Ma brune Frédy
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2008 dans la catégorie Plus on est
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Ma brune Frédy
Frédy, ma femme est agée d'à peine 21 ans et a un tempérament de feu. Comme de plus elle est très jolie et sexy d'allure, elle fait des envieux tant coté masculin que féminin. Elle a commencer à baiser pour la première fois à 14 ans: c'est trop jeune à mon sens, mais dit-elle, comme elle a joui pendant qu'elle s'est faite mettre, elle a au moins gagné du temps sur les autres. Bref depuis ses 14 ans elle baise. Quand nous avons fait l'amour pour la première fois, j'ai été surpris de sa connaissance de l'art de baiser. C'est peut être ses façons qui m'ont conquisent et peut être les miennes en ont fait autant pour elle.
Nous ne nous lassons pas de faire l'amour avec les variante que celà entraine. Nous aimons beaucoup l'un et l'auutre la masturbaton que nous pratiquons la plus part de temps ensemble. Il m'arrive de ma branler pendant mon travail: j'ai un bureau isolé et rare sont les visiteurs. Quelque fois je bande sans que rien ne le provoque. Je n'aime pas être en érection sans me satisfaire. Je sort ma bite et lentement je me caresse le gland par des vas-et-vients très lents de haut en bas de mon prépuce au début allant en accélarant vers la fin. Au moment de jouir je pose sur ma pine un kleenex pur recueillr mon sperme.
Frédy, elle a souvent envie de jouir vers les 5 heures de l'après midi. Pour elle c'est beaucoup plus facile: l'accès à son sexe est facilité puisqu'elle ne porte jamais de sous vêtement: elle soulève sa robe ou sa jupe, écarte les cuisses se caresse un peu de clitoris et se met un god vibrant dans le con, ce god est toujours dans son sac à main Elle jouit toujours.
Le soir nous disons si oui ou non nous nous sommes branlés. Quoiqu'il en soit, avant de manger, elle se couche sur le divan, nue comme a son habitude: elle se désabille dès qu'elle rentre. C'est d'après elle son moment de détente: elle ouvre les cuisses et devant moi se branle. Comme je me mets dans le fauteuil pour la regarder, ja bande et à mon tour je me désabille pour me masturber en même temps que Frédy. Il est rare que nous ne jouissons pas ensemble. Ensuite et ensuite seulement nous faisons réchauffer notre diner. Nous ne parlons pratiquement que de plaisir. Je lui décrit de mon point de vue sur ses façons de se masturner et elle en fait autant des miennes. Le repas se passe en discution sexuelles et nous décidons de la façon de baiser du soir.
Après avoir regardé la télé, nous allons au lit non sans nous être mutuellement lavés nos sexes. Nous entamons notre vrai baise à ce moment là où tout nous est permis. La plus part du temps je lui fait un cunnilingus prolongé: je la fait jouir deux fois coup sur coup. J'avoue avoir un grand faible pour son con, non seulement il est agréable à baiser, mais en plus il a bon gout. J'aime le sucer parce que je sens les poils de son bas ventre sous mon nez et que je trouve ça agréable et excitant: je n'aime pas un sexe féminin rasé comme on en voit trop souvent.
A son tour elle me fait une fellation à sa façon: sans que ses mains interviennent elle prend ma bite, décalotte le gland et sa bouche sert de sexe: Elle fait jouer ses lèvres comme un con. Quand je jouis, elle avale tout, sauf une petite partie qu'elle me fait toujours gouter.
Ce n'est qu'une entrèe en matière, un apéritif en somme. Elle me demande de venir sur elle pour me branler avec ses seins. Elle aime voir tout près de son visage ma bite bien bandée se masturber. Mais je l'arrête toujours à temps: je ne veux pas jouir ainsi
Je veux qu'elle soit plus en chaleur pour qu'elle me demande de la baiser. Nous sommes l'un contre l'autre, ma bire dure sur son coté gauche: elle, pour patienter, se masturbe lentement. Quelques fois elle arrive à l'extase seule et au moment de jouir, elle pose ses deux mains bien serées sur son con comme pour garder en elle le plaisir qu'elle vient d'avoir.
