Ma boulangère tient à me garder - histoire érotique

Suite de mes retrouvailles avec EVA, ma boulangère.
J'ai jouis deux fois, ne suis plus bon à rien, et lui confirme que je rentre chez
moi. Elle ne l'entend pas ainsi, on est le weekend, et elle use de tout son charme
irrésistible pour me garder jusqu'au lendemain.
Je n'ai rien de prévu, et accepte, lui rappelant que je ne suis pas ni rocco, ni
superman. Elle me répond de ne pas m'en faire, de la laisser faire. Je lui ai bien
ramoné la chatte et le cul, mais elle ne m'a eu que peu de temps en bouche, juste pour
me nettoyer. Elle a trop envie de sucer, même si je ne bande pas.

Elle m'allonge sur le lit, jambes écartées, et je m'abandonne à elle. Elle est à
genoux entre mes pattes et s'empare de ma bite molle.
- Hummmm, elle est belle votre queue, même au repos. Il y a longtemps que je n'ai pas
pompé, je vais bien m'en occuper de votre bite, je vais vous sucer des heures s'il
faut, jusqu'à vous faire rejouir.
Elle commence sa fellation marathon, et je reconnais qu'elle sait y faire. Et
pourtant, au bout d'un petit moment je ne vois aucun progrès en vue d'une érection
bien dure:
- Ne le prends pas mal, mais je ne suis pas sûr de te satisfaire. Si tu veux on peut
arrêter.
- Non, c'est bon de vous sucer, et puis on a tout le temps. Je vous jure que vous
allez bander et éjaculer.
- Il y aurait peut être un moyen d'accélérer, mais je ne sais si tu vas vouloir?
Je lui dis alors que j'aimerais qu'elle me bouffe le cul. Elle est hésitante, n'a
jamais pratiqué. Je lui fais remarquer que je lui ai bouffé le sien, et elle veut bien
essayer. On va à la salle de bain pour la rassurer en me lavant l'anus. Je me penche
en avant, les fesses ouvertes, et elle me lave avec un gant, passe bien sur ma raie,
et pénètre doucement ma rondelle sur ma demande. J'ai le cul propre et l'invite à
commencer son analingus.
Elle est hésitante, me titille du bout de sa langue, et me branle. Je recommence à
bander, et elle se sens encouragée. Elle appuie davantage sa langue:
- Ouiii, c'est bon, lèches moi bien. Fouilles moi avec tes doigts, ouvres moi l'œillet
pour y mettre ta langue.
Je ne sens rien venir, et renouvelle ma demande lui promettant de triquer comme un
âne. Je sens enfin un doigt s'introduire, puis deux, puis son organe buccal.
- Ohhhh, c'est bon ta langue, salope. J'ai l'impression de manger un bonbon à la
menthe par le cul. Tu la sens ma queue dans ta main comme elle durcit. Occupe toi
encore un peu de mon cul, et tu auras ta sucette.
Elle s'applique à me brouter le fion, à m'astiquer le manche, et je suis au top. Je me
relève et me retourne, le sexe à l'équerre. Elle s'accroupit et passe sa langue sur ma
hampe en me fixant dans les yeux. Il y a une glace au dessus du lavabo, et j'aimerais
qu'elle me suce devant. Elle accepte, me disant que je suis vraiment coquin pour
rester polie, et je vais chercher une chaise. Je monte dessus et on peut se faire
plaisir, debout, en se regardant dans le miroir.

C'est un autre de mes fantasmes de baiser devant une glace en imaginant qu'on regarde
un porno, et de faire des commentaires:
- Regarde bien comme elle suce et prends exemple. C'est mes deux acteurs préférés.
Lui c'est un gros porc qui ne pense qu'à tringler et se vider les couilles, et elle
une chienne qui ne demande qu'à se faire enfiler et remplir de partout. Qu'est ce que
j'aimerais être à la place du mec, elle doit faire des turluttes de rêve cette putain.
- Je sucerais aussi bien moi aussi, si j'avais une aussi belle bite à me mettre sous
la dent.
-Attends de voir la suite, et tu vas me dire si tu ferais aussi bien.
-Et c'est quoi la suite?
Je lui dis que j'ai déjà vu le film. Elle va encore pomper un moment, puis son salaud
de partenaire va abuser de sa bouche, la pénétrer aussi sauvagement que je lui ai
cassé le cul à la boulangerie. Il va la prendre en gorge profonde, à de nombreuses
reprises, et ne la relâcher que pour lui laisser reprendre souffle et cracher sur son
membre de plus en plus gros et dur. Il va lui baiser la gueule jusqu'à jouir et
qu'elle avale. Il va aussi l'insulter, être odieux, tout le temps qu'il la pénètre.
Elle me suce toujours, et je l'entends se masturber, j'entends le clapotis de ses
doigts dans ton intimité dégoulinante. Elle se retire:
- Tu m'excites salaud, prends moi la bouche comme tu viens de le dire.
Elle me tutoie pour la première fois, et je ne relève pas.
- Tu veux voir ce salaud défoncer cette pute?
- Oublie ton film et baise moi la bouche, adresse toi à moi. Je suis Eva, ta chienne
de boulangère au cul bandant.
-Ok SALOPE, tu vas prendre pire que dans les pornos les plus hard. Si à un moment tu
veux stopper, il te suffira de me le dire.
- T'inquiètes, j'ai trop envie de ton scénario salace, de ta belle queue qui
m'étouffe.
Elle l'aura voulu, et je m'enfonce en elle, bien profond. Je saisis sa tête fermement,
et déroule mon plan tel que décrit.
A chaque fois qu'elle se retire pour respirer, je lui demande si ça va, si on
continue, et elle me reprends la queue pour toute réponse.
Je la maintiens d'une main, le nez écrasé dans mes poils pubiens, mon gland dans sa
gorge. Je caresse son cou de l'autre main, comme pour me branler à travers elle. Je
renouvelle mes obscénités, mes insultes, à faire rougir la dernière des poufiasses.
Je vais jouir et la préviens. Je veux qu'elle garde mon foutre dans sa bouche, et
qu'elle se regarde dans la glace, avant d'avaler. Elle s'exécute docilement.

