Ma copine et moi baisés par un inconnu pervers
Récit érotique écrit par Jerem4444 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Ma copine et moi baisés par un inconnu pervers
Collection Candaulisme non prémédité 3/12
03 - LE VIS A VIS
Ma copine et moi baisés par un voisin pervers
Figurativement et littéralement, ma copine Délia, 32 ans et moi Romain, 33 ans, avons été baisés par un inconnu lors de notre citytrip à Lisbonne.
Délia a des origines portugaises. Ce n’est pas particulièrement pour voir sa famille qu’on y voyage régulièrement car elle les voit peu. Mais c’est notre goût mutuel pour le soleil, la vie pas chère et les beaux paysages du Portugal que nous nous y rendons de temps en temps.
Cette fois, nous avions décidé de découvrir la capitale (nous sommes plutôt habitués à l’Algarve) lors d’un petit week-end prolongé de novembre. Nous avions réservé un hôtel sympa, plutôt design, donnant sur la plaça de figueira. Notre chambre donnait sur une petite rue perpendiculaire à la place, un fort vis à vis dessus comme habituellement dans les hôtels citadins.
Comme je me doute que vous n’êtes pas venus là pour lire le lonely planet, je vais entrer dans le vif du sujet : Délia et moi avons une vie sexuelle plutôt épanouie. Je dirai, presque honteusement, que Délia est un peu plus ouverte que moi. Elle semble avoir vécu quelques expériences avant de me rencontrer. Elle semble à l’aise dans son corps, c’est une sportive, plutôt svelte. Elle a un cul que beaucoup de filles lui envient (elle n’hésite d’ailleurs pas à le mettre en valeur dans des leggings très serrés quand elle va faire de l’escalade) et des seins plutôt gros pour sa fine corpulence. Moi, c’est un peu l’inverse, je suis un peu en surpoids, pas très à l’aise dans ma peau. Je pense que je pourrais facilement avoir peur de la perdre si je ne savais pas que nombreux de ses ex ont une morphologie similaire à la mienne. Cela n’a pas l’air de la déranger.
Comment sais-je qu’elle est plus ouverte que moi ?
Je n’en suis pas si sûr. Je l’ai déjà interrogée sur la chose sexuelle la plus folle qu’elle ait faite. C’était globalement assez sage. Jamais essayé de coucher avec une autre fille, jamais couché avec plusieurs mecs en même temps. Une expérience d’exhibition dans un lieu public, quelques jeux de rôles à base de soumission et surtout, elle a déjà pratiqué le pegging avec l’un de ses ex. De mon côté, je n’avais jamais eu d’expériences particulièrement folle non plus. J’ai joué à touche-pipi avec une cousine quand j’étais jeune, j’ai eu quelques conquêtes, pas tant que ça et j’ai déjà fantasmé sur le fait de sucer un homme bien que je me considère comme hétéro. Hétéro curieux ?
Nous avons parlé plus longuement du pegging. Il nous était déjà arrivé Délia et moi d’essayer la sodomie, mais sur elle. Elle semblait apprécier. Mais jamais nous n’avions essayé sur moi. Ce jour où nous nous faisions des confidences, elle m’avait proposé un anulingus pour voir déjà si j’appréciais cela. J’avais beaucoup aimé et cet anulingus avait dévié en un doigt dans le cul qui m’avait fait jouir instantanément.
C’est à peu près là que nous en étions dans notre couple (ensemble depuis un peu moins de deux ans).
Les voyages étant souvent propices à la découverte de nouvelles expériences sexuelles, une fois confortablement installés dans notre chambre d’hôtel, il ne nous fallut pas longtemps avant de terminer l’un sur l’autre (ou l’un dans l’autre). Ce qui était à la base une pause sieste, éreintés par notre voyage en avion, s’était donc transformé en partie de jambe en l’air afin de tester l’isolation sonore de notre chambre et la solidité de notre lit.
Pendant cette partie de sexe, Délia prit l’ascendant et monta sur moi. On avait l’habitude, pour s’exciter de dérouler des scénarios ou d’évoquer quelques fantasmes. Délia, tout en s’empalant sur ma verge me faisait part de son désir de profiter de notre voyage dans une ville où personne ne nous connaissait, pour entrer dans un sexshop et acheter un sex toy… pour moi. La scénario dérapa vite en Délia désirant l’essayer sur place dans une cabine d’essayage. Elle entrerait avec moi dans la cabine et laisserait le rideau entrouvert. Dans mon fantasme, je la déshabillai dans cette cabine et l’idée que le gérant du magasin puisse l’entrevoir m’excitait au plus haut point. Dans son fantasme, elle me déshabillait, m’écartait le cul et l’idée que le gérant du magasin puisse m’entrevoir la faisait mouiller comme jamais. Nous avions un désir d’exhibition mutuelle. Nous ne nous rendions pas compte à ce moment, qu’un inconnu se tenait à sa fenêtre dans l’appartement de l’autre côté de la petite rue en train de nous observer.
C’est en changeant de position, quand je voulus prendre Délia en levrette, qu’elle l’aperçut la première.
Il ne cherchait pas à se cacher. Nous n’avions pas tiré les rideaux et l’homme avait une vue directe sur notre chambre. Il semblait nu… il était nu. Il semblait, vu d’où on était, plutôt musclé, plutôt bien taillé. Il semblait avoir un gros membre entre les jambes. Comme nous étions dans notre délire d’exhibition, nous ne nous arrêtâmes pas. Il semblait que cet homme avait un rôle à jouer dans notre scénario. Celui du gérant. Délia lui faisait face, à quatre pattes sur le lit. Je faisais face également à l’homme et prenait Délia en levrette. Imaginer que cet homme voyait Délia se faire prendre comme une chienne, les seins bringuebalant… Peut-être même qu’elle tenait son regard pendant qu’elle se faisait baiser… Cela me rendait fou.
Nous vîmes l’homme saisir son sexe et se masturber. Délia accélérait le long de ma verge. Je la vis même se toucher le clito et se lêcher le doigt plein de sa mouille, comme si elle réprimait un désir de sucer.
Je sentais l’orgasme venir et je sentais que Délia aussi contractait de plus en plus son vagin.
Soudain Délia s’arrêta net et se mit à crier :
- Ah non, pas ça, le salaud !
L’homme s’était emparé de son téléphone portable et nous filmait. Cela avait suffit pour la faire redescendre. Elle se leva du lit et tira sur le rideau.
Délia attachait beaucoup d’importance à sa réputation de fille sage. Bien que je la savais un peu salope dans notre intimité, ce côté-là d’elle ne transparaissait jamais devant nos amis, nos voisins ou ses collègues. Elle accordait d’ailleurs bien trop d’importance à sa carrière professionnelle pour cela. Le fait que ce soit un inconnu, une autre ville, un autre pays loin du cercle des gens qui la connaissent, était ce qui lui avait permis de se libérer ainsi. Mais l’homme avait franchi une limite. Elle ne souhaitait pas que celui-ci diffuse sa vidéo sur internet et qu’elle risque que cette petite aventure excitante se sache d’où elle venait. Personnellement, j’étais mitigé. Plutôt frustré en fait d’avoir été sur le point de jouir et de ne pas pouvoir finir, ne réalisant que très tardivement les conséquences à assumer.
Il vint même un moment où Délia, prise d’anxiété, me suggéra qu’on aille frapper chez l’homme et qu’on lui demande gentiment d’effacer la photo ou la vidéo qu’il avait pu prendre.
Je n’étais pas chaud. D’abord parce que je ne parlais pas un mot de portuguais et puis parce que j’avais peur que l’homme réagisse mal.
Délia, elle, ne parlait pas portuguais mais le comprenait plutôt bien. Elle pensait que l’on pouvait le demander gentiment, en anglais et que l’homme comprendrait.