Il en faut plus pour Frédy: Ma bite, elle veut ma bite dans son con. Finalement je la baise, très lentement tant pour moi que pour elle, il faut que le plaisir dure le plus longtemps Je lui fait l'amour en étant sur elle; je lui demande de se mettre en levrette ou sur le coté. Elle aime en levrette parce que je la branle aussi: son plaisir en est décuplé. Elle aime aussi être enculée. J'aime assez entrer dans son cul que je trouve très acueillant. Elle jouit antant que moi dans ce cas.
Lorsque je suis sur elle, elle introduit soit deux ou trois doigts dans mon cul, soit un godemiché. Elle me le rentre doucement lusqu'à ce qu'il soit entièrement dans mon rectum. Je continue à la troncher et mes mouvenements de baise facilite les mouvement du god. Je jouit toujour le premièr dans ce cas. Elle le sait, mais je ne débande pas souvent. Je suis un cas parait-il. Je peux encore lui faire l'amour plusieurs fois.
Quelque fois nous invitons des connaissances qui aiment l'amour comme nous, où au contraire, nous sommes invités chez eux. Le résultat est le même: la jouissance.
Lorsque nos "amis" arrivent nous sommes déja en position: totalement nus je bande et Frédy se branle comme si elle était la vitrine d'une exposition: tous les deux peuvent la voir. Les connaissant nous savons qu'ils vont se mettre à l'aise. La femme, Guéty ne portant pas de sous vètement elle est totalement nue rapidement, son mari Alfred se désabille aussi et ainsi nous formons un quatuor de nudistes: les hommes bandent et les femmes sont mouillées.
Nous embrassons les femmes de l'autre, les caressons, et rapidement nous les branlons Les femmes font remarquer qu'elle sont entre les mains d'un autre homme, pour nous exciter d'avantage. Mais nous connaisons la suite: les deux femmes comment à venir l'une vers l'autre et ce n'est pas pour faire du tricot: elles aiment aussi les femmes. Elles s'embrassent longuement en se pelotant les seins et commence à se masturber. Nous les hommes bandons en les regardant faire. Souvent l'envie est trop forte nous nous branlons. Au début de nos rencontre chacun se branlait, mais à force de voir faire nos épouses un jour nous nous sommes branlés l'un et l'autre. Mais j'avais demandé à Frédy de dire à Alfred de ma proposer une sodomie. Celui-ci était étonné d'une telle demande et finalement emporté par la vue de nos femmes, il de demande de me pencher un peu en avant pour m'enculer.
Les filles arrêtent leur 69 pour nous voir faire. Je demande à Alfred de me branler en m'enculant. Je jouis tellement que mon sperme jailli sur les filles. Je demande à Alfred de me donner son cul à son tour. Mais il ne bande plus. Sa femme sait somment lui donner de la vigueur. En un instant je vois monter la bite de celui qui m'a enculé pour mon bonheur. Je prends de la mouille dans le con de Frédy et la mets sur le cul d'Afred qui a un peu peur de se faire pénétrer. Il se penche et avec ses main écarte largement ses fesses. Sans le brusquer je ne veux pas surtout qu'il ai mal, le pose ma bite sur sa rondelle sans forcer, juste pour l'habituer à ma présence . Je prend sa bite, en descent lentement le prépuce et le branle. Sa pine se gonfle et lentement je le pénétre. Il ne dit rien jusqu'au molment où il me demande de la lui mettre plus profond. Et la sa femme l'encourage: jouis bien mon chéri. C'est ce qui se passe, et Guety vient pour avaler le sperme de son mari.
De nous voir faire, Guety et Frédy ont encore envie de baiser, de nous baiser. Pour ma part je bande toujours et viens sur Guéty qui ouvre ses jambes. Je rentre ma bite dans son con.Frédy voudrait avoir celle d'Alfred,mais il est hors jeu pour un moment. Je propose aux deux femmes de les faire jouir ensemble. Guéty se mets sur moi fait entrer ma pine dans son sexe et tourne le dos à Frédy qui se pose sur ma bouche et commence à prendre dans ses mains les seins durcis de celle que je baise. Heureusement nous jouissons encore. Maintenant c'est à moi d'être fatigué e heureusement Alfred a repris du poil de la bête: il bande à nouveau. Les femmes ont donc encore une bite pour baiser: c'est la principal. Mais Alfred veut enculer ma femme qui ne demande pas mieux. C'est le moment que choisit sa femme pour se faire sucer par ma femme.
