MA COLOCATAIRE
Récit érotique écrit par Petite futée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 17 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Petite futée ont reçu un total de 201 757 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 12 258 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
MA COLOCATAIRE
Vous vous rappelez de moi, Marlène, je vous ai raconté ma soirée, avec mes trois amis Sébastien, Arnaud et David. Un moment très très chaud, qui avait commencé par un petit strip-tease improvisé, puis continué avec les trois garçons au lit, et fini chez moi avec ma colocataire Élodie.
Et bien, cette fois ci j'ai décidé de vous parler d'elle, ma colocataire.
Adolescente, Élodie, n'était pas très aimée par les autres, ils l'a trouvaient bizarre avec une drôle de façon de s'habiller. Moi je l'a trouvais rigolote avec ses jupes courtes et ses grandes chaussettes rayées à la Catherine Ringer des Rita Mitsouko, ses jupes plissées et pulls sans manche avec chemise dessous. ses cheveux étaient très longs, elle faisait deux petites couettes de chaque côté du visage et relevait le reste par un chignon un peu fou avec des crayons plantés dedans.
Nous nous connaissons depuis notre naissance nos mères étant amies d'enfance aussi, nous sommes presque comme deux sœurs, pourtant si différentes.
Pendant longtemps, elles ne intéressait pas aux garçons, préférant le dessin et notre amitié. Mais quand elle est partie étudier aux beaux arts, elle s'est métamorphosée. Je me souviens qu'un soir, elle m'appela surexcitée. Ils avaient eu un cours sur les nus et avaient dû dessiner le modèle qui se tenait devant eux. Pour elle, c'était le premier homme nu qu'elle voyait.
Au début j'étais mal à l'aise, mais il était tellement beau, musclé, on aurait dit un apollon. Et puis son sexe, j'en avais jamais vu en vrai. Oh je n'en revenais pas. J'ai hâte de retourner en cours pour la prochaine séance. Dis il faut que je m'exerce, tu veux bien jouer les modèles pour moi ? Je pose devant la glace en étant dévêtue moi même, mais c'est pas pareil.
Tu veux que je pose nue, mais si quelqu'un voit tes dessins ?
Et alors ! C'est de l'art. S'il te plaît aides moi .
OK, c'est bon, je le ferai.
Super, je reviens vendredi soir, tu n'as qu'a venir passer la nuit à la maison, comme ça on pourra bosser tranquillement.
D'accord, à samedi.
Deux jours plus tard, je me rendais, chez elle, sa mère était en week-end avec son nouveau petit ami. Tout en mangeant un morceau, nous avons parlé de notre semaine, la mienne était beaucoup plus tranquille., Puis nous sommes montées dans sa chambre, elle n’arrêtait pas de me raconter ce qu'elle faisait en cours, les gars de sa classe etc.
Elle positionna une chaise au milieu de la pièce et s’assit en attendant que je m'installe. Je retirais mes vêtements sans être à l'aise, pourtant Élodie m'avait vu, des dizaines de fois, mais là le contexte était différent.
Une fois dévêtue, elle me dit de rester là, debout, tout simplement. Elle était super concentrée, puis au bout d'un long moment, me fit mettre de profil, ensuite assise, ou encore allongé sur le dos, sur le ventre, sur le côté face à elle. Cela devait faire au moins deux heures que je posais. Je n'en pouvais plus.
Et si on arrêtait un peu, j'ai soif et envie de pisser.
D'accord petite pose, tu veux peut être voir mes dessins ?
Oh, oui, bien sur !
Voilà, qu'est ce que tu en penses ? Moi je te trouves superbe !
Je n'en revenais pas de me voir en dessin, elle était vraiment très douée, je dois dire que finalement j'étais fière.
Tu sais que tu devrais venir à mes cours pour servir de modèle, tu es parfaite, et en plus ça te ferai gagner de l'argent.
Quoi ? Moi ? Mais ça va pas. Je le fais pour toi, mais ça s'arrête là.
Tu as tord, les gens qui le font gagnent bien, et nous sommes des artistes, pas des voyeurs. Tu n'as qu'a venir cette semaine, tu dormiras chez moi dans mon studio, comme ça tu verras, si tu veux le faire.
Pas des voyeurs, tu te moques là, qui c'est qui n'a pas arrêté de me parler du mec qui as posé ? Je ne sais pas, il faut que j'y réfléchisse... Tu es marrante toi, tu le ferais devant tout un tas d'inconnu ?
Bah oui, Madame sainte ni-touche, je l'ai fait devant un petit groupe d'élèves de ma classe en privé, et c'est chacun notre tour. Avant j'avais peur de me montrer à poil, maintenant, ça ne me fait plus peur, en fait c'est comme ça que je voudrais vivre, toujours toute nue, je me sens libre.
Waouh ! C'est toi qui parle là, j'en reviens pas.
