Ma collégue Lia, femme mariée, et sa premiere branlette illicite
Récit érotique écrit par Lucian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma collégue Lia, femme mariée, et sa premiere branlette illicite
Comme d”habitude je vais vous parler des femmes des années 90 ici en Roumanie. Une décennie pendant laquelle filles et femmes pratiquaient avidement la débauche sexuelle, après les années d'interdictions communistes.
Ma collègue de bureau en 1994 s'appelait Lia. Une femme grande de 1m78, pas très jolie, rouse veritable, avec un corps massif et des chevilles un peu grosses… mais attirante, dû à son visage angélique de petite fille. Je n'avais jamais touché des femmes de plus d un metre 70 de ma vie. C'était mon ancien fantasme. Et elle ressemblait beaucoup à Kylie Minogue. Un animal magnifique, en fait.
Mais elle était tellement sage et tellement femme de famille... Le monde est méchant et pratique le commérage – mais personne ne parlait de cette Lia. Clairement c'était une femme de famille, qui parlait seulement de l'enfant et des recettes de gâteaux. C'est tout ce que nous savions sur elle.
Il y avait quelque chose entre elle et moi. Une complicité, dès le début. Je n'ai pas aimé la situation, car j'avais peur des femmes mariées. Presque toutes ont des problèmes avec leurs maris et après la baise elles veulent me parler de leur mariage rate. Mais cette fois, c'était une femme grande, quelque chose de rêve que je n'avais jamais eu auparavant.
Environ un an avec cette Lia j'ai parlé de culture, puis j'ai brisé la glace et parlé de sexe, comme ça, à distance. D'abord, je lui ai dit des choses plus voilées, puis avec son consentement, je suis devenu très impudique dans mes confessions. Da abord elle m'a rejeté, et ensuite elle m'a écouté. Je lui ai dit sans hesitation que je rêvais d'elle depuis longtemps, et que j'aimerais être caressée par sa main au bureau, à 7 heures du matin, avant que mes collègues n'apparaissent, car c'est alors que l'éjaculation de l'homme est la plus voluptueuse et forte. Elle m'a regardé dégoûtée, m'a dit qu'elle ne savait pas, ça sur l'éjaculation matinale, puis a dit qu'elle ne voulait plus entendre de telles choses cochonnes. Puis au bout d'un moment, j'ai repris mes aveux ... La glace fondait entre nous. Ensuite, stimulus par m’a manqué de honte, elle également est passée lentement aux confessions sans rideau, ce qui m'a laissé sans voix.
Elle m'a dit – avec une voix basse - qu'elle aimerait caresser une fois la verge d'un autre homme, en plein jour, pour voir une éjaculation «vigoureuse» à la lumière du jour. Mais avec un autre homme "qu'elle ne devrait pas aimer" (!). Et elle m'a regardé étrangement alors que je haletais devant elle, érecté et tensionné.
Et m'a dit ”Oui, mais nous les femmes nous ne passons pas si vite a ”l'acte”.”
Un vendredi, soudain, cette Lia, la femme mariée et timide, m'a dit, très rouge au visage, et avec des yeux dilatés: «Tu sais, demain je suis au bureau. Vers 9 heures. Tu viens aussi… prendre un café? » J'ai eu du mal à avaler ma salive… et j'ai ressenti des frissons de grand plaisir et j'ai su qu'elle VEUT. En moi se mêlaient une excitation animatique et cette peur d'avoir une expérience avec une mariée. Parce que des choses mauvaises pourraient suivre.
Mais mon besoin sexuel a vaincu.
Et samedi matin j étais dans son bureau.
Bien lavé, avec couilles et bite bien rasée et parfumée avec Rexona For Men.
Tout s'est déroulé très rapidement. Rapide et anormal. Et tellement asymétrique.
Je ne sais pas comment elle est arrivée, je ne sais pas quand je l'ai embrassée, sa bouche avait le gout de rouge à lèvres, ses mains étaient froides et grandes, j'ai touché ses jambes, ses mollets… je pouvais la sentir trembler et frissonner comme si elle avait froid, et moi je lui disais sans cesse ”Tu dois me caresser… Tu dois me caresser…” et elle me regardait avec ses grands yeux suppliants… en disant ”non, faut pas faire ça…”.