J’acceptai de la suivre dans son entreprise car je vis que c’était vraiment très important pour elle.
Nous nous rhabillâmes. Délia portait justement un legging très serré. Peut-être aurais-je du la prévenir que cette tenue particulièrement affriolante n’aiderait sûrement pas l’homme à penser avec autre chose que son sexe quand elle lui demanderait la faveur qu’elle s’apprêtait à lui demander.
Nous descendîmes par la réception de l’hôtel, adressant un sourire à l’hôte de réception. Nous sortîmes sur la place, tournant à droite sur ce qui ressemblait bien à notre rue, la traversâmes et en bas de ce qui semblait être l’immeuble de l’appartement de notre voisin voyeur, nous nous demandâmes à quel étage cela pouvait bien être.
Nous regardâmes en face, tentâmes de retrouver notre chambre sur la façade de l’hôtel, par rapport à l’étage où nous étions. Deux, trois fenêtres pouvaient correspondre. Nous re-traversâmes la rue pour prendre un peu de recul, regardâmes en face. Nous jaugeâmes l’endroit où devait se trouver l’homme et nous en déterminâmes l’étage. Nous sonnâmes aux 2 appartements de cet étage. On nous ouvrit la porte de l’immeuble sans même nous demander qui nous étions.
Nous montâmes alors au quatrième. Il y avait un palier à gauche, un à droite. Notre homme devait être sur celui de gauche pour que cela corresponde.
Délia sonna. J’étais particulièrement tendu, je ne savais pas ce qu’on allait dire (j’allais la laisser parler). Mon coeur battait à la chamade.
La personne qui nous ouvrit était un homme torse nu, environ la quarantaine, plutôt le look sportif. Il nous sourit, c’était bien lui. Visiblement, il nous avait reconnu.
- Good afternoon sir, commença Délia, avec son accent français. I apologize if we disturb you. My boyfriend and I have seen you filming us with your phone. As we have no problem that you keep what you have seen in your head, I would be very grateful if you could delete the photos and the videos from your phone (elle avait visiblement préparé sa requête en chemin).
L’homme continuait de sourire. Il baragouina un truc comme “how grateful” (du moins c’est ce que je cru comprendre avec son accent). Puis termina sa phrase en portugais. Je ne compris pas un mot de ce qu’il avait dit ensuite mais Délia blêmit. Je compris, à ce moment, qu’elle avait été (et moi aussi) extrêmement naïve de penser que tout se passerait nickel sans plus de cérémonie.
- I beg you pardon ?! s’exclama Délia.
Pour toute réponse l’homme posa la main gauche sur la tête de Délia, montra sa bosse sous son jogging et appuya sur la tête de Délia comme pour la rabaisser au niveau de sa bite. Délia ne se laissa pas faire. Elle se dégagea immédiatement de sa main, le gifla puis hystérique, força le passage dans l’appartement de l’homme à la recherche du portable.
J’avais honte. Elle était forte et moi je ne faisais rien je n’étais pas d’une grande aide.
L’homme amorça un mouvement vers Délia pour la rattraper et je fis un vague geste pour l’en dissuader mais il se dégagea sans difficulté. Il saisit Délia par la taille. Celle-ci criait en français
- Efface tout, pervers ! pervers !
L’homme la déposa sur le palier, tout en me poussant, referma la porte et on l’entendit dire quelque chose à travers en portugais. Délia rageait.
- Et puis toi tu fais rien !
- Mais qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- Bah m’aider putain !
- Mais il a dit quoi ?
- Il a dit que si je veux qu’il supprime les photos, je dois le sucer.
Je pris un air choqué. Je réalisai seulement que j’avais bien compris son geste mais que je m’étais presque interdit de croire que c’était bien ça qu’il insinuait. Mais curieusement, je n’étais pas en colère. Je dis :
- Mais ça va pas ce type !
Délia tapait sur la porte. Le mec ne répondait pas.
- On devrait aller voir la police. Il n’a pas le droit d’avoir ces photos de nous.
- Tu sais comment fonctionne la justice au Portugal ?
- Non
- Moi non plus. Le temps qu’on s’occupe de ça, ça sera déjà sur internet
- On laisse tomber alors, c’est si grave que ça que ça soit sur internet ?
Je pensais qu’elle s’ennerverait contre moi. Mais non, sa colère semblait avoir redescendu déjà un peu à force de battre la porte.
- Bah oui quand même, me répondit-elle. J’ai pas envie qu’il la mette sur internet et qu’un de mes collègues ou de nos connaissances tombe dessus.
- Au pire, tu seras connue pour la nana qui a une sex tape sexy, c’est fréquent de nos jours !
- Pfff, et toi ? T’es dessus aussi, ça te dérange pas plus que ça ?
- Bah, j’aurais préféré qu’il coopère mais bon là, entre me prendre un pain et qu’on voie ma sex tape, je suis pas sûr d’avoir plus envie du premier que du second.
- T’es bien un mec toi. T’as une sex tape, t’es un boss. T’es une fille, t’as une sex tape, t’es une salope !
Je ne répondis rien.
- Je suis sûr que si j’avais été en train de te faire expérimenter les plaisirs anals, que tu aies été ma salope sur la vidéo, tu mettrais plus d’entrain à la récupérer.
- C’est pas faux, admis-je.
Au bout de quelques secondes assis sur une marche de l’escalier devant le palier du mec, Délia me surprit :
- Et si je lui donne ce qu’il veut ?
- Le suçer ? ça va pas ?
- Fais pas comme si ça t’excitait pas, j’ai vu comment tu étais chaud quand le mec nous regardait tout à l’heure !
- Mais c’était pour le côté exhib, je comptais pas faire un plan à 3 avec lui ! protestai-je
- OK, inversons les rôles. Ce serait toi sur la vidéo en train de te faire enculer comme on discutait…
- Bah je te vendrai pas au mec pour obtenir ce que je veux, quand même pas !
- Non, j’ai pas fini. Et mettons qu’il te demande à toi de le sucer ?
- SUCER le mec MOIi-même pour qu’il efface ma photo de MOI en train de me faire ENCULER. Bah dis donc, j’aurai bien changé de bord en une journée, plaisantai-je !
- Sa queue était pas dégueu, dit Délia
Ce qu’elle disait me choquait mais bizarrement ma bite ne semblait pas penser la même chose puisqu’elle gonflait dans mon pantalon.
Je me composai un air de dégoût peu convaincant. En vérité, de ce que j’avais pu voir, c’était un bon morceau, bien épais. On avait d’ailleurs vu sa bosse de très près… Je commençai à me dire que j’étais peut-être bisexuel ou alors c’était elle qui était entré dans ma tête et qui m’avait mis ces images de fellation. Pourquoi ne me dérangeaient-elles pas ? Pourquoi étais-je excité au contraire ?
Délia posa la main sur mon pantalon au niveau de ma queue
- Je le savais ! ça t’excite gros porc !
Je ne sus pas quoi répondre.
- J’y vais déclara-t-elle.
Elle frappa à la porte et cria “Alright, you won!”
La porte s’ouvrit. Le mec nous fit signe d’entrer.
Je ne savais pas si c’était un plan de Délia pour retenter de trouver le téléphone. Mieux fallait-il que je me tienne prêt à retenir le mec. Mais je me dis que l’espoir était maigre. Il avait probablement mis son téléphone hors de portée de vue et quand bien même on l’aurait, comment le déverouillerait-on ? Il faudrait le voler et le détruire…
L’homme ferma derrière nous et nous fit signe de le suivre dans son salon, l’endroit d’où il nous avait probablement observés. Honteusement, je me soumis à son ordre lorsqu’il me montra un fauteuil où je compris que je devais m’asseoir. Il regarda ma copine et elle comprit ce que son regard signifiait. Elle se mit à genou et baissa son jogging, puis son caleçon. Il en sortit un chibre énorme, surtout sur l’épaisseur.