Et oui, c'est moi, la nouvelle Élodie. D'ailleurs, je vois pas ce que je fais encore avec des fringues sur le dos.
Elle ôta ses vêtements en un éclair, elle qui était toujours si pudique, même devant moi. Elle était vraiment très belle, sa peau légèrement mate, ses longs cheveux bruns, de beaux seins bien ronds et ferment avec le téton dilaté mais pas énorme. Sa taille fine, de belles fesses bien rebondies et musclées, de magnifiques jambes, des mollets bien galbés. J'ai gardé le meilleur pour la fin, son intimité, une belle toison brune très frisée, laissant apparaître la fente de ses lèvres secrètes. J'étais jalouse de ce corps magnifique, moi, j'avais cinq kilos de trop, des seins très volumineux, une taille et des cuisses un peu trop enrobées. Avec un peu de motivation pour faire un petit régime et un peu de sport, je pourrais être aussi belle qu'elle. Mais je ne l'avais pas.
Allez, hop ! On reprend le boulot assez discuté,
On peut pas arrêter pour ce soir ?
Non, pas encore, mais si tu veux on peut faire des positions plus sympa. Imagines que tu es mannequins et que tu dois mettre tes seins en valeur, moi ils me font rêver, je veux que tu me rendes jalouse, prend un position provocante, éclates toi.
Je décidais je jouer le jeu, après tout autant s'amuser un peu. Je me mis à genou face à elle et saisit mes seins dans les mains de manières à les rapprocher le plus possible. Élodie semblait satisfaite, elle m'encourageait pour garder ma position et cet air de provocateur. Ce dessin fini elle en voulu un dernier, mais il fallait qu'il soit inédit, et elle avait une idée en tête. C'est elle qui me dirigea, me plaçant comme elle le souhaitait, ses mains me faisait frémir, j'aurais aimé qu'elle continue.
Parfait ! S'écrit-elle. Surtout ne bouge plus, je vais faire un truc très artistique mais pas très moral. Tiens, regardes toi, dans ce miroir avant que je t'immortalise ! Me dit-elle en mettant un petit miroir face à moi pour que je puisse voir mon reflet.
Je fus choquée du résultat, en effet c'était très évocateur, pourtant, je fus subjuguée par mon image. J'ai même eu un frisson de désir. Comment une fille si innocente que ma copine, pouvait avoir eu une telle idée. Le dos contre le mur, elle m'avais écarté les jambes tout en les repliant contre mes fesses. Ma chatte en fut donc toute exposée aux regards, légèrement ouverte. Mais ce n'était pas tout, elle avait positionné une de mes mains de manière à croire que je me faisais du bien. L'autre étreignait un sein. Je ne me reconnaissais pas. Mais je trouvais le jeu très rigolo et je dois avouer que j'étais excité par la situation. Les mains d’Élodie sur moi pendant le placement, n'avaient qu'accentué la sensation,je ne comprenais pas d'ailleurs pourquoi, je réagissais de la sorte en étant touché par une fille.
Elle aussi parue très satisfaite, elle passa au dessin rapidement, comme un gamin pressé d'utiliser son nouveau jouet. Quand elle eu terminé, elle vint s’asseoir à côté de moi, la feuille à la main.
Tiens regarde, c'est terminé. Ça te fait quoi de voir ce dessin de toi ?
Sincèrement ?
Oui, évidement .
Ça m'a fait bizarre, mais j'ai trouvé la situation excitante, j'ai adoré, je ne pensais pas que j'aurais cette réaction, mais ça m'a beaucoup plut. Je ne me reconnais pas sur ce dessin, regardes comme j'ai l'air d'une fille de magazine porno, finalement je me trouves belle. J'imagine si un garçon trouvait ce dessin.
On n'a qu'a essayer, on verra...
Mais tu es folle, ça va pas...
Je tentais d'attraper le portrait qu'elle m’empêchait de prendre, notre gentille petite bagarre la fit basculer sur moi. Elle stoppa net, la chamaillerie, me regardant droit dans les yeux un sourire aux lèvres, puis m'embrassa, mon cœur s'emballa, et je ne pu que répondre à son baiser. Nos langues timidement se touchèrent, puis se mélangèrent. Il n'y avait plus aucune retenue dans notre étreinte. Mes mains commencèrent à caresser son corps, ses belles fesses, sa peau était très douce, une pure invitation au pêcher de chair. Elle bascula sur le côté de manière à pouvoir elle aussi frôler mon anatomie, mais surtout mes seins, ils avaient l'air de la fasciner. Elle prit un mamelon en bouche, qui très vite se durcit, elle le tétait comme pour en boire du lait, notre excitation ne faisait que s’accroître.
