Ma confession (1)
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma confession (1)
Malgré mon âge, enfin je souhaitais à quarante ans faire mon coming-outenvers les autres et surtout moi-même. Mais cela ne m'était pas facile, effectivement je l'avais toujours caché malgré ma pratique et mon engagement religieux, et mon éducation. C'est donc un après-midi quelques jours avant Pâques, que je prie la ferme décision d'aller me confesser car pour moi cette étape serait une délivrance de jugement afin d'affronter les autres après.
Un peu honteux et toujours aussi timide je ne suis pas allé dans ma paroisse mais une qui se trouvait sur mon trajet professionnel. Il était plus facile de confier cela à un prêtre ne me connaissant pas. J'entre cette belle église et me dirige vers un des confessionnaux et voyant qu'une place était libre je m'y installe. Quelques secondes et le petit volet s'ouvrit et entends une voix calme et apaisante : • "Qu'avez-vous mon fils ?" Je sentais que je rougissais malgré le noir.
• Allez-y je vous écoute, • Eh eh ! eh bien mon Père, j'aime me faire plaisir seul et très souvent.
• Ce n'est pas grave, me répondit-il • Oui, mais aussi, j'aime bien le faire avec des hommes pour leur donner du plaisir. J'aime voir leur désir qui se traduit avec leur membre en pleine érection et surtout j'aime les sucer • Ah ! et tu fais cela souvent également ?
• Oui, dès que je repère un homme qui me plaît, que je repère soit dans les squares, et autres endroits.
• Et tu leur fais quoi exactement ?
• Je les caresse, masse leur bitte molle pour la faire grossir, mais surtout ce qu'ils aiment surtout lorsque se sont de jeunes hommes mariés, c'est que je les suce et aussi leur lèche le gland.
• Tu suces donc leur verge ?
Pendant qu'il disait cela de sa voix étonnée et douce, j'entendais un bruit de l'autre côtéJe me décalais un petit peu pour essayer de comprendre ce bruit, et il avait ouvert son pantalon et j'aperçu sa main qui était à l'intérieur de l'ouverture de celui-ci.
• Oui je leur suce la verge et parfois pour certains seulement même complètement.
• Quoi complètement ? Tu as déjà leur chibre dans la bouche • Mais . . . . comment vous dire ! ! eh bien jusqu'à je reçoive leur sperme • Continue, continue ta description, c'est très intéressantEt là j'entrevois qu' il a sorti sa queue et qui me semblait en érection. J'ai donc compris que ma confession l'excitait passablement.
• Tu sais moi aussi, parfois je me branle mais que très très rarement deux trois fois par an je me touche, mais ne me suis jamais fait sucer. Avec ce que tu me racontes j'aimerai bien connaître cette sensation.
Avec une telle phrase, je ne savais plus quoi lui dire ou répondre.
• Mais, mon Père, je me confesse, pour être un peu soulagé de ce poids et faire mon coming-out. Ce que vous me demandez est bien spécial. Vous êtes un homme d'Eglise.
• Ne t'inquiète pas, tu auras tout de même l'absolution. Je suis sûr que tu en as envie, et moi je connaîtrais ce plaisir.
• Si tu le souhaites, sors du confessionnal, puis attends moi sur une chaise dans l'église, nous serons plus tranquille à la sacristie.
• Oui je vous attends mon Père.
• Appelle-moi simplement Bertrand, cela sera plus facile • Je vous attends.
Sur cela, il ferma le petit volet, je sortis et fis quelques mètres pour aller m'asseoir comme il me l'avait suggéré. Quelques instants plus tard, la porte du confessionnal s'ouvrit et je découvre le Père Bertrand. Il n'avait pas de soutane mais était habillé d'un beau pantalon slim, d'une très belle chemise en popeline bleu-ciel et des souliers mocassins bien cirés Je fus complètement émerveillé. Il était beau et rayonnant et encore plus jeune que je l'eus cru. (J'ai su après qu'il n'avait que vingt-six ans. Il y avait à peine un an qu'il avait été ordonné et c'était sa première nomination en paroisse). Avec son mètre quatre-vingt-cinq et son physique de mannequin, il s'approcha de moi et me salua avec un sourire d'ange. J'étais gêné et confus, je lui fis un signe positif de la tête puis c'est lui qui a rompu le silence.
