir, et se donnait à fond. Sa bouche chaude et son souffle m'ennivrait, son corps brûlant palpitait sous mes mains. Nous nous couchâmes sur l'herbe, et j'entrepris, tout en continuant à l'embrasser, de défaire son bouton de pantalon. Celui-ci sauta rapidement, et je baissais la fermeture de son zip.
Ma main glissa directement dans sa culotte en dentelle et j'atteignis aussitôt sa chatte inondée. Mes doigts glissaient entre ses lèvres enduites de son nectar poisseux ô combien merveilleux... A chaque mouvement, elle lâchait des petits cris de jouissance, m'excitant davantage. Nous n'avions plus froid, au contraire, il nous semblait, qu'il faisait chaud. Collée à moi, elle souleva son bassin pour que je finisse de baisser son pantalon, entrainant la culotte en même temps. Allongée, complètement offerte à moi, les jambes écartées, son sexe ouvert , luisant de cyprine débordante, n'y tenant plus, je soulevais chemise et pull, dénudant un peu plus ce corps magnifique, et tout en la caressant, je me mis à lècher cette chatte onctueuse ave délice et gourmandise. Aspirant chacune de ses lèvres avalant le liquide dégoulinant, j'allais titiller son petit bouton dressé avec ma langue. A cette caresse buccale, elle hurla. Son corps gesticulait dans tous les sens, à tel point que j'avais du mal à garder le contact avec son clitoris. Puis elle tendit son corps, comme électrisée et dans un hurlement elle déchargea un flot de mouille délicieux, elle venait d'atteindre un orgasme teriblement violent. Je continuais à lècher très doucement sa vulve, son clitoris et son vagin que j'allais fouiller, jusqu'à ce qu'elle se calme... Une fois refroidi, pour ne pas attraper froid, je l'aidais à se rehabiller. Epuisée, les bras balants, elle s'adossa au rocher près de nous, et avec un petit sourire de satisfaction elle me regardait.
Après avoir repris sa respiration et ses esprits, elle rampa, et vint s'allonger sur moi et plongea sa langue dans ma bouche, comme si elle voulait reprendre le jus que je lui avais volé. D'une main, elle entrepris de défaire ma ceinture et de baisser la fermeure de mon pantalon. voulant reprendre la situation à son compte, elle enfonça sa main dans mon slip et extirpa mon sexe tendu hors de mon fute. Puis se laissant glisser comme un serpent, et atteignit mon sexe, qu'elle observa quelques secondes et finit par décalotter délicatement et se mit à le lècher, d'abord sur le bout, dégustant ce liquide sortant du méat, puis avec le plat de sa langue lècha ma tige sur toute sa longueur. De la pointe de cette langue elle titilla mon frein sensible, et finit par gober mon gland chaud et tendu.
Avec beaucoup de salive, elle me pompa délicieusement, caressant mes boules en même temps. elle y prenanit beaucoup de plaisir, et ça se sentait. Revenant sur ma tige, avalant chacune de mes boules, puis reprenant mon bout. Elle prenait tout son temps. Malgré tous mes efforts, je ne pus empêcher la sève de monter. Je gémissais de plaisir sous cette bouche brulante et experte et finis par lâcher mon sperme dans sa bouche. Elle continua à sucer tout en avalant, et le plaisir continua. Exceptionnellement je continuais à bander et ma jouissance ne voualit plus s'arrêter. J'aurais voulu qu'elle ne s'interrompre jamais. Elle continua à sucer pendant cinq bonnes minutes ne perdant rien de ma semence. Le plaisir finit par s'estomper, et elle remit elle-même mon sexe humide de salive, dans mon slip, et referma mon pantalon. Elle remonta jusqu'à mon visage et dans une étreinte gigantesque nous nous roulâmes une dernière pelle :"Oh merci, merci, tu es un amour" . Nous finîmes par nous relever, pour entamer la descente, car la nuit approchait.
Aujourd'hui, encore, nous nous retrouvons secrétement pour faire l'amour, soit chez moi, soit chez elle. Et quelquefois, quand ce n'est pas possible autrement, nous allons à l'hôtel. Nous nous remémorons cette première souvent, et nous essayons de mimer cette première rencontre, tellement le souvenir de cette première étreinte avait été grandiose.