Moi, explorant toujours sa chair, je ne pu m’empêcher de glisser mes doigts entre ses lèvres intimes, elle eu immédiatement un sursaut de plaisir, et me demanda de continuer. Elle fit de même et j'eus la même réaction, rien à voir, avec les caresses que je me fais quand je m'offre un plaisir solitaire. Dans ces moments seule, je ne ressent pas ces frissons et ce désir d'aller plus loin. Je ne pensais pas que les doigts d'une autre personne puissent changer la sensation. C'était trop bon. Élodie, introduisit un doigt dans mon vagin et me demanda de faire pareil, chaque geste qu'elle faisait, je le reproduisais sur elle. Nos corps se touchaient, on se frottait l'une contre l'autre. Il ne fallut pas beaucoup d'effort pour que chacune jouisse. On était poisseuse de mouille. Et soudain Élodie, se positionna à l'envers, la tête entre les jambes, (ce que l'on appelle un 69, je le sais aujourd'hui, mais pas ce soir là), me disant que c'est un truc génial à faire, et il suffit de lécher le sexe de l'autre. Elle plongea sa langue dans mon sexe. Effectivement, la sensation était merveilleuse.
Vas y, fais le... me dit-elle ! Je veux savoir ce que ça fait.
Et je fis de même, mais je fis écœuré par l'odeur, et par le liquide visqueux. Élodie n'avait pas l'air gênée elle. Ne voulant pas paraître stupide, j'entamais mon léchage. Vu les sons qu'elle émettait, je compris que je lui faisais du bien, et elle jouit d'ailleurs très vite, je suivis peu de temps après, je tressautais de plaisir, mes sens étaient en ébullition.
Nous nous allongeâmes côte à côte, pour reprendre nos esprits tout en continuant de nous caresser délicatement. C'était tellement bon, cette douceur, ses sensations. Nos lèvres se joignirent encore à de nombreuses reprises. Je me sentais vraiment bien, heureuse.
On est des gouines, alors, lui dis-je ?
Oui, sans doutes, mais je sais pas toi, mais maintenant,j'ai envie de connaître l'acte avec un garçon. Je me sens prête à perdre ma virginité, juste par curiosité.
Non, moi, je voudrais attendre le bon moment, je me suis toujours fait l'idée de l'acte d'Amour, je veux que ce soit beau.
Que tu es romantique, c'est ce que j'aime chez toi. Ce que l'on a fait, je ne veux pas l'oublier, bien au contraire, je le considère comme ma première fois et j'aimerais recommencer si tu en as envie. Ce sera notre secret.
Oh, oui ! Je veux bien, autant de fois que tu le voudras.
Le week-end continua sur la même lancée, séance de dessin avec toujours plus de positions provocantes, suivit de récréations coquines. Le dimanche soir, je quittais ma partenaire avec une boule au ventre, notre rapprochement allait me manquer, mais on se verrai en milieu de semaine pour une séance d'Art.
Le mercredi, comme décidé, je pris le train et rejoignis Élodie aux beaux arts, elle me dit que nous serions juste en petit groupe privé chez un de ses camarades de cours. Arrivées sur place, je fus moins intimidé car nous n'étions que trois. Les autres avaient autre chose de prévu.
On se rendit chez Hugues qui vivait dans un magnifique immeuble rue de Bourgogne. Ses parents étant en voyage à l'étranger, nous avions l'appartement pour nous seuls, mise à part la gouvernante.
Il devait avoir le même âge que nous, les cheveux mi-longs et ondulés, des petites lunettes rondes à la monture noire, les vêtements et l'allure typiques d'un petit bourgeois. Même sa façon de parler reflétait son milieu social, on aurait dit qu'il parlait avec une patate chaude dans la bouche.
Nous entrâmes dans sa chambre, que je trouvais immense. On aurait dit une suite d’hôtel. Il m'indiqua la salle de bain pour que je puisse me déshabiller tranquillement. Quand je suis revenue, ils étaient installés tous les deux avec un carnet à croquis sur les genoux. Il ne me regarda même pas entrer, je fus très déçue et Élodie le remarqua, le premier garçon à me voir nue, m'ignorait totalement. Prenant conscience de ma présence, il me dit de m'installer sur le canapé, de côté face à eux. Ils travaillaient studieusement, se parlant de temps en temps. Le dessin fini, Élodie, proposa à notre artiste de compliquer l'exercice. Il acquiesça ne sachant même pas où elle voulait en venir. Elle disparu dans la salle de bains et en revint rapidement aussi nue que moi. Là, il eu une petite réaction. La coquine me parla à l'oreille pour m'indiquer la marche à suivre.
Nous nous assîmes face à face, nos jambes autour de nos tailles respectives, rapprochée le plus possible, pour que nos seins se touchent.
- Voilà, je pense que c'est assez compliqué comme ça, tu ne trouves pas Hugues ?