Il est certain qu'après ce "prélude" mon rêve porno avec Lia devint réalité là, dans son petit bureau de contable, le rêve qui m'avait tourmenté pendant un an. À nouveau je l'ai embrassé et j'ai dit ”Chérie, maintenant nous allons faire ce que je veux depuis une année…
Sous ses yeux effrayés, j'ai baissé mes jeans et caleçons, et, ensuite, cul nu et bite arquée en l'air, sans aucun ceremonial, je me suis couche sur une table libre d'à cote en lui demandant de s'asseoir sur le fauteuil à côté de la table, tout pres de mon ventre. Même si elle tremblait terriblement elle se mit sur un fauteuil comme je lui avais demandé. Avec ses yeux figes sur ma bite dure et grosse qui pulsait arquée et obscene vers le plafond… Bite tensionnée d'une énorme érection.
Ma verge ressemblait à un animal étrange dans la lumière du matin, et elle fixait comme hypnotisée ma bite, et balbutiait sans cesse : «Tu ne devrais pas faire ça… Tu ne devrais pas faire ça… Mais elle ne quittait pas mon pénis de ses yeux, son premier pénis d'homme contemple, à part la bite de son mari qu'elle voyait depuis 5 ans.
J'ai demandé:-Elle est comment, ma bite?
Elle soupira et dit, avec une petite voix:-Animalique et énorme. Dieu, pourquoi je suis la?
Énorme? Je pensais par mais enfin.
La femme mariée était excitée.
Puis elle s'est mis au travail.
Lia, rouge comme le feu, tremblante de partout, bien qu'elle ait une expression de nausée sur son visage, à côté du bureau sur le fauteuil, elle attrapa ma bite comme je lui ai demandé, avec sa main. Une main grande, différente des mains des femmes d'un metre 65. Une main grande et froide. Un plaisir inouï coula dans mes entraillles.
J'ai gémi sous les énormes plaisirs en tordant mes hanches et haletant des mots stuipdes – ”oui chérie c'est bien, Chérie ta main, ouh-la-la… c'est bon, c'est divin, Lia t'est mon rêve depuis un an…ah ah ah…” et cette frénésie de mon plaisir sexuel l'excita avantage.
(Les femmes sont très impressionnées quand les hommes annoncent que le plaisir est grand.)
Donc ses mains froides joueaient sans honte avec ma bite et je penseait que les femmes mariées ont aussi un instinct sexuel.
J'ai regardé ses mouvements de mains - c'était vraiment une épouse sage.
Parce qu'elle masturbait ma bite d'une manière très maladroite, comme une femme qui n'a certainement pas fait ça avant. Et avec une expression de dégoût et embarras mêlés avec une curiosité. Avec des yeux dilatés et une bouche légèrement entrouverte.
Du moins c'est ma conclusion, qu'elle ne faisait pas semblant, qu'elle n'était pas une pute, et que j'étais vraiment devenue l'objet d'un fantasme sexuel longtemps refoulé, un fantasme de «femme». Ce matin-là, j'étais après pas moins de 18 jours de non-éjaculation, la pression en moi étant colossale.
Avec 18 jours de tension sexuelle dans mes glandes j'étais comme une bouteille de champagne chaude et agitée… comme disait un écrivain. Et déjà sous ces mains froides et nouvelles, une sensation d'éjaculation imminente me piquait dans les entrailles. J'ai dû l'arrêter. Elle haletait. Bon signe.
Avec beaucoup d'efforts j'ai retenu mes contractions menaçantes.
Cela m'excitait terriblement de voir Lia faire ce geste rythmique de la branlette, comme dans d'un film porno, avec sa main, elle, la femme de maison qui avec la même main fait des crêpes pour son mari qui vient du travail.