Tous les jours nous baisons avec ma femme et quelque fois je me fait enculer ou j'encule un homme simplement pour le plaisir pendant que ma femme baise aussi avec une autre femmes. L'amour de la baise nous fait faire des choses étranges parfois.
Nous ne nous lassons pas de faire l'amour avec les variante que celà entraine. Nous aimons beaucoup l'un et l'auutre la masturbaton que nous pratiquons la plus part de temps ensemble. Il m'arrive de ma branler pendant mon travail: j'ai un bureau isolé et rare sont les visiteurs. Quelque fois je bande sans que rien ne le provoque. Je n'aime pas être en érection sans me satisfaire. Je sort ma bite et lentement je me caresse le gland par des vas-et-vients très lents de haut en bas de mon prépuce au début allant en accélarant vers la fin. Au moment de jouir je pose sur ma pine un kleenex pur recueillr mon sperme.
Frédy, elle a souvent envie de jouir vers les 5 heures de l'après midi. Pour elle c'est beaucoup plus facile: l'accès à son sexe est facilité puisqu'elle ne porte jamais de sous vêtement: elle soulève sa robe ou sa jupe, écarte les cuisses se caresse un peu de clitoris et se met un god vibrant dans le con, ce god est toujours dans son sac à main Elle jouit toujours.
Le soir nous disons si oui ou non nous nous sommes branlés. Quoiqu'il en soit, avant de manger, elle se couche sur le divan, nue comme a son habitude: elle se désabille dès qu'elle rentre. C'est d'après elle son moment de détente: elle ouvre les cuisses et devant moi se branle. Comme je me mets dans le fauteuil pour la regarder, ja bande et à mon tour je me désabille pour me masturber en même temps que Frédy. Il est rare que nous ne jouissons pas ensemble. Ensuite et ensuite seulement nous faisons réchauffer notre diner. Nous ne parlons pratiquement que de plaisir. Je lui décrit de mon point de vue sur ses façons de se masturner et elle en fait autant des miennes. Le repas se passe en discution sexuelles et nous décidons de la façon de baiser du soir.
Après avoir regardé la télé, nous allons au lit non sans nous être mutuellement lavés nos sexes. Nous entamons notre vrai baise à ce moment là où tout nous est permis. La plus part du temps je lui fait un cunnilingus prolongé: je la fait jouir deux fois coup sur coup. J'avoue avoir un grand faible pour son con, non seulement il est agréable à baiser, mais en plus il a bon gout. J'aime le sucer parce que je sens les poils de son bas ventre sous mon nez et que je trouve ça agréable et excitant: je n'aime pas un sexe féminin rasé comme on en voit trop souvent.
A son tour elle me fait une fellation à sa façon: sans que ses mains interviennent elle prend ma bite, décalotte le gland et sa bouche sert de sexe: Elle fait jouer ses lèvres comme un con. Quand je jouis, elle avale tout, sauf une petite partie qu'elle me fait toujours gouter.
Ce n'est qu'une entrèe en matière, un apéritif en somme. Elle me demande de venir sur elle pour me branler avec ses seins. Elle aime voir tout près de son visage ma bite bien bandée se masturber. Mais je l'arrête toujours à temps: je ne veux pas jouir ainsi
Je veux qu'elle soit plus en chaleur pour qu'elle me demande de la baiser. Nous sommes l'un contre l'autre, ma bire dure sur son coté gauche: elle, pour patienter, se masturbe lentement. Quelques fois elle arrive à l'extase seule et au moment de jouir, elle pose ses deux mains bien serées sur son con comme pour garder en elle le plaisir qu'elle vient d'avoir.
Il en faut plus pour Frédy: Ma bite, elle veut ma bite dans son con. Finalement je la baise, très lentement tant pour moi que pour elle, il faut que le plaisir dure le plus longtemps Je lui fait l'amour en étant sur elle; je lui demande de se mettre en levrette ou sur le coté. Elle aime en levrette parce que je la branle aussi: son plaisir en est décuplé. Elle aime aussi être enculée. J'aime assez entrer dans son cul que je trouve très acueillant. Elle jouit antant que moi dans ce cas.