Il releva la tête de son carnet, et fut complètement surpris de notre position, il n'avait donc pas regardé notre manège. Il nous contempla un moment, avant de reprendre son crayon. Vraiment ce garçon était trop sage. De temps en temps, nous nous embrassions ou passions une main sur nos corps. On pouvait constater, qu'il commençait à apprécier la situation, car il nous espionnait discrètement pendant nos gestes coquins.
Au prochain dessin, c'est toi qui nous positionneras comme tu le souhaiteras.
Au moment venu,il se leva, déterminé, il avait dû y réfléchir. Hugues, nous demanda d'aller vers son lit, nous donna ses instructions tout en liant les gestes à la paroles, laissant traîner ses mains un peu plus longtemps qu'eu fallut.
Toi Élodie, tu t'allonges, je veux que tu replies le plus possible tes jambes et que tu les ouvres bien, pour que je puisse te voir de ma chaise, toi Élodie, tu te mets à quatre pattes au dessus d'elle et tu me regardes, je veux voir tes gros nichons retomber, dit-il en les emprisonnant chacun leurs tours entre ses mains comme, pour les faire encore plus descendre ou mieux les placer.
Enfin, le garçon devenait inventif, quelques minutes plus tard, je sentis les effluves de la chatte de ma copine et je ne pu résister à y mettre les doigts, fouillant ses lèvres huilées. Ce week-end, je ne l'avais pas découverte de cette manière, on avait juste soif de sensations, mais aujourd'hui j'aimais ce que je voyais. Sa jolie toison brune très clairsemée, laissait percevoir un petit bouton bien dur et très sensible, les petites lèvres se laissaient manipuler et s'adaptaient à mes sollicitations, elles se gonflaient d'excitation, sa mouille affluait de plus en plus. Je prenais mon temps pour l'observer, jouer avec ses charmes du bout des doigts.
Soudain je m'aperçue que notre hôte nous avait rejoint, il était nu comme un ver. Je ne pu le regardais avec insistance, surtout son sexe, qui étais raide. Je fus un instant perturbée, mais je repris le dessus et lui montra comment s'y prendre avec le sexe féminin, bien que mes connaissances à l'époque étaient très limitées. Il ne pu s'empêcher de mettre un doigt dans le vagin à demi ouvert de notre volontaire, et de lui faire faire des allers et venues, moi je m'occupais de son clito. Évidemment, très vite, Élodie, ne pu contenir son plaisir puis je l'entendis dire « Prends moi, prends moi tout de suite».
Hugues me regarda surpris, tout comme moi, mais vu dans l'état d'excitation dans lequel il se trouvait, il ne se fit pas prier une deuxième fois. Maladroitement, il tentait d'enfiler sa queue dans le trou accueillant, sans y parvenir, elle dû le prendre en main pour le guider en elle. Elle avait l'air complètement à l'aise dans l'exercice. J'étais malgré moi, spectatrice de leur union. La situation m'ayant beaucoup excitée, je m'allongeais à côté de mon amie, regardant notre puceau prendre son pied tout en me masturbant, il me regardait faire, l'air complètement fou. Il pris vite le rythme pour limer, l'étudiante, trop vite car notre petit bourgeois, cracha son plaisir et je vis Élodie l'air déçue, se masturber quelques instant avant de jouir à son tour.
Il voulu faire de même avec moi, mais je refusais, lui offrant en consolation mes deux obus, qu'il câlina pendant un long moment.
Vers vingt heures, nous laissâmes notre hôte sur son lit, pour nous rhabiller et rentrer au studio. Comme on avait pas eu l'occasion de se parler depuis dimanche, sur le chemin du retour, on s'arrêta dans un fast food . elle me raconta que lundi, elle était sortit avec le beau modèle de l'autre jour, la soirée se termina chez lui où il l'avait défloré et fait l'amour toute la nuit. Elle n'avait même pas eu mal quand il pénétra en elle. Il avait même jouer au professeur en lui avait apprenant plein de trucs. Quand à Hugues, c'était une chance inouï, il avait aussi besoin de s'exercer grâce à un modèle et l'opportunité était trop excitante. Elle adorait le sexe et comptait bien continuer à se faire plaisir, peu importe le partenaire, le moment ou le lieu.
Arrivées à son appartement, nous avons pris une douche câline.Une fois au lit, elle me rapporta tout en détail, je sentais mon sexe se contracter d'envie. Elle me fit découvrir avec sa langue, une autre façon de choyer ma chatte, utilisant son doigt dans mon trou en même temps, je me tortillais de plaisir, quand je sentis quelque chose de plus gros me pénétrer, puis des vibrations et des mouvements en moi. Elle venait de me prendre ma virginité, espérant sans doute m'emmener dans sa prochaine dérive. Au fond, j'étais contente que celà se passe comme ça, car depuis toujours, elle était au fond de mon cœur, et maintenant de mon corps.
Nos études finies, nous avons loué un petit appartement, avec une seule chambre. Car même si nous avons connu d'autres partenaires, notre lien est encore plus fort à chaque nouvelles expériences.