Mais cette Lia n'avait aucune idée ce qu'elle doit faire pour bien branler la verge d'un homme. J'ai dû l'apprendre… lui montrer que les couilles doivent être pétries avec une main, tandis que la peau de la verge doit être très bien tirée vers le bas avec l'autre.
C'était drôle. Il y a six mois je parlais avec elle de la littérature américaine et maintenant j étais avec la bite en l'air sans culottes, devant elle, allonge sur une table.
Elle a appris, ça, vite, avec ses instincts sexuels aguiches par cette expérience insensée mais tellement douce.
Et après 10 minutes ça main massait en rythme ”allegro”, avec frénésie, ma bite super-erectée et dure. Je gémissais et je soulevais spasmodiquement mes hanches pour lui montrer qu'il y en a du plaisir.
Mais je n'ai pas pu supporter ça pour longtemps - le plaisir de me faire caresser la bite par les mains d'une nouvelle femme était terrible.
Je lui ai dit ”Chérie, cette fois ça vient… Dieu que ça vient… Oh merde, ça va jaillir… Houaaaah…”
J'ai serré mes cuisses, j'ai arqué mon corps vers elle, j ai ressenti ces piqûres des contractions qui s'annoncent, et – ça y est - j'ai enfin éjaculé énormément devant elle, sous sa main, sous ses yeux, avec des cris animaliques de plaisir et avec un étrange désespoir et regret que tout est fini si vite.
Mes giclées de sperme ce matin furent énormes, quelque chose que je n'avais jamais eu auparavant, ayant la sensation qu'avec mon sperme ma moelle épinière sortait également de mon corps.
Elle trésaillit et grimaça violemment alors que les jets de sperme jaillirent de ma bite a un mètre, frôlant son nez à cinq centimètres et, hélas, en éclaboussant aussi sa robe. Bien que j'aie essayé de l'éviter.
Choquée, ma branleuse mariée sauta debout tellement violemment qu'elle a renversé le fauteuil qui a percuté le ciment avec un bruit d'enfer.
Quand je me suis remis des spasmes, Lia, ahurie, les mains pleines de sperme en l'air, cherchait des yeux les serviettes, et regardait avec confusion et reproche les ruisseaux collants de semence sur le bureau et mes cuisses, avec une expression de dégoût et colere sur son visage.
Marmonnant des mots d'amour sans signification, dans lesquels je lui remerciais infiniment pour cette jouissance enorme et sans logique, je lui ai donné les serviettes et elle a commencé à essuyer le sperme sur sa robe autant que possible, avec des gestes ménagers, en essayant de nettoyer le sperme de l'épaule de la robe. Elle me regardait avec colère. Cela m'a un peu effrayé. Mais je connaissais la réaction des femmes qui retournent à la réalité après un déraillage sexuel.
Elle frottait le tissu et elle grondait, fachée.
«Dieu, combien as-tu éjaculé… Vraiment? Ma robe… Comme un cochon… Comme un cochon… Homme-cochon… Quel animal es-tu?… Dieu, qu'est que j'ai fait???... Dieu, qu'est que j'ai fait???... »Elle dialoguait avec le bon Dieu avec les doigts souillees avec ma semnece chaude.
Mais qu'est-ce qu'elle avait pensé quand un homme avec les couilles pleines se fait caresser la bite par une belle nouvelle femme ? Elle était un peu méchante et apparemment conne avec ces réactions et j'ai été déçu.
Elle ramassa son sac et quitta le bureau, sans un mot, comme en crise colère contre elle-même. Contre sa faiblesse.
Je suis resté sur la table, avec le sperme qui se refroidissait sur mon ventre, ma bite flasque, étourdi par les plaisirs du vidage, en ressentant encore des petits spasmes, et entendant ses talons éloignant dans le couloir. Dans le bureau seulement deux choses me rappelaient que j'avais pas rêvé: le parfum floral de Lia, qui subsistait, et le chatouillement du sperme sur mes cuisses.
Toutes mes cellules étaient relaxees, et le songe que j'avais corrompu cette jolie femme mariee me donnait une satisfaction maladive et sadique.