Lorsque je suis sur elle, elle introduit soit deux ou trois doigts dans mon cul, soit un godemiché. Elle me le rentre doucement lusqu'à ce qu'il soit entièrement dans mon rectum. Je continue à la troncher et mes mouvenements de baise facilite les mouvement du god. Je jouit toujour le premièr dans ce cas. Elle le sait, mais je ne débande pas souvent. Je suis un cas parait-il. Je peux encore lui faire l'amour plusieurs fois.
Quelque fois nous invitons des connaissances qui aiment l'amour comme nous, où au contraire, nous sommes invités chez eux. Le résultat est le même: la jouissance.
Lorsque nos "amis" arrivent nous sommes déja en position: totalement nus je bande et Frédy se branle comme si elle était la vitrine d'une exposition: tous les deux peuvent la voir. Les connaissant nous savons qu'ils vont se mettre à l'aise. La femme, Guéty ne portant pas de sous vètement elle est totalement nue rapidement, son mari Alfred se désabille aussi et ainsi nous formons un quatuor de nudistes: les hommes bandent et les femmes sont mouillées.
Nous embrassons les femmes de l'autre, les caressons, et rapidement nous les branlons Les femmes font remarquer qu'elle sont entre les mains d'un autre homme, pour nous exciter d'avantage. Mais nous connaisons la suite: les deux femmes comment à venir l'une vers l'autre et ce n'est pas pour faire du tricot: elles aiment aussi les femmes. Elles s'embrassent longuement en se pelotant les seins et commence à se masturber. Nous les hommes bandons en les regardant faire. Souvent l'envie est trop forte nous nous branlons. Au début de nos rencontre chacun se branlait, mais à force de voir faire nos épouses un jour nous nous sommes branlés l'un et l'autre. Mais j'avais demandé à Frédy de dire à Alfred de ma proposer une sodomie. Celui-ci était étonné d'une telle demande et finalement emporté par la vue de nos femmes, il de demande de me pencher un peu en avant pour m'enculer.
Les filles arrêtent leur 69 pour nous voir faire. Je demande à Alfred de me branler en m'enculant. Je jouis tellement que mon sperme jailli sur les filles. Je demande à Alfred de me donner son cul à son tour. Mais il ne bande plus. Sa femme sait somment lui donner de la vigueur. En un instant je vois monter la bite de celui qui m'a enculé pour mon bonheur. Je prends de la mouille dans le con de Frédy et la mets sur le cul d'Afred qui a un peu peur de se faire pénétrer. Il se penche et avec ses main écarte largement ses fesses. Sans le brusquer je ne veux pas surtout qu'il ai mal, le pose ma bite sur sa rondelle sans forcer, juste pour l'habituer à ma présence . Je prend sa bite, en descent lentement le prépuce et le branle. Sa pine se gonfle et lentement je le pénétre. Il ne dit rien jusqu'au molment où il me demande de la lui mettre plus profond. Et la sa femme l'encourage: jouis bien mon chéri. C'est ce qui se passe, et Guety vient pour avaler le sperme de son mari.
De nous voir faire, Guety et Frédy ont encore envie de baiser, de nous baiser. Pour ma part je bande toujours et viens sur Guéty qui ouvre ses jambes. Je rentre ma bite dans son con.Frédy voudrait avoir celle d'Alfred,mais il est hors jeu pour un moment. Je propose aux deux femmes de les faire jouir ensemble. Guéty se mets sur moi fait entrer ma pine dans son sexe et tourne le dos à Frédy qui se pose sur ma bouche et commence à prendre dans ses mains les seins durcis de celle que je baise. Heureusement nous jouissons encore. Maintenant c'est à moi d'être fatigué e heureusement Alfred a repris du poil de la bête: il bande à nouveau. Les femmes ont donc encore une bite pour baiser: c'est la principal. Mais Alfred veut enculer ma femme qui ne demande pas mieux. C'est le moment que choisit sa femme pour se faire sucer par ma femme.
Tous les jours nous baisons avec ma femme et quelque fois je me fait enculer ou j'encule un homme simplement pour le plaisir pendant que ma femme baise aussi avec une autre femmes. L'amour de la baise nous fait faire des choses étranges parfois.
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