-
- Allez, Colette, on continue, nous ?
Ma belle soeur Colette, est une femme aussi jolie que ma femme mais énigmatique.
On ne sait jamais ce qu'elle pense réellement. Son mari très volubile et tchacheur avec son accent du midi raconte tout avec naïveté et franchise. Sympa il donnerait sa chemise, sa voiture...
Gaiement nous escaladâmes le Pic d'Anie, dans les Pyrénées, splendide mais raide à n'en plus finir. Devant moi, ma belle soeur, dont je pouvais admirer les fesses bien faites et bien ressorties dans l'effort de la montée. Elle avait l'allure sportive et son endurance et sa hardiesse à l'effort m'étonnait. Je commençais à cracher mes cigarettes, et mes jambes se faisaient lourdes. Je n'allais pas capituler devant Colette la superbe, biensur, et ne disais mot. Derrière moi le beau-frère qui souflait terriblement commençait à défaillir et menaçait de s'arrêter à tout moment. Nous finîmes par nous arrêter, et nous nous asseyons tous les quatre sur un énorme rocher.
-"Oh putain-con, je ne ferais pas un pas de plus" dit le beau-frère. Et moi non plus ajouta ma femme.
- Nous sommes à une heure du sommet, on ne va pas rater ça leur dis-je
- Fais ce que tu veux, mais nous... on ne va pas plus loin. répliqua t-il.
- Continuez, si vous voulez, mais moi je commence à redescendre, dit ma femme.
- Colette, tu me suis, ou tu redescends avec eux ?
- Chiche, je vais avec toi !
- Bon, à tout à l'heure ! dis je aux deux démissionnaires.
- A tout à l'heure nous répondirent en coeur, mon beau-frère et ma femme.
Et nous poursuivâmes notre ascension avec Colette, mais là, j'étais devant, et je lui fis mener un train soutenu, maintenant que j'étais ressourcé par notre halte. Elle suivait bien, mais envoyait de grand souffle pour prendre sa respiration. Finalement au bout d'une heure nous arrivâmes au sommet, en sueur, complètement ereintés.
En nour retournant, nous apercûmes beaucoup plus bas, le couple qui venait de nous abandonner et qui descendait hardiment. Nous admirions la vue magnifique qui s'offrait à nous.
Nous nous mîmes à l'abri d'un rocher, pour ne pas attraper froid. Le vent frais nous frappait le visage et les jambes, et nous nous affalâmes sur l'herbe rase.
- Il faut que nous meetions un pull Colette, sinon, on va attraper la crève ! lui dis-je
- Ok ! me répondit-elle.
Elle fouilla dans son sac à dos et s'esclaffa : "Merde, je l'ai oublié à la maison"
- Bon, je vais te donner le mien, prends-le ! lui dis-je.
- Et toi, alors, tu vas être malade ! Non, je refuse, tant pis pour moi...dit-elle en opinant de la tête.
- Tu mets mon pull et tu viens tout contre moi pour me tenir chaud, ok ?
- Ok ! dit-elle avec un petit sourire. et après avoir enfilé mon pull, elle vint se blottir tout contre moi.
Je la pris par les épaules, pour qu'elle se serre encore plus près et pour me donner plus de chaleur. Elle m'enserra la poitrine en m'étreigant très fort. Au bout de cinq minutes elle déclara :
- Dire, qu'il faut attendre une situation comme celle-ci, pendant des années, pour venir se blottir dans tes bras, alors que j'en rêve depuis très longtemps.
Nos visages étaient tout près l'un de l'autre et en me tourant vers elle, je lui donne un bisou sur la bouche, puis un deuxième, un troisième...
Nos bouches s'entrouvrèrent et nos langues se mêlèrent. Notre fièvre monta et nos mains se déplacèrent sur notre corps. Avec précipitation, je glissais mes mains sur sa poitrine, relevant le soutien gorge qui me gênait, et caressant ses seins gonflés aux bouts tendus. Elle gémissait de plaisir, et se donnait à fond. Sa bouche chaude et son souffle m'ennivrait, son corps brûlant palpitait sous mes mains. Nous nous couchâmes sur l'herbe, et j'entrepris, tout en continuant à l'embrasser, de défaire son bouton de pantalon. Celui-ci sauta rapidement, et je baissais la fermeture de son zip.