Et bien, cette fois ci j'ai décidé de vous parler d'elle, ma colocataire.
Adolescente, Élodie, n'était pas très aimée par les autres, ils l'a trouvaient bizarre avec une drôle de façon de s'habiller. Moi je l'a trouvais rigolote avec ses jupes courtes et ses grandes chaussettes rayées à la Catherine Ringer des Rita Mitsouko, ses jupes plissées et pulls sans manche avec chemise dessous. ses cheveux étaient très longs, elle faisait deux petites couettes de chaque côté du visage et relevait le reste par un chignon un peu fou avec des crayons plantés dedans.
Nous nous connaissons depuis notre naissance nos mères étant amies d'enfance aussi, nous sommes presque comme deux sœurs, pourtant si différentes.
Pendant longtemps, elles ne intéressait pas aux garçons, préférant le dessin et notre amitié. Mais quand elle est partie étudier aux beaux arts, elle s'est métamorphosée. Je me souviens qu'un soir, elle m'appela surexcitée. Ils avaient eu un cours sur les nus et avaient dû dessiner le modèle qui se tenait devant eux. Pour elle, c'était le premier homme nu qu'elle voyait.
Au début j'étais mal à l'aise, mais il était tellement beau, musclé, on aurait dit un apollon. Et puis son sexe, j'en avais jamais vu en vrai. Oh je n'en revenais pas. J'ai hâte de retourner en cours pour la prochaine séance. Dis il faut que je m'exerce, tu veux bien jouer les modèles pour moi ? Je pose devant la glace en étant dévêtue moi même, mais c'est pas pareil.
Tu veux que je pose nue, mais si quelqu'un voit tes dessins ?
Et alors ! C'est de l'art. S'il te plaît aides moi .
OK, c'est bon, je le ferai.
Super, je reviens vendredi soir, tu n'as qu'a venir passer la nuit à la maison, comme ça on pourra bosser tranquillement.
D'accord, à samedi.
Deux jours plus tard, je me rendais, chez elle, sa mère était en week-end avec son nouveau petit ami. Tout en mangeant un morceau, nous avons parlé de notre semaine, la mienne était beaucoup plus tranquille., Puis nous sommes montées dans sa chambre, elle n’arrêtait pas de me raconter ce qu'elle faisait en cours, les gars de sa classe etc.
Elle positionna une chaise au milieu de la pièce et s’assit en attendant que je m'installe. Je retirais mes vêtements sans être à l'aise, pourtant Élodie m'avait vu, des dizaines de fois, mais là le contexte était différent.
Une fois dévêtue, elle me dit de rester là, debout, tout simplement. Elle était super concentrée, puis au bout d'un long moment, me fit mettre de profil, ensuite assise, ou encore allongé sur le dos, sur le ventre, sur le côté face à elle. Cela devait faire au moins deux heures que je posais. Je n'en pouvais plus.
Et si on arrêtait un peu, j'ai soif et envie de pisser.
D'accord petite pose, tu veux peut être voir mes dessins ?
Oh, oui, bien sur !
Voilà, qu'est ce que tu en penses ? Moi je te trouves superbe !
Je n'en revenais pas de me voir en dessin, elle était vraiment très douée, je dois dire que finalement j'étais fière.
Tu sais que tu devrais venir à mes cours pour servir de modèle, tu es parfaite, et en plus ça te ferai gagner de l'argent.
Quoi ? Moi ? Mais ça va pas. Je le fais pour toi, mais ça s'arrête là.
Tu as tord, les gens qui le font gagnent bien, et nous sommes des artistes, pas des voyeurs. Tu n'as qu'a venir cette semaine, tu dormiras chez moi dans mon studio, comme ça tu verras, si tu veux le faire.
Pas des voyeurs, tu te moques là, qui c'est qui n'a pas arrêté de me parler du mec qui as posé ? Je ne sais pas, il faut que j'y réfléchisse... Tu es marrante toi, tu le ferais devant tout un tas d'inconnu ?
Bah oui, Madame sainte ni-touche, je l'ai fait devant un petit groupe d'élèves de ma classe en privé, et c'est chacun notre tour. Avant j'avais peur de me montrer à poil, maintenant, ça ne me fait plus peur, en fait c'est comme ça que je voudrais vivre, toujours toute nue, je me sens libre.
Waouh ! C'est toi qui parle là, j'en reviens pas.
Et oui, c'est moi, la nouvelle Élodie. D'ailleurs, je vois pas ce que je fais encore avec des fringues sur le dos.