Je n’en revenais pas, elle n’avait pas d’autre plan, elle allait vraiment le faire, elle était sérieuse.
Elle ouvrit la bouche et il déposa le bout de sa verge sur sa langue.
Je bandais comme un âne. J’en avais honte.
Sans même me regarder, elle commença à se saisir du sexe énorme et à en lécher le bout du gland comme pour vérifier que le goût la satisfaisait assez pour entreprendre la tâche qui l’attendait. Puis quand elle fut plus à l’aise, elle engloutit ce qu’elle put du sexe de cet inconnu et se mit à faire des va-et-viens avec sa main et sa bouche. J’entendais les bruits de succion, le type l’encourager dans une langue que seule elle pouvait comprendre, et je crus même percevoir un gémissement de plaisir de la part de Délia, comme si elle se régalait.
Elle m’avait déjà sucé auparavant, mais ma queue est bien plus modeste en taille que cet homme et jamais je ne l’avais vu aussi investie dans sa tâche. Elle sortait la bite de sa bouche, crachait dessus, la masturbait, la lécher, la gobait comme si c’était le meilleur plat de sa vie. Je la vie même entrer sa main gauche dans son legging et se toucher.
Le moins qu’on puisse dire c’est que sous la contrainte de ce dominateur, je ne la reconnaissais plus, elle semblait réellement prendre du plaisir comme je n’avais jamais pu lui en donner.
Et loin d’être jaloux ou en colère, je ressentais un sentiment de profonde gratitude envers cet inconnu qui était en train de nous faire découvrir, contre notre volonté à l’origine, une sexualité que nous ne soupçonnions même pas. Je n’en pouvais plus, j’abaissais mon short puis mon boxer et sorti mon sexe dressé et prêt à l’emploi. J’étais encore un peu frustré d’avoir été coupé dans mon élan un peu plus tôt et mon boxer était bien tâché de liquides séminaux. Je me mis à me branler en la regardant le sucer et se toucher en même temps.
Il lui dit quelque chose qui semblait être sur le ton de l’invitation et je la vis retirer son haut pour finir en soutif et legging, toujours à genoux devant lui. Elle reprit la fellation mais il la stoppa, cette fois-ci son ton paraissait plus être un ordre. Elle dégrafa immédiatement son soutif, jeta un bref regard vers moi, honteuse, puis reprit sa fellation, sans mot dire.
Elle continuait de se toucher en même temps. De temps en temps, elle crachait sur son sexe et un mélange de fluide et de bave tombait le long de ses lèvres sur sa poitrine.
Je me branlai et gémis.
L’homme lui dit alors autre chose. Je le vis s’asseoir sur le canapé en face de moi laissant une place à ma chérie sur sa gauche. Elle sembla hésiter sur la position à adopter mais il continua de la guider. Elle finit sur le canapé, en position balasana, la bouche empalée sur sa queue. Cette position mettait en évidence son fessier avantageux. Le mec ainsi, pouvait lui toucher la poitrine en glissant ses mains entre ses cuisses et ses seins, la caresser sur le dos et le long de l’échine jusqu’à atteindre son legging. Il caressa sa chatte à travers le vêtement.
Elle se releva un peu, interrompit brièvement sa fellation comme pour signifier son désaccord, mais l’inconnu l’avait complètement sous son emprise. Il lui dit autre chose en portuguais. Puis je l’entendis dire quelque chose en anglais qu’il voulait visiblement que j’entende :
- He seems to like it
Il parlait de moi. J’avais sûrement le visage déformé par le plaisir. Délia me décrocha un regard, puis un sourire. Je lui rendis sans trop savoir pourquoi. Je venais sûrement de donner mon accord tacite pour que les choses aillent plus loin sans vraiment le réaliser car il commençait déjà à baisser son legging le long de ses jambes et à lui caresser les fesses.
Elle se laissait faire pendant qu’elle poursuivait la fellation avec toujours autant d’appétit.
Parfois je l’entendais avoir un haut-le-coeur quand la bite de l’homme partait trop loin au fond de sa gorge. Je n’avais pas réalisé que de temps en temps, il lui appuyait sur la tête pour s’enfoncer plus loin. Jamais elle ne m’avait fait de gorge profonde auparavant.
Plus les secondes passaient, plus l’homme prenait ses aises avec ma copine. Désormais, il la doigtait par l’arrière et la faisait gémir. Sa fellation commençait à devenir moins appliquée à mesure que son propre plaisir prenait le pas sur son désir de bien faire.
Il dit encore quelque chose en portuguais. Elle s’arrêta de le sucer, m’observa longuement et se leva.
- Tu as l’air d’aimer ce qu’il se passe, petit cochon, me dit-elle.
- Je plaide coupable, dis-je la bite à la main. Toi aussi tu as l’air de prendre ta corvée à coeur…
Elle me sourit et s’assit sur les genoux de l’homme tout en soutenant mon regard. Puis elle remonta ses jambes sur le canapé pour se mettre à califourchon sur son bassin, face à moi. Je compris alors qu’il n’y avait déjà plus de retour arrière possible. Délia était clairement dans un état d’envie tel qu’elle n’avait même pas pris la peine de prendre des précautions. Elle s’empala la chatte sur la grosse queue de l’homme qui poussa un râle de plaisir. Je la vis fermer les yeux et profiter de la sensation d’être remplie par cet énorme chibre. Je pouvais voir tous les détails de leurs anatomies respectives dans cette position.
L’homme lui dit quelque chose et je vis son regard s’illuminer, comme si un univers de possibilité venait de s’ouvrir. Soudain, elle m’ordonna sèchement :
- Viens lécher ma chatte.
J’étais sur le cul, figurativement et littéralement. Mais son ordre éveilla une excitation insoupçonnée en moi. Je crois que je commençais à comprendre ce qui l’excitait depuis tout à l’heure.
- Allez, lèche-moi la chatte ! répéta-t-elle.
C’était grisant.
Je me levai, mon short et mon boxer tombaient au sol. Je décidais que je pouvais m’en passer. Le tee-shirt aussi d’ailleurs. Nu comme un vers, j’avançai vers le canapé et m’agenouillai devant les jambes du mec, j’abaissai mon visage au niveau de la vulve de ma copine et vis en gros plan la bite énorme du mec la pilonner. Elle poussait des gémissements sonores “oh oui, oui !”. Elle me prit la tête et la plaqua contre sa chatte. “Lèche-moi”. Je m'exécutai. Je lui léchai le clito. Il était difficile pour moi, avec son bassin qui bouge pour se faire prendre de m’appliquer. En vérité, je me contentai de sortir la langue et de lécher tout ce qui passait dessus : son clito, sa vulve et même la base de la queue de cet inconnu. Délia était tellement excitée de la situation qu’il lui vint un orgasme qu’elle exprima bruyamment.
Le mec poussait des râles et criait des choses en portuguais. A un moment, il lui dit quelque chose puis passa en anglais. “Your man is a pussy”, “he cannot defend you”, “punish him”
Je compris qu’il était en train de faire mon réquisitoire en portuguais, probablement parce que je n’avais pas eu les couilles de m’imposer pour récupérer la vidéo et que si je l’avais fait, peut-être n’aurions nous pas eu besoin de nous retrouver dans cette situation.
Délia releva son bassin, l’énorme bite du mec en sortit, trempée de fluides.
- Suce le ! m'ordonna-t-elle. Nettoie-le ! Je sais que tu en meurs d’envie !