Les jours suivants, Lia a fait semblant de ne pas me voir. Qu'avait-elle? Elle m'en voulait parce que je l'avais fait accepter cela?
Ces femmes, ces femmes…
Mais au bout de 10 jours, qu'est-ce que je trouve dans le tiroir secret où nous mettions notre correspondance intime ? Un billet écrit par elle, calligraphique - «Bonjour, je veux à nouveau tes giclées éhontées. Demain dans la salle 2. J'espère que tu es plein. ».
La deuxième séance sexuelle avec Lia a été très spéciale.
Parce que, dès que j'avais sorti ma bite devant elle (moi debout et elle sur un fauteuil), Lia ferma les yeux et sans aucune introduction, comme affamée, pencha sa jolie tete rousse vers mon ventre, et se fourra ma verge, complètement et directement, dans sa bouche chaude. Sans un mot. En m'offrant un inouï et incroyable shampooing-salive, une succion bruyante et humide, sans répit, avec des petits gémissements de femme en rut, en me retenant pres d”elle avec un bras enroule autour de mes hanches, jusqu au moment où je me suis vidé sans hésitation directement dans ses amygdales.
En dépit des giclées quiinondairent son palais et amygdales, elle continua à sucer ma verge, pendant que le sperme coulait abondamment aux coins de sa bouche, en long filets gluants. Comme une véritable actrice Pornhub.
Ensuite, en s'essuyant la bouche elle me dit – ”Depuis notre rencontre je rêvais ça chéri. Avoir cette bite dans ma bouche. J'ai voulu le faire quand tu étais sur la table… mais je n'ai pas pu. Maintenant j'ai pu. Et j'ai aimé ça, tellement.”
Ahuri par le plaisir inattendu je pouvais pas dire un mot, debout devant elle, tandis qu'elle serrait ma bite molle entre ses doigts tendres. Je lui caressais les cheveux, reconnaissant, muet et comblé par cette initiative de cochonne.
La jolie mariée était donc définitivement droguée par mes désirs.
Dans l'épisode suivant je vais vous raconter comment la belle Lia femme mariée a accepté l'expérience avec deux hommes – moi et Luigi, un ex-collègue de lycée. Avec pénétrations et tout.
Auteur lucius.ro@gmail.com
Ma collègue de bureau en 1994 s'appelait Lia. Une femme grande de 1m78, pas très jolie, rouse veritable, avec un corps massif et des chevilles un peu grosses… mais attirante, dû à son visage angélique de petite fille. Je n'avais jamais touché des femmes de plus d un metre 70 de ma vie. C'était mon ancien fantasme. Et elle ressemblait beaucoup à Kylie Minogue. Un animal magnifique, en fait.
Mais elle était tellement sage et tellement femme de famille... Le monde est méchant et pratique le commérage – mais personne ne parlait de cette Lia. Clairement c'était une femme de famille, qui parlait seulement de l'enfant et des recettes de gâteaux. C'est tout ce que nous savions sur elle.
Il y avait quelque chose entre elle et moi. Une complicité, dès le début. Je n'ai pas aimé la situation, car j'avais peur des femmes mariées. Presque toutes ont des problèmes avec leurs maris et après la baise elles veulent me parler de leur mariage rate. Mais cette fois, c'était une femme grande, quelque chose de rêve que je n'avais jamais eu auparavant.
Environ un an avec cette Lia j'ai parlé de culture, puis j'ai brisé la glace et parlé de sexe, comme ça, à distance. D'abord, je lui ai dit des choses plus voilées, puis avec son consentement, je suis devenu très impudique dans mes confessions. Da abord elle m'a rejeté, et ensuite elle m'a écouté. Je lui ai dit sans hesitation que je rêvais d'elle depuis longtemps, et que j'aimerais être caressée par sa main au bureau, à 7 heures du matin, avant que mes collègues n'apparaissent, car c'est alors que l'éjaculation de l'homme est la plus voluptueuse et forte. Elle m'a regardé dégoûtée, m'a dit qu'elle ne savait pas, ça sur l'éjaculation matinale, puis a dit qu'elle ne voulait plus entendre de telles choses cochonnes. Puis au bout d'un moment, j'ai repris mes aveux ... La glace fondait entre nous. Ensuite, stimulus par m’a manqué de honte, elle également est passée lentement aux confessions sans rideau, ce qui m'a laissé sans voix.
