Ma collègue de travail
Récit érotique écrit par Cureuil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma collègue de travail
Je travaille en informatique. Dans mon bureau, nous sommes deux. Ma collègue se prénomme Armelle. Elle a 30 ans, de longs cheveux noirs, un visage et un corps superbe, mais surtout des jambes qui n’en finissent pas.
Il y a quatre mois qu’elle est arrivée dans notre entreprise, comme chef de projet adjointe. Nous avons assez rapidement sympathisé. Jusqu’à ce jour, nos conversations étaient très banales, mais ce vendredi, je ne sais encore pourquoi, suite à une plaisanterie, sur les bits informatique, elle m’a dit : « A force de triturer des bits, j’ai très envie d’en triturer une vraie. ». Je lui ai demandé quel genre d’homme elle aime et elle m’a répondu : « Avec toi ça me plairait bien ! ». J’étais assez étonné, mais au fond de moi se n’était pas pour me déplaire.
Elle me demanda si j’étais libre le soir même et j’ai naturellement répondu « Oui ». A 16h30, nous sommes allés prendre ma voiture au garage. En s’asseyant, sa jupe est remontée le long de ses jambes et elle n’a rien fait pour la rajuster. Comme son manteau était ouvert, j’avais une vue merveilleuse sur ses cuisses gainées avec des bas noirs.
« Pour aller chez moi, le plus simple, tu prends l’autoroute, et ensuite je te guiderais » m’a-t-elle dit pendant que je sortais du garage. J’avais énormément de peine à ne pas laisser aller mes mains se poser sur ses cuisses, chaque fois que je changeais les vitesse. Elle s’en est vite aperçue et une fois sur l’autoroute, elle me pris la main et la posa sur sa cuisse. Je devais fortement me concentrer pour me pas la regarder et m’occuper de la circulation.
Lentement mes doigts effleuraient ses bas. Puis je remontais ma main vers son slip en retroussant sa jupe. Pour m’aider, elle écarta ses jambes et se laissa glisser en arrière sur son siège, puis elle retira son string. Je découvris alors qu’elle réalisait un de mes fantasmes, car elle était entièrement épilée. Sans plus attendre je glissant un doigt dans sa vulve. Elle était complètement chaude et toute humide.
Pendant que je la fouillais, elle vint caresser son clitoris avec vigueur. « J’ai envie de jouir, fait-moi jouir, je le veux » hurla-t-elle soudain. Je la fourmillais et elle se caressait avec rage. Soudain, elle se cambra, poussa un long feulement et elle jouis dans ma main. Elle la pris et me lécha tous les doigts.
Elle m’indiqua la route et 10 minutes plus tard, nous étions chez elle. Elle habitait une superbe villa, en bordure de la forêt. Elle me guida au salon et m’offrit un verre. « Je reviens » me dit-elle en se dirigeant vers une pièce à l’opposé du salon. 5 minutes plus tard, elle était de retour. Elle s’était changée. Elle avait mis des escarpins, gardé ses bas que recouvrait une jupe assez courte et fendue sur le côté. En haut, elle portait un bustier. Je pouvais voir ses mamelons durcis qui faisaient deux ravissantes bosses. Elle pris un verre et s’assit à coté de moi sur le canapé. Une fois nos verres vides, elle vint se mettre à genoux entre mes jambes. Elle me retira mon pull, ouvrit ma ceinture, et me délesta de mon pantalon et de mon slip. J’étais en pleine érection. Elle saisit ma verge délicatement avec ses doigts et commença à me caresser. Ils glissaient doucement, me procurant de merveilleux fourmillements. Puis elle baissa sa tête et me prit entre ses lèvres. Sa langue tournait autour de mon prépuce, puis sa bouche montait et descendait le long de mon pieu de chair. Je sentais que je n’allais pas tenir encore longtemps à ce régime, elle aussi. Elle s’activa à me sucer de plus en plus vite. Soudain j’explosais dans sa gorge en de longues saccades.
Elle se redressa et me dit : « Et si tu t’occupais de moi maintenant ? ». Comme pour joindre je geste à la parole, elle se déshabilla, ne gardant que ses escarpins et ses bas. Elle s’allongea sur la table de salon, écarta ses jambes en me disant : « Viens me rendre la pareille ».
Je vins me placer à genoux entre ses jambes et je posais ma bouche sur son sexe. J’aspirais son clitoris entre mes lèvres et je tournais ma langue autour. Je goûtais à ses grandes lèvres et j’enfilais ma langue dans sa grotte, pour aller chercher cette source qui laissait couler une sève si odorante. Comme elle tenait ses jambes très écartées et qu’elle était cambrée, l’envie de titiller son bouton d’or me pris. Délicatement je tournais autour et faisant mine de le pénétrer.