Ah bon ? Me demandai-je. En avais-je vraiment envie ? Je bandais toujours comme un âne. Comme j’avais arrêté de me branler quelques minutes plus tôt et que j’avais probablement ramolli un peu avant d’en arriver là, il y avait une quantité importante de pré-sperme qui coulait de ma bite, j’en foutais même sur le parquet.
- Allez ! insista-t-elle.
Je m’exécutai encore. Je saisis l’énorme bite du mec et l’engloutis sans cérémonie. Ses fluides, ceux de ma chérie. J’étais moi aussi en appétit devant cette grosse queue. J’avais envie de faire comme Délia tout à l’heure, de ressentir le même plaisir. Délia se releva, le mec continuait de lui parler, tout en émettant un ou deux gémissements de temps en temps.
Délia s’éloigna de nous, je ne sais pas où elle était partie, mais je n’avais plus envie de m’arrêter.
- Good boy ! me félicita l’étranger.
Délia revint, s’assit à côté de lui sur le canapé, lui tendit quelque chose. Je relevai les yeux, je vis qu’il s’agissait du portable. Le mec le déverrouilla et le tendit à Délia.
- Continue mon chéri, tu es très doué, il a l’air d’aimer ça.
Je m’appliquai du mieux que je pouvais en essayant moi aussi de faire des gorges profondes, en crachant, en répétant tout ce que je venais de voir. Pendant ce temps, je pense que Délia était en train de supprimer les photos et vidéos compromettantes pour lesquelles nous étions venus. Elle lui rendit le portable et il le déposa à côté de lui sur le canapé.
Il me semblait alors que nous avions rempli notre mission et que je pouvais m’arrêter.
Je sortis le sexe de cet homme de ma bouche et réussis à articuler :
- C’est bon, tu l’as supprimé ? On peut y aller ?
L’homme parla à Délia encore et elle me répondit alors.
- Il faut quand même aller au bout, tu comprends chérie ? Il veut juste se vider et après il nous laissera tranquille. Il veut juste ton cul.
J’étais interloqué mais je compris que ce coup-ci, c’était probablement autant un autre ordre de cet homme que le fantasme de ma copine, puisqu’elle m’en parlait depuis un bon moment. J’en avais envie sans oser me l’avouer. Cocu jusqu’au bout, le type aura réussi à obtenir une fellation de ma copine, la baiser, me rabaisser à bouffer leur fluide et sa queue et maintenant à me laisser lui offrir mon cul.
- D’accord, dis-je vaincu.
Je me relevai puis me mit à 4 pattes sur le canapé.
L’homme dit quelque chose en portuguais.
- Tu dois le supplier de te prendre, dit Délia.
- C’est une blague ?
- Tu veux sa queue dans ton cul ou non ?
- Bah euh…
- On peut partir maintenant si tu veux, me dit Délia
- Mais tu as dit que je devais le finir
- Oui, parce que ça ne se fait pas de le laisser comme ça les couilles pleines, mais je ne vais pas te forcer…
- Mais toi tu veux quoi ?
- Que tu te fasses défoncer à ton tour pendant que c’est moi qui me masturbe. Après tout, c’est ce que tu as fait tout à l’heure, chacun son tour !
- D’accord, dis-je.
- Bah alors supplie le !
- Vraiment ?
- Allez !
- Fuck me please, dis-je à l’homme.
Il répondit en portuguais.
- Il n’est pas convaincu, il ne le fera pas si tu ne veux pas.
- Fuck my ass, répétai-je avec un peu plus de conviction.
L’homme se leva et aller chercher mes vêtements et me les tendit.
- Il sent que tu ne veux pas, tu peux te rhabiller.
Le problème c’est qu’ils étaient entrés dans ma tête tous les deux. J’en avais vraiment envie de sa queue, je la voulais dans mon cul. C’était un fantasme jamais avoué depuis toujours. Non seulement j’avais la possibilité de le réaliser mais en plus cela ferait plaisir à ma moitié. C’est du gagnant gagnant. Et ça lui permettrait de se finir. Gagnant, gagnant, gagnant…
- No, I want you to fuck my ass now, dis-je avec assurance. Please, I beg you !
- That’s more like it, sissy !
Il cracha sur mon cul. Pas besoin de lubrifiant, la seule perspective de me faire défoncer et de devoir attendre autant avait dilaté mon cul. Néanmoins, elle était large et ne rentra pas sans peine. Ce fut douloureux mais jamais de ma vie je ne me sentis aussi rempli et aussi satisfait de l’être. J’étais sa pute, son objet. J’étais pris, j’étais possédé.
Il commença à me limer, à me défoncer.
Délia s’était rassise dans le canapé et se masturbait activement. Je pense que cela faisait longtemps qu’elle avait ce fantasme.
Il me vint à l’esprit que Délia avait un kink, une perversion sexuelle qui était la relation de dominant et soumis. Je pense qu’elle aimait être soumise à des hommes actifs, sportifs, musclés et qu’elle aimait soumettre ceux qui sont plus enrobés, moins à l’aise dans leur corps. Quant à moi, j’étais tout à fait à ma place de cocu bisexuel heureux, usé comme un objet de plaisir pour ma copine et son amant du jour.
Je n’avais plus besoin de me branler. Honnêtement, je savais qu’en me touchant quelques secondes je serai capable de jouir instantanément et je ne voulais pas que cela m’arrive le cul plein, je risquerai de souffrir une fois l’excitation éteinte.
Alors je me laissai pilonner ainsi quelques minutes pendant que le souffle de cet homme s’activait et que Délia se donnait son second orgasme.
Puis il quitta mon cul et aboya quelque chose. Délia se mit tout de suite à genou devant lui et me fit signe d’en faire autant. Nous allions recueillir ensemble sa semence.
Il jouit alors des quantités impressionnantes de sperme tout droit dans la bouche de Délia. Il en coula sur son menton et sur ses seins. Il me tendit son sexe pour que je le nettoie. Je récupérai les derniers jets et lui arrachai quelques dernier râles. Sa bite avait l’odeur de mon cul, mais loin de m’écoeurer, cela m’excitait davantage, j’entrepris alors de me finir moi aussi. Ce qui me permit d’arriver à l’extase fut le baiser que m’offrit Délia à cet instant. Elle m’emballa avec tout le sperme dans sa bouche et nous le partageâmes. Le summum de la décadence, s’embrasser dans le sperme. Nous restions comme ça un moment à partager le fruit de notre dur labeur. Puis Délia avala et je l’imitai.
Elle me sourit puis nous prîmes nos affaires, nous nous rhabillâmes et quittâmes l’appartement rassasiés.
En partant l’homme dit :
- Come back tomorrow for the video !
Dans l’escalier, j’interrogeai Délia, pas certain d’avoir bien compris.
- Tu as bien supprimé la vidéo ?
- Euh.. oui… celle pour laquelle on était venu oui…
- Comment ça, celle pour laquelle on était venu ? Il y en a d’autres ?
- Et bien, je crois que pendant qu’il t’enculait, il a repris son téléphone et nous a filmé tous les deux, toi en train de te faire sodomiser et moi en train de me masturber…
- Mais, tu ne l’as pas arrêté ? Tout à l’heure tu t’es arrêtée net quand il a sorti le téléphone
- J’étais trop excitée mon chérie, je n’ai rien pu faire, je suis désolée ! s’exclama Délia. Écoute, c’est pas grave, on revient demain, on a juste à suivre ses ordres, pas besoin de réfléchir et à la fin on lui fait virer la vidéo. Il a bien tenu sa parole pour la première !
De mon point de vue, il nous a plutôt bien baisés oui !
03 - LE VIS A VIS
Ma copine et moi baisés par un voisin pervers
Figurativement et littéralement, ma copine Délia, 32 ans et moi Romain, 33 ans, avons été baisés par un inconnu lors de notre citytrip à Lisbonne.