Elle ôta ses vêtements en un éclair, elle qui était toujours si pudique, même devant moi. Elle était vraiment très belle, sa peau légèrement mate, ses longs cheveux bruns, de beaux seins bien ronds et ferment avec le téton dilaté mais pas énorme. Sa taille fine, de belles fesses bien rebondies et musclées, de magnifiques jambes, des mollets bien galbés. J'ai gardé le meilleur pour la fin, son intimité, une belle toison brune très frisée, laissant apparaître la fente de ses lèvres secrètes. J'étais jalouse de ce corps magnifique, moi, j'avais cinq kilos de trop, des seins très volumineux, une taille et des cuisses un peu trop enrobées. Avec un peu de motivation pour faire un petit régime et un peu de sport, je pourrais être aussi belle qu'elle. Mais je ne l'avais pas.
Allez, hop ! On reprend le boulot assez discuté,
On peut pas arrêter pour ce soir ?
Non, pas encore, mais si tu veux on peut faire des positions plus sympa. Imagines que tu es mannequins et que tu dois mettre tes seins en valeur, moi ils me font rêver, je veux que tu me rendes jalouse, prend un position provocante, éclates toi.
Je décidais je jouer le jeu, après tout autant s'amuser un peu. Je me mis à genou face à elle et saisit mes seins dans les mains de manières à les rapprocher le plus possible. Élodie semblait satisfaite, elle m'encourageait pour garder ma position et cet air de provocateur. Ce dessin fini elle en voulu un dernier, mais il fallait qu'il soit inédit, et elle avait une idée en tête. C'est elle qui me dirigea, me plaçant comme elle le souhaitait, ses mains me faisait frémir, j'aurais aimé qu'elle continue.
Parfait ! S'écrit-elle. Surtout ne bouge plus, je vais faire un truc très artistique mais pas très moral. Tiens, regardes toi, dans ce miroir avant que je t'immortalise ! Me dit-elle en mettant un petit miroir face à moi pour que je puisse voir mon reflet.
Je fus choquée du résultat, en effet c'était très évocateur, pourtant, je fus subjuguée par mon image. J'ai même eu un frisson de désir. Comment une fille si innocente que ma copine, pouvait avoir eu une telle idée. Le dos contre le mur, elle m'avais écarté les jambes tout en les repliant contre mes fesses. Ma chatte en fut donc toute exposée aux regards, légèrement ouverte. Mais ce n'était pas tout, elle avait positionné une de mes mains de manière à croire que je me faisais du bien. L'autre étreignait un sein. Je ne me reconnaissais pas. Mais je trouvais le jeu très rigolo et je dois avouer que j'étais excité par la situation. Les mains d’Élodie sur moi pendant le placement, n'avaient qu'accentué la sensation,je ne comprenais pas d'ailleurs pourquoi, je réagissais de la sorte en étant touché par une fille.
Elle aussi parue très satisfaite, elle passa au dessin rapidement, comme un gamin pressé d'utiliser son nouveau jouet. Quand elle eu terminé, elle vint s’asseoir à côté de moi, la feuille à la main.
Tiens regarde, c'est terminé. Ça te fait quoi de voir ce dessin de toi ?
Sincèrement ?
Oui, évidement .
Ça m'a fait bizarre, mais j'ai trouvé la situation excitante, j'ai adoré, je ne pensais pas que j'aurais cette réaction, mais ça m'a beaucoup plut. Je ne me reconnais pas sur ce dessin, regardes comme j'ai l'air d'une fille de magazine porno, finalement je me trouves belle. J'imagine si un garçon trouvait ce dessin.
On n'a qu'a essayer, on verra...
Mais tu es folle, ça va pas...
Je tentais d'attraper le portrait qu'elle m’empêchait de prendre, notre gentille petite bagarre la fit basculer sur moi. Elle stoppa net, la chamaillerie, me regardant droit dans les yeux un sourire aux lèvres, puis m'embrassa, mon cœur s'emballa, et je ne pu que répondre à son baiser. Nos langues timidement se touchèrent, puis se mélangèrent. Il n'y avait plus aucune retenue dans notre étreinte. Mes mains commencèrent à caresser son corps, ses belles fesses, sa peau était très douce, une pure invitation au pêcher de chair. Elle bascula sur le côté de manière à pouvoir elle aussi frôler mon anatomie, mais surtout mes seins, ils avaient l'air de la fasciner. Elle prit un mamelon en bouche, qui très vite se durcit, elle le tétait comme pour en boire du lait, notre excitation ne faisait que s’accroître.
Moi, explorant toujours sa chair, je ne pu m’empêcher de glisser mes doigts entre ses lèvres intimes, elle eu immédiatement un sursaut de plaisir, et me demanda de continuer. Elle fit de même et j'eus la même réaction, rien à voir, avec les caresses que je me fais quand je m'offre un plaisir solitaire. Dans ces moments seule, je ne ressent pas ces frissons et ce désir d'aller plus loin. Je ne pensais pas que les doigts d'une autre personne puissent changer la sensation. C'était trop bon. Élodie, introduisit un doigt dans mon vagin et me demanda de faire pareil, chaque geste qu'elle faisait, je le reproduisais sur elle. Nos corps se touchaient, on se frottait l'une contre l'autre. Il ne fallut pas beaucoup d'effort pour que chacune jouisse. On était poisseuse de mouille. Et soudain Élodie, se positionna à l'envers, la tête entre les jambes, (ce que l'on appelle un 69, je le sais aujourd'hui, mais pas ce soir là), me disant que c'est un truc génial à faire, et il suffit de lécher le sexe de l'autre. Elle plongea sa langue dans mon sexe. Effectivement, la sensation était merveilleuse.