Il n’opposait aucune résistance, alors lentement mon doigt pris possession de se tendre petit cul. En même temps ma bouche suçait son sexe d’où coulait sa sève de plus en plus. En poussant un long « Ouiiiiiiii », elle jouit entre mes lèvres brûlantes et je buvais avidement sa liqueur.
Nous nous sommes remis sur le canapé, avons pris un verre. Elle me dit alors : J’ai envie que tu me sodomise, mais attends, je vais chercher quelque chose. Elle alla à nouveau dans la chambre et revint avec un vibromasseur. Elle me le donna, puis elle s’allongea sur le tapis en me disant : « Avant de me prendre, excite-moi avec ».
Je vins me mettre à coté d’elle et je mis en marche le vibromasseur. Doucement je le promenais dans son cou, sur ses lèvres. Du bout de l’appareil, j’effleurais ses mamelons, la peau de son ventre, puis, d’un coup, je le glissais dans sa grotte, le faisant aller et venir le plus vite que je pouvais. Avec ses deux mains, elle massait sa poitrine. Son souffle devenait de plus en plus cours et je n’avais pas encore envie qu’elle jouisse. Je lui dis : « Met-toi à quatre pattes ». Elle s’exécuta, offrant à mes yeux ses fesses. Je posais mes mains dessus en les écartant. Son bouton d’or m’attirait comme un aimant. Ma langue se mis à le lécher, à se glisser en lui. Je savourais cette douce odeur poivrée. Elle me prit le vibro et le glissa dans son vagin. Ma bouche et ma langue sentaient les vibrations de l’appareil. Je n’en pouvais plus. Il fallait que je me glisse en elle. Je guidais ma verge vers ce doux orifice et je plongeais en elle d’un puissant coup de reins. Je m’agrippais à ses hanches et je la sodomisais par de violents coups de reins. Elle avait déjà été prise ainsi, mais pas souvent, car ses parois me serraient mon membres. Je sentais le vibromasseur qui accompagnait mes mouvements. L’envie montait en moi. Je m’enfilais profondément en elle et j’explosais. Elle poussa un râle et elle jouis à son tour.
Elle s’allongea et je la suivis. Nous restâmes ainsi un long moment. Je me retirais d’elle et elle me guida à la salle de bain. Nous prîmes une douche ensemble, puis nous sommes retourné au salon. A ce moment là, la porte d’entrée s’ouvrit, et……
Mais c’est pour une prochaine histoire…….
Il y a quatre mois qu’elle est arrivée dans notre entreprise, comme chef de projet adjointe. Nous avons assez rapidement sympathisé. Jusqu’à ce jour, nos conversations étaient très banales, mais ce vendredi, je ne sais encore pourquoi, suite à une plaisanterie, sur les bits informatique, elle m’a dit : « A force de triturer des bits, j’ai très envie d’en triturer une vraie. ». Je lui ai demandé quel genre d’homme elle aime et elle m’a répondu : « Avec toi ça me plairait bien ! ». J’étais assez étonné, mais au fond de moi se n’était pas pour me déplaire.
Elle me demanda si j’étais libre le soir même et j’ai naturellement répondu « Oui ». A 16h30, nous sommes allés prendre ma voiture au garage. En s’asseyant, sa jupe est remontée le long de ses jambes et elle n’a rien fait pour la rajuster. Comme son manteau était ouvert, j’avais une vue merveilleuse sur ses cuisses gainées avec des bas noirs.
« Pour aller chez moi, le plus simple, tu prends l’autoroute, et ensuite je te guiderais » m’a-t-elle dit pendant que je sortais du garage. J’avais énormément de peine à ne pas laisser aller mes mains se poser sur ses cuisses, chaque fois que je changeais les vitesse. Elle s’en est vite aperçue et une fois sur l’autoroute, elle me pris la main et la posa sur sa cuisse. Je devais fortement me concentrer pour me pas la regarder et m’occuper de la circulation.
Lentement mes doigts effleuraient ses bas. Puis je remontais ma main vers son slip en retroussant sa jupe. Pour m’aider, elle écarta ses jambes et se laissa glisser en arrière sur son siège, puis elle retira son string. Je découvris alors qu’elle réalisait un de mes fantasmes, car elle était entièrement épilée. Sans plus attendre je glissant un doigt dans sa vulve. Elle était complètement chaude et toute humide.
Pendant que je la fouillais, elle vint caresser son clitoris avec vigueur. « J’ai envie de jouir, fait-moi jouir, je le veux » hurla-t-elle soudain. Je la fourmillais et elle se caressait avec rage. Soudain, elle se cambra, poussa un long feulement et elle jouis dans ma main. Elle la pris et me lécha tous les doigts.