Délia a des origines portugaises. Ce n’est pas particulièrement pour voir sa famille qu’on y voyage régulièrement car elle les voit peu. Mais c’est notre goût mutuel pour le soleil, la vie pas chère et les beaux paysages du Portugal que nous nous y rendons de temps en temps.
Cette fois, nous avions décidé de découvrir la capitale (nous sommes plutôt habitués à l’Algarve) lors d’un petit week-end prolongé de novembre. Nous avions réservé un hôtel sympa, plutôt design, donnant sur la plaça de figueira. Notre chambre donnait sur une petite rue perpendiculaire à la place, un fort vis à vis dessus comme habituellement dans les hôtels citadins.
Comme je me doute que vous n’êtes pas venus là pour lire le lonely planet, je vais entrer dans le vif du sujet : Délia et moi avons une vie sexuelle plutôt épanouie. Je dirai, presque honteusement, que Délia est un peu plus ouverte que moi. Elle semble avoir vécu quelques expériences avant de me rencontrer. Elle semble à l’aise dans son corps, c’est une sportive, plutôt svelte. Elle a un cul que beaucoup de filles lui envient (elle n’hésite d’ailleurs pas à le mettre en valeur dans des leggings très serrés quand elle va faire de l’escalade) et des seins plutôt gros pour sa fine corpulence. Moi, c’est un peu l’inverse, je suis un peu en surpoids, pas très à l’aise dans ma peau. Je pense que je pourrais facilement avoir peur de la perdre si je ne savais pas que nombreux de ses ex ont une morphologie similaire à la mienne. Cela n’a pas l’air de la déranger.
Comment sais-je qu’elle est plus ouverte que moi ?
Je n’en suis pas si sûr. Je l’ai déjà interrogée sur la chose sexuelle la plus folle qu’elle ait faite. C’était globalement assez sage. Jamais essayé de coucher avec une autre fille, jamais couché avec plusieurs mecs en même temps. Une expérience d’exhibition dans un lieu public, quelques jeux de rôles à base de soumission et surtout, elle a déjà pratiqué le pegging avec l’un de ses ex. De mon côté, je n’avais jamais eu d’expériences particulièrement folle non plus. J’ai joué à touche-pipi avec une cousine quand j’étais jeune, j’ai eu quelques conquêtes, pas tant que ça et j’ai déjà fantasmé sur le fait de sucer un homme bien que je me considère comme hétéro. Hétéro curieux ?
Nous avons parlé plus longuement du pegging. Il nous était déjà arrivé Délia et moi d’essayer la sodomie, mais sur elle. Elle semblait apprécier. Mais jamais nous n’avions essayé sur moi. Ce jour où nous nous faisions des confidences, elle m’avait proposé un anulingus pour voir déjà si j’appréciais cela. J’avais beaucoup aimé et cet anulingus avait dévié en un doigt dans le cul qui m’avait fait jouir instantanément.
C’est à peu près là que nous en étions dans notre couple (ensemble depuis un peu moins de deux ans).
Les voyages étant souvent propices à la découverte de nouvelles expériences sexuelles, une fois confortablement installés dans notre chambre d’hôtel, il ne nous fallut pas longtemps avant de terminer l’un sur l’autre (ou l’un dans l’autre). Ce qui était à la base une pause sieste, éreintés par notre voyage en avion, s’était donc transformé en partie de jambe en l’air afin de tester l’isolation sonore de notre chambre et la solidité de notre lit.
Pendant cette partie de sexe, Délia prit l’ascendant et monta sur moi. On avait l’habitude, pour s’exciter de dérouler des scénarios ou d’évoquer quelques fantasmes. Délia, tout en s’empalant sur ma verge me faisait part de son désir de profiter de notre voyage dans une ville où personne ne nous connaissait, pour entrer dans un sexshop et acheter un sex toy… pour moi. La scénario dérapa vite en Délia désirant l’essayer sur place dans une cabine d’essayage. Elle entrerait avec moi dans la cabine et laisserait le rideau entrouvert. Dans mon fantasme, je la déshabillai dans cette cabine et l’idée que le gérant du magasin puisse l’entrevoir m’excitait au plus haut point. Dans son fantasme, elle me déshabillait, m’écartait le cul et l’idée que le gérant du magasin puisse m’entrevoir la faisait mouiller comme jamais. Nous avions un désir d’exhibition mutuelle. Nous ne nous rendions pas compte à ce moment, qu’un inconnu se tenait à sa fenêtre dans l’appartement de l’autre côté de la petite rue en train de nous observer.
C’est en changeant de position, quand je voulus prendre Délia en levrette, qu’elle l’aperçut la première.
Il ne cherchait pas à se cacher. Nous n’avions pas tiré les rideaux et l’homme avait une vue directe sur notre chambre. Il semblait nu… il était nu. Il semblait, vu d’où on était, plutôt musclé, plutôt bien taillé. Il semblait avoir un gros membre entre les jambes. Comme nous étions dans notre délire d’exhibition, nous ne nous arrêtâmes pas. Il semblait que cet homme avait un rôle à jouer dans notre scénario. Celui du gérant. Délia lui faisait face, à quatre pattes sur le lit. Je faisais face également à l’homme et prenait Délia en levrette. Imaginer que cet homme voyait Délia se faire prendre comme une chienne, les seins bringuebalant… Peut-être même qu’elle tenait son regard pendant qu’elle se faisait baiser… Cela me rendait fou.
Nous vîmes l’homme saisir son sexe et se masturber. Délia accélérait le long de ma verge. Je la vis même se toucher le clito et se lêcher le doigt plein de sa mouille, comme si elle réprimait un désir de sucer.
Je sentais l’orgasme venir et je sentais que Délia aussi contractait de plus en plus son vagin.
Soudain Délia s’arrêta net et se mit à crier :
- Ah non, pas ça, le salaud !
L’homme s’était emparé de son téléphone portable et nous filmait. Cela avait suffit pour la faire redescendre. Elle se leva du lit et tira sur le rideau.
Délia attachait beaucoup d’importance à sa réputation de fille sage. Bien que je la savais un peu salope dans notre intimité, ce côté-là d’elle ne transparaissait jamais devant nos amis, nos voisins ou ses collègues. Elle accordait d’ailleurs bien trop d’importance à sa carrière professionnelle pour cela. Le fait que ce soit un inconnu, une autre ville, un autre pays loin du cercle des gens qui la connaissent, était ce qui lui avait permis de se libérer ainsi. Mais l’homme avait franchi une limite. Elle ne souhaitait pas que celui-ci diffuse sa vidéo sur internet et qu’elle risque que cette petite aventure excitante se sache d’où elle venait. Personnellement, j’étais mitigé. Plutôt frustré en fait d’avoir été sur le point de jouir et de ne pas pouvoir finir, ne réalisant que très tardivement les conséquences à assumer.
Il vint même un moment où Délia, prise d’anxiété, me suggéra qu’on aille frapper chez l’homme et qu’on lui demande gentiment d’effacer la photo ou la vidéo qu’il avait pu prendre.
Je n’étais pas chaud. D’abord parce que je ne parlais pas un mot de portuguais et puis parce que j’avais peur que l’homme réagisse mal.
Délia, elle, ne parlait pas portuguais mais le comprenait plutôt bien. Elle pensait que l’on pouvait le demander gentiment, en anglais et que l’homme comprendrait.
J’acceptai de la suivre dans son entreprise car je vis que c’était vraiment très important pour elle.
Nous nous rhabillâmes. Délia portait justement un legging très serré. Peut-être aurais-je du la prévenir que cette tenue particulièrement affriolante n’aiderait sûrement pas l’homme à penser avec autre chose que son sexe quand elle lui demanderait la faveur qu’elle s’apprêtait à lui demander.