• Viens à la sacristie, je suis seul en ce moment, nous serons tranquilles car ce que tu m'as confié m'intrigue et oui ! Tu me donnes vraiment envieD'un pas tranquille nous traversâmes cette splendide église et nous nous dirigeâmes vers une vaste sacristie qui sentait bon l'encens et l'encaustique.
Il ferma la grande porte à clef et revint vers moi pour s'adosser au chapier. Je m'avance près de lui et tends ma main vers la bosse qui s'était formée sous son pantalon noir. Je commençais à légèrement la masser et il ferma ses splendides grands yeux verts puis émit un léger soupir.
Mon geste devint plus précis, et mes doigts trouvèrent la boucle de sa ceinture que j'ouvris facilement pour ensuite dégrafer le haut de son pantalon. J'ai pu trouver le curseur de la fermeture de sa braguette que je fis doucement descendre, pour faire glisser son Slim au sol. Je pense que le Père Bertrand achetait que de belles choses. Il portait un sous-vêtement splendide blanc. Celui-ci mettait bien en valeur sa bosse que je continuais à masser. A l'intérieur tout durcissait. Le sentant un peu faiblir j'ai pris la ceinture élastique de son slip pour le faire descendre. Et là ! Une magnifique queue en jaillit? Bien droite, bien raide, légèrement décalottée faisant apparaître un joli gland d'où suintait un peu de liquide séminal. Mais il avait un pubis assez poilu qui ne mettait pas en valeur ses splendides attributs.
• Je peux vous dire Père Bertrand que vous avez un très bel organe, mais dommage que tous ces poils en cachent une grande partie.
• Mais c'est normal ces poils • Oui, mais en les rasant c'est encore plus beau, vous savez.
• Arrête. Ce n'est pas le sujet en ce moment.
Sur ces paroles j'ai commencé à prendre son membre en mains et lui fit des mouvements de va et vient, c'est à dire le masturbant doucement et lentement.
Je m'aperçu qu'il avait basculé sa tête en arrière les yeux fermés et la bouche légèrement ouverte et à certains moments d'amples soupirs et même de petits gémissements successifsJe me suis penché en me baissant et ouvris ma bouche pour rentrer les plus ou moins vingt centimètres et sûrement cinq centimètres de diamètre.
Je fis glisser mes lèvres sur toute la longueur de ce splendide membre qui n'avait connu pas grand chose. Mes lèvres remplacèrent ma main et enfournai la longueur de ce beau membre tout en l'aspirant. Ses soupirs se transformèrent en gémissements rauques et de petites et courtes onomatopées. Mes lèvres amplifièrent le mouvement de va-et-vient tout en resserrant mes lèvres le long de ce si beau membre. Au bout de quelques minutes, pas trop longues, j'ai pu constater que ses cuisses se raidissaient, que son corps vibrait; je ralentis le mouvement pour venir en vain lui masser les testicules. J'ai constaté une de ses jambes qui tremblait de plus en plus vite avec des mouvements latéraux mais aussi en entendant des Aaaah ! ! Aaaah !!! Ouiiii Ouiiiii !!! Ouiiiouiiii !!!! son corps se raidit et se bloqua presque puis un grand cri se transformant en un râle se fit entendre lorsque son corps fut pris de très grands tremblements et secousses lorsqu'il éjacula. C'était impressionnant mais surtout très beau à voir que cet homme d'église s'abandonnait complètement. Sa semence chaude avec un goût très agréable inondât ma bouche à plusieurs reprises par de fortes et puissantes éjaculations.
N'en pouvant plus d'avaler ses importantes giclées, j'ouvris plus grand la bouche pour laisser évacuer et couler ses suppléments des centimètres cubes de foutre. Sa semence était très abondante, assez épaisse et compacte. Preuve de toute son abstinence qu'il m'avait révélée.
• Oh ! Oh ! mais ce n'est pas possible cela. Oh ! ! que c'est bon ! ! C'est incroyable ce que je découvre grâce à toi. C'est plaisir invraisemblable.
• Vous voyez !
Pendant ce temps j'essuyais son sexe du surplus de son foutre mais aussi autour de ma bouche.
• Ce que tu m'as fait est incroyable. C'est vraiment incroyablement bon. Je ne devrais pas te le dire, mais j'ai pris un immense plaisir. J'e suis honteux, très honteux. Que vais-je faire maintenant avec ce que tu as eu le courage, mais aussi l'audace de me faire découvrir. Je ne sais pas si je vais l'avouer à mon Père-Confesseur ou le garder pour moi.
• Je pense que le mieux soit que cela vous soit uniquement personnel.