Elle m’indiqua la route et 10 minutes plus tard, nous étions chez elle. Elle habitait une superbe villa, en bordure de la forêt. Elle me guida au salon et m’offrit un verre. « Je reviens » me dit-elle en se dirigeant vers une pièce à l’opposé du salon. 5 minutes plus tard, elle était de retour. Elle s’était changée. Elle avait mis des escarpins, gardé ses bas que recouvrait une jupe assez courte et fendue sur le côté. En haut, elle portait un bustier. Je pouvais voir ses mamelons durcis qui faisaient deux ravissantes bosses. Elle pris un verre et s’assit à coté de moi sur le canapé. Une fois nos verres vides, elle vint se mettre à genoux entre mes jambes. Elle me retira mon pull, ouvrit ma ceinture, et me délesta de mon pantalon et de mon slip. J’étais en pleine érection. Elle saisit ma verge délicatement avec ses doigts et commença à me caresser. Ils glissaient doucement, me procurant de merveilleux fourmillements. Puis elle baissa sa tête et me prit entre ses lèvres. Sa langue tournait autour de mon prépuce, puis sa bouche montait et descendait le long de mon pieu de chair. Je sentais que je n’allais pas tenir encore longtemps à ce régime, elle aussi. Elle s’activa à me sucer de plus en plus vite. Soudain j’explosais dans sa gorge en de longues saccades.
Elle se redressa et me dit : « Et si tu t’occupais de moi maintenant ? ». Comme pour joindre je geste à la parole, elle se déshabilla, ne gardant que ses escarpins et ses bas. Elle s’allongea sur la table de salon, écarta ses jambes en me disant : « Viens me rendre la pareille ».
Je vins me placer à genoux entre ses jambes et je posais ma bouche sur son sexe. J’aspirais son clitoris entre mes lèvres et je tournais ma langue autour. Je goûtais à ses grandes lèvres et j’enfilais ma langue dans sa grotte, pour aller chercher cette source qui laissait couler une sève si odorante. Comme elle tenait ses jambes très écartées et qu’elle était cambrée, l’envie de titiller son bouton d’or me pris. Délicatement je tournais autour et faisant mine de le pénétrer.
Il n’opposait aucune résistance, alors lentement mon doigt pris possession de se tendre petit cul. En même temps ma bouche suçait son sexe d’où coulait sa sève de plus en plus. En poussant un long « Ouiiiiiiii », elle jouit entre mes lèvres brûlantes et je buvais avidement sa liqueur.
Nous nous sommes remis sur le canapé, avons pris un verre. Elle me dit alors : J’ai envie que tu me sodomise, mais attends, je vais chercher quelque chose. Elle alla à nouveau dans la chambre et revint avec un vibromasseur. Elle me le donna, puis elle s’allongea sur le tapis en me disant : « Avant de me prendre, excite-moi avec ».
Je vins me mettre à coté d’elle et je mis en marche le vibromasseur. Doucement je le promenais dans son cou, sur ses lèvres. Du bout de l’appareil, j’effleurais ses mamelons, la peau de son ventre, puis, d’un coup, je le glissais dans sa grotte, le faisant aller et venir le plus vite que je pouvais. Avec ses deux mains, elle massait sa poitrine. Son souffle devenait de plus en plus cours et je n’avais pas encore envie qu’elle jouisse. Je lui dis : « Met-toi à quatre pattes ». Elle s’exécuta, offrant à mes yeux ses fesses. Je posais mes mains dessus en les écartant. Son bouton d’or m’attirait comme un aimant. Ma langue se mis à le lécher, à se glisser en lui. Je savourais cette douce odeur poivrée. Elle me prit le vibro et le glissa dans son vagin. Ma bouche et ma langue sentaient les vibrations de l’appareil. Je n’en pouvais plus. Il fallait que je me glisse en elle. Je guidais ma verge vers ce doux orifice et je plongeais en elle d’un puissant coup de reins. Je m’agrippais à ses hanches et je la sodomisais par de violents coups de reins. Elle avait déjà été prise ainsi, mais pas souvent, car ses parois me serraient mon membres. Je sentais le vibromasseur qui accompagnait mes mouvements. L’envie montait en moi. Je m’enfilais profondément en elle et j’explosais. Elle poussa un râle et elle jouis à son tour.
Elle s’allongea et je la suivis. Nous restâmes ainsi un long moment. Je me retirais d’elle et elle me guida à la salle de bain. Nous prîmes une douche ensemble, puis nous sommes retourné au salon. A ce moment là, la porte d’entrée s’ouvrit, et……
Mais c’est pour une prochaine histoire…….
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