Nous descendîmes par la réception de l’hôtel, adressant un sourire à l’hôte de réception. Nous sortîmes sur la place, tournant à droite sur ce qui ressemblait bien à notre rue, la traversâmes et en bas de ce qui semblait être l’immeuble de l’appartement de notre voisin voyeur, nous nous demandâmes à quel étage cela pouvait bien être.
Nous regardâmes en face, tentâmes de retrouver notre chambre sur la façade de l’hôtel, par rapport à l’étage où nous étions. Deux, trois fenêtres pouvaient correspondre. Nous re-traversâmes la rue pour prendre un peu de recul, regardâmes en face. Nous jaugeâmes l’endroit où devait se trouver l’homme et nous en déterminâmes l’étage. Nous sonnâmes aux 2 appartements de cet étage. On nous ouvrit la porte de l’immeuble sans même nous demander qui nous étions.
Nous montâmes alors au quatrième. Il y avait un palier à gauche, un à droite. Notre homme devait être sur celui de gauche pour que cela corresponde.
Délia sonna. J’étais particulièrement tendu, je ne savais pas ce qu’on allait dire (j’allais la laisser parler). Mon coeur battait à la chamade.
La personne qui nous ouvrit était un homme torse nu, environ la quarantaine, plutôt le look sportif. Il nous sourit, c’était bien lui. Visiblement, il nous avait reconnu.
- Good afternoon sir, commença Délia, avec son accent français. I apologize if we disturb you. My boyfriend and I have seen you filming us with your phone. As we have no problem that you keep what you have seen in your head, I would be very grateful if you could delete the photos and the videos from your phone (elle avait visiblement préparé sa requête en chemin).
L’homme continuait de sourire. Il baragouina un truc comme “how grateful” (du moins c’est ce que je cru comprendre avec son accent). Puis termina sa phrase en portugais. Je ne compris pas un mot de ce qu’il avait dit ensuite mais Délia blêmit. Je compris, à ce moment, qu’elle avait été (et moi aussi) extrêmement naïve de penser que tout se passerait nickel sans plus de cérémonie.
- I beg you pardon ?! s’exclama Délia.
Pour toute réponse l’homme posa la main gauche sur la tête de Délia, montra sa bosse sous son jogging et appuya sur la tête de Délia comme pour la rabaisser au niveau de sa bite. Délia ne se laissa pas faire. Elle se dégagea immédiatement de sa main, le gifla puis hystérique, força le passage dans l’appartement de l’homme à la recherche du portable.
J’avais honte. Elle était forte et moi je ne faisais rien je n’étais pas d’une grande aide.
L’homme amorça un mouvement vers Délia pour la rattraper et je fis un vague geste pour l’en dissuader mais il se dégagea sans difficulté. Il saisit Délia par la taille. Celle-ci criait en français
- Efface tout, pervers ! pervers !
L’homme la déposa sur le palier, tout en me poussant, referma la porte et on l’entendit dire quelque chose à travers en portugais. Délia rageait.
- Et puis toi tu fais rien !
- Mais qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- Bah m’aider putain !
- Mais il a dit quoi ?
- Il a dit que si je veux qu’il supprime les photos, je dois le sucer.
Je pris un air choqué. Je réalisai seulement que j’avais bien compris son geste mais que je m’étais presque interdit de croire que c’était bien ça qu’il insinuait. Mais curieusement, je n’étais pas en colère. Je dis :
- Mais ça va pas ce type !
Délia tapait sur la porte. Le mec ne répondait pas.
- On devrait aller voir la police. Il n’a pas le droit d’avoir ces photos de nous.
- Tu sais comment fonctionne la justice au Portugal ?
- Non
- Moi non plus. Le temps qu’on s’occupe de ça, ça sera déjà sur internet
- On laisse tomber alors, c’est si grave que ça que ça soit sur internet ?
Je pensais qu’elle s’ennerverait contre moi. Mais non, sa colère semblait avoir redescendu déjà un peu à force de battre la porte.
- Bah oui quand même, me répondit-elle. J’ai pas envie qu’il la mette sur internet et qu’un de mes collègues ou de nos connaissances tombe dessus.
- Au pire, tu seras connue pour la nana qui a une sex tape sexy, c’est fréquent de nos jours !
- Pfff, et toi ? T’es dessus aussi, ça te dérange pas plus que ça ?
- Bah, j’aurais préféré qu’il coopère mais bon là, entre me prendre un pain et qu’on voie ma sex tape, je suis pas sûr d’avoir plus envie du premier que du second.
- T’es bien un mec toi. T’as une sex tape, t’es un boss. T’es une fille, t’as une sex tape, t’es une salope !
Je ne répondis rien.
- Je suis sûr que si j’avais été en train de te faire expérimenter les plaisirs anals, que tu aies été ma salope sur la vidéo, tu mettrais plus d’entrain à la récupérer.
- C’est pas faux, admis-je.
Au bout de quelques secondes assis sur une marche de l’escalier devant le palier du mec, Délia me surprit :
- Et si je lui donne ce qu’il veut ?
- Le suçer ? ça va pas ?
- Fais pas comme si ça t’excitait pas, j’ai vu comment tu étais chaud quand le mec nous regardait tout à l’heure !
- Mais c’était pour le côté exhib, je comptais pas faire un plan à 3 avec lui ! protestai-je
- OK, inversons les rôles. Ce serait toi sur la vidéo en train de te faire enculer comme on discutait…
- Bah je te vendrai pas au mec pour obtenir ce que je veux, quand même pas !
- Non, j’ai pas fini. Et mettons qu’il te demande à toi de le sucer ?
- SUCER le mec MOIi-même pour qu’il efface ma photo de MOI en train de me faire ENCULER. Bah dis donc, j’aurai bien changé de bord en une journée, plaisantai-je !
- Sa queue était pas dégueu, dit Délia
Ce qu’elle disait me choquait mais bizarrement ma bite ne semblait pas penser la même chose puisqu’elle gonflait dans mon pantalon.
Je me composai un air de dégoût peu convaincant. En vérité, de ce que j’avais pu voir, c’était un bon morceau, bien épais. On avait d’ailleurs vu sa bosse de très près… Je commençai à me dire que j’étais peut-être bisexuel ou alors c’était elle qui était entré dans ma tête et qui m’avait mis ces images de fellation. Pourquoi ne me dérangeaient-elles pas ? Pourquoi étais-je excité au contraire ?
Délia posa la main sur mon pantalon au niveau de ma queue
- Je le savais ! ça t’excite gros porc !
Je ne sus pas quoi répondre.
- J’y vais déclara-t-elle.
Elle frappa à la porte et cria “Alright, you won!”
La porte s’ouvrit. Le mec nous fit signe d’entrer.
Je ne savais pas si c’était un plan de Délia pour retenter de trouver le téléphone. Mieux fallait-il que je me tienne prêt à retenir le mec. Mais je me dis que l’espoir était maigre. Il avait probablement mis son téléphone hors de portée de vue et quand bien même on l’aurait, comment le déverouillerait-on ? Il faudrait le voler et le détruire…
L’homme ferma derrière nous et nous fit signe de le suivre dans son salon, l’endroit d’où il nous avait probablement observés. Honteusement, je me soumis à son ordre lorsqu’il me montra un fauteuil où je compris que je devais m’asseoir. Il regarda ma copine et elle comprit ce que son regard signifiait. Elle se mit à genou et baissa son jogging, puis son caleçon. Il en sortit un chibre énorme, surtout sur l’épaisseur.
Je n’en revenais pas, elle n’avait pas d’autre plan, elle allait vraiment le faire, elle était sérieuse.
Elle ouvrit la bouche et il déposa le bout de sa verge sur sa langue.
Je bandais comme un âne. J’en avais honte.