Elle m'a dit – avec une voix basse - qu'elle aimerait caresser une fois la verge d'un autre homme, en plein jour, pour voir une éjaculation «vigoureuse» à la lumière du jour. Mais avec un autre homme "qu'elle ne devrait pas aimer" (!). Et elle m'a regardé étrangement alors que je haletais devant elle, érecté et tensionné.
Et m'a dit ”Oui, mais nous les femmes nous ne passons pas si vite a ”l'acte”.”
Un vendredi, soudain, cette Lia, la femme mariée et timide, m'a dit, très rouge au visage, et avec des yeux dilatés: «Tu sais, demain je suis au bureau. Vers 9 heures. Tu viens aussi… prendre un café? » J'ai eu du mal à avaler ma salive… et j'ai ressenti des frissons de grand plaisir et j'ai su qu'elle VEUT. En moi se mêlaient une excitation animatique et cette peur d'avoir une expérience avec une mariée. Parce que des choses mauvaises pourraient suivre.
Mais mon besoin sexuel a vaincu.
Et samedi matin j étais dans son bureau.
Bien lavé, avec couilles et bite bien rasée et parfumée avec Rexona For Men.
Tout s'est déroulé très rapidement. Rapide et anormal. Et tellement asymétrique.
Je ne sais pas comment elle est arrivée, je ne sais pas quand je l'ai embrassée, sa bouche avait le gout de rouge à lèvres, ses mains étaient froides et grandes, j'ai touché ses jambes, ses mollets… je pouvais la sentir trembler et frissonner comme si elle avait froid, et moi je lui disais sans cesse ”Tu dois me caresser… Tu dois me caresser…” et elle me regardait avec ses grands yeux suppliants… en disant ”non, faut pas faire ça…”.
Il est certain qu'après ce "prélude" mon rêve porno avec Lia devint réalité là, dans son petit bureau de contable, le rêve qui m'avait tourmenté pendant un an. À nouveau je l'ai embrassé et j'ai dit ”Chérie, maintenant nous allons faire ce que je veux depuis une année…
Sous ses yeux effrayés, j'ai baissé mes jeans et caleçons, et, ensuite, cul nu et bite arquée en l'air, sans aucun ceremonial, je me suis couche sur une table libre d'à cote en lui demandant de s'asseoir sur le fauteuil à côté de la table, tout pres de mon ventre. Même si elle tremblait terriblement elle se mit sur un fauteuil comme je lui avais demandé. Avec ses yeux figes sur ma bite dure et grosse qui pulsait arquée et obscene vers le plafond… Bite tensionnée d'une énorme érection.
Ma verge ressemblait à un animal étrange dans la lumière du matin, et elle fixait comme hypnotisée ma bite, et balbutiait sans cesse : «Tu ne devrais pas faire ça… Tu ne devrais pas faire ça… Mais elle ne quittait pas mon pénis de ses yeux, son premier pénis d'homme contemple, à part la bite de son mari qu'elle voyait depuis 5 ans.
J'ai demandé:-Elle est comment, ma bite?
Elle soupira et dit, avec une petite voix:-Animalique et énorme. Dieu, pourquoi je suis la?
Énorme? Je pensais par mais enfin.
La femme mariée était excitée.
Puis elle s'est mis au travail.
Lia, rouge comme le feu, tremblante de partout, bien qu'elle ait une expression de nausée sur son visage, à côté du bureau sur le fauteuil, elle attrapa ma bite comme je lui ai demandé, avec sa main. Une main grande, différente des mains des femmes d'un metre 65. Une main grande et froide. Un plaisir inouï coula dans mes entraillles.
