Ma canadienne

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma canadienne Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

Couleur du fond :
Ma canadienne
En descendant du tram à fleurs Place de la Comédie à Montpellier, j’allais me diriger vers le centre ville, le Clapas. Je tourne la tête vers la terrasse du Riche, le café bien connu. Je vois une fille dans une robe fleurie avec des sandales rouges à lanières. Je ne sais ce qui m’attire, sa robe, son allure ou carrément les trésors que je devine sous ses vêtements que je détecte très léger. Je me fais tout un cinéma: je la vois sans dessous. Je rêve tout simplement. Il me semble voir dans ses yeux une lueur coquine. Je me trompe peut être: elle doit avoir une envie. Laquelle, je ne sais pas.
Elle me fait hésiter, je vais la voir ou pas. Si j’y vais elle va me jeter, c’est certain. Je trop âgé pour elle, les mecs de 40 berges ne doivent pas compter pour elle. Pourtant si elle savait comme j’aime baiser. Après tout je m’en fous. J’y vais:
- Bonjour mademoiselle.
Elle me snobe, elle ne répond pas. C’est vrai qu’elle n’est pas seule à cette table. L’autre fille je m’en fous c’est elle que je veux.
- Bonjour !!
- Oui, bonjour.
- Voulez vous que je vous paye une autre consommation.
- Non merci, je voudrai aller me baigner.
- Où, à la mer, il faut prendre un bus, à la piscine, il faut monter dans le tram et descendre à l’arrêt place de l’Europe, à 15 minutes d’ici. En plus je connais le responsable, il nous laissera entrer sans problème et même dépasser l’heure si nous sommes en retard.
- Avec plaisir: je choisis la piscine.
Nous prenons le tram. Cette fille me parle de son pays, un pays mystérieux pour un Français moyen: le Canada. Pour moi c’est un pays fait de forêt et de neige: je suis méridional. Elle se moque gentiment de moi. Mais non le Canada c’est…
Nous arrivons tard mais nous arrivons. Le gardien des lieux, mon copain qui a confiance en moi me donne la clé; tu connais les lieux. Ferme bien en sortant: j’ai éteint tout ce qui risque, sauf les douches où l’eau coule encore.
Nous sommes libres dans une piscine olympique.
Tu te réfugie dans un coin à l’abri pour te mettre en maillot. Si on peut appeler ainsi ce que tu porte qui est un véritable appel au viol. Je peux rivaliser avec toi je n’ai qu’un tout petit string.
Ma fois si la vue de mes fesses et de ma queue te gêne, tu n’a qu’à t’en aller. Je ne sais même pas si tu m’a vu. Tu plonge directement. Je me mets à l’eau sans attendre. Je te retrouve pas loin à un ou deux mètres. Que fait un homme presque nu devant une fille qui tient plus de la naturiste que de la fille pudique ?
Il fait ce qui arrive; il va te rejoindre pour chercher tes lèvres que tu refuse, comme toutes les filles la première fois.
Je connais ce genre de chipie qui cherche le mâle dans l’avouer. Tu as du être ce genre au début, je le sens. J’ai envie de toi, de tes seins pas énormes mais qui attirent les bouches de tes admirateurs, de tes fesses qui recèle un trésor, ton cul et de ton entre jambes qui a aussi plein d’autres trésors à lécher, à câliner, à caresser, à pénétrer.
J’ai tellement hâte de d’avoir pour moi que je commence à bander, même si dans l’eau à peine tiède j’ai une petite queue.
Je force à peine pour cette seconde tentative: ta langue attendait la mienne. Nous nous serrons un petit moment. Juste le temps pour toi de sentir ma pine bandée.
Nous sortons de l’eau, nous allons nous cacher là où sont les sièges. Nous cacher est un bien grand mot: si un curieux regarde bien nous sommes visibles. Mon baiser revient. Tu prends l’initiative suivante: tu baisse mon string, pas tellement pour voir ma queue, pour la prendre dans ta main droite. Au fond de moi je pense que les Canadiennes sont drôlement dégelées cette année. Tu me veux nu : me voici. Ta main commence les vas et vient. Je t’arrête vite: les hommes sont tous les mêmes: si on les branle trop, ils jouissent vite. Je m’assois à coté de toi, ouvre ton soutien gorge ou ce qui en tient lieu. Enfin tes seins magnifiques qui ne demandent qu’une seule chose quand tu les tends vers moi: ma bouche sur les tétons, ma langue les tête comme si j’étais un bébé. Je trouve qu’ils ont bon gout.
Il n’empêche que j’ai une main libre: attention je descends là en bas, où je vais poser ma main pour te donner le grand plaisir, celui que tu éprouve quand tu te branles, mais en plus fort.
Tu écarte déjà les cuisses alors que je ne suis qu’à hauteur de ton pubis. Je passe ma main sur lui: ta peau est douce; tu as du te raser il y a peu. Mon index lui ne s’occupe pas tellement de ça: il va chercher une petite, toute petite chose à laquelle tu tiens beaucoup: ton clitoris. Je caresse ton bouton, je sens bien que tu es au bord de l’orgasme. Je change de doigt, j’ai trouvé une autre place pour le majeur: l’entre de ton con. Qu’il est doux ton sexe, dedans, je ne me lasse pas de le caresser; j’oublie ton clitoris pour entrer mon autre doigt dans ton cul. Mes doigts coulissent à la même vitesse dans tes deux trous.
Si ta main s’est arrêtée, te reprend ma bite pour me faire jouir, cette fois tu y es décidée, tu dois me faire juter. Tu as choisis même le lieu où je dois faire aller mon sperme: ton visage. J’aurais aimé ta bouche. Sans doute la prochaine fois tu me donneras l’autorisation de jouir dans ta bouche ouverte. Ta main va très vite maintenant que toi aussi tu jouis, j’ai beau me retenir, ma prostate n’est pas d’accord, je sens un énorme plaisir qui monte dans mes reins, mes jambes mon torse: j’éjacule sur toi.
Tu ne me dis pas si tu veux sortir ou non de la piscine. Tu veux peut être que je t’y baise, dans l’eau?
Tous les lieux cités existent réellement.

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Texte coquin : Ma canadienne
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