Sans même me regarder, elle commença à se saisir du sexe énorme et à en lécher le bout du gland comme pour vérifier que le goût la satisfaisait assez pour entreprendre la tâche qui l’attendait. Puis quand elle fut plus à l’aise, elle engloutit ce qu’elle put du sexe de cet inconnu et se mit à faire des va-et-viens avec sa main et sa bouche. J’entendais les bruits de succion, le type l’encourager dans une langue que seule elle pouvait comprendre, et je crus même percevoir un gémissement de plaisir de la part de Délia, comme si elle se régalait.
Elle m’avait déjà sucé auparavant, mais ma queue est bien plus modeste en taille que cet homme et jamais je ne l’avais vu aussi investie dans sa tâche. Elle sortait la bite de sa bouche, crachait dessus, la masturbait, la lécher, la gobait comme si c’était le meilleur plat de sa vie. Je la vie même entrer sa main gauche dans son legging et se toucher.
Le moins qu’on puisse dire c’est que sous la contrainte de ce dominateur, je ne la reconnaissais plus, elle semblait réellement prendre du plaisir comme je n’avais jamais pu lui en donner.
Et loin d’être jaloux ou en colère, je ressentais un sentiment de profonde gratitude envers cet inconnu qui était en train de nous faire découvrir, contre notre volonté à l’origine, une sexualité que nous ne soupçonnions même pas. Je n’en pouvais plus, j’abaissais mon short puis mon boxer et sorti mon sexe dressé et prêt à l’emploi. J’étais encore un peu frustré d’avoir été coupé dans mon élan un peu plus tôt et mon boxer était bien tâché de liquides séminaux. Je me mis à me branler en la regardant le sucer et se toucher en même temps.
Il lui dit quelque chose qui semblait être sur le ton de l’invitation et je la vis retirer son haut pour finir en soutif et legging, toujours à genoux devant lui. Elle reprit la fellation mais il la stoppa, cette fois-ci son ton paraissait plus être un ordre. Elle dégrafa immédiatement son soutif, jeta un bref regard vers moi, honteuse, puis reprit sa fellation, sans mot dire.
Elle continuait de se toucher en même temps. De temps en temps, elle crachait sur son sexe et un mélange de fluide et de bave tombait le long de ses lèvres sur sa poitrine.
Je me branlai et gémis.
L’homme lui dit alors autre chose. Je le vis s’asseoir sur le canapé en face de moi laissant une place à ma chérie sur sa gauche. Elle sembla hésiter sur la position à adopter mais il continua de la guider. Elle finit sur le canapé, en position balasana, la bouche empalée sur sa queue. Cette position mettait en évidence son fessier avantageux. Le mec ainsi, pouvait lui toucher la poitrine en glissant ses mains entre ses cuisses et ses seins, la caresser sur le dos et le long de l’échine jusqu’à atteindre son legging. Il caressa sa chatte à travers le vêtement.
Elle se releva un peu, interrompit brièvement sa fellation comme pour signifier son désaccord, mais l’inconnu l’avait complètement sous son emprise. Il lui dit autre chose en portuguais. Puis je l’entendis dire quelque chose en anglais qu’il voulait visiblement que j’entende :
- He seems to like it
Il parlait de moi. J’avais sûrement le visage déformé par le plaisir. Délia me décrocha un regard, puis un sourire. Je lui rendis sans trop savoir pourquoi. Je venais sûrement de donner mon accord tacite pour que les choses aillent plus loin sans vraiment le réaliser car il commençait déjà à baisser son legging le long de ses jambes et à lui caresser les fesses.
Elle se laissait faire pendant qu’elle poursuivait la fellation avec toujours autant d’appétit.
Parfois je l’entendais avoir un haut-le-coeur quand la bite de l’homme partait trop loin au fond de sa gorge. Je n’avais pas réalisé que de temps en temps, il lui appuyait sur la tête pour s’enfoncer plus loin. Jamais elle ne m’avait fait de gorge profonde auparavant.
Plus les secondes passaient, plus l’homme prenait ses aises avec ma copine. Désormais, il la doigtait par l’arrière et la faisait gémir. Sa fellation commençait à devenir moins appliquée à mesure que son propre plaisir prenait le pas sur son désir de bien faire.
Il dit encore quelque chose en portuguais. Elle s’arrêta de le sucer, m’observa longuement et se leva.
- Tu as l’air d’aimer ce qu’il se passe, petit cochon, me dit-elle.
- Je plaide coupable, dis-je la bite à la main. Toi aussi tu as l’air de prendre ta corvée à coeur…
Elle me sourit et s’assit sur les genoux de l’homme tout en soutenant mon regard. Puis elle remonta ses jambes sur le canapé pour se mettre à califourchon sur son bassin, face à moi. Je compris alors qu’il n’y avait déjà plus de retour arrière possible. Délia était clairement dans un état d’envie tel qu’elle n’avait même pas pris la peine de prendre des précautions. Elle s’empala la chatte sur la grosse queue de l’homme qui poussa un râle de plaisir. Je la vis fermer les yeux et profiter de la sensation d’être remplie par cet énorme chibre. Je pouvais voir tous les détails de leurs anatomies respectives dans cette position.
L’homme lui dit quelque chose et je vis son regard s’illuminer, comme si un univers de possibilité venait de s’ouvrir. Soudain, elle m’ordonna sèchement :
- Viens lécher ma chatte.
J’étais sur le cul, figurativement et littéralement. Mais son ordre éveilla une excitation insoupçonnée en moi. Je crois que je commençais à comprendre ce qui l’excitait depuis tout à l’heure.
- Allez, lèche-moi la chatte ! répéta-t-elle.
C’était grisant.
Je me levai, mon short et mon boxer tombaient au sol. Je décidais que je pouvais m’en passer. Le tee-shirt aussi d’ailleurs. Nu comme un vers, j’avançai vers le canapé et m’agenouillai devant les jambes du mec, j’abaissai mon visage au niveau de la vulve de ma copine et vis en gros plan la bite énorme du mec la pilonner. Elle poussait des gémissements sonores “oh oui, oui !”. Elle me prit la tête et la plaqua contre sa chatte. “Lèche-moi”. Je m'exécutai. Je lui léchai le clito. Il était difficile pour moi, avec son bassin qui bouge pour se faire prendre de m’appliquer. En vérité, je me contentai de sortir la langue et de lécher tout ce qui passait dessus : son clito, sa vulve et même la base de la queue de cet inconnu. Délia était tellement excitée de la situation qu’il lui vint un orgasme qu’elle exprima bruyamment.
Le mec poussait des râles et criait des choses en portuguais. A un moment, il lui dit quelque chose puis passa en anglais. “Your man is a pussy”, “he cannot defend you”, “punish him”
Je compris qu’il était en train de faire mon réquisitoire en portuguais, probablement parce que je n’avais pas eu les couilles de m’imposer pour récupérer la vidéo et que si je l’avais fait, peut-être n’aurions nous pas eu besoin de nous retrouver dans cette situation.
Délia releva son bassin, l’énorme bite du mec en sortit, trempée de fluides.
- Suce le ! m'ordonna-t-elle. Nettoie-le ! Je sais que tu en meurs d’envie !
Ah bon ? Me demandai-je. En avais-je vraiment envie ? Je bandais toujours comme un âne. Comme j’avais arrêté de me branler quelques minutes plus tôt et que j’avais probablement ramolli un peu avant d’en arriver là, il y avait une quantité importante de pré-sperme qui coulait de ma bite, j’en foutais même sur le parquet.
- Allez ! insista-t-elle.
Je m’exécutai encore. Je saisis l’énorme bite du mec et l’engloutis sans cérémonie. Ses fluides, ceux de ma chérie. J’étais moi aussi en appétit devant cette grosse queue. J’avais envie de faire comme Délia tout à l’heure, de ressentir le même plaisir. Délia se releva, le mec continuait de lui parler, tout en émettant un ou deux gémissements de temps en temps.