Il m'a dit qu'il me recontacterait dans quelques jours, ce qu'il a fait très rapidement. Je vous raconterai cette nouvelle rencontre où j'ai pu le raser.
A plus tard.
Jean-Eudes
Un peu honteux et toujours aussi timide je ne suis pas allé dans ma paroisse mais une qui se trouvait sur mon trajet professionnel. Il était plus facile de confier cela à un prêtre ne me connaissant pas. J'entre cette belle église et me dirige vers un des confessionnaux et voyant qu'une place était libre je m'y installe. Quelques secondes et le petit volet s'ouvrit et entends une voix calme et apaisante : • "Qu'avez-vous mon fils ?" Je sentais que je rougissais malgré le noir.
• Allez-y je vous écoute, • Eh eh ! eh bien mon Père, j'aime me faire plaisir seul et très souvent.
• Ce n'est pas grave, me répondit-il • Oui, mais aussi, j'aime bien le faire avec des hommes pour leur donner du plaisir. J'aime voir leur désir qui se traduit avec leur membre en pleine érection et surtout j'aime les sucer • Ah ! et tu fais cela souvent également ?
• Oui, dès que je repère un homme qui me plaît, que je repère soit dans les squares, et autres endroits.
• Et tu leur fais quoi exactement ?
• Je les caresse, masse leur bitte molle pour la faire grossir, mais surtout ce qu'ils aiment surtout lorsque se sont de jeunes hommes mariés, c'est que je les suce et aussi leur lèche le gland.
• Tu suces donc leur verge ?
Pendant qu'il disait cela de sa voix étonnée et douce, j'entendais un bruit de l'autre côtéJe me décalais un petit peu pour essayer de comprendre ce bruit, et il avait ouvert son pantalon et j'aperçu sa main qui était à l'intérieur de l'ouverture de celui-ci.
• Oui je leur suce la verge et parfois pour certains seulement même complètement.
• Quoi complètement ? Tu as déjà leur chibre dans la bouche • Mais . . . . comment vous dire ! ! eh bien jusqu'à je reçoive leur sperme • Continue, continue ta description, c'est très intéressantEt là j'entrevois qu' il a sorti sa queue et qui me semblait en érection. J'ai donc compris que ma confession l'excitait passablement.
• Tu sais moi aussi, parfois je me branle mais que très très rarement deux trois fois par an je me touche, mais ne me suis jamais fait sucer. Avec ce que tu me racontes j'aimerai bien connaître cette sensation.
Avec une telle phrase, je ne savais plus quoi lui dire ou répondre.
• Mais, mon Père, je me confesse, pour être un peu soulagé de ce poids et faire mon coming-out. Ce que vous me demandez est bien spécial. Vous êtes un homme d'Eglise.
• Ne t'inquiète pas, tu auras tout de même l'absolution. Je suis sûr que tu en as envie, et moi je connaîtrais ce plaisir.
• Si tu le souhaites, sors du confessionnal, puis attends moi sur une chaise dans l'église, nous serons plus tranquille à la sacristie.
• Oui je vous attends mon Père.
• Appelle-moi simplement Bertrand, cela sera plus facile • Je vous attends.
Sur cela, il ferma le petit volet, je sortis et fis quelques mètres pour aller m'asseoir comme il me l'avait suggéré. Quelques instants plus tard, la porte du confessionnal s'ouvrit et je découvre le Père Bertrand. Il n'avait pas de soutane mais était habillé d'un beau pantalon slim, d'une très belle chemise en popeline bleu-ciel et des souliers mocassins bien cirés Je fus complètement émerveillé. Il était beau et rayonnant et encore plus jeune que je l'eus cru. (J'ai su après qu'il n'avait que vingt-six ans. Il y avait à peine un an qu'il avait été ordonné et c'était sa première nomination en paroisse). Avec son mètre quatre-vingt-cinq et son physique de mannequin, il s'approcha de moi et me salua avec un sourire d'ange. J'étais gêné et confus, je lui fis un signe positif de la tête puis c'est lui qui a rompu le silence.
• Viens à la sacristie, je suis seul en ce moment, nous serons tranquilles car ce que tu m'as confié m'intrigue et oui ! Tu me donnes vraiment envieD'un pas tranquille nous traversâmes cette splendide église et nous nous dirigeâmes vers une vaste sacristie qui sentait bon l'encens et l'encaustique.