Vas y, fais le... me dit-elle ! Je veux savoir ce que ça fait.
Et je fis de même, mais je fis écœuré par l'odeur, et par le liquide visqueux. Élodie n'avait pas l'air gênée elle. Ne voulant pas paraître stupide, j'entamais mon léchage. Vu les sons qu'elle émettait, je compris que je lui faisais du bien, et elle jouit d'ailleurs très vite, je suivis peu de temps après, je tressautais de plaisir, mes sens étaient en ébullition.
Nous nous allongeâmes côte à côte, pour reprendre nos esprits tout en continuant de nous caresser délicatement. C'était tellement bon, cette douceur, ses sensations. Nos lèvres se joignirent encore à de nombreuses reprises. Je me sentais vraiment bien, heureuse.
On est des gouines, alors, lui dis-je ?
Oui, sans doutes, mais je sais pas toi, mais maintenant,j'ai envie de connaître l'acte avec un garçon. Je me sens prête à perdre ma virginité, juste par curiosité.
Non, moi, je voudrais attendre le bon moment, je me suis toujours fait l'idée de l'acte d'Amour, je veux que ce soit beau.
Que tu es romantique, c'est ce que j'aime chez toi. Ce que l'on a fait, je ne veux pas l'oublier, bien au contraire, je le considère comme ma première fois et j'aimerais recommencer si tu en as envie. Ce sera notre secret.
Oh, oui ! Je veux bien, autant de fois que tu le voudras.
Le week-end continua sur la même lancée, séance de dessin avec toujours plus de positions provocantes, suivit de récréations coquines. Le dimanche soir, je quittais ma partenaire avec une boule au ventre, notre rapprochement allait me manquer, mais on se verrai en milieu de semaine pour une séance d'Art.
Le mercredi, comme décidé, je pris le train et rejoignis Élodie aux beaux arts, elle me dit que nous serions juste en petit groupe privé chez un de ses camarades de cours. Arrivées sur place, je fus moins intimidé car nous n'étions que trois. Les autres avaient autre chose de prévu.
On se rendit chez Hugues qui vivait dans un magnifique immeuble rue de Bourgogne. Ses parents étant en voyage à l'étranger, nous avions l'appartement pour nous seuls, mise à part la gouvernante.
Il devait avoir le même âge que nous, les cheveux mi-longs et ondulés, des petites lunettes rondes à la monture noire, les vêtements et l'allure typiques d'un petit bourgeois. Même sa façon de parler reflétait son milieu social, on aurait dit qu'il parlait avec une patate chaude dans la bouche.
Nous entrâmes dans sa chambre, que je trouvais immense. On aurait dit une suite d’hôtel. Il m'indiqua la salle de bain pour que je puisse me déshabiller tranquillement. Quand je suis revenue, ils étaient installés tous les deux avec un carnet à croquis sur les genoux. Il ne me regarda même pas entrer, je fus très déçue et Élodie le remarqua, le premier garçon à me voir nue, m'ignorait totalement. Prenant conscience de ma présence, il me dit de m'installer sur le canapé, de côté face à eux. Ils travaillaient studieusement, se parlant de temps en temps. Le dessin fini, Élodie, proposa à notre artiste de compliquer l'exercice. Il acquiesça ne sachant même pas où elle voulait en venir. Elle disparu dans la salle de bains et en revint rapidement aussi nue que moi. Là, il eu une petite réaction. La coquine me parla à l'oreille pour m'indiquer la marche à suivre.
Nous nous assîmes face à face, nos jambes autour de nos tailles respectives, rapprochée le plus possible, pour que nos seins se touchent.
- Voilà, je pense que c'est assez compliqué comme ça, tu ne trouves pas Hugues ?
Il releva la tête de son carnet, et fut complètement surpris de notre position, il n'avait donc pas regardé notre manège. Il nous contempla un moment, avant de reprendre son crayon. Vraiment ce garçon était trop sage. De temps en temps, nous nous embrassions ou passions une main sur nos corps. On pouvait constater, qu'il commençait à apprécier la situation, car il nous espionnait discrètement pendant nos gestes coquins.
Au prochain dessin, c'est toi qui nous positionneras comme tu le souhaiteras.
Au moment venu,il se leva, déterminé, il avait dû y réfléchir. Hugues, nous demanda d'aller vers son lit, nous donna ses instructions tout en liant les gestes à la paroles, laissant traîner ses mains un peu plus longtemps qu'eu fallut.