Délia s’éloigna de nous, je ne sais pas où elle était partie, mais je n’avais plus envie de m’arrêter.
- Good boy ! me félicita l’étranger.
Délia revint, s’assit à côté de lui sur le canapé, lui tendit quelque chose. Je relevai les yeux, je vis qu’il s’agissait du portable. Le mec le déverrouilla et le tendit à Délia.
- Continue mon chéri, tu es très doué, il a l’air d’aimer ça.
Je m’appliquai du mieux que je pouvais en essayant moi aussi de faire des gorges profondes, en crachant, en répétant tout ce que je venais de voir. Pendant ce temps, je pense que Délia était en train de supprimer les photos et vidéos compromettantes pour lesquelles nous étions venus. Elle lui rendit le portable et il le déposa à côté de lui sur le canapé.
Il me semblait alors que nous avions rempli notre mission et que je pouvais m’arrêter.
Je sortis le sexe de cet homme de ma bouche et réussis à articuler :
- C’est bon, tu l’as supprimé ? On peut y aller ?
L’homme parla à Délia encore et elle me répondit alors.
- Il faut quand même aller au bout, tu comprends chérie ? Il veut juste se vider et après il nous laissera tranquille. Il veut juste ton cul.
J’étais interloqué mais je compris que ce coup-ci, c’était probablement autant un autre ordre de cet homme que le fantasme de ma copine, puisqu’elle m’en parlait depuis un bon moment. J’en avais envie sans oser me l’avouer. Cocu jusqu’au bout, le type aura réussi à obtenir une fellation de ma copine, la baiser, me rabaisser à bouffer leur fluide et sa queue et maintenant à me laisser lui offrir mon cul.
- D’accord, dis-je vaincu.
Je me relevai puis me mit à 4 pattes sur le canapé.
L’homme dit quelque chose en portuguais.
- Tu dois le supplier de te prendre, dit Délia.
- C’est une blague ?
- Tu veux sa queue dans ton cul ou non ?
- Bah euh…
- On peut partir maintenant si tu veux, me dit Délia
- Mais tu as dit que je devais le finir
- Oui, parce que ça ne se fait pas de le laisser comme ça les couilles pleines, mais je ne vais pas te forcer…
- Mais toi tu veux quoi ?
- Que tu te fasses défoncer à ton tour pendant que c’est moi qui me masturbe. Après tout, c’est ce que tu as fait tout à l’heure, chacun son tour !
- D’accord, dis-je.
- Bah alors supplie le !
- Vraiment ?
- Allez !
- Fuck me please, dis-je à l’homme.
Il répondit en portuguais.
- Il n’est pas convaincu, il ne le fera pas si tu ne veux pas.
- Fuck my ass, répétai-je avec un peu plus de conviction.
L’homme se leva et aller chercher mes vêtements et me les tendit.
- Il sent que tu ne veux pas, tu peux te rhabiller.
Le problème c’est qu’ils étaient entrés dans ma tête tous les deux. J’en avais vraiment envie de sa queue, je la voulais dans mon cul. C’était un fantasme jamais avoué depuis toujours. Non seulement j’avais la possibilité de le réaliser mais en plus cela ferait plaisir à ma moitié. C’est du gagnant gagnant. Et ça lui permettrait de se finir. Gagnant, gagnant, gagnant…
- No, I want you to fuck my ass now, dis-je avec assurance. Please, I beg you !
- That’s more like it, sissy !
Il cracha sur mon cul. Pas besoin de lubrifiant, la seule perspective de me faire défoncer et de devoir attendre autant avait dilaté mon cul. Néanmoins, elle était large et ne rentra pas sans peine. Ce fut douloureux mais jamais de ma vie je ne me sentis aussi rempli et aussi satisfait de l’être. J’étais sa pute, son objet. J’étais pris, j’étais possédé.
Il commença à me limer, à me défoncer.
Délia s’était rassise dans le canapé et se masturbait activement. Je pense que cela faisait longtemps qu’elle avait ce fantasme.
Il me vint à l’esprit que Délia avait un kink, une perversion sexuelle qui était la relation de dominant et soumis. Je pense qu’elle aimait être soumise à des hommes actifs, sportifs, musclés et qu’elle aimait soumettre ceux qui sont plus enrobés, moins à l’aise dans leur corps. Quant à moi, j’étais tout à fait à ma place de cocu bisexuel heureux, usé comme un objet de plaisir pour ma copine et son amant du jour.
Je n’avais plus besoin de me branler. Honnêtement, je savais qu’en me touchant quelques secondes je serai capable de jouir instantanément et je ne voulais pas que cela m’arrive le cul plein, je risquerai de souffrir une fois l’excitation éteinte.
Alors je me laissai pilonner ainsi quelques minutes pendant que le souffle de cet homme s’activait et que Délia se donnait son second orgasme.
Puis il quitta mon cul et aboya quelque chose. Délia se mit tout de suite à genou devant lui et me fit signe d’en faire autant. Nous allions recueillir ensemble sa semence.
Il jouit alors des quantités impressionnantes de sperme tout droit dans la bouche de Délia. Il en coula sur son menton et sur ses seins. Il me tendit son sexe pour que je le nettoie. Je récupérai les derniers jets et lui arrachai quelques dernier râles. Sa bite avait l’odeur de mon cul, mais loin de m’écoeurer, cela m’excitait davantage, j’entrepris alors de me finir moi aussi. Ce qui me permit d’arriver à l’extase fut le baiser que m’offrit Délia à cet instant. Elle m’emballa avec tout le sperme dans sa bouche et nous le partageâmes. Le summum de la décadence, s’embrasser dans le sperme. Nous restions comme ça un moment à partager le fruit de notre dur labeur. Puis Délia avala et je l’imitai.
Elle me sourit puis nous prîmes nos affaires, nous nous rhabillâmes et quittâmes l’appartement rassasiés.
En partant l’homme dit :
- Come back tomorrow for the video !
Dans l’escalier, j’interrogeai Délia, pas certain d’avoir bien compris.
- Tu as bien supprimé la vidéo ?
- Euh.. oui… celle pour laquelle on était venu oui…
- Comment ça, celle pour laquelle on était venu ? Il y en a d’autres ?
- Et bien, je crois que pendant qu’il t’enculait, il a repris son téléphone et nous a filmé tous les deux, toi en train de te faire sodomiser et moi en train de me masturber…
- Mais, tu ne l’as pas arrêté ? Tout à l’heure tu t’es arrêtée net quand il a sorti le téléphone
- J’étais trop excitée mon chérie, je n’ai rien pu faire, je suis désolée ! s’exclama Délia. Écoute, c’est pas grave, on revient demain, on a juste à suivre ses ordres, pas besoin de réfléchir et à la fin on lui fait virer la vidéo. Il a bien tenu sa parole pour la première !
De mon point de vue, il nous a plutôt bien baisés oui !
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très chaud, vraiment hard. En terme de taille je m'identifiait plutôt à Romain je pense.
J'adore!! J'aimerais beaucoup vivre une telle histoire, cela n'existe 😀
S'il y a des adeptes en Suisse, contactez-moi😘
S'il y a des adeptes en Suisse, contactez-moi😘
C'est mon rêve depuis longtemps
Dommage qu'il n'y ait pas de traduction pour les paroles en étranger
Super récit, tres vraisemblable et bien écrit. Vivement la suite.
Ou la la . Ça m’a bien plu cette histoire. Ça donne très envie d’y être
Très chaud!
Belle histoire, j’en ai le caleçon déformé et j’aime ça 🙂. Vivement demain pour effacer ou pas les futurs vidéos.