Ma main glissa directement dans sa culotte en dentelle et j'atteignis aussitôt sa chatte inondée. Mes doigts glissaient entre ses lèvres enduites de son nectar poisseux ô combien merveilleux... A chaque mouvement, elle lâchait des petits cris de jouissance, m'excitant davantage. Nous n'avions plus froid, au contraire, il nous semblait, qu'il faisait chaud. Collée à moi, elle souleva son bassin pour que je finisse de baisser son pantalon, entrainant la culotte en même temps. Allongée, complètement offerte à moi, les jambes écartées, son sexe ouvert , luisant de cyprine débordante, n'y tenant plus, je soulevais chemise et pull, dénudant un peu plus ce corps magnifique, et tout en la caressant, je me mis à lècher cette chatte onctueuse ave délice et gourmandise. Aspirant chacune de ses lèvres avalant le liquide dégoulinant, j'allais titiller son petit bouton dressé avec ma langue. A cette caresse buccale, elle hurla. Son corps gesticulait dans tous les sens, à tel point que j'avais du mal à garder le contact avec son clitoris. Puis elle tendit son corps, comme électrisée et dans un hurlement elle déchargea un flot de mouille délicieux, elle venait d'atteindre un orgasme teriblement violent. Je continuais à lècher très doucement sa vulve, son clitoris et son vagin que j'allais fouiller, jusqu'à ce qu'elle se calme... Une fois refroidi, pour ne pas attraper froid, je l'aidais à se rehabiller. Epuisée, les bras balants, elle s'adossa au rocher près de nous, et avec un petit sourire de satisfaction elle me regardait.
Après avoir repris sa respiration et ses esprits, elle rampa, et vint s'allonger sur moi et plongea sa langue dans ma bouche, comme si elle voulait reprendre le jus que je lui avais volé. D'une main, elle entrepris de défaire ma ceinture et de baisser la fermeure de mon pantalon. voulant reprendre la situation à son compte, elle enfonça sa main dans mon slip et extirpa mon sexe tendu hors de mon fute. Puis se laissant glisser comme un serpent, et atteignit mon sexe, qu'elle observa quelques secondes et finit par décalotter délicatement et se mit à le lècher, d'abord sur le bout, dégustant ce liquide sortant du méat, puis avec le plat de sa langue lècha ma tige sur toute sa longueur. De la pointe de cette langue elle titilla mon frein sensible, et finit par gober mon gland chaud et tendu.
Avec beaucoup de salive, elle me pompa délicieusement, caressant mes boules en même temps. elle y prenanit beaucoup de plaisir, et ça se sentait. Revenant sur ma tige, avalant chacune de mes boules, puis reprenant mon bout. Elle prenait tout son temps. Malgré tous mes efforts, je ne pus empêcher la sève de monter. Je gémissais de plaisir sous cette bouche brulante et experte et finis par lâcher mon sperme dans sa bouche. Elle continua à sucer tout en avalant, et le plaisir continua. Exceptionnellement je continuais à bander et ma jouissance ne voualit plus s'arrêter. J'aurais voulu qu'elle ne s'interrompre jamais. Elle continua à sucer pendant cinq bonnes minutes ne perdant rien de ma semence. Le plaisir finit par s'estomper, et elle remit elle-même mon sexe humide de salive, dans mon slip, et referma mon pantalon. Elle remonta jusqu'à mon visage et dans une étreinte gigantesque nous nous roulâmes une dernière pelle :"Oh merci, merci, tu es un amour" . Nous finîmes par nous relever, pour entamer la descente, car la nuit approchait.
Aujourd'hui, encore, nous nous retrouvons secrétement pour faire l'amour, soit chez moi, soit chez elle. Et quelquefois, quand ce n'est pas possible autrement, nous allons à l'hôtel. Nous nous remémorons cette première souvent, et nous essayons de mimer cette première rencontre, tellement le souvenir de cette première étreinte avait été grandiose.
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- Allez, Colette, on continue, nous ?
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