J'ai gémi sous les énormes plaisirs en tordant mes hanches et haletant des mots stuipdes – ”oui chérie c'est bien, Chérie ta main, ouh-la-la… c'est bon, c'est divin, Lia t'est mon rêve depuis un an…ah ah ah…” et cette frénésie de mon plaisir sexuel l'excita avantage.
(Les femmes sont très impressionnées quand les hommes annoncent que le plaisir est grand.)
Donc ses mains froides joueaient sans honte avec ma bite et je penseait que les femmes mariées ont aussi un instinct sexuel.
J'ai regardé ses mouvements de mains - c'était vraiment une épouse sage.
Parce qu'elle masturbait ma bite d'une manière très maladroite, comme une femme qui n'a certainement pas fait ça avant. Et avec une expression de dégoût et embarras mêlés avec une curiosité. Avec des yeux dilatés et une bouche légèrement entrouverte.
Du moins c'est ma conclusion, qu'elle ne faisait pas semblant, qu'elle n'était pas une pute, et que j'étais vraiment devenue l'objet d'un fantasme sexuel longtemps refoulé, un fantasme de «femme». Ce matin-là, j'étais après pas moins de 18 jours de non-éjaculation, la pression en moi étant colossale.
Avec 18 jours de tension sexuelle dans mes glandes j'étais comme une bouteille de champagne chaude et agitée… comme disait un écrivain. Et déjà sous ces mains froides et nouvelles, une sensation d'éjaculation imminente me piquait dans les entrailles. J'ai dû l'arrêter. Elle haletait. Bon signe.
Avec beaucoup d'efforts j'ai retenu mes contractions menaçantes.
Cela m'excitait terriblement de voir Lia faire ce geste rythmique de la branlette, comme dans d'un film porno, avec sa main, elle, la femme de maison qui avec la même main fait des crêpes pour son mari qui vient du travail.
Mais cette Lia n'avait aucune idée ce qu'elle doit faire pour bien branler la verge d'un homme. J'ai dû l'apprendre… lui montrer que les couilles doivent être pétries avec une main, tandis que la peau de la verge doit être très bien tirée vers le bas avec l'autre.
C'était drôle. Il y a six mois je parlais avec elle de la littérature américaine et maintenant j étais avec la bite en l'air sans culottes, devant elle, allonge sur une table.
Elle a appris, ça, vite, avec ses instincts sexuels aguiches par cette expérience insensée mais tellement douce.
Et après 10 minutes ça main massait en rythme ”allegro”, avec frénésie, ma bite super-erectée et dure. Je gémissais et je soulevais spasmodiquement mes hanches pour lui montrer qu'il y en a du plaisir.
Mais je n'ai pas pu supporter ça pour longtemps - le plaisir de me faire caresser la bite par les mains d'une nouvelle femme était terrible.
Je lui ai dit ”Chérie, cette fois ça vient… Dieu que ça vient… Oh merde, ça va jaillir… Houaaaah…”
J'ai serré mes cuisses, j'ai arqué mon corps vers elle, j ai ressenti ces piqûres des contractions qui s'annoncent, et – ça y est - j'ai enfin éjaculé énormément devant elle, sous sa main, sous ses yeux, avec des cris animaliques de plaisir et avec un étrange désespoir et regret que tout est fini si vite.
Mes giclées de sperme ce matin furent énormes, quelque chose que je n'avais jamais eu auparavant, ayant la sensation qu'avec mon sperme ma moelle épinière sortait également de mon corps.
Elle trésaillit et grimaça violemment alors que les jets de sperme jaillirent de ma bite a un mètre, frôlant son nez à cinq centimètres et, hélas, en éclaboussant aussi sa robe. Bien que j'aie essayé de l'éviter.
Choquée, ma branleuse mariée sauta debout tellement violemment qu'elle a renversé le fauteuil qui a percuté le ciment avec un bruit d'enfer.
Quand je me suis remis des spasmes, Lia, ahurie, les mains pleines de sperme en l'air, cherchait des yeux les serviettes, et regardait avec confusion et reproche les ruisseaux collants de semence sur le bureau et mes cuisses, avec une expression de dégoût et colere sur son visage.