Toi Élodie, tu t'allonges, je veux que tu replies le plus possible tes jambes et que tu les ouvres bien, pour que je puisse te voir de ma chaise, toi Élodie, tu te mets à quatre pattes au dessus d'elle et tu me regardes, je veux voir tes gros nichons retomber, dit-il en les emprisonnant chacun leurs tours entre ses mains comme, pour les faire encore plus descendre ou mieux les placer.
Enfin, le garçon devenait inventif, quelques minutes plus tard, je sentis les effluves de la chatte de ma copine et je ne pu résister à y mettre les doigts, fouillant ses lèvres huilées. Ce week-end, je ne l'avais pas découverte de cette manière, on avait juste soif de sensations, mais aujourd'hui j'aimais ce que je voyais. Sa jolie toison brune très clairsemée, laissait percevoir un petit bouton bien dur et très sensible, les petites lèvres se laissaient manipuler et s'adaptaient à mes sollicitations, elles se gonflaient d'excitation, sa mouille affluait de plus en plus. Je prenais mon temps pour l'observer, jouer avec ses charmes du bout des doigts.
Soudain je m'aperçue que notre hôte nous avait rejoint, il était nu comme un ver. Je ne pu le regardais avec insistance, surtout son sexe, qui étais raide. Je fus un instant perturbée, mais je repris le dessus et lui montra comment s'y prendre avec le sexe féminin, bien que mes connaissances à l'époque étaient très limitées. Il ne pu s'empêcher de mettre un doigt dans le vagin à demi ouvert de notre volontaire, et de lui faire faire des allers et venues, moi je m'occupais de son clito. Évidemment, très vite, Élodie, ne pu contenir son plaisir puis je l'entendis dire « Prends moi, prends moi tout de suite».
Hugues me regarda surpris, tout comme moi, mais vu dans l'état d'excitation dans lequel il se trouvait, il ne se fit pas prier une deuxième fois. Maladroitement, il tentait d'enfiler sa queue dans le trou accueillant, sans y parvenir, elle dû le prendre en main pour le guider en elle. Elle avait l'air complètement à l'aise dans l'exercice. J'étais malgré moi, spectatrice de leur union. La situation m'ayant beaucoup excitée, je m'allongeais à côté de mon amie, regardant notre puceau prendre son pied tout en me masturbant, il me regardait faire, l'air complètement fou. Il pris vite le rythme pour limer, l'étudiante, trop vite car notre petit bourgeois, cracha son plaisir et je vis Élodie l'air déçue, se masturber quelques instant avant de jouir à son tour.
Il voulu faire de même avec moi, mais je refusais, lui offrant en consolation mes deux obus, qu'il câlina pendant un long moment.
Vers vingt heures, nous laissâmes notre hôte sur son lit, pour nous rhabiller et rentrer au studio. Comme on avait pas eu l'occasion de se parler depuis dimanche, sur le chemin du retour, on s'arrêta dans un fast food . elle me raconta que lundi, elle était sortit avec le beau modèle de l'autre jour, la soirée se termina chez lui où il l'avait défloré et fait l'amour toute la nuit. Elle n'avait même pas eu mal quand il pénétra en elle. Il avait même jouer au professeur en lui avait apprenant plein de trucs. Quand à Hugues, c'était une chance inouï, il avait aussi besoin de s'exercer grâce à un modèle et l'opportunité était trop excitante. Elle adorait le sexe et comptait bien continuer à se faire plaisir, peu importe le partenaire, le moment ou le lieu.
Arrivées à son appartement, nous avons pris une douche câline.Une fois au lit, elle me rapporta tout en détail, je sentais mon sexe se contracter d'envie. Elle me fit découvrir avec sa langue, une autre façon de choyer ma chatte, utilisant son doigt dans mon trou en même temps, je me tortillais de plaisir, quand je sentis quelque chose de plus gros me pénétrer, puis des vibrations et des mouvements en moi. Elle venait de me prendre ma virginité, espérant sans doute m'emmener dans sa prochaine dérive. Au fond, j'étais contente que celà se passe comme ça, car depuis toujours, elle était au fond de mon cœur, et maintenant de mon corps.
Nos études finies, nous avons loué un petit appartement, avec une seule chambre. Car même si nous avons connu d'autres partenaires, notre lien est encore plus fort à chaque nouvelles expériences.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Petite futée
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Passionnante, bien écrit, plein de fraîcheur et d'un érotisme sans vulgarité. J'ai bcp aimé la description physique d'Elodie qui a le bon goût de ne pas raser sa toison. J'espère encore d'autres récits du même style......
Voilà le début de deux vies qui semblent partie vers des sommets de sensualités et d'érotismes
Un texte très charmant et sensuel
Un texte très charmant et sensuel