J'ai bien éjaculé, et me sens penaud, honteux. Toute queue qui bande n'a pas de
raison, mais quand elle débande on se sent bien con. Je voudrais m'excuser, sans le
vouloir. Je descend de la chaise et embrasse Eva à pleine bouche. Je lui propose de
lui bouffer la chatte pour la remercier, et elle est dans un tel état de liquéfaction,
quelle accepte sans aucune hésitation. Je veux qu'elle soit obscène, qu'elle m'insulte
comme je l'ai fait, même pire, et elle accepte.
Elle monte sur la chaise, pose un pied sur le lavabo, et peut me mâter dans la glace,
fourrer ma gueule dans son entrecuisses largement offert. Elle est mouillée jusqu'à
mi-cuisses, et je me délecte à la lécher. Sluuppp, slupp, ssluuppp, je n'en finis plus
de la bouffer et elle se prend au jeu, me dis les mots que j'attendais:
- Ouiii, lèches bien salaud. Tu fais ton macho, mais tu n'es qu'une lopette, une
tapette qui aime se faire fouiller le cul. Broutes moi, fumier, enculé, gros porc
dégueulasse. Tu es un chien bouffeur de chounes et de culs. Régale toi de ma liqueur
vieux vicieux, je vais jouir comme une fontaine, même si je me dis que c'est donner de
la confiture à un cochon..........................
Elle enchaine les orgasmes sous mes assauts, et je savoure sa cyprine abondante et
délicieusement parfumée.
On est épuisé, et on décide de se coucher.

On est dans le lit, nus, dans les bras l'un de l'autre, lumière éteinte. On repense
aux dernières heures écoulée, aussi invraisemblables pour elle que pour moi. Elle n'a
jamais connu l'amour hard, et reconnait que c'est bien agréable, à condition, et c'est
le cas, d'avoir confiance en son partenaire.
On repasse notre soirée, et on s'arrête sur le moment où elle me fouille le cul:
- Tu aimes te faire doigter l'anus, tu es pédé?
- Oui, si tu veux, je suis bi. J'aime les hommes et les femmes.
Je lui explique alors que je n'aimais que les femmes, mais que malheureusement les
salopes ne sont pas légion, ou du moins pas pour moi. J'aime le sexe, et j'ai alors
été dans les ciné X pour calmer mes désirs. Et j'ai eu une révélation: j'ai vu des
mecs baiser entre eux, me proposer leur bouche, leur cul. Des putes gratuites qui ne
demandent qu'à sucer et se faire sodomiser. J'ai cédé à leurs avances, et me suis
aussi mis à sucer. Je ne me fais pas enculer, mais j'en ai de plus en plus envie.
Mais avant de prendre une vraie bite de mâle, j'aimerais me faire prendre par une
femme équipée d'un gode ceinture pas trop gros.
Je veux savoir ce qu'elle a comme gode, et à ma surprise elle n'en possède pas. Elle
se masturbe avec ses doigts, et ça lui suffit. Je lui dis que toute salope qui se
respecte possède au moins un joujou, et que ça offre bien plus de possibilités pour
s'envoyer en l'air. Je lui propose de lui en offrir, dont un avec ceinture bien sûr.
Ca va un peu trop vite pour elle, et elle préfère prendre le temps de réfléchir.
On va essayer de dormir, après que je lui ai promis de la baiser dès que je rebande,
même en pleine nuit, même si je dois la réveiller.
On passe une fin de semaine merveilleuse. On baise dans la nuit, au petit matin, et
encore deux fois dans la journée de dimanche. Je la quitte, exténué, épuisée elle
aussi, mais tous les deux ravis de nos retrouvailles. On échange nos téléphones, et se
promet de se revoir.
Je n'ai pas eu la réponse pour les godes, on doit en reparler.
A suivre......................