Marmonnant des mots d'amour sans signification, dans lesquels je lui remerciais infiniment pour cette jouissance enorme et sans logique, je lui ai donné les serviettes et elle a commencé à essuyer le sperme sur sa robe autant que possible, avec des gestes ménagers, en essayant de nettoyer le sperme de l'épaule de la robe. Elle me regardait avec colère. Cela m'a un peu effrayé. Mais je connaissais la réaction des femmes qui retournent à la réalité après un déraillage sexuel.
Elle frottait le tissu et elle grondait, fachée.
«Dieu, combien as-tu éjaculé… Vraiment? Ma robe… Comme un cochon… Comme un cochon… Homme-cochon… Quel animal es-tu?… Dieu, qu'est que j'ai fait???... Dieu, qu'est que j'ai fait???... »Elle dialoguait avec le bon Dieu avec les doigts souillees avec ma semnece chaude.
Mais qu'est-ce qu'elle avait pensé quand un homme avec les couilles pleines se fait caresser la bite par une belle nouvelle femme ? Elle était un peu méchante et apparemment conne avec ces réactions et j'ai été déçu.
Elle ramassa son sac et quitta le bureau, sans un mot, comme en crise colère contre elle-même. Contre sa faiblesse.
Je suis resté sur la table, avec le sperme qui se refroidissait sur mon ventre, ma bite flasque, étourdi par les plaisirs du vidage, en ressentant encore des petits spasmes, et entendant ses talons éloignant dans le couloir. Dans le bureau seulement deux choses me rappelaient que j'avais pas rêvé: le parfum floral de Lia, qui subsistait, et le chatouillement du sperme sur mes cuisses.
Toutes mes cellules étaient relaxees, et le songe que j'avais corrompu cette jolie femme mariee me donnait une satisfaction maladive et sadique.
Les jours suivants, Lia a fait semblant de ne pas me voir. Qu'avait-elle? Elle m'en voulait parce que je l'avais fait accepter cela?
Ces femmes, ces femmes…
Mais au bout de 10 jours, qu'est-ce que je trouve dans le tiroir secret où nous mettions notre correspondance intime ? Un billet écrit par elle, calligraphique - «Bonjour, je veux à nouveau tes giclées éhontées. Demain dans la salle 2. J'espère que tu es plein. ».
La deuxième séance sexuelle avec Lia a été très spéciale.
Parce que, dès que j'avais sorti ma bite devant elle (moi debout et elle sur un fauteuil), Lia ferma les yeux et sans aucune introduction, comme affamée, pencha sa jolie tete rousse vers mon ventre, et se fourra ma verge, complètement et directement, dans sa bouche chaude. Sans un mot. En m'offrant un inouï et incroyable shampooing-salive, une succion bruyante et humide, sans répit, avec des petits gémissements de femme en rut, en me retenant pres d”elle avec un bras enroule autour de mes hanches, jusqu au moment où je me suis vidé sans hésitation directement dans ses amygdales.
En dépit des giclées quiinondairent son palais et amygdales, elle continua à sucer ma verge, pendant que le sperme coulait abondamment aux coins de sa bouche, en long filets gluants. Comme une véritable actrice Pornhub.
Ensuite, en s'essuyant la bouche elle me dit – ”Depuis notre rencontre je rêvais ça chéri. Avoir cette bite dans ma bouche. J'ai voulu le faire quand tu étais sur la table… mais je n'ai pas pu. Maintenant j'ai pu. Et j'ai aimé ça, tellement.”
Ahuri par le plaisir inattendu je pouvais pas dire un mot, debout devant elle, tandis qu'elle serrait ma bite molle entre ses doigts tendres. Je lui caressais les cheveux, reconnaissant, muet et comblé par cette initiative de cochonne.
La jolie mariée était donc définitivement droguée par mes désirs.
Dans l'épisode suivant je vais vous raconter comment la belle Lia femme mariée a accepté l'expérience avec deux hommes – moi et Luigi, un ex-collègue de lycée. Avec pénétrations et tout.
Auteur lucius.ro@gmail.com
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