Ma chef ( 1 ) - histoire érotique

Je termine actuellement un cdd au sein d'un service administratif. Les journées se suivent et se ressemblent. Seule ma chef pimente un peu mes journées. Celle ci est stricte et autoritaire, aussi bien dans ses actes que dans ses propos.
N'étant que le "petit stagiaire", je ne fait pas trop l'objet de ses reproches.
Je ne saurais dire pourquoi mais cette femme a un coté qui me plait.
Elle doit avoir une petite cinquantaine d'année, toujours en tailleur strict, surtout jamais au dessus du genou. Je me doute bien qu'elle passe ses nerfs sur ses employés pour compenser la frustration de sa vie minable qu'elle essaye de dissimuler.
Elle se vante sans cesse de ses vacances, tantôt la Corse, la Turquie, tantôt Majorque ...
C'est justement pendant ses vacances que se passe ceci :
Mon poste tombe en panne et les informaticiens ne sachant que faire me dise que pendant ses vacances je n'ai qu'à m'installer sur le poste de la chef. J'aimerai savoir comment ils ont fait pour devenir informaticiens en se débrouillant moins bien que moi, mais pour le coup, tant mieux.
Je m'installe donc dans son bureau et trouvant le temps long, je me mets à parcourir son disque dur. Rien de bien nouveau, des photos de ses vacances montrées maintes et maintes fois. Je tombe néanmoins sur quelques photos qu'elle n'avait jamais montré. Rien de bien affriolant : paréo, maillot de bain, photo prise par surprise ( sans doute par son mari ) ... mais ma curiosité est piqué au vif.
Je continue à explorer ses dossiers et tombe sur celui des mails. Les fichiers ne sont pas bien gros mais les autres sont énormes ( plusieurs dizaines de méga ). Ne voulant éveiller les soupçons, j'en reste là pour la journée.
Avant de partir, je range quelques dossiers et dans l'armoire, je vois un carton de feuilles et plein de choses dedans. Je range les dossiers et me baisse, beaucoup de paperasses, des stylos, marqueurs ... mais au milieu de tout ça, je tombe sur des bas auto fixants : 3 paires : une paire Gerbe couleur chair qui a l'air ancienne ( le prix me le confirme : 15 francs !) mais qui est neuve, une paire couleur noire Golden Lady et une autre paire noire dans la pochette des Gerbe. Ces deux dernières semblant être rangées à la va-vite.
Ravi de mes découvertes la journée se termine.
Le lendemain, armé d'une clé usb et d'une version portable de Thunderbird, je copie les fichiers de ses mails et puis les parcours. La corbeille est régulièrement vidée mais les mails sont toujours présents.
Beaucoup de mails de boulot, quelques pps et au milieu de quelques mails perso pas intéressant je tombe sur ce que je cherchais inconsciemment ( ou pas ).
C'est une réponse a un des mails de ma chef. Voici grosso modo ce que je lis :
Nous sommes partis juste après vous, nous étions désolés pour toi.
Moi aussi j'ai des problèmes de couple, il ne fait que regarder la TV, quand je rentre, il ronfle ou ... il ronfle, on ne parle plus, on ne baise plus depuis longtemps ... Et je n'ai pas d'amant.

Cette phrase m'interpelle " Je n'ai pas d'amant", est-ce une plainte ?
Est-ce que cela signifie que ma chef, ELLE, a un amant.
Je lis le message d'origine sans apprendre grand chose si ce n'est qu'elle ne veut pas laisser son mari de peur de la retrouver dans la rivière voisine.
Je cherchais des réponses et je n'ai que plus de questions.
Les bas, trouvés dans l'armoire, me font penser qu'elle a bien un amant et que ceux-ci ne sont pas pour son mari.

