Ma Céline - Partie 1 - histoire érotique

J'ai été longtemps bloqué dans la friend-zone avec Céline.

Nous étions dans le même lycée en terminale mais pas dans les mêmes classes. Céline avait 18 ans quand j'ai fais sa connaissance la première fois.

J'avais pour ma part 1 an de plus qu'elle. Céline possédait déjà de beaux atouts féminins. Elle faisait environs 1 mètre 65 pour 60kg, un peu ronde. Elle avait une chevelure châtain qui lui arrivait à mi-dos. Elle faisait facilement un 90B voir plus. Elle était souvent en jupe ou en robe. Mais il lui arrivait quelque fois de mettre des leggings. Ils lui allaient à ravir et mettaient ses hanches larges ainsi que ses fesses en valeur.

Céline a longtemps vu en moi un confident plutôt qu’un amant potentiel. Dès nos premières rencontres, Céline repoussait mes avances. Ça me frustrait parce que je la trouvais mignonne.

Malgré, la fin de non-recevoir de sa part, cela ne m’empêchait pas de me masturber presque tous les soirs en pensant à Céline.

Durant le cours de l’année, j’avais fait exprès de draguer une de ses copines devant elle. Pas de réaction de la part de Céline, mais j’avais quand même pu passer des moments tendres avec son amie Julie. Je n’avais pas de réels sentiments pour Julie. Certes, j’avais défloré Julie et cette dernière semblait amoureuse de moi mais mes seules pensées étaient tournées vers Céline.

Mes potes et coéquipiers de football étaient tous plus ou moins amoureux de Céline. Ils me tannaient pour que je la leurs présente Céline. En quelques mois, Céline était sortie avec trois de mes potes. Grâce à Céline, il y avait trois puceaux de moins sur Terre. Elle était plutôt fière de çà. Elle aimait s’en vantait auprès de moi. Cela me rendait un peu jaloux.

Et lors du dernier vendredi de l’année scolaire, il avait été organiser des rencontres sportives entre élèves et professeurs. Je faisais partie de l’équipe de volley-ball. Même si Céline n’était pas une très grande sportive, je l avais incité à rejoindre mon équipe. Nous avions perdu la partie mais on avait passé un bon moment.

Par rage, j’avais enlevé mon t-shirt et j’avais vu tout de suite les yeux de Céline s’illuminer. Même si je n’étais pas bâti comme un dieu grec, mon torse et mes abdominaux étaient tout de même dessinés.

Après le match, on était chacun aller dans nos vestiaires respectifs afin de se doucher et de se changer. J’avais attendu que Céline sorte de son vestiaire pour lui proposer de sortir du gymnase pour discuter un peu.

Elle portait une robe de couleur marron clair et des sandales aux pieds. Nous savions que nos chemins allaient se séparer d’ici quelques jours. Céline avait été prise dans une école hôtelière sur La Rochelle, tandis que mon avenir allait se dessiner à Bergerac. Dès la rentrée suivante, nous serions donc séparés par près de deux cent cinquante kilomètres.

Je dois avouer que j’avais fais exprès de paraître vraiment triste en espérant que Céline ne craque et me laisse au moins poser mes lèvres sur les siennes.

On avait fait quelques mètres pour renter dans un pré où on l’herbe était sèche mais haute. On s’était assis côte à côté. J avais passé une main dans son dos. J’avais senti l’attache de soutien-gorge. J’avais approché mon visage du sien tout en gardant mes yeux dans les siens.

Quand nos lèvres sont entrées en contact, Céline et moi avions été parcourus par une décharge électrique intense. On s’était sourit et nos langues s’étaient entremêlées.

On s’était ensuite allongé dans l’herbe et chacun d’une de nos mains nous avions exploré le torse de l’autre. Celui de Céline était bien plus largement vallonné.

Même si avec Céline nous étions amis depuis trop longtemps à mon goût, elle laissait ma main explorer ses collines ainsi que la plaine de son ventre par-dessus sa robe.

Je voyais Céline rougir légèrement sous mes caresses. Je l’avais laissée passer sa main sous mon t-shirt pour caresser mes abdominaux et mon torse. On s’embrassait tendrement. Je sentais toutefois mon sexe se gorger de sang et prendre un peu plus de place dans mon boxer. J’avais glissé l’espace d un instant ma main dans mon boxer afin de positionner mon sexe pour que celui-ci ne me fasse pas mal en gonflant.

Céline avait pris ce geste pour invitation à ce qu’elle me suce. Même si ce n’était mon but premier, j’étais toutefois curieux de ce qu’elle allait faire.

Une partie de moi attendait qu’elle se positionne au-dessus pour que ma langue et mes doigts puissent s’occuper de sa fente et de son clitoris tandis qu’elle s’occuperait de mon sexe avec sa bouche ou peut-être même avec ses seins.

En s’excusant timidement, Céline m’avait qu’elle avait ses règles. J’avais essayé de cacher ma déception mais pas assez pour le masquer entièrement aux yeux de Céline.

Céline avait baissé les bretelles de sa robe et de son soutien-gorge. Elle caressait sa belle poitrine pendant que j’avais sorti ma queue de mon boxer. Mon gland était pourpre mais je n’étais pas encore à mon maximum.

J’étais allongé sur le dos. Céline avait saisi ma queue. Ses lèvres s’étaient posées sur mes boules. Elle les gobait délicatement en faisant tourner sa langue autour de mes boules. Ce petit jeu me fît monter mon excitation à son paroxysme.

Céline suçait super bien. Son regard était plongé dans le mien, je caressais ses cheveux afin qu’ils ne se retrouvèrent pas autour de mon sexe. Elle essayait de me faire une gorge profonde mais elle s'était mise vite à tousser. A la place elle m'avait masturbé.

Je sentais au fur et à mesure que mon sperme était sur le point d’être expulsé de mon gland. Céline m’avait dit de me mettre debout pendant qu’elle s’était mise à genoux. Elle me masturbait le plus vigoureusement possible. Son but était de sentir mon sperme chaud sur ses seins et de l’étaler comme si il s’était agi de crème solaire.

Ma semence s’était mise à jaillir de mon gland et par saccades s’était déposé dans le cou ou sur les seins de Céline. Elle l’étalait et s’était mise à sucer ses doigts pour le goûter.

Céline avait ensuite remonté les bretelles de son soutien-gorge et de sa robe.

Nous nous étions séparés ainsi sans savoir si nous aurions un jour la chance de se revoir.

La vie nous avait séparé mais par chance deux ans plus tard, Céline est réapparue tel un ange sorti de nulle part.