Il ferma la grande porte à clef et revint vers moi pour s'adosser au chapier. Je m'avance près de lui et tends ma main vers la bosse qui s'était formée sous son pantalon noir. Je commençais à légèrement la masser et il ferma ses splendides grands yeux verts puis émit un léger soupir.
Mon geste devint plus précis, et mes doigts trouvèrent la boucle de sa ceinture que j'ouvris facilement pour ensuite dégrafer le haut de son pantalon. J'ai pu trouver le curseur de la fermeture de sa braguette que je fis doucement descendre, pour faire glisser son Slim au sol. Je pense que le Père Bertrand achetait que de belles choses. Il portait un sous-vêtement splendide blanc. Celui-ci mettait bien en valeur sa bosse que je continuais à masser. A l'intérieur tout durcissait. Le sentant un peu faiblir j'ai pris la ceinture élastique de son slip pour le faire descendre. Et là ! Une magnifique queue en jaillit? Bien droite, bien raide, légèrement décalottée faisant apparaître un joli gland d'où suintait un peu de liquide séminal. Mais il avait un pubis assez poilu qui ne mettait pas en valeur ses splendides attributs.
• Je peux vous dire Père Bertrand que vous avez un très bel organe, mais dommage que tous ces poils en cachent une grande partie.
• Mais c'est normal ces poils • Oui, mais en les rasant c'est encore plus beau, vous savez.
• Arrête. Ce n'est pas le sujet en ce moment.
Sur ces paroles j'ai commencé à prendre son membre en mains et lui fit des mouvements de va et vient, c'est à dire le masturbant doucement et lentement.
Je m'aperçu qu'il avait basculé sa tête en arrière les yeux fermés et la bouche légèrement ouverte et à certains moments d'amples soupirs et même de petits gémissements successifsJe me suis penché en me baissant et ouvris ma bouche pour rentrer les plus ou moins vingt centimètres et sûrement cinq centimètres de diamètre.
Je fis glisser mes lèvres sur toute la longueur de ce splendide membre qui n'avait connu pas grand chose. Mes lèvres remplacèrent ma main et enfournai la longueur de ce beau membre tout en l'aspirant. Ses soupirs se transformèrent en gémissements rauques et de petites et courtes onomatopées. Mes lèvres amplifièrent le mouvement de va-et-vient tout en resserrant mes lèvres le long de ce si beau membre. Au bout de quelques minutes, pas trop longues, j'ai pu constater que ses cuisses se raidissaient, que son corps vibrait; je ralentis le mouvement pour venir en vain lui masser les testicules. J'ai constaté une de ses jambes qui tremblait de plus en plus vite avec des mouvements latéraux mais aussi en entendant des Aaaah ! ! Aaaah !!! Ouiiii Ouiiiii !!! Ouiiiouiiii !!!! son corps se raidit et se bloqua presque puis un grand cri se transformant en un râle se fit entendre lorsque son corps fut pris de très grands tremblements et secousses lorsqu'il éjacula. C'était impressionnant mais surtout très beau à voir que cet homme d'église s'abandonnait complètement. Sa semence chaude avec un goût très agréable inondât ma bouche à plusieurs reprises par de fortes et puissantes éjaculations.
N'en pouvant plus d'avaler ses importantes giclées, j'ouvris plus grand la bouche pour laisser évacuer et couler ses suppléments des centimètres cubes de foutre. Sa semence était très abondante, assez épaisse et compacte. Preuve de toute son abstinence qu'il m'avait révélée.
• Oh ! Oh ! mais ce n'est pas possible cela. Oh ! ! que c'est bon ! ! C'est incroyable ce que je découvre grâce à toi. C'est plaisir invraisemblable.
• Vous voyez !
Pendant ce temps j'essuyais son sexe du surplus de son foutre mais aussi autour de ma bouche.
• Ce que tu m'as fait est incroyable. C'est vraiment incroyablement bon. Je ne devrais pas te le dire, mais j'ai pris un immense plaisir. J'e suis honteux, très honteux. Que vais-je faire maintenant avec ce que tu as eu le courage, mais aussi l'audace de me faire découvrir. Je ne sais pas si je vais l'avouer à mon Père-Confesseur ou le garder pour moi.
• Je pense que le mieux soit que cela vous soit uniquement personnel.
Il m'a dit qu'il me recontacterait dans quelques jours, ce qu'il a fait très rapidement. Je vous raconterai cette nouvelle rencontre où j'ai pu le raser.
A plus tard.
Jean-Eudes
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