La semaine passe, ma chef revient. Mon pc est réparé et je suis retourné dans mon petit bureau, bien moins confortable. J'entends tout le monde lui demander comment se sont passées se vacances. Très bien bla bla bla.
Elle passe ensuite me voir.
- " Et vous, tout s'est bien passé, pas de problème particulier"
- " Non, le PC était HS, j'ai pu profiter un peu de votre bureau mais il est de nouveau fonctionnel "
- " Tant mieux "
- " Et vous, bonnes vacances ? "
- " Oui, bien sûr mais je suis encore plus fatiguée qu'en partant "
- " Et bien, il va falloir faire patienter votre amant "
C'était dit sur le ton de la plaisanterie mais je la vit devenir blême même si elle tentait de sourire. Elle retourna dans son bureau mais la suite ne se fit pas attendre. En moins de 30 seconde un mail m'arriva :
" Qu'est ce que vous savez ? Et comment ? Il est venu ? "
J'aurais pu aller dans son bureau ou lui dire de venir mais par mail, cela me convenait parfaitement.
- J'ai juste vu les bas dans votre armoire. Vous venez de me donner confirmation de ce que ne faisait que soupçonner.
- Taisez vous, n'en parlez à personne.
- Je ne pense pas que vous puissiez encore me donner des ordres.
- Vous voulez me faire chanter c'est ça. Vous voulez quoi ? De l'argent ? Un CDI ? M'humilier ?
- Non, non rien de tout cela, rassurez vous. Je veux juste m'amuser un peu pendant les dernières semaines passées ici.
- Ne me laissez pas comme ça, dites moi.
- Très bien alors mettez vos bas, les Gerbe couleur chair et venez dans mon bureau.
- J'arrive.
Moins de 3 mn plus tard, elle était devant moi.
- Parfait, fermez la porte
La femme autoritaire que je connaissais jusque là était devenue parfaitement soumise.
- Fais moi un strip tease.
Elle ne se fit pas prier. A ce moment là, je ne savais pas si elle était soulagée de savoir que je lui réclamerai rien d'insurmontable ou bien si la situation l'excitait.
J'ai eu l'impression qu'elle y mettait tout son cœur.
Même sans musique, elle dansait devant moi et se tortillai langoureusement en jouant avec ses cheveux mi longs noirs.
Elle commença par retirer la veste de son tailleur et le lança dans un coin de la pièce.
Puis son foulard qu'elle fit glisser derrière ses fesses et qu'elle lança sur mon bureau.
Elle continua avec son chemisier dont elle défaisait les boutons un à un, prenant son temps et me dévoilant un charmant décolleté jusque là insoupçonné.
J'avais l'impression de découvrir son corps et ses charmes pour la première fois. Elle avait bien plus de forme qu'elle en donnait l'impression et ses déhanchements étaient d'une féminité torride.
Une fois le chemisier ôté, elle s'amusa à se pencher devant moi, et à caresser puis cacher son soutien gorge. Ce dernier était magnifique, noir et orné de dentelle. Quant à ses seins, j'aurai dit un bon 90 C.
Elle continua le spectacle pendant que je m'en délectais. Elle jouait à se pencher, à s'accroupir, à écarter les jambes devant moi.
D'un coup elle me tourna le dos et s'arrêta. Elle fit glisser le zip de sa jupe et la laissa tomber à ses chevilles, tout en se penchant en avant.
En plus de me dévoiler ses magnifiques fesses et le string assorti à son soutien gorge ( ce qui n'était pas une surprise ), elle me montra de superbes cuisses, fermes et musclées.
- " Alors ? Satisfait ? "
- " Plus que satisfait, tu étais magnifique "
- " Merci "
- " Viens voir, tu étais si douée que la suite t'attend "
Je fis rouler mon fauteuil de derrière mon bureau. La vue de ma bite gonflée n'a pas dû la surprendre outre mesure vu le spectacle qu'elle venait de m'offrir
- " Mmmm une bonne bite, miam, ça fait 10 jours qu'on ne m'a pas touchée "
- " Et bien régale toi "
- " Non c'est pas ça que je veux, je te sucerai plus tard mais pour le moment, je veux prendre mon pied "
J'étais pris à mon propre jeu, moi qui pensais qu'elle serait gênée par ce que je lui demandais, non seulement elle ne s'en offusquait pas mais en plus elle était ravie et était demandeuse.
Elle enleva son string et s'assied alors sur mon bureau, face à moi, les cuisses écartées.
- " Tiens, c'est ton tour maintenant, bouffe moi "
Je commençais à lui caresser la chatte en écartant ses grandes lèvres avec l'index et le majeur.
Elle se cambra en arrière.
Je continuais sur ma lancée voyant qu'elle appréciait puis je commençai à caresser son clito avec le pouce en dessinant de petits cercles. Elle étouffait de petits cris.
Je commençais alors à la lécher, sa chatte était trempée, mes doigts glissaient aisément et elle se tortillait pour prendre le plus de plaisir possible.
- " Tu aimes, ma chatte ? Tu l'aimes le goût de ma mouille ? Profites en, profites de la chef, cette salope qui n'a pas pu baiser depuis 10 jours, qui est en manque de bite "
Ces mots dans sa bouche ( et sa chatte dans la mienne ) m'excitait, je m'étais dégoté un jouet qui allait m'aider à ce que mon contrat se termine plus vite
- " Putain c'est bon, lèche moi encore, fais jouir la chienne que je suis, j'en ai assez des couilles molles, je veux une vraie queue "
Elle attrapa ma tête et jouit en la serrant contre sa chatte
- " Ouuuuiiii, c'est bon, j'en veux encore, je veux ta bite ......
ouiiiii ........ aaaaaahhh "

La matinée ne faisait que commencer

A suivre